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■ ■ ■ ■ ■ e S » t s frq fè té le à l’A u ^ n t a n g ç n ^ ^
’ H ■ H M W M i Aubes,la | § § S § ^ in à
' mÊÈBÊÊ a fait M M M M M i i
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HI HW i HB WH B c L&ç M S B B B B B plus
» perpendiculaire M courant, & en ^ em e fît g g f f l | j j | g W ÊÊÊM W ^T *
» dans l’eau, & la-,précédente en fortv^e. ç ^ o p ^ tô e f t , ( ,» JÙ t # § u ^ |b e S
B M M M IS i M W H f M i i l i S i B WÊÈÊÊÈËÈt
, j« f iÆ n f ta n t du fécond.,
» jclaicduE.cela m ^ .,Q|i^nairena&pt de t e / q i t d ^ p tV p e i î P n ^ u t ^ i ^ ^ -
» Vement;T eg B n é g a i e m e ^ i l g & g i ^ f e M l ^ ^ M ^ ^
» àîégard des Aubes mfles en ailes ^de moijlïïi ƒ ^ S fP * 3 c
* e'firiéres (dans l’air , les autres
» on vainque Fimpreffion doit êtrë ifik d fc a a é .^-^ -11 deu-1| )^ J- M9 f pa"
»ràldEe’', & l’autre p erpendieul||^]:
»p-eS<^idre qui ferve à faire tourner.
ç Aube nouvelle, qu’on - a u r a i t - f ^ ^ l o e ^ f a ç e ^ u n e o ^ p o £ o $ |h m
* l’ancienne maniéré, il s’eft t r o u v ^ . q ^ l l A u b e . p g ^ a ^ Ç ^ ^ ^ 6^
H H ^nffârtlp . en eût reçu une un peu mninrlrp n u e n’a«rni t fai t l’Au b c
» ancienne dans le même *h-f #.é$Lcvf,at
‘' S D ’aifleurT, quand on dit que laplui. glande v ït£& -q u e çmflW ^d re fine
„ Aubejqÿaîle-mûe par un fluide,, eftjbtiers de ^ t e f e j t e ce,fluide , * u c
» entendre que pette vîteffpjiduite au tiers, eft uniquèmsnwelle d u ^ i tr e
» d’impulfion , ou d’un point de la- furface de l’Aube, o& f y j ^ ÿ ç p i ç &
vtéamt tonte l’impreffion t â te fur'éüe. Si le cojiraftî H ê-3 Pieds ei? ^ e F '
a conde, ce centre d’impulfion fera un pied en une fèç,çjnde ; & comme il eft
» néceflàirement placé fur le rayon de la rou,e, jl y, aura un poitit de^c^àyon
» qui aura cette vîteflë d!un pied en une fécondé, fi ce point! étoit à l eprénjiié
»dû rayon, q u i'fe ra it, par exemple',, de 10 pieds, auquel cas 4 j^éfoit|au
» point d’une cifconférence de do pieds-, il ne pourrait parcourir ^,%$ç$pieds>
» ou la roue qui porte les Aubes, ne pourrait faire un tour qu en ^Q^çgïides,
» ou en une minute ; mais fi ce même centre d’impreffion étoit pofé fui un
» rayon à un pied de diftance du centre de la roue & de l’arbre , il parcùtirroit
» une circonférence de 6 pieds, ou ferait un tour en fix fécondés, & par con
» féquerit la 'circonférence de la roue ferait É^Bf,s,
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tiiêt aurait'Une v îtrsp ^ ix feig^ tflus grande que. dans le' premier casl Donc
Ji ^ â'Qinsllc!<aeHtt&>d’iimÿreflig>àèèf^él0igpé du centré -’.de fârou%.'olus la roue
^to'üïne^î^ca Quand unjtffuïface parallélagranamatiqne, tnâe par„undiuidfe;4
,v tqurhe autout, d’nh'iaxebimjjaobile ^U q u e l elle eft*. fufpendue>jtfoîîrî.éencre
,» d’imp^fe^j’c ^ d ê c^Hijp^er'-depuis l’e^ûji -aux deuxrtiers-'dk'la ligïkyqmHû.
