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^Æejecufôursf ,.vfo,u Pxoùuuatsfp.
1 d’A(TeHeurs aux Jurés du Charbonnage.
T A B L E '
R r e m i e A b u p r i n c i p a l c h a r g e a g e . Le. Dilatement
ou chambre pratiquée au pied du bure, mais un
~peu ,de.côté, ou à côté de 244.
' J^eniier' Maître, des 1kfiner. .
Prémier ^ niv'eau^^m eaux- dans les - Mines dm
HainaiFrançois.’ 463*, 4.78. Eaux duyremier
niveau. y \ "- i
Premier ordre, ( Montagnes duÇ'W primitives.
I Tyq-yv Voyez.;
Prem Scheibè. G. Tympanum. Harpago. \ y ,
' Préparation ’$& 2$zchefer. «^^f^iÿSBSis^dflns
fHôtel-Pieu.de Paris , poulies pâles-copieurs & •
'Routes fortes ÆÇÇjgl:i.ons. 1124. Teintoee; i©@
liqueur aftringente, obtenue du mâchefer , par le
moyen de Tefprit-de-vin* Idem. Eau minérale de
maêhejer;^ '1.^ ;; : y 7 ,'VjyC î- y y - . 1125.
Préparation , apprêt'y!'fabrication .du. Chànb.m
âe terré avec des argilles. Ô94. Tantôt, avec deux
•Charbons., mêlés "enfemble , tantôt av^c%pn feul.
il 15*7. Proportion de Dieille ou d’Arzée ‘ dans ce
fécond cas. Idem. Voyez Apprêt. Fabrication. ■ ,
- Prdppfés , VireStwrs de Mines, dans le cas , par
les connoiffances qu ils doivent acquérir I d’augmenter
les talènts des Ouvriers , & d’améliorer les
èxploitations. 74.0 Voyez •.Dire&eurs., Entrepreneurs
, Ingénieurs de Miner.«k *
Prérogatives du Seigneur Arenier. 328. Voyez
'Arentèf^ ' v >
- Prefçnpm^M jours, dans le droit, de travailler
les Houilles , fur le terrein d’autrui , au pays
de Liege. Une Société qui auroit enfoncé un puits
ou bure •. dans un héritage appartenant à . autrui,
<8c au fçu du Propriétaire, & qui ferait parvenu à
la Veine^Xan^ s’être mis vis-à-vis ' dejlübeö regie
au - préaiàilê , ç’eCl-à-dire ? en avoir eu la
permiflion , "nblui avoir fait aucune lignification
‘pendaàf .'Je*|faps de quarante jo j|§ ||| acquiert lp
* Goritinuer, les fur la veine rencï^
u&eë f'fi -le iMflKlteuP ne lui a fait aucune défenfe
dans ce pdélm^|yl;n/ payant toutefois le droit de
' ‘Terrage àc:c.0,u,tuipé. 324.
' Dans. un pays, où la propriété eft aufft protégée
, § 3 1 ,
la prëfcription13'. dont la légitimh^i’eft pas également
admife par tous les Juriil^imtës, eft bien
cimentée fur des principes, de l’équité la plus-ri-
goiireufe. Cette poffefïion par prëfcription n’étant
abfolument quùne interprétation forcée du fîlerïce,
de -la :nëgligehçe' du Propriétaire légitimé en faveur
ç£un étranger |
de troublèf lorfqu iL auroif misâtes ouvrages ëSi
: éiad. ô ip . ;La loi reftraint le droitjle ce dernier
â la feulé veine travaillée, pendant, quarante, jpur S&*
au vu & au fçu du Propriétaire, & Ia>S'Qciété ne
peut étendre fes ouvrages à d’autres veines ni
Tupé rieur es, nr inférieures^, même dépendantes du
bure par «îi parvenue i' ^e|té veine
prëfcritè 5 elle nefpeutyiréme y travailler, par
i e ï^ p ^ ^ ^ ^ ÿ ÎM p re ^ 'u re ^ j^ ë iP ro p iiéÉ ife
étant en droit de faire fignifiisr une défenfe : la
décifion du pays de Liege'à^o1||oùfs" été invaria-
* bleyfur ce point ; &, par un record de la.Cour
des Voires- Jurés de l’an la1 Sociëtéyeft
rntme tenue- de.payer au Propriétaire le-droit de
- Terrage avant Pexpiÿation ^des ‘4 0 jours. V^oféi.
