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<ceqc, Hçufflê mm am\:, : <39: ^Ç tt^ b o rf':moyen0 efthfc préférables à tfa»‘lcà
hurles fourneaux, oniemploie îeule^tefit k s Kmhays ou'feraifois^ïîoïiÜfe
faajgKgj'.,. h jvw î.srtb ., Sqfl$&,' *m >&'*** 1,1 Ji‘ ‘' ^ * y ' ' *"'* . ,,.
& u r Jj.es •r’W h a t« , c’eft Iç jçswwji*«^»'
i S •Charbons maigL c h a u d s ou Ufff* ^ ^ e f i r t o q i ^ n a « ^ ) ; ^
s a v a n t être. <¥ * ï t 9 d>un tiers., gieiiois
^ k i n ^ e s , , # 1 ^ 1 ^ ; ^ # ! » ^ « « ^ v&te&pag->8*»l aa_3Mi*
Cequ’on »
<3e la Ïïkrrouk, dans le fens q i^ jb n tèntè anfesjrM ég^s.. y ’d ^ j j p t1
On pf»nr revoir ce que nous ayQns dî&> ^ ^ f â ^ r ô i e r è Partie, des Charbons
ç o u r le s 'aw v ra g e ^ e fo ^ 'F,} v J e s Ç h ^ m g m s , Sc.d e s rC hm bW jK ^
p! 7tf & 77 ; "des Charbons ƒ « £ /« ftu «fiâtes ouCbarbons des.Cloutiers & des.
petites, forges., pag. &a.
D u "Charbon dt terre bout Ites duvrqzes^ % r g e j ^ P S ^ J k ^ ^ ux
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‘ La”propriété « S o p h ie - duj-Charbon d e 'tc iÿ a dq^çèl&irajsefet , 3dès
U premier inûaqt qu’elle a été- reconnue, stre-rappliquée à tous des vaux
qui s’exécutent par le moyen dy.fen, principalement Ir^eeux cfuitf|e®sp3dent
un feu vif » une chaleur fortç Sc active.
Ib e s ïdétallut^fies qui ont befoin pqur.«otitesleurs opérations ffàip; com-
bulbble Cnguliérement. a ftif , pap l’énergie d e . la chaleur;-réfubante de
l’epbsafetBetit , n o g t p ^ M . f ^ ; d o u t e , les derniers, à employer- ^-Ghat-
bon de terre dans leurs _ ateliers , pour chapièr-leurs faumeaupi;, de
d e r i e d 'ë macération ,$ a ff in a g ë * de chaufferie , &c..,M^s-îon sfeglbieritôc
appetçu que e t f c p l e B©pïéfewo^pskbeàùGoûpi-près,puur.CQUtes|esnpé-
ratidhs de Métallurgie , les avanwges.qu,e:i>n etoyoît- d’abord pouvoir fa
promettre, foit par & chaleur trop aétive , foit par Quelque priheipe cpfan J
m çoançic pas ençqre , qwpq»e cpaiifié &ptÆmentj£itfèurâua?i fc'Char*.
bon de terre , fuivant fes différentes qualités, ,'.pmit aux fan tes=,de,-métaux
dans différents degrés y H on â,été lantti» & eft.^efté :|gite ^ |b ftib le ^d e s
petites forges , où il n ell queftiqn que, de ramollir le f e r , & dç.lui donner
dés formes particulières comme font le. Serrurier, le Maréchal y«& f ptrres de
ce genre ; encore eft-il vrai' comme nous aüfbris bientôt ©ccafion de le.
frire voit y . que P pratique oh plutôt la connoiffance expérimentale des
Charbons de terre dans ces ateliers , quoique fiiffifantè pour iss ©uvrâgeS
gtofliers qui s’y exécutent, n’eft pas bien précife.
(I) M. Triesvald effime que les Charbons I leurs pour ces deux ufages, des^eminees #
provenant de* veine*, en roilies fopt les snîil- | de 1» cmfine.
> Comme
E T B É f . S Z S 'M > IN E S . . I I . 'P a&t. ti$ ?
'iJEqm’me Jÿ0'^s^vons>wi®mnUajJial%^jp^fc .du’ fenl "eonfidéré^ a4a ^ rg e
nousëexamineronSî'dkboldffepàréîfl'enti.tea/pbaiîbou de terre’daris^é atelier ,
.ïdifférèmiès' qudîcésq^ffiSp^uyerit ÿ «’ êtrsj employées pf& aux
^Inietestfe qffif^fl^eninen&'-à 'eps? e^yeggëi. x
Nou/Jhous attfeherôns ®Mt|se3idlune façon parpculifer&çàï^oniihrfUîïe ebrt«
noÜ^ic^Sx’aétéi dutp?pçédéy\p,aiaîb'qnéL onttgfeüïtparvenîn àt nàidr fôfTrlè'^
prOgrâiàaplüfieu^si0^fkt|onsiSiaporianteÿTi^i?Métalliirgite.,j)'^
x»Meüis„4‘a0erahs detlàrà^cellesfd^s opératigtisÆEéEMhirgiquesauxquelles ce-coin- -
bufttbfèjfc^ff elFè^tfefeent^applrqu^yjotr p g ù ^ ^ ^ ^ p ia nous1 bornant -ghpen-
dan tüîàîl'Me^ferj femteafFemeqèr'oui à, in®jêpr^les|tpri)n€ipalesj i'
©ej^èiêikfelrnîjnant'f 'dansqlâqlettrexiâivoiyéeJ' au ©Jdéfoùr,iMâtytïqcfl«e'î'gaü
eitéfeJipfc.ishadt .^|iapporte que les^ChimOjb pmfent.yl^^;®upî pquïphufi^g».dfe
l^^^pgesvV-ltÿOl^^^wfc.pqrUle'& la
tdirvBfèu^lleï^l>.gfc'^|^s^ap3e u ^m ^ r<rIl^lregardenta àl-drsJle.
