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l ’il eft des moyen? ou des ^ttentjons pour apporter quelque correéüf à cos
inconvénients fôo^w» embarraflê pour l’ordinaire*aflèz.-ipédiQcrement ; il rfy®
pas jqfqu’f la maniéré J^âitagpufql^fporter uneMdqtpi quinejfoit, prefqu’uni-
iVerfellement, igqarée ? & suffi g én é ra lem en t négligée J.il ne fera pas hors de
propps,de s’y arrêtçf,if||v avant d’enjrer en matière^ tŸ
De Melmes attendons à prendre en f e ^ ^ pu gtffane^Montre,
’ »LAMontre doit; être portée dans un gouffet peu profond, parce,qu’en
» marchant, elle eft agitée à proportion quelle approche du genouil; il fuit
».de là qu’une Montre feroitplacée parfaitement, fi elle étoitîij^édatement!
» au-deflùs de l’articulation de laqjt^e.*T
v » La façqn^qêt. elle doit être dans le.gouifet^eJ^tpU^.qug le cadran foif
» tdùfneen-dehors dmoorns* parce que les Montres,,biçn faites fo n t réglées fur
» le*pla&^& qu ^ ’eft .dànsvcettè fituayqn qu’une Montre fe trouve lç r fq u ellq
» eft dans le gouffet d’un* homffie''affitff""
» LorfquWceffe de la porter, on doit la pendre ■ à un,iclcm.*,q>arce que fa
» pefanteur la tient toujours* dans la même direéHon,:i & qu’alors le?balànci,er
» fe trouve dans la fituation la plus avantage^®* tant pour k ^ e e ^ e la Montre
» qqejpourfi juftefle.
» Quoiqu’il foit impoffible qu’uneMontre^ij: çonfer-yé® dans un-air-de la
» même température , j l faut faire on forte dîen a^prôchêMutan^quhlfsgft poil»
» blc, afin de conferver la même fluidité de Lffiujlqj'pour cctt^rajftjntrtfi-air»
» Kotnrne quitte là Montre pendant l’hivAï^ ÿ > 4 # l%-iPiid{^,frgs^|^la ehe-
» minée, afin de lui procurer une chaleur approchantedAcelle-de/oç^gouflet^
» Une Montre ne doit être •puverte.^rpjfeiiféer dans un lieu*.q^'J^ait.ipe U
» jgufliere-; il,eft bon de la garantir deff^ppjiche desperruquewdp^l’M^lhgjJ
mïe Montre à répétition marque une heure ,-;&qMlle , en rép é t^ une
» autre , il ne faut que tourner l’aiguille des heures, & la mettreffurslji,e.uie
» l e quartqr^ej|eaura répété.
» Û eft dangereux^de tourner les aiguilles d’une Montre%r^pdtiti9n,pend<in^
» qu’elle fonne «.Telle eft l’inftruétionabrégé® au’aflonntelfur-Gelaunjde-nps
plus habiles Horlogers François t ^|eu.M. Julien le Roy, Horloger du Ro i, )
fons un petit Ecrit publié féparément en 17 4 ; : ( j ) Jmplus eflèfttiel^qet avis,
concerne la maniéré de régler les Montres, j
Le DiéèonÂire Encyclopédique a a traité ce fùjet que pour les Pendules ; les
Montres, qui fönt des Pendules communes & portatives, font bien plus utiles;,!
(1) Huit feuilles in-iâ données en extrait
dans les Etrenîies Chronométriques Calendrier
pour' l’Unnée 1764.,: par M. ie Roy'f'éî&é / Horloger
du Koi, fils & fucceffeur de Julien le Boy.
Ce petit Ouvrage , - donc ^jîfïeoü: lei 1 ! s '-d e fe
pourvoir, & qui fe trouve chez l’Auteur , chez:
les Libraires Nyon & Charpentier, renferme fous
rm titré peu umpofant-, & danS un format très»
côinfflbdei jthdf'öe qui peut sohcerfietIa||®
fion & îa mefure du Temps, ce qui regarde les
Cycles , la Chronologie , la defeription des
principales parties des'Montres & Pendules, K
pluGeurs méthodes aifées pour tracer des Cadrans
folâtres. B S
Avis
A pî$ concernant'J^p^ytens. de régler,, les Montres, tant fimplis quà {répétition;
enfenjble tjoqps 4es qaufes' qui’ prpduifcnt les variations.
