
4 e .pâte. -légèrement on’r.evuè; ffipeffieMes.
6 h jup^feôl0ien0<pe;jf! v e to parkc des:»aiiaiQgiftes^ des chymiftéSr
& des médecins; les »«S, ÇQmme&ifaTitJeur étude deWcieftce géné^le d ^
minéraux; les autres, esaîsftae^portàïïfrleaîa \mes>3îi>dejà de ce .qul-s apperçoit
à l’oeil, découvrant les pkiblO)BWîne*'feÿ8fer$S' &dné$&* t e prâ|eipes> confti-
ttfafiS-tecocgs;» le* autres-*, comme reduifam; énipteique t o u t e s travaux
©ûîamut»), Je& ccî#paiîantN& t e rapprocha®11 eufebblc,. pour jiager le^pEQ;-
l^l^té9t.ê^.tetef<SS'd©s<'efe)fo fe®atees<QUîfiit®Sbiés'i •
F;-Ç,«ft'jhw»dtfitewpèyfisiens» obcjxplésf à cotffîdés&r ioias,m;a§eQ: d îfi^
s ^ Ê ïte p s d u ^ o ïis d e fenasute» Aæ|èite®^kek,;:ûkcun
for kw«i objets- refpe&jfe, q u i appariant de p»aK©meeB ;. i b t e |^ t l i o r d i -
fiiairë-tjue, fur un&foqufoi^ntjà4aifai$é,,5 on.na te l KBSerrogeât p®iuîâî'i' les- ups,
ni les autres. Plufieurs d’entre eux, célébrés par leur faw,ir»-Hoffman, p jh fe
parmi les» paatkieos * & »que les aasteursi dé I?eç9$tolQp®die •9%fr- WP* a
fejet (ÿ z inm ^ ra ian .p a rm i lés c tym ô è s , ©BWife»ks, dÆcu&és^igitales;
nous ne faLfonsqu’emprunter le jugement de eestetans,: au® ofemsrnpus dire,
qüe nôufeséteferdns rien à defirer aux perfonnes qui ne fe rt&fes^ppint a
Eéyiâeifoe», & qui Ignorent les moyens de repooffex ou d obfeuseia>^,^seritp.
. , 'ljne’ olrfèr^ation très-finguliere, par l^ u p l|e fjf .||ppqis me .djfppifejï? -d entrer
eu gfe$É& ceft qu’au milieu de cette, efpeee.d’unanimité dé la ætion
E san^oifo à jedouter » à bannir l’iifage du charbon de terre pour le chauffage t
toutes t e -autorités qui .doivent prévaloir ici ., fe çeumffent pour diffiper les.
xfuageS de cëspdéjugés. -,
j ,« fcnjp gui fembWott- être dëteroraMb fe trouve dans U».traité inseftima-
bfo, traduit du latin- en' feadçois (2,}. L’auteim,»-Anglais
mande aux valétudinaires qui ont leur réfidence de^mâ^ndrfS-6/C ^ fi^ S ^ ln^es
villes , où l’o n fi chauffe avec de la houille, ofl.de la t&urbe ei^ k y ver
dess vapeurs humides &, £hd£geés d fifififififiïfl 'fiirdral'es
aflhmadques , & tous «Mc qui ont la poitrine déBcatn'xM4ulfintepde Ugville,
a aller a la campagne, ou du moins dévitèrlairdufam . „
., SiEc®.prend cet éooneë en général , il eft abfahiment c@ni9r.n1q àÿ q que
la phyfique médicinale apprend fur les effets de 1 air chaud, dansles-a ffeâions
dèîlîdpëce dont parlenotre 'auteur', faqs, former-uné difficulté refile contre
l’ufage du charbon de terre dans les cheminées •, iln a befoin déeiajrciffe ment
que poto le particüiier. M. Cheyne n a pu parler que du feul chauffage connu
en Hollande : le feu que (tonnent ces matières.» employé à cet ufage dansçes,
pay s, «ft {dus ardent que tout autre. L’expérience fait dsnnoître q |ÿ fôs#fth»
manques ne peuvent fopporter l’air des chambres chaudes, ni çétedes ®illfil
déveiiu en fayvéf trop peuélaâiquè par la grande quantité dé chauflage qui
d’f om(mo&i
: Le cofifeil de M. Cheyne porte-tél plus fur le Feu de houille que fûr les
autres?Il nes’eft pas expliqué a Ssi clairement; car dëuxffib^3n®e? q ^ nM?
