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de cherchera ■'s’aiïbrer de quel côté ëft le Nord ou -l'Orient , de quelle maniéré
les pays font Ætuésles uns:à' l’égard dès-autres. ’
. Ce recofincdirement parles points de afthorteoff’, & ces différents objets: ;
exigent . des détails particuliers, qui tiennent à la; partie Aftronomique, dé&
gnée par Agrieola parmi les’connoiflànces utiles dans les- travaux de Mines :
ceft même d’où dépjend 'entièrement l’dntélligencel de tout ce qui a rapport à
l ’-ufags des divers, i nftruments ïde Mathématiques-* jï'tdontipeuvent - - fe’ <feryir. les
Ingénieurs Houilleurs » aux degrés <qu’on y trace , &c; Gomme nousiallonsî développer
dÜ rqétihode inftrumentaléy:"i& expofér d’urie maniéré thifonnée , leur
çbnftiuipéa |\l^prdi\pifion yl?èmploidèîêes ilftrütnents ,iïlsi#pi6ëdBils«#él^-
circ e que nous* avons à en dire par des efpeeês d’élémentssdes^IpàénqHes
& d e i’ÂfeîOH'odde lphérique.
A b rè g e ' d e & ifh to g fa fyh iè .À Jb om » à q a *y > 'iÊ t!à it$ o p éra tio n s'd e - iM Idesù: h
• la forme »adrolTs dans le'gloBertèrreftré bà*â
ccmtumeîïduifépféfenter aux yeux ceglofee vparmbe’ma6hine.appelléed>/ic«,
cefb-à-dire y ùn folide dont'tous lespoinfsde la-iurface pris enîtout-fensÿfonc
également éloignés d’un point en-dedans qui en eftfeiceBitteij & les Aftrono-
mes ..ont imaginé fur certaines paotîesde ce glôfee^dqsipoints-ÿd^lâgnes, des
çjeçclesï-de maniere-que-toute, la fp h é re s£ ^ iq u e ;p a rd e s^:plkns^qugd^n;îmâi■l
^ ü a rp^ïèr p’ar les’çorps «ëêleftekr'f
La Géographie Aftronomique, dans laquelle la terre eftçonfidérÇ© par rapport
aü d ë l ,ra emprunté cés mêmes -points ', ces mêmes lignesi^udcerelès ; on
les fuppofe d&rits-tant au-dedans de la folidité du globe-* que;fc :fa 'f* fa -
«e ; par: la juftè pdfitiofa du,globe à l'égarddu ciel, ifatatdentàjÊUnceyok-quett
le correfpondance- toutesdes- parties du globe obt) avec lés cieux , y jfoif e cons
nokre quel rap’pdit cel mêmes parties onties unes ayec Les autres > par leur fi?
tuation r ^ a i r é les' dijrMions]VHthéroatiqués:du cieljS<^oWappliquéef
à celles de la terre, & qui fervent de bafe à tcteW.-là Géographie.
' Des Cérefysjde la-Sphèr&en-générât & de> leur, diviJLon. - -
L e s,- parties décrites for la furface du'glôbe , font de différentes efpeces ;
.pn .y oompte- entre-autres dis;- grands.: Cercles verticaux > deux; lignes 8c. fix
points.,, e
LesCer^les, noimHÇérdles de:U fS p M r e 'i fontceùx qui cpupent la fphére
du monde , & qui ont-leur circonférence fur fà furface»
Ils peuvent être diftingués en cercles njotulos., & . en .cercles-immobiles ;
les cercles mobiiés, font ceux qui totertent ou qui font cenfés tourner pat
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le mouvement diunnei$ty?4 fe maniéré, que leur plaù change de fifuation à cha-
inftant. Les .Méridiens font de cergenre. ;
'4 Les Cerdse^fiSahobiles ne tournent pomt, ou tnùrnent en, reliant toujours
dankle'teêfae plan, tels font I Equateur & ■fisipMullel.es, l’Eclipétyuf. s
JÜSl*bn'divife! ces Ceréles.à raifon de leur grandeur,*; on appelle., grands Cercle!
de'la Sphere y ceux, qui divifent.laifpjisxe eft deux parles égales, bu en
deux hémifpheres , & qui ont le même centre que celui de la fphére ; ceft par
cette raifon fque tqps\les^graijds 'Cercles font ég&ûx_, & feyoupent tous en portions
égales, ou enbemi-;eërcles ,jl%ôri^on.t> le 'méridien ƒ1!'équateur, leS deux
l’célâres, les azimuts, foricjde ce nombre.
