
1 4 6 2 Wf oM, L E
bruche.
Metallkus. (Jurants AStuarius.) Juré é&'CâiiSa'*
ÿ^ B;erp iS^hf éiber. ^ry*
■ Métallique, ( Pierr^M^É|les Mines
d’Angleterre. 108 , 1202. Jurifprudence. 828.
Metdllifatum lithantrax. Mmêraferri
446, 606.
Metallorum præfeBus. G. Bergamptmann. Me-
îallicorujn Magifter. G. Bergmeifter. 81 y.
Métallurgiques , (* Opérations ) exécutées êc tentées
avec le feu de Charbon de terre brut, ou
réduit en braifes. 17 0 1. Voyez Cuivre. Fer.
Plomb. 115-8.
” ' Métaux. Le Charbon de i l i j ||3
férentes qiiàllïés', /diiit'^ux fontes de métaux dans
für^cQ.ytvà la f©ntê;.|iu fer ;
raifon' qu’en donne M. Grignon. n6d. Il eft pof-
1 cirer parti ;
les demi-métaux g & les métaux imparfaits qui font
d’une facile fufion. M. de Genflane eft perfuadé
B l l y auroic un bénéfice de moitié fur fe-
nenfe.^sM ^ ^ ^ & d’un, ;^Ûîf le produit *j
du içïnerâLj.^iid'l^ 117^ . Voyez Phlogijlique. Les
ÿifljpultés attachées à l’emploi du. Charbon de
|^^|pfou^i,u^fonte «dès^né||ù^, pnt de tout temps
été« apperçus , & n ont paà, été de
gardées comme infurniontablès-*; 11^ 7 : Les Ephé-
>^^r|desÿ^Àll^agneH^vanGe|it^5ué-. Ig ^feâ||;©p ‘
de terre, à raifon de fa partiè hnileufe, rend le
fer plus doux & plus traitable .fous|g3 malÉéa^ '
mais que :§;dnçpe.mï;^|ÿk augmente le feu, le fer
n eft plus aifé à employer.
Météores- Jouterrains , aeriens. Voyez Vapeur?
fout&rKaines. Vapeurs fulminantes. Sont, capables de
déranger l’aiguille aimantée. 8oo.M'0'yeis. dé £04--
riger cet incnovénient. -Jfid.
. Méthode injlrumentale de la Géométrie fouterraine 9
n’êâ ppint renfermée dans» là
deViiYfl-r^^ews,-^m^ ^ ^ ^ |^ f e ÿÉade de s’en fervir.
75*3. Développée & ekppjfëe ;4^u^ma[nm|ei rai-:
fonnêe. 754. Voyez Inflrumems de Géométrie fou^_
tèrraine. I
Méthode pour tracer des Cadrans .Voyez Cadra ns:.
Méthode de la Walachie, défignée par cette, ex||e
preflion dans l’ouvrage de M..- Delius, pour une
tfin&rudion de digues, au travers,d’uùe
po,ur faire .dleve;: entrer dans un canal .^ÿllpâù,
néceifaire à l’adion des roues hydrauliques 3 cette
méthode eft adopté© d^n& 'îes Mines de Schéma
.Materidan/l -Çoaï. A^r.- Metteurs de Charbon à
-terre en Angleterre, j #
4 Metteurs à part fur la Seine-, dans Paris. :6f 6%
Leurs obligations. Id. Leurs rétributions, *'<S$y7 ,
-^77. Leurs Droits* ^à^Q^i^MeJureurs,^. -Voyez
Droits.
Metteurs en forig&è^ü^nèt^dep^ Metteurs en
forme dans un attelielf de fabrication de Houille
apprêtée. 1342, iÔ^éfarioiai, de la mifé: en I
\ïkfâ. Battement à la main , ou avec de palettes;;
attention pour que les 'pelottes ne iqient pas trop
, & > * > > • ' - , ' ■Ibidfit
Meurtrijfures. Plaies Survenantes aux Ouvriers
'de .^Mines dans les explpfîons 'de Vapeurs fulmi*
çaiîte^îïrfij;
•v". JMi^d, Ferritgimux; Fer dç.elaÉi/QÿEifen glim-
mer. Br and ou rouge fin d’Angleterre, 1 1 &9. , ikfz-,
cacè- ( Chârljon ;) pu granulé, çompofé de petits
grains | ou de petites lamelles peu épaiffes. - :
Midii (Ligne du) 7y7. Voyez Méridienne.
