
J r a * 3 D V C Ü Â U i M B N D E Æ E E E E ‘
g k fofite de comparaifon dans deux fourneaux courbes oü à manches-, d’une
grandeur femblable , & allant d’une égale vtteffe> Qn^garmtü’un
.45 qfaarben-de t e s c«dmaire,:&:l^utra;en coaks ( i ) , Ëa-fonte futfeitinuée
» jufqu’au 18 à la même heure d ie "aVoit été interrompue pendant
treize heures le. Dimanche 12 , pour préparer & ^faire lès./jjSSffins
» dÆünt-&î®t & '4p'réception. : on. employa d'onc.pour lfe^M de'-brfonte
» cenfequatrér,vingt-deux quintaux de minerai, mêlé de- la mine du pilon &
» de &elle de Chevinay < a)', rôtis à quatre feux, fuivant l’ufage ».
Il ré fuite de cette fonte de comparaifon , qu’avec une quantité de coati
-coûtant fept cents vingt-fept livres, on a retiré en deux cents çinfquante-ûne
heures, de Ex cents foixante - douze quintaux de minerai , fient .quatorze
f a t a u x . de. rpafte ; & que d’un.fournteau garni # charnu »§9™ I*
dépenfe furfqpt cepts quarante-deux livres douze -fols,*. oj^t$e.|ira Jdjns le
même efpaee de temps de, cinq ,p$s.dix quintaux de.nain^.i^atre-vin|%. j
n S ^ in j a u x : de matte ; que par conséquent l^çoaks. proche uhe tergnp j
de-temps & de dépenfe, (le p rix du cq aks.étant-ps k ^ e u de % g é rie |$ |
..deux.livres quatrefois la yole , & celui;du charbon d e ^ s ^ .d e u x livres!
fept fols.)
M.Iars, dais le compte détaillé quiha-publié^de1cette3pé|atio,n, a ^ e r v ^
-que le.fourneau on on a fqnduvayeç les coaks, a^été Plq sj^ |fam a g é que
l’autre--, c’eft-à-dire, louvrage , & q u ^ y , ^ . ^ ^ dans>..l^^^ieur,d^|
-cavités plus grandes' ; ^ce. léger, inconvéqien^prpduit. par. l^|E^®rande
aéiivité du feu eft peu de^chqfe .en' fi^pataifwi^d^ayaAtages qi§feréffij
tent de l’ufage dei cette matière; toutefois pour le provenir enggartie, on j
.peut mêler, les coaks à moitié qn.au tiers .ay|fc ^ e charbon de b $ is .p d a jl
pratiquoit depuis dans lés Fonderies de Sain .Bel, & o%eh ayqitpconnu un
bon-,.effet. ■
On comprend aifément, dit M. Jars, qi^Rméjange dans „kfpnte |M “M
matières combuftibles, ne. donne pas les mêmes a v ^ n u g e ^ q ^ im p lo iM
| c o é s jia k } mais ils feront-^iujpurs allez. grands_pour les pjéférei. ?
tous égards au charbon, de Jjots fois coaks. _
Les rOuviiers Fondeurs en ont remarqué la différence , &KpLneDt
préférence âtr mélaffge pout-avoir'ttne-fqnte plu régalé fé t ailleurs il # c?Pvj
tant que 'de quelque maniéré'qu’on emploie'-les'lbtaifès de^Cïhalbon déterre»
ils accélèrent la fonte des matière ; les fourneaux fupportent \UneBatge E^s
forte de minerai fans augmenter la quantité de charbon ; & la tcjlgenfe eft
moindre.
v. ÿt) Q4. tSM sp^rgaer eue kÛHofpé'figtfrvenne
en braife , étoit, félon
Mi Jars, une Houille choijie. . , -y’; ;|
‘fsjSTout ce quartier, vis-à-vis Saint - Pierre
de Chevinay 8c Sain Bel , dans les Montagnes
de Saint-Bonnet-le-Froid , eft couvert d’une
argïlle fine-j durcie -, &. àjune marcalîite
àme tût renferme -,j -
paillettes cuivreufes. É ta t des Mines dt Franc ,,!
