
HS2 T A B LÆ
.Corbeau;^ aux foflês d’Anzin »»ffelièn .M;sLav;oifieri
' Id. Dans la machine de Bois-BofTut & dans celle de
Moritrelay fur^pp, la plus-graride/pard^^
de fattirail des pompes eft foutenue par un contrepoids
, de forte quil ne refte d’excédent de
^fojre& diiîcôté^des pompes v
pour en faire redefcendre le pifton ; il- n’en < eft pas
de- méih'e.'fdans les foffe^d^^^R^^^pa-Idi|fér
ip^Gè%j page ’> --, V r : _.’v .
- \v •‘Bi/loBilpouMes^gi’andes^Poropes- Remarques ïùr
ces piftons , comme ceux qui font dans là^maoh^rië
de- :Frefnes.-.:"ïoiSij.. ^LeursV^a^pt^es^V*^'^ib^6nï'j^^^).',
. '3Deràguliers^ï^^^^^ceZ>Pij?07i percé: .Baraës, du,
'>pi|mü^Klès. Eomp^sildeMaï Machine de ^drksBuil-
dings." i oy8. Conftrudion du pifton des pompes
& . des - foupapés -de*|la.}|màchineï|à ,-feù de Êrefnes.
-10 6j . Chevrons qui foutiennent les piftons. I op 8.
Poids de pldmb 3 dans la-machine de/Wat^q^^^-.
db&pifton des pompes de la machine appellée le
Corbeau, aux folles d’Anzin , félon M. Lavoifier.
a 064. Diamètre du pifton des pompes de la machine
de Frefnes, félon Mi B.élidoiï 10164. Leyée
desip^diâ/'ÿ-^b^'./: 'ï -\ • ... Ibid.
Éowrmm 3 k l’àMW?-duquel l’eau eontènue .dans
l’alambic »hdîât-'Wqrîtmü^lémené^^^^^ei^eu - de
;^l^i^dei-terre 1087. Dans ,1a madfine <■de Caf-
#;glipnti â; - avec; du bois, i io jrv.fta®|ete.; & pro*
fondeur du fourneau de la petite machine à .va?
^ïuçpâëï Watkins. horizontale ;dW
fourneau de la machine de Griff. 1086. Plan &
jùfofil;du,fou®fieauî.coupé fur. l’alignement, i 087.
Confommation en-Charbon de terre dansIe^Mipès
les plus' Sc^nues. '^^pD, Différente, félons les
qualités,.de Charbon, u o i . Par-fcpafommation
de chaque gp.ouce^me^^ 102. Dans la .Mine
d’Anzin en. 24 heures , & pour chaque, pouce
d?eau.Td.De Montrelayv -enS^hêpê^.^demï^De
.'®fe^^tmdm^9èpar an ^ travaillant :8 beurjesf-paf*
joÛEï\ î-j «■ ra,~ *1
^lâdns^laùMàehinli^db; Watfe^j^iîijbawLa^mar
chine de Bois-BoJTut, félon. l’Encyclopédie # en
24 heures, f idem. Gorredion.., en réduifant à
1 2 coups pat minute le nombre d’impulfions.
1 1 0 3 De ^këfee$^pendânt; 24 heures. Jbidïi De
Mo ers , près Dunkerqueen 24 heures. Id.' Des
petites ; machines coûfumént JïlP^d^.Ghafbonï-t^è-
les .grandes. ^ëplÉkMi^h i- pour économifer le
combuftible .dans les- fourneaux des machines^à
feu5,en diminuant- la fumée. 1 103. Voyez Fourne
au de Valambic, de là Machiné à. vapeur. ■
. Bâtiment de la Machine à vapeur. 47,6..Vue du
premier étage en plan élevé. 476. Avec le revê-
tiffement de Maçonnerie qui foutient le^chapitéaü
de l’alambic. 1087.. P-late^forme^des, Ma^annefiet
147.2. Arcade dé la plate-forme. 1057^ Plan
du troifieme' étage-du Bâtiment où eft renfermé le
balancier- riQ^'.ÿ'ffù fe’ voit l’Arbre afpirant.
iroo. Rez-de-chauffée du Bâtiment. i|pl|fl Examen
de la bâtiffe-de la machine devGriff. Vue de
fbn emplacement, ‘i ’oÿ.2. Coupe verticale des
quatre murailles de cetté bâtiffe.
. Machines de Relais. 7 " 18 8,6.