Droit de Tefragef jEadoreMà-^^prté, expreflfément
* ;^ue ’cett.e prëfcription de,40 jours n’a lieu qu’après
•‘îüé le PropriétaireB fonds ^a- affirmé par feraient
qu’il a ignoré que la Société ,a travaillé à k
yeine fous fon fonds ' pendant 40 jours contentifs
J & » dans ce cas, la So, £ é eft obligée' de
6ire preuve- que le Propriétaire en a eu en iere
connoiüance. ■ . ^
eft lorfq.tie trois AlTociés ayant exploité plufieurs :
des couches dont on leui . tait la ceffion par un1
Pu* s profonde à frais communs , deux de ces
intereflés viennent ouvrir un antre bure dans'
1 étendue de la Conceffion commune, fans inter-,
' Peftèr lë troifienie ^lîôc^é j .ce dernier , pour con- '
ferver fon droit. eft obligé de concourir a\ ec 1 s
deux autres, & ne peu- agir pai• voie de défenft ,
l’ouvrage étant ouvrage qui tient au bien public ;
& il eft entièrement décl a de : ous fe droits 3
à 1 égard de ce puits & dés veines qui en d pendent,
s’il laiftè t a Rallier j t s .d,e x ^ \Üo^ es à a
veine par l’enfoncement d’un nouveau bure pen-
d r a t ' , .à foiv yp &J{Sj îfanS^c^giie-^'
clamé fa part.
Pr fentes ( Hbaillcj ) Le. Acquit s pi r ’dr >i
de prëfcription. Voyez .PreycnptidB: IïS
PreJJion. En Méchanique on diftingue des Forces
motrices , les forces de preflîon tendei :
' feulement à i uprimer d 1 m tuvement. & qui n’e v
produifeut pas, aa< ndu que leur eïfet eft diftra r
par la réGftance de. quelqu’obftacle, ou .par d’au-
ric- forces oppofées; la fcience
ieBffiSjgga kéqii]jb\e^ d,ii?&e»*
machines. Voyez Voyez P«/^ànce.
• ? reÿtôn des terres .& des rocs dans les puits ,
'4ifféti
. lair es , ou en pii la n t.
lür|- 5 * .
V Jimragifc n s
dans fon n i i 1 es ,
,v({\ cestdL,tuiÆf i].tWjhLUkÆE^ Æ t fflmilL3Wb
eten.e a^ptusSi.
ffiiiigiigui.e e, iiiiÆJW a i ^ S ^ a a ^ Son
. digmeti e. ■ lut mt.d-; la
tarriere.
catoram , Prévôt de la matchaWlPrMil'^TÎ
etu de ïHôtel
r f â ÿlOEfJ.LL]Ïàl tily .
jqint^ iv hais de eypl l t^ ror ^ pÂii. .
^’etendfr aù.lmn.-qa^^^^^rtmméraent lè^ p'nx du
. pr™?ge- 68r.
ralogifte d’Italie M. Arduini des montagnes du
Vicentin & du Véronois, en montagnes primaires,
fpc0ndâires & tertiaires , relativement à la pofi-
tion fupe'rieure ou inférieure . de ces montagnes ,
■ & à la différence de leur ftrufture intérieure. Mi
Jean Arduini nomme Montagnes pHnfàim les mon-
ragnes. inférieures formées de' fehifte , qui s’écen-
' dent par-delTous les montagnes calcaires auxquelles
elles fervent de bafe, & qui, par confé- .
quent , ‘doivent'avoir exifté avant elles. Voyez .
Montes feçundariL Montes tcrtiàmï.
Prime. (Atithmé't. ) Dixième partie de l’unité.
Voyez Minute.
- Primitive. (Terre) Àn. Schelf. v
t • Principalis Direclw. G. Hampt Strelchcn. '
Frinçipaïis Venu, feiilaiior. Sjs: Voyez Veine/
HPrincipâtuî ^Jea prtetlritz. (Jas') Droit ds Soavcrai- |
' a'èté ôu Droit Régalien.
