
g g l D U C H A R B O N D E T E R R E
compofetitks appareils de Pompe , toutes prê te s, pour en avoir fur le champ
f o u ÿ l main quand ilifàiÆjéç remplacer quelques-unes. »
- Les montants ou barres fermantes peuvent être arrangés de façon qu’ils entrent
dans le milieu des bafcules, parce qu’alors ils font moins fejetsà fe calfer ( i ) ;
ils peuvent en outre être recouverts d’un petit to it, fait de deux petites planches
minces, 'afin d«4es garantir dé la •dégradation provenant d'éd’humidicé.
Les fupports (Strung-baume) ou chevalets g g , fig. 3 , ScP P ,fig. 4 , 'dèàvent
• toujoui^'êtrepofés, en ligne droite, fur quoi on doit pourvoir-.à la difficulté. qu’il
pptiÿfcql^àvAd^y parvenir ».ù-raifon. dn lîiioégalité dm temein ,ferï'Jëmpl!o'yant
desrr£^eftux'dl|*ou .moins exhauffé&’y.-majs les barres1 doivent'toujours être en
montant, & ‘ en defeendant, & retenues au‘%ojit- des lignes-au moyen dÀme
7fü rt& îê v rU e ^ fë r | a€®qj|eifes puiffent avoir dh.jem
;é§^^teesromproient.-quelq'uefois s’il' falloir monter, une hauteor'tiiopfèf&r-
pée, & dans ■•ce cas on place dessmoe/î^r^^^EWi-dtes arbres yéû'leffieiî^^r'ec
d^-,demi-croix, de la même forme qja’effc rèpréfentfefa' créée:entière1 IpîfttW-
ràqaet n y dont les bras font égaux,. & dont les bra? :ho|^oefâuxfMS{àtJa'‘ehés
aux tirants perpendiculaires,,,auxquels répoédfent' lesîpifttfHSi : h
& Les momakts| c'peuyent avoir 6 aùnesade longueur dans les‘4 aïres'fqùidèl-
v e n t S ^ ^ d S ’; quant-à leur groffeur , elle efï‘proportionnée,àJblohgueur
, de*là barre, & à la profondeur'd^où^dâ^doit s’élever : on%trîénag& dans leur
milieu un trou quarré, pour y faire paffer l'axe »de fb& ¥1 rî; qaîxôntic'dans les
jg ^ è ^ S ^ o u bien on le pofe dans un moyen de biais-! dur, &%ufté;‘dans les
fupports ÿ ice qui diminue un peu le frottement de l ’axe de fer.
Les montants, (ont garnis foutre cela:, de ymé&sd é rfe^ ^y t^d y i^b ïsOEc
la forme etr-iz; ces jumelles ( doivent êoreajuftéss
trous dans lefquels paffent les chevilles -de- ferS /ÿ&eikSffjnC'enfonGlésJdans
le bois, .& rallentiffent la trop grande-célérité'du )ewâ$frûdittaw&*' '
Sur ces^cffevilles'portent 1 chartes , & ,
âud|éù#e mauvais bouts de bois,, des garnitures de fer m , que lion- Éuf -lilrer
danÿiësl^rres,. & qu’on yretient avec des clous: elles onp'faWÉa^e’d ^ ^ ê -
eher que les barres ne^ufent trop tô t, & de;fajrê qu’on peut enlever téüj&urs
\Q'bafirugèh-Çom l^-barks;^dm ukês^ÿ-e\ïës^dntigamies vers le bas“feülefnenc
avee'des férside rencontre un peu effilés, ou- av.ee une raie au-dedans ,-:&;|fors
• pofés fer les' chevilles fins bouts de fer«
Il y a quelques-uns de ces ouvrages, conftruits de façon que les chevilles
patient immédiatement à travers les montants ou les barres ; mais comme pans
eiÉEeàaanrereles barres tombenttropfifg&ment des: trous, & que1 le^ptrage
va & vient par càaféquent de tout côté , ce qui en fait perdre la volée en plus
“ (1) Pour empêcher qu’une des barres de fcc I quin Sualem, a placé de 12 eu 12'toifes, dans
quicompofent les chaînesvenant à fe. cafler, la Machine, de Marly, une chaîne ,biffés. qui