. Machines ’^vapeur,dites à répétition, c’eft-à-d-ire,
à plufteùrs.corps de pompes. Augmentation-,dp dia-t
métré. 1 ods / î i'q.0vCelle dé Walker eft de ce genre.,
Sa defcr-iption. Ibid. Cette: augmentation, dénombre
de'corps de pompes eft une des chofes. 1062.
Guyettes - ou ,Bafches de' diftri'bution, placées de
hauteur en hauteurlorfqu’on emploie des pompes
à répétition. 468 , iioo*rDeur ufage, Ibid. On
.la-pratique. aqgnièMè&j^
dealMps de^p.Qmpe^v.qùe^d’augmentèt 1 la3& fe
& la vîceffe des piftons. 1063. Voyez EîrangZe-
, ments , Pi0p.ns /Pompés?.;
^Hauteur”-à làqueUe,des Machines à
^é^s\ ,p^r ^àppsq r^ ù i®^ ^ è ^ ,m e -r^ sa remarquer
relativement aux différencesi^M|fei^rèpcdn-
trent dans la colonne d’eau pfe.yée>parpe§ machi-
. ' nefc; 10$ o.
Hauteur alaqüfclfe^léàlj^ ^ &vééipar^l^machlriy ^
vapeur, de- ydlker^ ^ ^ a^É)ans celle ,
félon le Chevalier ;.de. Buat ^Myaluée jeS
1740 à quarante-un mille cent foixante pouces
cub'es d’eau .par • minuté , -^ou'i4A8j| ^ûjds,:dleau
en 24 heures.' Dans celle de Bois-Boffut * félon
lèsvAuteprsîde il’Ei^cJppédie>.;so^4*Pl^^çMe- de
Moqtrel.ay,félon ' M. J e|jÇp^ali^^^^ o^dàlV' i l idi
Dans j2'eljpide^^^a|Bi^ecappellée.Jç; Cç^b/ejzjify aux
fofles d’Ànzin , félon M- Lavoifier. (.Diaprés fa
Tabfe^e.M. Beig|®Aqsj,4^sî^^pe^dec^|î^}V,dâEi M.
De(ag,u|ig|S}ÿ^eft capable pouç. Ji'O^diéa^e.-.cf’çlevei:
à la hauteur depuis jr^qt^pia^Q. yerg^s. .Dans
d’eau dè|Ég^c^e§ det hautqqr.j ^ ^ ^^^uêes de
diamètre, ou 15 J muids par heure. 1082,
^^^üan^^ô^y^lnnie^d’eau'^^é^'.àfphaque^coup
de piftonidah e u i^ d è f l^ y r
10 64. Selon M.de la Lande, la machine de Chelfea
en Angleterre, éleve à chaque coup 18 gallons
,0r. 24 heures^ ^ ^ ^© >jpSds>^cubes.\d|âUi4^ S o
.D’après r
M. DeTaguliers,, eft-.capable pour l’ordinaire d’éleyer
djfe^^düfqp,’ ^L''4^ô;ï.<mtuids]! pansiaEeuM^ ^ m
-'Behf' ^ f des
pouces d’eau à 8o pieds. 1083. Le concours
^ ^ cey^dMérentesr^cauJeCndiml^^m^i^^ ^pps' ‘die-
moitié -Bell'Élf'i des machines Éira ■ M.
foûjever une colon ne de 3 1 pieds & demi de hauteur
, n’en fouleve qu’une de 1 o pieds un pouce
& demi. 107P, 1083. Celle de Bois-BofTut n’en
fouieve pieds 8 pouces , félon M.
La voilier. 1079 , 1 o 82. Selon les A uteurs de l’Encyclopédie.
1064. Celle des fofles dAnzin n’en fouleve
qu’unef de^îiç&pièdà 6 pouoesi&^fdemk r tB ^ s ,
iMf-2. Caufe de cette différence. Voyez ^zirai/
des karr.es. Voyez, Hauteur à laquelle les Machines
yèn't ƒ r«eej. Quantité d’eau qui doit fe décharger en
'^^^h^ure(avggû|^ran dsajaîpbics, ^Æapr&eW E rl
de 20 à 2y coups, parj minute, (eloq>iLqbXe.r,vation
duPpdeur Defaguliers^'^ ^ ÿj^une^ .p.o^pe'fe, |É
' po.iæj3§ ,^^'^dâl^^i^Xt:^d|c^gg de; .320.