-^nrec^?Jé 77i^re«?\ V. Moteur. - ,
i^'riTzeipej c - ô ? z j ? i t t C^rèoft £Îe ferre 3 di-
d’une Compagnie foutraitanite. 8231 824« Voyei
Enrrepjjyèj de Mwer ipif privileges. V» ConceJJîonsi
5f / Déclaration du Roi ‘concernaàt h ï piivitèges en
fail:. de Góimmérge;.-, d<u 24
l’Art. XI fixés au®®me,1 de ’quinzë’ anfrées de
jouiffance , fauf prorogation de ce terme. Voyez
Notification. Par
jetre.; des Privife^fês^mixi^n1-
I%èrfein'ei^^p^b^s|iMn^ fur S^^ïfférVqcè^e I
f'^vîvâÉïlé '4^5 fa*,chaleur',. >, &I
ïendem, 'par-,conséquent , tel ou teî f,€îhàr:boLiI
• ‘plus - bull^ I ^ l^nvénlble~|fâ| ^ ^ a^^an'&^^es I
^p éra tio I ^ r.-1
qïfcs l a d e ;Megë, a deuxI
,|ig#Më.iri'0©si ■di^ireniÈes. 319 , ïPîifes I
d’une foffe fur un bien. 320. Prifes d’en-haut ou
Droit de prifes. Deftaifir les Maîtres de-foifes
|(ff ^iëiaiES |>rifesv :d|ès. frftés par l;ê0MÇ|i 1
très'"du -fonds. 321. Reddition ou rendage de
’• prifes. 3i(?. Déheuiüer les-1pri/èr. 3 3 cP Voyez
Pajfer au travers dès prifes
;p.ù elle eft enco'urue à Liege. ‘ ■ |
Prij^fteg« €/ e£fempfio«j poM?* ;fe |
'Mines. M. Delius dans fon Ouvrage infifte beaucoup
& avec raifon fur la néceflité d’encourager
. ces travaux par sè
,.ôc ipriVileg%s^ilg'gettf@lil^^ ^ ^ ^T O ^ !ès terres fur;l
’ lequel fe trouvent les Mines, doit être exempt
de toute efpece d’impôts''^ fubfides ; les 'Inte- I
xeftes & Ouvriers libres -de toutes charges & I
impôts, de .Service militaire ; if veut que les vi-
vres, en toutes chofes néceflaires a‘l*ëxplojitatforr5‘,> I
'foie-hit'-.exempts de d(E©its^ de Péages & de I
perte l’exemption du Dixième, &c.
(V-
| privilèges (Chartres (b1) dumétier'des Houilleurs de la j
Cité ,franchife '&banlieue de Liege, concernant la po- I
lice du Métier & du Commerce. 34,0. V. Comrnerce. V. I
Police. Pr«/ftege pârticulier'd.onné à là ville de Liege, I
par l’Empereur Maximilien IL 3 ifo^W^JuVéï' du
- chàïbonnâgkt ^
Privilège des Allégés de Newcaftle. 433. Pri-
vilege particia-lier accordé en Angleteu-e fous
Charles I , pour faire valoir un fecret 'de priver ■.
'le Charbon- de terre de1' ’fumée & d’odeur efl I
hbrùllant-. l('Meijii 13.)'
1 1 ^ K^arebands ftéquen- I
tâàts là riviere de Loire. 714-. Voyez Droit de j
'boîte, ou fait des Marchands. 1
‘ ' PrivMëges'pour'rexploitation des Mines, en France
ou Concédions , aecq-rdéès aux ' 'Proprfét'àirês-1 dès I
terreins, ou aux Seigneurs , ou à des particuliers I
ifàyant aucun droit à la chofe. .Les Propriétaires' I
.ou Seigneurs" d®t^^m^p'etîvèri^u^ierît:en abS^ I
fer, pour empêcher que perfonne ne piïiflTe venir’
exploiter j ce cas a ét.&fagement p'ré^u parla décla- I
vration.du Roi, qui va être citée.