n’en'faffent rompre plufieurs aucres, par Je grand obéit. ^
effort de la manivelle qui les fait agir, Renne- 1 :
E T D E S E S M I N E S , IL P a r t . *04^
■grande partie, où fon élévation eft la principale intention, particuliérement
dans un conduit latéral, on garnit les barrages de cette façon ou de la maniéré
qui vient d’être expliquée ; c’eft-à-dire, que ces bois ou ëfpéees de
madriers, coupés d’un quart d’aune de longueur, & de quatorze ou quinze
pouces de hauteur, Ibnt cloués aux barres, ajuftés au train , & percés de
eHw;iIfê's^Si. le trouas échappé etfcplus't :cilS''m(js1‘iajul(ei uli bout dû''
rune. garniture ^ ^ a o ^ t e ^ Q r . ’ou^preirilttiie- do nôuVdlf«, bâfrés ? c'epuidaiît’'
ces' fortes de Si
cMeür ôter leiîr'légéreté^'JobjèlJquti! faulpiyreifalefnerit ne jMifitm^gli'ger.1 "W
Aih-'t! effus dc’s^uits»,' pend{limez « S iV j aux deux # o |ts /de- lâquelléi font
altaehésfl'ës- baïpâgfes <?t aux deux aufresqboütsjes-- Mirés dft'p'uits.. Tdù&'àü
I ^ ^ ^ B M ^ ^ M ^ ^ ^ ^& ro u le r‘.tcoIiTt.rtêélbs!sm-dhfetë‘:--fiT-r.-ftri- appui ,M
jboisrdur, 'ou 'd'ans ûhë*féritfe'»(ie>|fer rêpréfentée dans 'edtte^csàix ; ôri vdït féh
P 8c ^^fe^rÉurés'&da-pré^pa’ra'éi'ontdif^dis?^
I^Lo'HfiflB’- d e u x à côtél’ûn cféFaiM^âslfe’nè pèréés fur lês
Kpmes^^eitdàîix'^il fa'tw^ffli deux c'fôî^ÿt*4i
dre“ 'cës.ângms -yi^xige’ ifâ'ecfefl'rüi^ç' umplanc-her ou une'affifl'
en pierres aux .endroit^où * ne pûifflèrÜ
pas's’enfoncer ,î>cë qui ^ddtfitoi't un incbhvénîent;fâchèhxl&‘‘eàMri'uehîi'‘'
SKardifiance des -tréteaux4 le'séurtts dês^lautres*,* doit néanmoins1'être1 dfe'Hîîfè
langueurs d’aune^ & ^ » f f e ^ lo t^ ê f e û ii d!es barrages1, qu’il! fajft elff propor*
ti'o'nne'rftfôfnéiîibïé',,' élâtt1 ‘eiTentiellemenc néc.êffiire-' que les Itipffeffsür'èfterfà
Gaî1 fihs cela le barrage porte d’an' eô'dé, vb dê'tfrà^ers^
& caufe J,du|d|tahgemènt. -
a-'Æes tréteaux, les fuppôr'tî^Tei' montantsx& les barrés- de? trait fe'fi^hd^Èofs
tendre ; mais: les- montants fepérifetnfs* & les croix otr tourniquets' foftt :de bois
r Ees^rotiS-pfercés' danstes mofîtàfità’qtir paffent par les dette £^tëscdti train
’doivent êtrÿ’ïp'ercési'dtoits de l’un* à l’autre. ' ’■
~ - U faut^uffi que les barres ayent leur ÜtuaÉfôn'jûfk & ëxat5!d fet fèS
fins être ti^i|'oi|gues ni trop courtes, afin qu un? mo'tttàht',né fort1 pas plus ïo'f^
É[tiWaU6ffeT & qu’il-ne joue'point çà1 & là; j & que1 le mduverttêftt StilMfàge ,
tant- fiipéFiëùr quîinférieur vfeit égal. -
‘Ob'dSit pourvoir’ îi^êc foin que les'prihcipaué-'ii’ôSfliâàtsy Féfs14îi&riivél^Ss
& les crbixqüYoariirÿaéiiffoient ço^japrb t®us biçn gtaiffés: quand,ces fotiïm.,
de conduits font"vieux, les barres fermantes-fe tifenc, & pour lors les barr’î i i:
deviennent plus longues qu’il- ne^utfOn leSiàrrête ofdfnâiretnent de la rr amero
feiyante.
On |ttache une chaîne'aptour dés barrages, & a|fe^âei§5:||^ i tojurniduct
après avoir dégagé Its fèritioih1-, Ôh la', ferre le plus qu’il eft poflïble'; ô'n voit
fefuidl là1 longueur' qui eft à diminuer.