
ïa j® D U C H A R B O N D E T E R R E
deftinée. à porter l^^etfplijàe Hqyawpn dans le1 Les y Jafran-
"ger-commodément, au JBqyjsnNd!une,- cord-e doftt on rtêlv^ît- .qu’une pa'rtie.
Laimâgé «lu chapeau it^jpâ^îfi affembléé, oh: a de* la triée
tôle. à.j'porteTGoeK!ere couyr‘e,i^ul!e-la;fiurface: du deflbus de la çage
J'eMff attachant-aux rayons/avecde bons rivets placés de deux enffdeux pouces,
^Mmayeh;, de ttoqs.^.feits p|éalablpment,.'!{ùr Itoijte-la1 Lbùjjgueür ^flùfcéîolff -du
& des »ravpp.s^j., il^&^t^^fe^&r^|^g.«les_ têtes de ' :^s*|®ets doivent
êtreÆbriqi|§fi|ÿde mapiere qu’elles faillent d’unubon pouce par-defloqS hors
de la-, tôle i ces~têtes làipïi'faillaMes, q.ui ne fe .trouVent-point alîè®niârqüées
dans,, la figure,. fervent à cpmenir,le .lut d o n t^ '1 c^aPeau d o i^ l^ e ’ enduit;
'& comme tmschaffq ces^vetg àibrce de .coupsi de marteau -^ ^ ^ fe iflen t &
écâçhçpt^un peu {SfaffjtémiBé de leprs têtes, c’eft ce-qui^les rend' doutant plus
propres à l’ufage auquel,U^î;lb,nt:deilinés.
A mefui-d que l’omfoulfe lesifeuilfesriettô'tfgfiir. les râytpil§<;,É^fJa* cage.
on, doit avoir .fbin.sd'e les courber un peu , afin ’que le Jfout-prenne la-’fortne
d’un {égaient de fphere concave. ’
Le caffitLde. coulée F , fig. i , &,-j6gg 2.
^Xe.caflin, dans,, lequel fe -r.efidrlet plomb tfëparë^iï^dfliÿr^dpaigl^^Mation
& çomhé, dans- le _ canal , elÇv formé de trois .pier-resi
pieds .de .hauteur fur.^aa jpouces-, d q . - l a r g e u r 6 ipoUces^Mgjwffeur.
Elles doivent~.êtce^p,Qfégs .de,,champ fur leurâiaucê^fT^ jSôAfcfïtepM'es de ïs*i
bons pouces, enfer te quélle^forrnerifeamej|j|aeç|k deigoffire,B , Z?,pv,®^
fig . 2 , qui faillira hors, deo,.feoey|e, dix^hiûri5|i©ÜGg^.& £<ferïfel$dèflus Qp
trouvera» mréçifemqnt de ^nÿoeaqiaveq^le pasïdefîa-porté5 de la coulée ;
remplit, eiÆ îteoe . côffie-, tjgj ,^Méé®ui®u’àee
queslé^ôiit. wÊÊËmîÊÊ co^fiftance-bienpdur.ei&'-'coiiDpjéte^j'da^ ^ ^ uelle ®};
creufe le.caffin F , avfq.-unp.elpece de çôuteau1-courbe^ .^jauq^el^rldonlÿ
dix-huit à-vingt' pouces.de diamètre , fiir huit ^neqf.dèi'pîofondëur
faifànt un peu emgfétqr„darulj^Æftraiteiy^ÿq^^^^^^pMti'eidujïG^re.
Afin de procurer1 :au c?najl 'une^p.enterijuLjmiilè r 4 étermiflef‘ïfe jpômb à #
rendre .tout de lùitejdans le caffin* à rnefiu&L'q.üïl'àbandonne Iié^qpvre >
fêlmrnec,. dans. fe , çjajial,}.,pn,^lf^qrnit:,de : biàïquéIcmgilée .J^W É Éëe, ce
mapiere que cep enduit , fins apçui)e;fente m gerçure,.formant le-lol dècanal,’
foit à 2 pouces de fon bord en Q, /z yfig. x, & aille en penterveri cm
:êtæ: .àAMBi|%fles-bords.du cànal.& fimfeèrifuicefiii Mflÿwsywts lig^ôiiéel'V
où il. doitJoindre. la brafqqe .du paffiru
fy■ E ^ i î ^ i ^ d l m t o r t t f.|1
les Fourneaux propres à il;fabrique du Laiton ^ ofepeutllïdlfférenitnenc
• iempipyet.. le .Charbon de terre,, ainfj cj.u’il fe pratiqué dans le- Duçhé- de
Limbourg».