M. Hdlot , rnmhr
SMutter, page^opÿy;,
D E " S E S M T I V E S . I L P a r i \
’ '^ gnei-autre obfervation très - effintielle §| c eft celle du degré de chaleur
quacq^eiît la, matte ‘<Mk\#f;r^gulinç dansl’intfjieur du fournelftfpendant
îe-cours de k,fonfq#dont il a^pplu^u^ffi^lasco^paraifon/dans les percée5
deréception;-de cet^aEpgn^tjtation,^e chaleur,
■ rolùlte^um- très-grand ^avantage, o a ^ ç g i ^ ^ e la^maMp, plus échauffée"! Ce.
^|¥s^ge d’autant, plus 4 s parues fulphumuks qu’elle ruifermÂj
Ia ^ r,^t®5'tnF indre. mais ; eflé^effil plusriche îen
fujyeAtîlgM rat-ion. .& dn, charbon -dans le^^orifes,
E Jffîr r^e di,Cuivrepar L J iu (L^€^i^Lon déterre uud, ou d f t brat/ès.
M- Ja« ,; Ü ,^ it que les-braifes de£hatbqn de terre
oig.loiiir unlitjîpou^les1-ouvpges qui feç,jçtt^nt-)eh'fonç&, & que'jeuq.ufage
iP011 $ fp f f in a g e des
t L eM W ï ? f SÂ ^ aft®&outr?% f [g ^ dÿ cuk ^ JS3 S f ^ l 5 f ë q u e , la
f c e)$ a$ ?e .qui le
de^jPharbon d&tqrre, ri
prétend .même rqu^ell'é^y améliore., par qn^fe't ide^l'a .pppriécé quWoBte,
(? )î lifn^k!paint
de notre objet d’exa:miner cette raifon fur laquelle M.. de Genffane fonde fis»
l J ^ ^ - ,vraa'^ uei^a j^urniq^^|||ne^matieoexrè^bitit
j ^ i s dé
cc?ntS.Ç là qualité a^antageufe-du phj^gï^que du c îjja rb i
4uî-métal(; &, o i ^ b B ^ e q u e \ . im |^ 4 e
yiederflai,, q^i ^ft^ir^ fu fih le , & mêlée d’un peu dpÇharbon
^ j£rS;. ;end plu? vderjwaweq^b les autres.
' q é [ e princi.Ré contenu ,}d^qs, ^phirbon-.d^terrç ,V^£^rable.'à
j-j^ p . ^ ^ i i v r e s , la Rerfua^qritQÙ eri' M.
otih£a8 1 '/? ggQftffl^iom^ V ^ qUyijeatfule réverbéré
opération, dî|Çé^en,t;e, de >gç|le 4^^ur^eauX' .fe^yis
au feu de bois (3) : il ne s agit; félon lui, que de connpître le degré de finelTe ;j
du cuivre-’,^ J o n n e fur cela les principaU3^jr4|Ces,qui, caraélfidfait ces degrés t
a8 ^ ^? c °re , fi^vant lu i, -que çTêtreqsréyqpu 'qufiG|,,mqta.i ex|ge un feu
K ^ le plus, çorjrtîpgfible» r<
léute ma'-' -
âe matieS?n ‘■7 1r ,e °“ faiC paffer unePortion j lèioe HW 1° 1,lc!e ft>r-tout)q.nelJè qu’elle fort d’ail- "
o e n H i l i - ll? autre.> 011 elleeftplusdégagée \ t
S « L f f neS’ &B ^ o p rPeaux^es
(?J-Chapitre.
CHARBON DE T E R & , l Ï . P aît.
*\ ïp^oîfaplIrè- I'Wy^e 7%, & Gftaî
p u re V , page 1 3 8 . L ’A u te a r a n q o ffie ,a iÿ îi.,c e
p ® t f e a ü ^ ^ p r e ‘a^ -w n ffè u rs ;io re è ^ p è ?® fE e s 'J,
aP ^ e.î.4v c ü iv re a v e c
1 s , pjjpmb„, liquation S? pour li-‘ foste
fe'So6l5es; ' '
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