
m W U C H A R K O ' N D E T E R R E
tras de levier;* Ösfi<*èHajoutant ce's'trois norribres*8oo., ,37* ; 34 ,.j $ 8 7 1 t *
quiex prime la püiffancesèapablè defaire.monter lepoids-.qSil, tout le refteétant
égal-, la poulie nW ïiq h e qrpouces.de diamètre, la’puiffance ferbitkleia ,■
au-lieu>de g ^ a ^ q u i f e v o i r combien'il eftiffiportant'de préfixer les grandes
poulies aux petites- .! ^ - ' f
g : «Seffainff quel ées^difeentesMachines faciliterit l’aïiâon- dès puiffances peut
mouyoirdes poids ( î ) i non- pas ,ea augmentant' réellement' ces puiffances *
vm s favorifent.leur aélioti., par la maniéré dont -elle eft appliquée.
Ainfi dans la poulie, par exemple , la puilTance doilf être égale,ad“poids »
GependantilâtpdWie'aide la.puiilançe parce que la maniéré ddM|%Wance
y 4 ft appliquée^ facilite fon.aélion' ,»& la m e t en état d’agir commodé^
mént.
Il y â dans toutes. les:Machines une proportion néQëflàiré.entre le p’&ds &la
pudîànce motrice^Si.on.veut augmenter le poids,.lisant auflî augmenter la
puiffance,- c’eû-à-direi que les.rouesouautres agents' doivent êtreimiatiplfés,
©u., ceçqui jæyientau. même » que<le teipps^doit .etre.augmenté, ou la YÎtelfe
diminuée, ,
J)es- Machines coitippjeq en
t f i s Machines», (impies ont « comme on-l’a v a , différentesdeftmations : elles
Hont chacune leurs p r o j e t é s , leur objet particulier „& tpute;la përfeélion dont
elles font fufcepÿdes; ainfi tant quelles peuvent avoir lieu, les Machineries
mais faute de.,connpi£ïe lês^meilleures
proportionsdeleW ;parties ,o n n en tire pas toujours IffoÈvïee.qu onspqgjroic
eh attendre : on les néglige, & on leur en fubftitue fouvent mal;à-prb^;dku-
tres plus compofées , qui demandent unjplus grand . entretifen.^En - même
tempsV’néanmoins*,-il eft rare quon puiffe, dans le-XrayaiLdes Mines engrand,
produire par le moyen d’une Machine fimple, l’effet dont on a blfôih. U eft dóffe
ïjéceflàire & indifpenfable de % e ulàge de Machines de l’efpece appeUée
compose- & on appelle ainfi les Machines qui féfuitënt de plufieurs Machines
fimpies jointes & combinées ënfemble, ou de fa .pême,*^éÉfe
nombre de fois. -
Mais le tout çqnfifte également, en employant une Machine compofée, â
la fendre la moins compliquée que faire fe peut; à éviter,.tant,qu’il é^ p o ff«
b le , les frottements & autres réfiftançes étrangères au produit effçétif que l’on
.v eu t .obtenir. La Machine .de ce genre la plus .parfaite » fera celle où la force
mouvante^ tranfmet, ayeç le moins de déchet qu’il eft poffible, au fardeau
, à élever.
• '.„ f» P«& en Méchanique, fe dît detout ce qui I ou de ce qui téfiSe ; de quelque inâtuefe que^cê
11 oamûpar une Machine, | foie, au mouvement qué l oti veut imprimer.
iPBute
X Xi O .H p
Toute Machine Cothpofée étant/le rlTultat de Machines Simples, il fuit que
«îæs toute Machine de feettfetffpetóe , k,m fip ô h u là
refiftançe avec lequel!* elle # 8 * « équilibré,* tft.fôA pqféJë bappôrls qui
ipiroientlieuJipubéitiehi'éàris/fckâqiÊe MàèMpé,
Ce rapportie trouve en Comparant les êfpacesf atcohrus-dansle même téfiip*
fa r la pmffailce & le poids, dans un rnêrfte mouvement des’MaëhineS 5 Ces ëïpa^ *
. ces font eh ràifôft JrtVèrfe, de la puifiànce aU poids;
Pour faire, ^application de Cette réglé à une Ma cW^ompofée, il faut y
Conftdérer quatre quantité, . g
A- l °’ La PdfIance ÖU la force motrice qui meut ia Machiné.; (mette force (peut
être ou des hommes, etfjes animaux, opdes poids, ou Un courant d’-eau. )
a °. La vîteflè oy lé chemin de ce poids dans un temps donné* t ■
I 3 °* t-a force de la réfiftance ou du poids mû par-latMachinei
4°. La vîteffe où le Chemin de ce poids dans iemême.ie'mps.donnÂ
Sr U n compareienfernble Ces quatre quantités ; le, tappdré des deux puiifan*
deux*d^nieres ; ou, ce même, ,lé
prodmt des deux,premières, exprime la « t i t é 'd h m o u l e n t d e k p S
lance , fora égal (aff p ro d ^ ^ d ë u x dernleres , q uW p f im e ^ £ S t l 't é de
mouvement de, la^rëMàrice. O r, félon le principe foMln|èh^'deda'|déchan^
que, dans toutes les Machines, les quantités de mouyemeHf font toujours,égales,
C’eft de CetteégâHté'de rapport,*qu’dnt lesprodùitl de cës deux quantités
demoeyements^qu’on détermine, par des regies*&atplés'8t sûres, le plus
gjçand'effet qu’orr attend d’uné'MUchine; cat troisdeCe's quantfés étant Connues’
ou données, ^ tro u v é h quatrième.1'® i pat exemple, f o f e i l & lö èh’é^in'de'
ta puîflàncé font, donnés, & la réfiftance^ alors la prëmiefe * la
fécondé & la q^trkme.qnandtés font Connues i-ffagj’cm trouve la frhifiëme *
,qua rleme f le prodmt donn^la*fbtce d e | réfiftanCë | ou fa 1 H W B mâ
par la Machine* ' 1 ! .
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