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unes ,,te}b»$ue afipfies les albâtres , t ^ 48«aiaaM&^de»^ath»«(i), finie,
plus cdropaétes? font-aufli’-pius -dai^'f awalciner- ; ;les guflésqfellès/que celles
4ont an. fait la chaux ordinaire ’aux,en.v|rôn^4 (î ^aris jW ïï^ u i^ t^ te rr e s à
p l â t r e ^ ^ | i% # tÆioiriS-4e^parties capables* d^t-K* enlevées par le feu:il
ssn. trouvfe tpourtant> dé'.ees-piefres tendres ^uhréfiftant fortcà ptealcination,
lorfqU'elf esbfont*jeftéesdongtemps .expofées à l’air * &.fiir-taut au foleii, ou
roulées-pa^lelïîeatÉc , «^arrondies- par les. frottements ;^GÉ®Rkrnietes g É
pa'rticulier^fçïir bien ^feinsAvorahles pour uhekalcination égale !, que les
pierres ^ en-moellons-caffêes irrégulièrement &ton ■fenB%u’en ^ n é ra l les
pierres? tèndre^^Mfnmment^m'oiâ^:de>Houille, & diminuent dans le Kuifagà
' beaucoup plus- que’leàipierrest dures: R
La facilité plus ou moins grande que certaines pierres ont à être calcinées;
laiffe à juger que la Houille capable, de donner le feu le plus aétif , le plus vif,
n’eft point contraire .aus&pçès-de k->cùite dfelaxhaux pour quelques pierres, &
qu’elle convientmeme-à plufieurs d’entre donedelamaFadrefTe
GU.de l'ineptie à s’attacher uniquement àmrtgaÉfge focal ,''q u ip e4 &we bon
pour la pierre employée dans un-canton en, pateticuiierP' Le -dhbfi d l? k gouille-
pour, cette opération , .doit d’épendr.&.'effentielleTnent',- oU-du vol>U®i|©^pifervé
au'rhbèUdmj cru de la' qurdité’de lapierre à réddi.rëià'chauxydontd’.uhe^igera
de la groftè Htiùilte,-.donnant unifeu'-de flammegrande-^yP&Glàiïe^ prin-
cipàlememt quand on. emploie du bois-,-des broflailles Jdfcl bruyères, & dont
rautre4ëmandera unî'feu^beau’edup inoins'flafhbant.'fMq^n'd- le combuftible eft
interpofé couche; par-cbdéhé-datfs leS&rp’sid ë ilfe '& lîâ ^ ^ ^ ^ ;
, Ain/I, quorq»ihn’y.ait. ^asagraddeinduftcie datïs l’Art d u |^^lfournie r, &
que dans les-fours derfbrme conique i ’^ëfàqpn pe'vfefc;pdihjB?4flû-&'iute a une
grandeprécifion pour-fèsdegrés de chaleur, la cromnoflïanGe delà pierjjedpLcanton
où l’on, veu't établir des .fours pour la réduire en chaux, n’efbcep'ëhdant pas y
à beaucoup près, indifférente; il exifle, fèlog toute apparence , «entre cette
connoiflànce & la qualité, de la Houille p ré fé re r épt-mème la ^Rflraétion
, dtbfopi ddlêûifigç V un-rapport qahpeuf; feryir.^^igaide; !aus;'Cfeifeünûer,
{bit,que l’on veuille donner au four à petit feq la^^pap/èn,|p^à®iide où-eti
entre la pierre duré & la* Houille néceflaire
pour la convertir eh cliaux , dans les temps
calmes, eft à peu-près , félon cet Auteur \ de i>o
à dp pieds cubes de Houille par toife cube de
pierre du toifé des carrières Les Chaufourniers
d’Alais & dé Nilmes dans le Languedoc, prétendent
qù-il Éiut environ ï 8 livres de la plus
mauvàife Houille , -pour çHâgue quintal ,de
chaux.
(ï) Voyez Calcaire, Calcarîus lapis, Partie I , au
Catalogue alphabétique des différents Charbons
de terré , & des ffubftancés minérales qui fe rencontrent
en les exploitant, ou dans-leurs environs.
(2) Les pierres qui-fe cuifént'an défaut de'toute
autre efpece dans les fours à chaux, des bords;du
Rhône au-deffous- de Lyon & qu’on y appelle
improprementr,a//e« oiicailloux-, Voy>page fsS,
par rapport à leur foiftié' accidentelle, ne font
que des pierres calcaires chbifîeS-fur le rivage du
fleuve.'Mi deila p ontet „ Gorrefpondanc de
l’Académie , dans fon Voyage.au Mont-Pdat,
page 49 y a -.donné fuit ces pierres, qu'il a reconnu
n’être autre chofe que des' fragments de
marbré où dé pierre à chaux, une note tres-into-
reffante bonne à rapprocher de celle de M. Seu-,
lier,, Art du Chaufournier, page y i. .