^ .Tc^..î , au mot ChsvlWdr tstfe, Itraftatus 4e infomorum ûnitate tuendâ, vitâqut
\z) Georgu Ghæynæi , rtie<fiànx doâôtis Jptodueendâ. Gnp. de aere. , .
fellembienr
reffemblent’p9 p |. y font fclairement^éfignées;: 'ff&ba,pinguis & fulpkurea-, &
■ præcipue carho f i f f l f i '
. Datïs;Ie*ea's où» l’on ne pourrai#, ffifçpteenir, que M. Cheyne étoît évidem-
monfi dan» l’idée que- ce chauffiige- peut porter préjudice en-particulieft, à
e'eux qui ont de la difpolltion' aux ma^dies deipoitrine; Une ferpiteppitlt
difficilè; de eomtettre urre opinioncpii posvok ê®e|gr©pre à ce mÉdejln. EUp
ne Raccorde ni avec ce que la chypiie a çannpîtrn le plus communément
dans ce foffile ,■ nommément dans celui d^jigletenre , quil ffiul;p^^oit être
fufpede, d’après M. Ch’cyne, ni avec les principes reçu%t.ouchant les'propri&i
|és dU'Etof^mêine en.fuppafanttoniexiftence dans tous lps;th5rbonsdc.terre;
i°,;Sflon in-voque.les.hlmieres de cet a rt, à, i’aid^dnÿ^gbf(Ç> qff parvenu
à pénétrer dans la texture' la plus voilée dfstQutes^es^nrqdqfhçns des trois régnés
»le ffintifnent de M. Cheyne,;dont on'ivoudroit a’éjky,pfe^gévMeu,t*ie
f9utenir;!
. . Les éterbpns- de l’Angleterre, au rapport de M. Kurella, qui lg,s a- apa-
Jyfés, rte Contiennent point dans leur texture un finffre naturel, dpnt Us vapeif/^
ou \exkal$firtàpMffènt être conftaires à la poitrine (fi)** f i
'• Oûpeut'eneçrôtoppofer aux craintes de! M. '.Çheyne, 'prifes dpns'-J® fens
qui n’eft'p'as 'le .véritable, une preuve de fa it:J’f¥périenee c.onftante cft^ks
propfes concitoyens;'Le -procédé de-diminuer par un ..alliage,, l’odeur dit
charbon de te rre , effi< connu dans quelques provinces d’Angleterre. Sous le
règne de Charlps I (aj),»il fut accordé pour l’efpàce de vingt-quatre ans,
à fir® John Kack & à Oâavius de Strada,un privilège exclufifde faire valoir
'leuf&cÿét,' de brulendé3 charbon de terre fans que.l’p.dçur de fa; ffimée fût
i^èammode. Les habitans de Londres;» pour leurs appartemens, emploient
to^haEbcfft de terre, téfequ’il ffe tire de la mine i 'fâns- recourir, ni à des conf-
truâions particulières de fourneaux, 111 à des moyens capables de diminuer
Eqdeiir & la vapeur réffiltans de ce chauffage, tant ils font préoccupés qu’il
doit être exempt de medignité. ■
; Pour,ce qui eft de la nature du charbon de terre, s’en tiendra-t-on à ac-
,enfer en général les exhalaifons de ce foffile , à raifon de fon odeur & de fa
vapeur, âppelléesy6(/pAnrej^î,oii®l’oi|yeut, à raifon dufoufreçqtfil rec&toç
On a vu,;fe£t'4, art. % & 5 de la première partie, que Fexiftence du foufrè
naturel dans le charbon de terre, du moins dans le plus grand' nombre, n’efl
pas une chofe prapvée. Il a été remarqué, fe&. 9 , art. 4 , que Jes charbons ■
de terre ne .doivaat pas tous être réputés de nature fulphureufe, du moins
qu’ils ne tiennent pas efiêntiellement du foufire. On y a expliqué ce que les
Aow’Z&arf entendent lorfqu’ils difent que tel ou tel charbon eft fulphuremç.
A en juger par les effets, M. Zinunerraan remarque très-judiqieufemern:,
que ni les maréchaux, ni les forgerons, niles autres* ouvriers qui emploient
Je charbon .de terre» ne font .attaqués de maladies ,pbnnpes pour être produites
par les vapeurs du foufre.
( i ) ï f l à i s & expériencescfiymiques ,in -8 ,’ > Ber-1
u n , 1 756, en allemand, paragr, 18.
(i):Tom.«É^jw8.70 , du Fadera.
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