■ muicis par heure , t& >ainfi des autres grandeurs
en proj5p’rHop4^ Æ | ® ^ ^ y o i t j ;à u >^^ dp
fqrpe dans^Gje.tte ; Ëe^ÿ^jaJ^sçJ^rdit
naturellement en attendre Leroit, félon M. La-
voilier-, de foulever à phaqu©',cqu^'de^©Q’n une
colonne d’eau de même bafe,. quç -jq >c|yîrt;drè ï &
de 31 pieds. r& demi de , hauteur. l i Principales
'paujjes qui co.nçqprent à détruire une partie dè cet
-effet. , | >! lilliS lII
Impuljîon, Battement, Vibration,, Coup de pifton
qü-une Machine # y^pçur par. Il
eft opéré par .la pefanteur d A y e . c de
grands
Z ) ;Æ < y
>• a ^mbics .,mnkvn3acliiln'e doit. felmlïgDocte
u r
107p. Il ne paroît pas qu’on fpit bien d’a^qcpcd4
Tur
^vapeur
machine ,det Savery en ,(à©n<noit ce nombre, '
^ i f f e i ^ :Mey.^MeverMyi^^^Ël^ ^iiiÉii..à.fA-
cadémie, io y 2 , en avoient fait entendre 16.108.1.
M. d’Auxiron prétendoit que la fienne en donnoit
jufqu’à 20. 1080. La machine à vapeur établie à
10^4. Au Bois-Boffùt. Id. A la machine nommée ■
iLa-
M. LâlaïïdeV^
Chelfea en Angleterre,, bat 14-fois, par-minute,
p:^Pi.^..La, petite pompe à feii de M. de Cam1-
Dray.en,, dl^hn 1
en donnoiteinq. 1082. M. Jars j au rapport de M.
Deparcieux lesâ’édiiiifçk' à 8 ou à ïo. 1082. Plu-
lâeuis Obfervateurs' eftimënt^qu^IîIeî/sdpninê"Jdepuis1 ■
B « r x d- impùMions, & que le mouvement
\^%iné ^macqine ' bièn\> montée.:^ ; o c .
.-moyenne. , doit être- ,'iég|e: de maniéré: qiii?élîe|hé .
produife pas plus de quinze co,ups de balancier par
minute. 1081. M. Cambray de Digny a trouvé par
une méthode d’djedù&ion des principales pièces de
fia, maehiné^â:-Vàpeurs!,-qu’iM ^m^^^<m^^^.^güfe>
cette machine ne peut donner que cinq impulfions
par minute, avec deux pompes contenant enfem-
ble trente pieds ■■cubes.
> Force de La Machine à vapeur. ( Calcul de la ) Pour
le -mfton-,
lequel' eft to^joufs 'proportionnel quarré du
diamètre CeWe.;’^ ^ g!
. par. M. Bé- .
ordinaire , par
M. Beightoni '
'M.. MB^évRolTut. ^ ^àe's-Machines m
vapeur demande un feu v io len t,^ la. qualité du
Chai bon de terre fpft ©u foible , ^^®raîchement
ou-, anciennement tiré ’ de la Mine j influe fur .ce.
jeu. iiXo,2* Voyez Fourneau de Valambic de
la Machine à vapeur.
Thzi'ail d'une Machine,^ peut rarement
-être de 24 heures, fans interruption ; la dimi^ut^i
de l’aéti-vité du feu. oblige •sqùelq.üefois jie' l’arretèè
• pendant quelques minutes , pour laiffer prendre
'^drcleS|4LÉa; vapeur. Les . renouvel-le-r
ments inévitables des piftons entraînent encore des
retards’ pl'usuconfidérables : eiî partant de r©|i|er-
p ^ id n déM. de Borda ,|qjiè la machine d.’fegrand^a
faud-roif, ainfi que le remarque ce.Sayaht.^ nm^
'vmüèr le produit d’eau qu’jl’ a calculé dans le rapport
de 12 à 11 ; avoir enfuite égard aux^aç-
cidents des piftons multipliés par les'-dix répéd-.
tions de pompes- .qui élevént' l’eau. Réflexions gé- •
IVjiéfales/fu/^Lësgcéùfés^^^ ^ ^ ent'l’effet des Ma-
cjiines à vapeur, par,M. Lavoifier.*
;^3Lt Di^rentsjpoints,, de^fâi^çù ctt'obfervatiohs fur.