S^^b^^meym'aù.yaifer qùalitélÿ ;p'arce.; que-félon 'pux?'le lou^â.ÿ^dqmjjgg.
a ék ^ se^ i^, ;%$, Ghàibons 'réj^fâ^des,t{51us Jà!’
11^-glonijjîËL'l eïp^iJÎÆOT^felej& pu! mte v leVeduri utt qii icSueip & rêHat™
p^^d|frifleipâfé|/t^|nâ^^UjÉ^âu piincip^faq^mp pâr les» ,
eap^iîfelatt |'ÙæJ ^ üs doUg-ptemp^au' feu. &donneüàfae'’flamme plus uvô'
plusileaQsftanEe. ..
êq^|t,s|:gd®g|^ia3par préférehee^d’un" .ChatbonÆitnmiheuX >5 agii|idire ÿ
g|sss d c ^ ^ ^ u f r e u x , efl: uritlnat.ifÿ raifonnable.idé^fuipêfl-pjiajair-rr.K-i^....^^^
fertravatixide^^esipdàafeg^id^x%-çè.<;ei|iece:,dH Chapon' qu? dôUn&Qês
indfcefif driffoufee’1, & d/exdure err.conféqdenfcegfësuCharbons
pym&çx-; &”fri.qin's5qu;eà les^mêlant âvecræem:. quetK04*rÿ)mîiie bitimïneêxy
wnVd^jirt’fëiiHèr-le* principe dmileux qui4eùr’ manque yils, paroiflene^eVôir
é:reî'^clù^td'3^ÿ*,f^nérsMri).''.
■ G'ë®akfëüli'éT,emèrït potelés.ôuyrageSsén fendue Ia&o^rfâaûue, le poids,;
& aucr^ronfeignements. tirés' de l’extérieur du Chàrbomdeterre, ônSbefcm'
(i Ils attribuent ces effets à l'abondance du
lucre. Cette propriété .dé pétiller au fe u j connue
aufli dàns les’.Charbons de bois , p arott'
- dans -les Charbons de bois tendre
que .dans ceux' ^jii font, .d’un bois plns.-Gom. I
pafteçiceax qui ont.prisidçd’humidité, pétillent
aufit & s'écartent de ronce parc, en.confequence ]
de 1 explofion-que le u r caufe l’humidité; '
(7) M- Venel a .cependant fait une vreinarqne !
inccreflantë fat un Charbon de, Languedoc, qui
«M de nature pyriteitfer; .c’eft celui de Carmaux, |
iioipmc a Bordeaux Charbon rte Gaillac., lieu de
Ion .entrepôt-. Ni dans lés premiers inftancs delà
combuflion,, ni dansaueune eirconftance parti- :
cuUercs, eette Houille v-nupiqué pyriteufe , ne
donne pas le medndre vettigc. d’exhajaifon ;d’un
principe fnlphureux quelconque.; elle- fc corn-
Boris- dans le feu comme parfaitement- exempte!
do tout alliage de foufre; & il-ajoute , qu’à la
«orge elle ne-produit pas fur le-fer le iri,èmc eflec
Ch a r b o n d e T e r r e . IL Pan.
rongeant & c îleinant de la Houille de fu se a u ,
quneft aufli pÇrn ure ,-d'o'i’ d Jonéjut que les1
Hdnill& de ofette-’ n;atui,^p!è4raàt- êtréf proîpfes
^aüxiF^rg^rôhç .appuie,-encore.ïon, .opibfen-,--
P -f3X1 fur la Houille de Fims en Bourbonnois’
P rincipalement employée pour les forges des Ma- ;
récbaux , .Serruriers , Taillandiers , & c , & ii
la dit fingnliérement marquée de taches pyri-
reufes. J’aurois forr déliré être en état d’apprécier
moi-même l’obfervation & l’opinion de
M, Venel, que je ne crois pas. bien exaétes : i l ,
. eût été, pour cela néceffairc .que je cpnnulfe par
moi-mëmè la-Houille de Cirmaux & la Houille
de Fuveau ; mais je n’en ai pas trouvé dans
ma colleétion : je puis feulement alïùrer que
ce Savant a été induit en erreur, par l’échantillon
de Charbon de Fims, d’après lequel il a
porté fon jugement. Voy. gag. 6 f , la maniéré de
.juger <f uné-Djinci |
p n