yt^fleiïX -fëlürf ^diaweur., - Si la rouea,io pieds de)pa"faA , l’Aube dou3-
s» v |lle , qui e ft-'en d é ^e ^t^ a ^ g e sd an s sflëau, &dont4 a largeur ou-hautetff
^eft^sfgale^u-rayon, 'f^ liC 'fo n fcÊ à t^ j^ ^ re flip n environ! à 6 .pieds du cen*
»'tfê 'dgj|laJ’ro'Uè. Il s’ë ft^ tft-i’eauGO'ûp -quela largeusaou bauteur ?des Aubes
iijguné fe y Ss*, ngîl&it égalé au «ayo^'^i & par cdnféquent leur centre d’impreflion
» e^a^|d&fs'gltis élpigHé dufcéntre de la roue , & dette torse iie^>eut't'oWne(
>î-quê plusldîr^nent^ mais cet-avantage efhdétr-uit par unê’GojEnpèdfàdbn pref-
» qu^égale.daas l^ rtïu g ^B |iti circulaire de l ’Auber le s ta n t immbbife ou point
dà?vl^PRu-^5 e“ ia-fôue ; St plûsde centfed’tfnpreffiorji auquâ -lÿàuta
eft^^loîgâé de -'èéfgèiifkad’apPdil plus la-force agit
i iî^ïcç qu’elle-'agit par un - long -Bras de‘levier. Ain fiquand
é ufi'e/fiioj«dfe diftânoe-du- tetentre d’irftpïeffiSn'au cen^e.âeda roue , fait tbür-
»mop-'atTSué plus v i t e '&^ i c gagner^ diftérn^s, elfe fait perdre duîcôt’é -delà
^rfqre.erappliqafe, <mbi{îs (ayantageufement, & e ^ yêfir’même raî'fbn *: iâ'ôù fl
^ s ’enfi^tlqHg^npfi&a du centre d’impreflion eft indifjérente.
" ” 'général, eût été-fÇri-'étrange • & on peut,ap-
» prendre.par beaucoup d’exemples à ne pas rejetter les paradoxes fur lentpréi-
pas fodgé àdonnèÉiulxaîles dsmWfisîirfènf-, là
» difpofition des Aubes , comme on a fongé à donner aux Aubes la difpoficion
» des ailes de mouhn, - crcft-quc-lcs aîics de moulin étant entièrement plongées
» dans le fluide, fon imprelïîon tendro-it' a. renyeffer la Machine en agiflànt
» également fur toutes fes parties en même temps, & nolï à produire un mou*
» vement circulaire .dans quelques-unes ».
Une des conditions qùê'doit avoisine roue chargée d’Aubes ^ d e ft de tour^
ner toujours uniformément, & pour cela il faut qu’ellè fort telle, que dans
quelque fituation que foit une roue, l’effort du fluide' contre toutes les Aubes
ou parties d’Aubes aétuellement;eqfogc^es;, ne produife aucune accélération ,
ou que la fomme des efforts poficifs pouf accélérer la roue; foit égale à la fomme
des efforts négatifs-pour la retarder; ainfi le problème qu’il faudroit d’abord
réfoudre, ce ferait de lavoir le nombre d’Aubes qu’il faut donner , pour que ,
dans quelque fituation que foit la roue , l’effort du fluide t pour accélérer ou
pour retarder la roue, foit nul.
- ■ Parmi les Machines, hydrauliques qui peuvent fèryir à élever l’eau hors des
Mines ^ il en eft une connue-très en grand en France , mais uniquement pour
tranfporter de 1 eau; fort au loin ( i ) . En Allemagne, ou elle a iny|
ÉÊM ?ur. ,la ,tlvie,1'e de Seine , entre Saint -Ger- i fécond endroit, qui doit une partie de fes em-
H -Mal h ûou elle porte H nom : de ce I bellifleménts à cette Machine, M. Weidler, dans