■.oléiqnets dé ]Vïine .[îptpqn^eattentif
c6ng^S,,îe^achn^S ,®a p é iir ré a p ® ‘~
l^ ^ ^ p io n s - principaux ÿ|ë-
■montres' dans la machine, à;' €lSnf:lià mé-
T l E R E S. 1/f 1453
thode du Capitaine Savery. 1 075*, 17 ’é. Ixpé^.
IMep,Cé),qè M. Beighton pour trouver combien un
pouce cubique d’eau produit de vapeurs. ip77-
IVapeur qui fof&/jdets joints de la chaudière à chaque
impulsion j alternative comme l’haleiue des, animaux.
io§’©J. De qiuePfe m a n i|J n ii évaquq la.va-
p e ur d e l’alambic p 0 ur arrêter la machi n e. 472.
'ÎÉ chaudière s’échauffe
fuffifamment pour produire la quantité de
vapeurs ;néc^ffai-re'.'!^i|5^p'., L’eyalÿi-SfoW'dé 'fe-
| làmbië^eft é v a l u é eM. d’Auxiron à un pou-
|ce &/demi par heure : cet Auteur prétend-être 1© I
maître, de1 multiplier la vapeur. , '
Dans les machines où la vapeur eft beaucoup plus
forte,que l’air , la jfelahj' ’
M- ; , . • • Ibid.-.,
^ jpflifyairef * de quelques parties de
plufte u r s de ces! machin es.;’^
I ^PartiGuJaritéS; remaï(g^éQl^^^^^^^^4ù®sf
I chines' à vapeù’r.. ï ^ 3 . -Particularités: de quelques
inabjlmés a vapeui- •
l^ièrs^dekl^affli^ l^ j^piOJ^^^MfeeWl’ean
iTâmife dans les maifons. Remarque f e
1 e u r de ft ruéti o n & fu r le ur r eco n ft r u 6H o n , fa u t e .
.' ‘de7 bfohze çém-^
I plie de.graiflej^^^ liuil^É^Mdmea'ùe^dhn&to'u^
|||1 || à M^Mne à;
I vapeur de la Mine de Walter | >fécab.lie à,' trois5
la plus .* Jq,
toutes celles, qui font dans les Mines du. Noid de
qui|^ait,
/: ; fù:. l ^ | ^ i ^ Diàmetro1
des ëKmfd^rjs >de .cette, machiiie.‘
une, pui^ance^^yjæàté^^^e
mille quatre-.cents-fêize livrés , ^ &■ .^lifélfe
I trente-un mille quatre-vingt feize d’effort à faire.
W H M |
, Particularités v de quelques machines à vapeur* en
France. mAeià^hfÿ
en^Mcfek
grande ô^~^hë^^utp^^^^,"SPpmdes;f^^éMtitij)n.
Bpëre "de cuivre , formant le >corps 'du pifton des
lîpgmpes'Hë la machine ' de Erëfiîësi :
' Méc]ianifmé£à&ta;>I$ ( Idée génêp
raZe dw ) appliqué à Paris par les Leurs Perier à
des ferai-pompes > extrêmement fimplès-j ^deftinées'
à l’élévation de l’eau pour da décoration des; jar-
^ ÿ - poüc
| les ferres, chaudes. 105*3. Pourroie'nt être très-’
pays S lesmatières eombuftibles font à bon î
marché.J4;Méchanifme des machines à vapeur , expli
qué en réfumé par rexpicatipn I ? ..diévelopWpemen't
des Planches de la machine de Griff & de
elites1.!' ^ ilflîa^e dès deu^
I Pièces par lefquelles fe perpétue le mouvement d’unë^
machine à-yapèja-i:^ importante à bien comprendre ,
Laffn d’ayoir une idée exade & précife dé tout le mé~-
il n’eft point, à beaucoup près, fuffifant à un Direc-
p^in> ' de Mines d’être entendu & verfé dans la -
Méchanique les1 lumieresoles plus exactes . de, la-.:
Phyfîque ne fôn^i pas de trop '.pour l§|0OQiLl^^i
pMil'àpt} ..^^^efeppffiblp, la muiflance-,xmoytrièaRd4^
ç e s M r w g h i n e s . • id y 5.
'ÇhefiConduBeur de laMachine à vapeuf}appellé quel-
quefoisMac/zinz7?e. Machinoe^e^àr. G.HangSvzer^yCr,
477, lioï.Maniéré dont il fixe fa marche pour met-;-
tre en mouvement la machine à feu. 1074. Comment
'i1!, reconnoît que le pifton du Cylindre" eft à fa;