E T D Æ p j E J t I I . P ar tV ï2 3 £
Limboufg ; à Stdlbefg, dans la Thuringe , à Namur , & à Baptift-Mills près de
Briflol en Angleterre, où il fe fond chaque année jufqu’à trois cents*'tonnes
de^if&mé'r)'.. ■ •
M. dkgfrifià'nÊjardécrit dan| lê^plbs^gfftid^d^Stiil lesffit(çneaux de ces dif-
férentes Manufactures , & l’a éclairci par plufieurs planches (2). Toute c c t^ i
partie ^eff qonne, ^GolîfuLtcr. 1'
Nous nous bornons ici à faire connoître une pratique particulière em p lo y é
à jBaBji^jMills , pqn^ejHlter^ji cdrile^adù|laiEon ,f p a q ^ q ç lp q & 'q u j® ||:
donn^M’ânt,ded^fout^Æ^llde®^^|s*}Ærtii jst-s ^ ^M B m ^V .çm p lo y é
a^ceT uIÆe (4) ,Çtf Charbon deit-pr}eyëi&|qtig &
lu g ^ ^ c in q pieds ciî)>qMr^,^d&.fluatre.piçd^dSjlMtiiteqB, & voâsérintérieu-
demi d’ép^flêur;Jurïqs.eMésdu fourneau
& inec de l'Jyoéte, ‘i lB 'd e d x f ^ ® par léfquels.darde.la flamme
Houille, •&,f^ ^ P ‘ctîyMt'‘s’puyrir^©’ii^^emer',;{clon|'qiîç4 on a plus
ou mgin s ^ ^ o ^ ^ ^ ^Æ pbU^ ui«efuhi | l jaélii4 é w l S Êa eh'ippqde uè;k
^ tfie a u quYr a ’tiois. o ^ û ,|n ^ u ;d s > dcp.Æg5 fur d'eùx\dé/Sr|et,/Qlfù^^^
^ py/efur' des 'rôur.
■ x W !^ ^ i ‘P ivPs‘' la-lL>"nèllcllr du ipu-rne tu^^
ès'^CMUb^-fur Lfqi^llcs onÿrrango'Vun fu r^ irtrk , dc^deux 8
à deux les creufets qui contiennent le laiton : ces creufets font recouverts da
biem lûtes & on les porte dans felbîinieau'par
du fourneau une4p*b^e
& s’abaiflê avec une chaîne : on tient ainfi les creufets pendant deux ou trois
heures à urre?àB m r égale, & tqujouræfS'mêïife. ' '
r' . %0 3 0 vr'erie^: \ _ ‘
O n rà^u daqs un attelîer donfiflérable lèà eïnders employés .avec avantage
par un Orfèvre (y) ; il àVoit un fourneau à vent au-dé/Tus duquel étoit unq
r/établir un. grand courant d’air; lêÿ'éîbhfèts^dônt il fe {èrvoit,
^l^t^tdes leréu’fets d’Allémagne i";&lairfair.és où H* met^itt l’argenf. Dans un
de ces fourneaux, il plàçoit fon creufet & rangeoit des cinders tout autour ,
comme ailleurs on dïfpofe le charbon de bois l’opération eft un gemplus
loS « ttPrarce âfle les cinders fiant un peüjplus, Afe|ner pipais ces
braifes donnent un feu très-vif & une flamme peu differente de celle du
charbon de bois ; d’ailleurs elles produifent ablblument le même effet, &
H tonne équivaut à |poÔ livres pefant,
ou dix-neaf,quintaux & demi, fuivant le poidÿ
e Pologne.. G-m- doit o.bferver que la Calamine
S iS de plomb ; &
parpie-qHargéèi de; ce inétal,
;àd,béiea^ant‘ c®n^amment ç io e , & y étanc^
-, J'orne TI, Chap V * \ I . s » . r*„ChXt).‘
Xv^ te è &8v, -
13} Il eirpÈlF^g^ffbits, fôîb»
fane, ou l ’on faffe du laiton d’aufli bonne güar,:
lité, & aufli haut en eouleur, qu’à Baptift Mills.
(4 ) Extrait de Swedemborg, traduit par- feu
M. Baron , de l’Académie des Sciencesdans
la Defctiption de l’Art de convertir le Cuivre
rouge ou Cuivre rofette , ‘en laiton ou Cuivre
jaune, page qç.
(y) Voyages Métallurgiques , dixième Mé,
S|iie,;.p«ge'2ia,' •'