(3) M. Gallon remarque que la p |ffe H w le .
c ’eft-à-dire, en-gros quartiers,, perd moins a 1 air
que la Houille menue, & qffi|l'faut fur-tout ne
point employer pour cette fabrication, laHoun e
anciennement tirée, qui s’eft éventée.
- | | l i M M i Pkkr. . rH f
cüône renterfé (1) , comme l’ont tous ceux de la baffe Meufe , de Liège , de
llifeiht;.ÿ4e>k,SGajp^ dû- BbùidatSf*>dô
Vichy ! du Lyonnois (a ) ; foit qu’il s’agiffe d’avoir des fours à grande flamme
de forme ellipfoïde comme en Lorraine, ou de forme cubique, comsJfefr
m è è t ; la ' p r e n n e ch o®
à eonnoîtfe , c lftfa pMre^qïïé Pop il I
&M$üûér - Terre.
L es Arts-le-rfaiireitdes briques ; dés tuiles^ des carreaux y.Pde k fo te rie
de>xerrev|dnt-.Be^d©ûp4 fanalQgie a ^ è a to âu tcS au fc â an ie r ; îls^diffeiteat
qùeûpar-'lkrgiHé qui eft «propre.aux uns ou aux^autres, &*'%& '.^æj-'être
p a r i e s © W ^ s ^ lfe '^ té ri^ p ru a& ÿ e ^ u e ' pour lesituiks,, plus.fokgppm
« a k ro& rs«& h âg e sf4 u e ^oiar?-k bSqu^:^ &c. I k ’’coiinoiffancel^de cel
#ifrés*f!aWîdè U èntfkpbt keVla qualité-.d^ <BaV#priî'& d èT a ^C & k u ‘f e l !
^Æ oA w n é t> a u ^ u |^ a u r , eft enÉlnftqb*fcncé a u f f i- itté ie ^ ^ ^ o ^ ces
^ÿcatioAshyjgéâlâqcDnnoiirance . y e s ^ r ^ ^ oeduire :en''chaux<i ;eft epow
^ ême Poür A a sk o b ril s’agit îci le plbs difficil’e ’
& le phtertembarraffand
’ IoffqÜ'il s!agitâeles,amalgamerlayecdii
Gfea&bn^e.terre., pour ayeirîteiçBâjïF^qpitiséctoomique , .influe également
' fijr kttpfeefeébon^deifette ^Hritâtbnirtf&ûs ydéGrirons dans un inftanr cette'
; .^idre^MgmSîtbræVantage du feu du eharborf dpïterro, nous icmcreroris
/lors' %b'cë£.k|illes 'dans des détails ,q|feÆ ■ trouyerotif aa’éirè pranc étranger
| aùr Arts 4 oat!--Üteîaglyfeoiîf|iihPnaïKmaTO dansée qui
? sft^P^iifàîkflfiaMîtution: dp;Charbon4 etterre au bois.-Lesfours,à briques
i dâ^iêfqtîels ©n !.emploeèieq;kerme4^bpftifelé pnDJinconvénient de
! vï^ ^ rr®ê ^ GoSti^u-aw feu , avant que le xefte.de la /fournée-foit.
^ CetCe cuiffoû V i l1 réfuite!quantité de défauts,? &ktfans les
: dans les (tuiles & dans , leS'tQÙvrages iHe 'porerîe qui poiirroiény
êtfe-’.qïit^plust»également avec le CbaThon de terre * dàns.des fours exécutés
; conyenaferftepi}.
La 'niauvaifs-ïqualité dés carreaux .fabriqués par bos.fPoüerside tsrre „ fè:
fiit femârtjuer. depuis bien des annéesl;.le manque daccentionvou l’igèorauce :
(i) Ces fours où le feu né.'s’éteiht point tant
i ue liîP ;Ja febricàtion,i.;yont;:appellés par les
yuvners/»lia; çoiÇlams y parce que l’on en fou-
Mejournellement là chaux a k e ïm é qu’elle fe
aCnque jioMme'cela fe fait,.flans les fourneaux
ou i on fepare les métauix/àeîleur minéral. ’
le ' a I d a n s
pays de Liège ; :6h|' ip/f èiniïréhaéiit’ 40 oit 9 k
pouces de' diametré par le lias. M. Fourcroy
obferve qu’,1 C(K d'éfavantageux'qùe- ces fours.
TOWrçent, jlusrderHouflle que ceux de la’
Flandre qui en ont 20 à 2S, it qu’ils ne rendent
par jour, réduârion faite, qu’un cinquième de ce
,qu’ils contiennent.,. ■
.(s) Ces differents fours font décrits dans l’Art
du Gkajifourni&f f ppfcdié .par. MM. Gallon •&
Fourcroy, ' "•
. (q) En Provence .& dans le I^'anguedoc', on
fait dans les mêmes fours la chaux, -la brique &
H t t La fig. 1. de là jdtçnçÉ^'i x , de la Def-
cription de l’Art' du Briqùetier ^ repréfente tm
de ces fours, & eft expliquée: page