’ Privilèges ou Ço'nçelïions 'à dés' Particuliers I
Payant, aucuri .dirbife :a ,|à-Ao|é.rÿ i t'ré's~lmûlapliés I
en France au Duc de Montaufier. yyo. Claufe I
fefleèaéîleî ét’^ém’àrqua^ê'^qe ft’Arlêt.* Idem• Conw
.'XÈëfîJbÙ des Mines de Montcénis. 573. De •; Rive- I
-de-Gier, dans\b;L|?Ônff^^--.ÿ'io ; au'Sië^vBar'Ôn I
de Vauxi à'ah-s lè Forez, par Arrêt du . Gonfeil I
..du 10 I ; Ppaaçois1
.■en 1717 : ce dernier , le feul q.ui ait 'été légal,
-des Privilèges toüpurs accordés fous'l’offre & I
via' .promëffe' obligatoire 'd-’un.é', .explbitation bien-
eôMuite. J4^^fyQ v^h^n'^®fférrnés a des Par- I
tï^aér.s aüï^ign6raWs»y^è'^êl^t-6priétaires, &
qui îfen.vifagent dans les privilèges que le moyen J
de fâirev,îàrtùnè7^ 8‘î 7',"Attë^î^^à'ffaire vis-à-vis
^ faris-î ruà® \
fpéciale ; ne peuvent, en coniféqàience'de l’Art. V ,
9Ppartéhir ^ e^^k^e^éqësmi|jPrivilégië^M^®^
^ rlt^erS' direéts
^Ëÿe^fëli â'^Maùtreÿ
i ^ M f a p r è s avoiâ^jâftiffejd^-'l'eur,,. éàpacit®
■abouti jà ?âucuM|ucc^^d^ 0 part des Gonceffioas|
^naires^M^ lôntgiMâui'p^^^^p ^ ^ P ùftge & lpierjn'
^ ^ ^ b.éndànt |(^vêôùfôad’une“année. 'entiètç’ , aijnfl
que les Arrêts & autres titres font nuis & révoqués*
Jxv® Privilege exclujzf\tinregiftré en Parlement, : pouf ;
^mJvMM^é'Pàris &j^p'p'üte' Véteitdue duj(Roy%Umç% '
annoncé en 1770 pour la vente du ‘Charbon. de
rerre Æ/^rêfé *à ’ la Liégeoife, 125)1. Faux motifà
fur lefquels ce privilege a été follicité & obtenu
par un Particulier. 12^7, 12^8.?^éktàfe<,& feul
point de vue fous lequel l’exécution de cette fâ-<
privilege/12515 j I2p7. Premières idées de l’Auteur
, fur la _ ■ maniéré de fairë|pi^ ^ ^ ^ ^ & ‘ iH'a^
^doptér' "fan^recdiirir_ a’^ n privilege^,1
/Tpùyyï {Gonftdérations quLlés lui" avpldbtffài^i^a^
;'tréy^^PS^M^lesi à'‘la ;
pf ife^da ^ ^ l^ ^ ^m ^m ^M l^ î é ttltulkife. f'Hu’ fp^l^'''
‘de terré à Paris. 1298,1302. Xentative.5‘^d'u Mi-
niftere 'i'
Pri.v 'dej Houiftej £/” C^artozz æ Liege en t ’ftyf.è ;
La eharrée s ôu coufâde de'1 Charbon' gros
menu, depuis'fept1 jsufqu’à huit efcaliàs; là ôhànéè
j>ù cp^jîaM^'Wtê de ;■ Iji
^pur H'ouille-.fans
bon , .vingt efealinsi ^
Prix' des Charbons de terré etf différents>eridfôlts^;
de la Grànde-Bretagne. 434. A Londres. 43^7i ’
Prix d|s^Gprp®ps -‘ de Frefnes en 1742 ; le
menu, pefant'poids'dd pays 234 livres, 13' pa-
tards j qui font.i’5 Ypls 3 deniers ^ diminué enfuite
d’un pataud, & offv|ë»Vèrfdoi^ïâj °e qui faifoie
15 & 7 fols' ô; deniers le' 'cent pefant", poids’.de
(marc ^ grós’IpiÜs. Du gros’ Charbon d’Anzin en
’,#■742 j^'^S^^fflenfers^}© quintal^ 8t io^folè. '
le menu.
Prix du Cfiarberi élngrànde dans les magafins .
livres la fourniture. Voyez^Porroir , foürrifc |
r«re. Prix des Charbons de terre d’ingrande , de-S,
Etienne en Forez, à Tours, quarante livres le
ç'ent de' boiffeau comble , ^ - qnatrê'j
au cent ■ ce boiffeau pefe dix-huit .livres. lans'
'ÔpmMe.^ Prix des différents Charbons- 'de- v$erre|
d’^/yo«. y<5é. Dans le S’awmurob. Prix du
Ghàfbon de j Rive-de-Gier. 70p. Prix du Charbon;
de* terre venant de ftE’trangei: ^à. Parisi Woyet
tÇHiïrb ôn . ' .
terre à Paris | augmenté
beaucoup èntreY'^lô'^i ,^jàin^ÿ|Liÿ.^3^^veÊCanci détail-
leur , par sla raifon dès > crédits confîdérables .quô
':'clf^i|S^liabd|ÿprit^ en abufent
ïf®^®^ftgè.^|fr|teX^:es de ■ préf^renqeluMli'^c»
auquel’, ils jd'oîven t *
. 0 q^;il^^ÔWr®fn|■-'quitter'par ^|fa^ll|të<S''quilà