Les petits Cercles de ’ la 'fphere'foht ceux qui hé;- divifàrit pas lafphere également
, n’ont leurrcentrê ‘quëMaSst’l ’aXë (a)'1, 8c non dans' lç oêntre même
de la fphere: ils font communément défignés par l’analogie qu’ils“ ont avec les
grands“Cerclës , auxquels ils font-paralleled-.,,
.On doi^mmS^pFÆmue'tous les1 Gèrclé^oê’la 'fphere fe 'tràdipokeùt des
deux à lataçre, & trouvent par làfteUr jplaûe â^as.la au'fttBien que
dans I’Aftronomie^tÿi conçoit cnMd&féquenepiqueious les>t^oints*qe?cêaqü4
CerHè^abaifTenc'perpendiculairement fur ‘ %1 furfape du glob(e'"terreftrè, Sc
qu’ils‘y tracent des cercles qui conforvent entre éux la même* po'fîtidh & la
même proportion queles, premiers.
De 'tous les différents cercles & points dé la -fpneïe, fi'pus'fie parlerons que
des principaux 'd’entr’eux',. dont la' cbnnoilîànce èft néceftaire ,'fôit' "jpour la
inefiire du temps ,’>fbit pbur les iftftruments gradués'; rriais^avant de les paflèr en
' îrèvue, il efï à propos* dé s’àrrêter un inftant à cettebivmoif qu’on'fait fur les
Cercles, pour foryir de mefure.
, La circonférence dà.tout Cercle ; grand bu pétit/ eft diviféè,, ëh trois cents
’foixante portions-égales ,|q u e l’on appelle en Gébrhécrie ' & efr'Affronomie !
Degrés.
. nombre de 360, a éiie» cubîfî.,'poû^ fa divifîoiï du Gètqle fpârfcé qu’if ‘fe
fubdivife plus’ÿxaélement qu’aucun autre êrî plufieür^ parties égamsWns refte,
ïorfque ce Cflole a 'été'pafiagé en çmitré'parties , “en dèiifis. dia^Sfetrës'
qûi fe coupenïJfeangles droite Car-, par exemple, la.moitié d ë.^Iwefi1 i l e
tiers eft la b ile* quart eflfpo, la bMquîeî&vpartie eft 72Î, la fixiéme eft’ b S ê
& ainfi de plùfleurs autres pafties 'âliqùotes.
’ Chaque'degrré fo divife en do autres parties égales plus’petite^, qu’on nôift- '
me minutes, fécondes ^chaque minute eni foiia,nt'ëieGondes'ij''<l:es fécondes" en
tierces , 8c éinS-îdé fuite à 1 infini.
(1) Révolution que la. Teste £aii[àuîdu^^fbÿ(
axe ÿ‘f;d’Oecidènî: ëri^ Çîi?MnE , dans refpacë^d^
a^heuresyjpendantlëTquélîl^
cefljyement taures fe^par^qs^ài^Salei'l^U •
(a);Oh appelle^e de lajpriere-fdoute 'ligne dr‘p#
kïq qui paflant par le centre ,lfe termiûe de part &
Charbon de Terre. IL Patr.
'd’àÿtre à fa furface, & fait l’effet d?ün efEèu
Jèoirdonfprenbe de la. terfe 'e'tant técqoüue dé
^-Op-’lieues, .fon diafpfeftérn'q^.ea,, elj eftime' do
Ifeùes, Soton rayon de if)2± .
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