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.Parmi les’ différents 'agrès ‘ qui icompofént un- équipage’ de • Mine ÿoh>ne*idoit
pas .oublier un< appraiBffôtafen|en.t de cordes: elles tfont (employées à quantité
d ^ g e s .- 4dansaes^®s»depëuad^cqnféquentee;,^nisllnffert po'ur enlever lès
coffreside charbomhorfc'ffe'.la Mine ; elles/qnt£4 ors'office de'leviers :epmfne
dcell^.î !nous4n^parlerbns»lorfqu'e'-nous enferons aux machines à If^isnjdef-
jqûèlîes on fait,concourir, lesrcordes, & qû’iA^riqoI* appelle MaxdmtE0m
mlams. ■ r
■De la 'Jituadon 'faVoYàile dune Mine.
'RemaÊ $Ë s * ginÛâpjêxià g!'ànàeùr~M>dntdgèuJ'e Ves<~raues deJrSrifPott%
t :'"écl&ûciffements fur le rihhH6t à levier A la m n y ^W û r k r n ^ à ï ^ h ^ t e m ,
\ \ê 4M ~M-conftstiaion' du chemn rvwfa l$&
La tnéceffité -indifpenfable , de la prÿiGipaW-paÊde; des- matériaux auxquels
jiouslvenons de nous arrêter, emporte av|c,^ell;e Ji^ cqnpfluencêltpyf n»cu-
relie. $e»nefferoit pas de.s’être îaffurâi£ü^ e l.o uÆ e l-^ n ^ ^ F ^ .4 uifg-e.^t
p f â ü ^ e n c ^ ç .q 'le l ^ a E n ^ p
font la fouilles dansdaquelfepn doit comprend^ou? les travaux ^taiitàla
fPReçfiçie.tï»au,dedans de la Mine ; ^ jl’exporatîo^lde,la m ^ # n ^ i f e ^
Derlâ^deux maniérés 4® cojffidérer ufa endypif, <|ÿ|fOn ,fe, dMpofè a tirer du
Charbon y.quant à la-fîraatïoïi favqxable
_< La première conftftejà examiner ii l’oj^fêra àTgortea
fûtes nécSffaires pour les, outils, (ÿdans
■athour ^.fiidans-de^yaiGtlage il,y a q u e lq u e f fo r ê% q $ ^
^ S m i r e s p o u r routera charpente ;UfVia^
ges fouterxeins de la Mine-; ü l’ût» efHrl^pfôxiffiité- d é p i q u e carrière de
piem-s^ôu de qrHqûe t ^ ^ ^ 4 lc'P our* ^SÉ t9.^ on.1^fe^£^l
Le fécond point de vue fous lequel on doit ^ejiyifager le local, eft relatif
è4a facilité,dif débouché.,,pour le g j | É | f o 5 % ,d .e ,l |* ; il fera,plu|ou
moins favorable-,félon k diftance pluS^ p o |h ^ r a rT d e i & | e |^iere 'fnayig%
fcle an m o in s .d a ^ ^ lq u e s ,temps|de l’annéeôu^fe'lo^damature-du.chemin
qui-; conduit ?î|gla Mine à eetteftr-iyjere- où peufffe faire'îl’erpbarqqement; de
k fnarohanlif^Qri'n’sa-pas befoin-/.d$ grands râ?fonnements,pou^fontir com?
Jbtendl eft. effentiel d’être, peu 'é]oigné ffune^viefe yà,,^’' faveurpde; laquelle
m puiffe;:compter:fur. u$e défaite...courante;dq; Charbon ; car ff par, la trop;
^tanîte diftance- les,frais, de,charroyage à reyerfer fur-la vente du charbon devai
e n t trqpÈcpnfidérables.j il faudrojfoy regarder à deux fois ayant: de fe dé,
CÎdeïàffaire l ’étabMèmeni:.