J^if%o^M|Ù^%pefant, maniéré dont laHouille
vend à Mar^mpnt. Prix des; diifér.ëtïi^s'
les au mille. 4 79,
MM. G. F.ë«ere,.tendre.
' ■ Minaret. Dans le Périgord on donne qe'fnomf
.à une-fouille enj l’orme de puits.
. Mine. ( Me/ùre ) faifant à Liege * deux minots. '
; -- Mine.: Minerai.Voyez. Minerâi.%^MS^mW^m^^
dina. Metalli fodina. Contre-mine. Le terme de
Contre-mines fé: trouve dans ' l’Oüvrage deJ M.
Delius , Seét. 227 & 228 , pour exprimer les '
puits- d’airage de ■ communication-!p^r*m:^alerie
:de Percement. -
| Maître de Mine , Maître de foJJe. Prtefes fodinoe.
Matrice des Mines. G. Berg Mutter., v- 71
Adminiftration- civile , politique &* économique
des Mities. \ -, ' 828, 830.
•, /Arfhiteftuw fqpyerapie des Miné. ^Æ e ®p /u -
tecture.
> Puitf de Mine; Fojfe d'e
Mine. Ibid. Employési^è' Minps\,i lngfinieü'faffiMré-
ppféiif J^ifeBe^s^ïm^ieT^iE^epYèneûr^
Mine., doit être fituée favorablement pour la
Problème •pbu^^^rèpwrnè?^ lê point de la* Mïntÿqui
Gorrefpond verticalement à un point donné djejfus.’8'ëh.
Miner. Conduire un boyau de Mine. Cuniculum
Mines Par ‘les'Fb.n'dèurs v Fëléti-
. veinent
‘pi«"-
uneyne^ ^ &perie^vitrifilSl^dùMes rend \rès-
4aaës, voyez FïrrÿÎÆèle ; en
^ ^es ' ï^brres -réfradtaires
, ou qui réfiftent à l’aélion du feu. -
; \jDwiJîpmdès^W0nh> ?p'ar leur
Afinej e'Zeî/éer , dont la diredion va de bas eu
: haut. Afi/ier èQrzyoTi'Zfl/cr .©'u 'di'/Æféer , c’eft-à-d'ire.
^ B s ’étendmt p a r ? - l ’borpom:'. Le
plan horifbntal régulier de toute forte de lits &
çpuches ^^mWs^^M^^^resiT^yd^Onhèutÿtn^
granderétériduef Voyez' Mines' dilâfe&f^^^m^mfes
face de la
mbm’s^ob^q^omen^jvers fom ûeiitrè dans WinÈ-
. rieur de la terre.
. .„M&é, accidentelhfy /iôu tMine de hkfard-Sfâm
donné dans "de^Ear-
Mine d’Alluviàn a>u déiï tranfpont^ Mines iifanfi-
pÿ£$esjc$éi1fen ^Kèrk. Bn Blêè>£hert0l oignons^ en
^'#,;lG,.>Nèfterweis An.. Schoad^j^DalëimfMe^
Nyaye , en Bouroutte ; à Liege Miné 'pàtft ffî§mbè.
Minera nmi^ansJ j^S. Y'Çiyièz Mine eh majfe. ""-'i
Mines Mines cdlAi'l^ïuï^^'lacées communément
.près de la Superficie , ,
& n’ayant pas beaucpup de fuite ni d’étendue*
Mine dÿpeïfié par très-petits' moEdeUtix4;^ffime
la Blende, i
Mines en Bloc .ou en >Koignoni.*ljE. Ëti^Bou-
tç>%&éïp. Pûtzen^erk; Dans p|uftébffjwpdfagnesfâ
Veines , on rencontre1 une certaine quantité de
minéraux en :fofme?dfjjégulîefe *y que Porftpeu^;
très-bien nommer Joignons, : informés • ■$ ■.'> qM - fs’éten*
dent à peu de diftance de .,c:ûtë & dyautre , &
prennent leur 'origine dJati& fente1 fofct&éë> irrégulièrement;
on leur ,a donné le nom de Bloc, parce
qu’on,• ne peut point les compter parmi IesuVei-
ries rimrinjfc’efo Un tas -de Minerais difperfé en
•petite quantité^ ^ 1 -âl'. ;oî, stwvtob B B É
D E S M A T I E R E S. 1463
Mines en Couches ou par Dépôt, font ordinairement
formées | A des.décompofitions,& ne donnent
que des terres métalliques» j*3,51 f .©f
Mz«er dï/^féer , Gang^Thut Sieh au-f. ou ptetô't:
j&orcr dicter ; ceft-à-di-re , qui, après uà^tranglievent
beaucoup d’efpace ou de largeur. Voyez
ï®éî ■ f$;i MMe
couche. , ( 74^ 749'
M//e egfl-ree. Mne tra^orfée. G. Seiflen Werk.