? sfl E ' ^ , ^ linrtqu^ dans les Montres?, elle^font- plus qu^fuffifintes.pour former
» deux^monft^ons, (l„ijr^e phyfique, & l’autre méchanique,) de l’impoUihilité
)\ (jB y ia%dWây^ une alp£p^u^ il faut pourtant favoiq
S ,nir * dt queUe ;^oit att^d re jdesi meilleures', je dis
»’i|u er||gég^M^ J né* régi éft*, lôüfrqni’r^êl e. rr,’avancé-- ou na
^U£ ^ Jp, 24 (h,el^Çfs % cependant cettavariation donneroîg
i> parfomaine près d un^j.emtqqart^heurevd’eprçurr'^OQUr.la corriger, je na
» fais rien da mieux q üad^fa remettre à?l% p e une foi^partfemaine, r
'/ * ^ n d b it ^rep?onte| fa Montre à la même
»f,hèurV,*& tourner la&ffiyîgs , /parc&?qu?e)lej'ceile. d’-aller* en la montant.
T^WqJle"ne de trouvé1 pasà’Fnfeuqy, parce quelle aurarecardéjô'u»avancé, on
» qp®n aura oublâ d e 'la^i^n tÈ r'^^^y ^en « ttra .en tOTmant^aiguilIe des
? ^^uÇr^ ^ o ”imp°xte ^ , ^pq.urvu qùg,,Qe Çsît par le*1 plus
» courfehequn ^Jjufqu’à ce que.l’aigqiliq de» heures à^celladM,,mixtes mar-
» qïïéntr l’heure 8c la mihute qu’il eft.-*
» On peuç, fins héfiter, tourner à gauche lçs aiguilles des Montres à minutes
» & à rép|^tiqnr.: m i.|eut auffi tourner à^ga,uche,call,es des «Montres fins mi-
» nutes'; excepté* celles des Réyeils des* ^aneipnjiéç Horloge^ à fonnerie.
* »Xorfqu une Montre avance ou retarde^^pj^fiçurs minutes en. ha heures J
* il faut faire choixdmne foule Horloge oud’ilne Pendule dont la
» juftefle foit. connue., Rarementj dojt^oqfè^ régler fiyt cej^s ,des Eglilès.,' parcq
vi-St °? ^es a^aPcer ou^retarderfuivanc la longueqr du feEyicei.Onrpeucd’Hl-
» leurs fe forviry>4 u m b o n ^ ^ a / i i/o/flr/'e-,^préférant l’he,uî;e dq midi, à caufo
»t“des réfrta£Hons Afcronomiques., .
. » Laqufte^* d un,q H o rlo g e ^ ^ ^ .g g^jja a ^ jJafitfd^mettæe^larhMantre^ fin?
» 1 hqurËgqu a retardé ,tpopi la faîte avancer^
s> il|’faudra to u ^ ç^l ^iguill^ dq.cadran) du^coq, du mêm'e-fons*quShtl<tçîuÉnqroit
à td g u ille des minutes fur,,le grand gadran .pour.fayaqcer^^tfuitefqrt la re-
» mettra à 1 heure-for 1 Horloge. Si au contraire- la Montrejafe,ayancé ,.pour la
» feixe. ^m ç d ^ r^ lsfau4r^{^H|X|ert;raigui|lefduî>cadran du'ccgj enfens coçtçai“ ’
» r e , c'eft-a^iret, ^omme{on ^ourneroit^ ^guille dçs minutes lut 1^ grand ca-1'
* dran On^ndnuera'C^tte opération dans l’un;du fatjjjgças,'
»mfou’-a de que la Montre feitSttiéremenu réglée. -
».Plufieurs Montres,,n’onij.ipoirit^d’aiguilles lùrtle. petit cadra^dfi co q , qui
%Jqrs jèft( grav é 'Ifi'ie^rcpJjférence ; dans.|çe|;asl, c’eft lepeqt;,Gadran même .qui
» tourne. Telles Confia plupart' desMônt|es à caip,tre^à roirVe^rture dé laquellè
P il y » un^petit^pqinte qui fort d'index ou de point fixe, pour indiquer de
.IhÊ k n . I I. Part; L p "