Cette diftance defedV&nerà^’embarquementylorfqmelle eft pure dÇjfimple.,
c’e ft-à -liré q û ’elfe'n’éft point aggravée^par de mauvais chemins y h a pas tarit
d’inconvénients
Ë T D Ë S E S M Ï N Ê A H . P a r t »
'^inconvénients, &, n’e f| pa^aBlolumentjffi fâcheufe ,, d’après ce que hous
’ivqnf-obier^éj dans lA&eiriiere Par-tie <£$»). ,On n’a pas là peine de Voitu-*
;f.er le clmpofl au Ipipi'lorfque la Mine eft fituée mès dupe HvieretJ.ia dxf-
pculjélneft que dans l excraffiom, parce J « ’il faut aller,Jfcohercbqr p us pro-,
foqdétnefit en terrfe: au.cqntraire dans^une^Min^' élpignée idune ïiviçMl la 1
||( t e iÉ ^ f e t a m|8Bage ^ comgenfée par ^avantage, de trouver le .charbon plus
près de la forïace* ,
un article de plust grande conféquence ;, qn,font aifément à cet «égard la diffé-
rence MSngËnt la pgfttion feroit telle que lé , qjjarbbn leroit .export^
dan» cepreniier„nwanc ,vpar une route peu vdétoiwnée du feprtl *un ichemiru
u n i, & .dontiie fqnd ‘fômKdur & fqlide tj fur une autre Mins.id'QM il, faudroit
trânfporterMé.charbon,par un ch'cmin» di’/jtl’om jimoit.A^efcendre une côte
tWd’e,j& difficile f du' bienM^tyre premier d^ o u eh&neipourroit fe-faire qu’en
traverfànt dfsJlSMWdans lefouels les fofîfeïff but - d’ordin.iire^impraèiquables la
jfids. giande paMMH«|raB&; leaMines, d&Pëcize, font danSre rm e e der-
n iti‘inconvénient'-foroit ailé à corriger dans blindes endrqks ; L'-spieries du-,
iggpmsjgHjKent.'de* la Mine, étant très-propres à encren dan^ajCQnftruétiori
jffunevc} .LjAs-pj les Entrepreneurs d e là C harbonnière de Fims, çn p rit tiré
ce :MmHUm®açon trqs-avantagpufea voyez MaSe{S.{I?‘' '
^■.i.Ouoi qii’il.èMoipue la'piftance de la Mine ap^mïgafim d’embarquement>'
ou de la nature du chemin qui conduit-.de l’une à d’autre /^l>âttëriddn’jqu’un
Maître de’Mine oôit portai for iles^voiturejvqu toujourstlavmême,
quant an point effentiel jd^Sur, çonftmélion.: je (n’entends point parler ici ni
de leuKcq^ f m de.leur ^olidité, ni'de leur charge qui eft une chole.cqnimfiéffa),
**• Le; pbjhfeanqàdlfrie- yeux en|Mhife.Æait a'la coiifèr-vation autant qu’à la çom-
modite’ des animaffiÉ empIÔjés- au--tiragej^G’eft la grandeûr-à donuct*aux roues
proportionnellement a la taillerais, chevaux, les inégalités,quf fe' rencontrent
dans cette, partie ^M^mb.ereâ’®!, celles du terrein, forêiédt joutes-les1 difficultés
, & doivent être ^mbinées. enTembm'?'"
Le.Mqfoiite '^^LApa^mie des ïcignces pour l’année 1733 , ( 3 ) ^renferme,
fu^/tqus pes ôfflpts, un Mémoire rempli de recherches te^-cùtieufes : nous
noi^s.tonrç/itetqdsîa’en extraire les principes généraux^ qutpepyent fervif,dè
vùes pour fe guider dans la grandeur à|dontler aux roues des voitures ^nous,
y jéina^ms lç réfoltat de quelques exjnériertces for la ^même, matière, •: que
Knous avons tirées,des T^ranfaâions philolophiques} eHÉtii.noÿiËpJaceronst , ici un
{é'çlâirciffemênt tt^cirçonftanciè for le charriot août tpotis avdnss donné Une
. ç q u r t &. d , e f o r i p 8 ;
fi DcsiVei.jes c’e Houîl™ & lf-r rrirdTSi,^
pag$6lkiiïj,
(2) La^lafge d’une voituirè" a'"''à'èa'X roues efl
« S v a l u 5® au,elc[Kue, cho-^
Ch a r b o n Dé T e r r e . IL PÈit. ‘
f eM tp à ,; &(ïcia'qae- roue>go'xcg|}»yioitié- de la
ffîfifâyRëflexîénïfur,, le’ tir'agt des^chafrettes £r des
traîneaux }ïj$
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