Mine par fragments réunis enfemble,& formant
Iune grande 'maffe. 74*8. Voyez ATmera ot/7Ud/v2-ffl.
Seiffen ^ e r k , parc© q>ue les métaux qui fe tirent
de ces fortes de Mines ne s’obtiennent que par le
. 1; ^g&feej , .Mmes par déiÆc^éer , qu^,
Pion agpéHe '.^ fp ^ p | '^ierèn'j
TOîTie#»
mais n’ayan’t aucune ha-ifon ni communication avec
fes^filonS' yoi|insi:ji èn^êlîés ; il y fù u
quelquefois\pkfieuTS dansun même Canton. ?
Mine'reràime, c’eft-à-di-re , üe« pure. G. Berg
M;peWpa#
• ^ieiï.èn^ • : G^ip||^||Bb%n.@:ns ■ -
vmerits;.vi Les|j|^^s p a f J fragm ènts
font des éclats détachés des montagnes ; ordinai-
. rement elles fe trouvent placées fuperlîciellement.
1' ‘;
I . Amas. MineMmwM^B^Ê^M^$[^era, Jfèna.
cumulât a. Il - arrivé - q uelquefois , dit :.:Agp%ôla:,,,'
iquoiqiiie^ rarement, que pluiîeurs monceaux dp
mêâjié).
t OU.' •
-geai de S où^ y , dont un eft éloigné de rautré
vent préfenter d’abord dans leur difpofition cor-
refpîondante Iar'-,%a'Fe' d’un Dz/çue § & s’écartent
enm^föMdavahtagè. : 'ïC4:.' qu’
cutnw/afÆ , eft Une Veine partagée en plufieurs
pattîes^V&-^ qui occupe -un grand ëfpàçe dans une
. ^ % D e I ^ ^ S B u n ^ V e i r i | S ^ ^ K | ^ ^ ^ t ó B
femét très-longue , mais dont la largeur rCeji point
proportionnée à la longueur ; \ telle, ' par exemple ,
qu’une malle t de y à 7 verges, ou de y o\a 76
pieds d’épais ; ce n'eft autre chofe, pour ne rien
cferager à 1 expreflîon de- eet Auteurqu’pàé Veine
^^maotp^ tÉ^^o^rfe \riaHs fa: dlÉeiitïo'ù; Les Mir-
neurs regardent ce ;;^i’on appelle amas , Cumulus,
;èbm,me‘iiîla jonSHoiv o.u la reunïon\àe plufieurs veine?
& filons ; M. Delius penfe qu’un amas peut fe-former
par »réuniohp mais qaae cela eft rare ; il con-
noît plufieurs de ces amas où il ne fe trojive rien
moins qu’un• aCemblag(e( de Veinés; mais ils font
entourés dt’p)ne ro’che pure qui renfermé le mi’n^al
dans fon centre de la menie1 manipre'qu?Ùn4;^^Iïue,.;
|4ft' ; placée dans fà‘coque : -fu^ ’• refte 3 ajoute-t-il.,
■ qnand i l fe prefemte uri||^|&e- .qui a tren:;te: on
|qüarà’njfe| toiles1 44 longueur , fur unet largeur extraordinaire
de quinze à vingt toife's dmÿpil-us , &
qui fe fe lfllil ::Vérs fa fin , 4^ p l|4^||'ôU ;apf èl||
' dans l’exprefîion Fuaö§aife, Amas, Mine
,‘^ É e jQUi fe trouve dans cet Ouvrage, & dans ce
que; iioûsf-iu^ons'-rapporté d’Agricola ? fpécifie
'■bien■c’I a i ' f è ô H e ï f à d e Mines, foit en grande,
foit en petite ma-lïe. ,M. Delius-obTerve même que
la- reneoni-ré que l’on fait quelquefois de blocs
I He 'Miuéfàisl' ifrégiiliérsj‘^eli;âfc<d'itë ,• auxquels pn
n’apperçoit rien de ce qui fe trouve dans les veines
JlÉiiifcÉfe ;4%etls -çà & là ■ >, A dont
|ÿ || 'Sié^^bàt'nx fa éiMWbfef H lpenrel|p^dpiven c
point pour cela être nommés Amas , Stock werk ,
l es. ^véritâpMÿarhas. ont,
|a Dlegnaczkaî
-mî
lets épais .dc couleur gnfe. Le fameux amas , près
uhiè
î#re & un
41r
ti'qn d ’un amas , qu’il efl fans direétion , fansi GOiti^
■:?'.■ ©ptég' parmi les 'Mifiéurs 1
rapprochée du'féntiment de M. Delius,, il ré-fulte
• bién. u’iLü’ëftMo^^^mmaicefqnet')
îes. ■
m#us- :qu’ê ! ( f e ^ ‘a
114 9 . Il réfuft'é..;énç.Oi?“e que la différence efTèn-
tielle d’une veine à un amas , eft que la direc-'
riôp d’une Mine en ma<Æè; n’eft pas continuée
pUîfli'' loin que celle jd’une Mine par Veine , &;
qu’elles ont, à proportion de leur.ldngiuiénè , une
largeur démefurée , ce qui ne fe voit pas dans les
filiôiîs : c’eft à ce titre que je regarderois là Mine
IdèÆ^hatb^!.^^^^^^^ •,I’24 jla Mine |4w4|pff41'
têment d’Altembèrg 1145), de ce
lits , qu,ç. cé? maffes font encore voir quelquefois 3
des ^Æ/nper régulières d’une fubfïa'ncë autref que
le f-' aioVs- des rameaux*
diftj^s"cémme dans les Mines ^pafjveïne.s,
• L a ^ p a r l ^ 'W é m é È ^ ^ >f® ^ ^ ^ » H ù eÆ à a é q i
lignée dans Agricola par le mot mrerve/ziMm,
entièrement cachée fous terre, lbrfqu’elle eft entré
des veines dilatées ; dans les veines profondes fa
la plus .élevé,e
DÎmeTqn^ eur'ijj^®
fp’r,m.er ^de"çej(;Mi^s|ea
ffnéral , porter , Mis
'le ;Glafbon de térré/#u, le Minerai (fi c^eft, un©
Miné mét^rapei|.,,.-àu lieu de roimfer^alors autant
de rameaux difïinéts, comme il fe voit" dans les
Mines par veines, ces di:ffé:rents lits de Gharbèh
ou cordons de Minerais font '■ iè'iu^'ulés îmmé^
diatement les uns fur les autres, de manière
qu’ils ne préfentent ensemble qu’une feule vjg ’
fnême rmaiie ,: plus '■ rêm^fqu|pM{;f|ifl|||epniènc ■
Mtneà en 'véine ÿ ' quant- a.
yolume, d’où fans doute elles tirent le nom de
JkTine en 7?7Æ^e, du 'Hî^' Latin 1 MaJJa, par’ lequel
©n entend, quidquid eji fpifflum denfumve , ou des
Verbes Majfo P Majfare , c’eft-à-dire , ira majfain
conglobata conâknfàta. '
| ' À jùgéf des SJiôes’ ve‘n màfTé proprement dîtes ,
!pàrlcomparaifon avpc lièsiMities qui
fuite . dans■ !de^femes^egüîierés en, cordons ôiu
èhtrèi #éùx
fervent dans toute leur marche 'd4qoù5yertur4[mpé-
rieure & de couverture inférieure, 114^ 3- il eft
difficile de ne pas foupçonner que ' l’èfpece dé
Miné en grande maie ôe foit dans ûn genre par