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I Trient. G. Plece féparée ' dé dqMtout. '
| T ruigimeG. 'Capfa./
m » È g
au' Bocard. ....... . • , I -j-'ÿfoît. de otf de la'grande taêrieré Angloife.
Tubber (Cofaàh)-BpeU‘&J$y'Bic. • '388;'
r Turfe. (Terri à'/Terri'à brique. VoyezBriquitier.
I Charbon* ;à cuire ‘-les tuiles, . ' '' ,q.qg.
| Titil âfgiffil An. "Paiement des,'.droftsi-
Son Jpbjèt.,399. Datfs cjtiellé• partie1-dqM
îerrem il s’erabUçJ ïdarfc ÇcM^|uôlraii; d’eticailTe- I
1 '. I [londeï'.jpa. Atfentiofi J,pouf renfoncer- 'bien à-
I plomb'. q g j j Noyez Forage.'
Trous de Broteae de Mmes ou de'Fleuret, pour
•ouvrir'.le5bfeeiàïùS5~f«üre place dans le roc aux Gif1'
touches avec îefqaels' .oh fait ‘fauter les pierres} I
quantité de poudré'dont peut fe remplir ufivenn
I <1^ Bleuret'-dèié àjÿ lignes,; ; ■ ' ' ;s',:'î:?Ç'S'?‘^W îrI I ÿeï'èèiii de Fleurets, doivent toujours être faits
[dans une direàiotjjtèlîé tjuè l’élalbtifédufeifne I I fait ihOint génée 'deftbûtes 'parts , en trouvant une I
llrop grande, réfiftanee'; mais de maniéré que la
réfifiaucti ffîJtttOTHïiOTnfisé&KÈ^Id’ttn côté
Wlultor 'urf
eJFet.fu^^^poltt&n^^Kè «fiez grande paftie I I dul ^ B Sv.^a-fut cela néanmoins dés "ciftinürans" I
I à- faire;, relativement: à la nature dés rocs 'que I
l'on veut faire fauter. I tj'Trom'de.T4rré>p0ur.mettre en fureté. la ‘vie; I
[ ^ s ^ ^ M ^ 8 t ^ ÿ f 'f â ^ ^ d t S ;'ôuvr.âg|5 de 'fub- I
[ inerimiis, 071 . nécelTaires, par conféquent, dans I
la pourfuite des ouvfages f a7 1 ; fe pratiquent
[dans le commencement do l’ouvragé fur là tête I
IdSiné'veine fuperieuve à une veine inférieure, en I
I ptttant hors: de la-mahire du bure, 3 1 2 ; 'quel- I
quefois le fong des tailles, & fe nomment alors I I Trous, de Tufllé ', i y r ,1281 ; à Ÿe£(rémité/dirt\
chambrays, 252 1 Ie long des voyes, 2 7 1 , voyez” I
favenjfages ; de tout en-bas dans trâ Serrmertfs.,1
Idem. Voyez Boiteux. Leur profondeur ^ dinérernej, 1
diftinguéè alors par l’exprelïion de court jeu ,
|3 S f ‘ Long jeu. Idem. Peut quelquefois’ être de I <Èx-fèpt-toifes deplomKTLeFnoùs"tte iâiÿe bôÉ?l I r j à. 14,.lignes de diamètre ; &’ fe font à ufte'l
diliance proportionnée les uns des nutresg a une |
par 'eieis{ilé> les Fôréqrs'l
divifent cette taillé’en_trois parties. Çoià bouter, I trois trous de fept toifes de longueur chacun : I
Iles-trous de chaque’ côté ne font approfondis^ qup
de cinq toifes'-, -& doivsent être refaits chaque’ I
L d i ÿ ; quant aux trous de tarré qurfoS devant
fouvrage, & qu’on appelle trouS de JaiH^, 5^I ,’J
| ôn ne fait que continuer les mêmes, à moins_quiy
ne s’en trouva.qui j par une direâion trop haute 1
I ou tfop baffq, donnaflèat dans |q:S§|g||! dans le
mur ; alors il &udroit refaire de nbaveaùi trous de I
tarré. Par-tout 0$ l’ôiFdoit travailler, le Foreur
[sTfoin d’aller la veille former de ces trous, afin
de recônnoître lé voifinage des bagues.
I -T rouille , petite rivierp du Hainaut, qui prend!
fa fource au Village de fvlerieux, paffe a MOns,
de là â Genapëli^Bièlle fe'jlrt»'#ns lljaifne;
objet du 2*. Article de l’Ordônnàflce de/x j-ptf.1
.7341
• Trouirima. Su. Canal. (JPdttu Troumma. )
l'îAquedue. ’ s~ w-->i
- T roulement ( Vïye’ de ) au pays de la Reine.
Voye £ airage -, ou Raw ailette. ■ *
■ .Trouver une quatrième proportionnelle X npa
Xonibres donnés. Problème du plÜSV grand u&gè
[dans -là Trigotiométrie. *
i T roye. Av. Poids de, Troye , en Hollande ,'eft
eé que l’on appelle particuliérement à Athlpes;-
dam Pqids de Marc. Il eft égal à celui dé Paris,
■ Voyez PotBr. Livre en Angleterre,•‘ 'où on ne
l'emploie qu’à pefor les chofes précieufes, comme
l’or & l’argent, il eft de douze onces à la livre.
,Tur/. Tourbe de Hollande^ 60% Treriesj
| Tunage, Tonnage. Voyez* Tonnage.
i ïTBnna. 'S^v’^ôièè'àîf;''- ;
I ITurf.'Bry'Tàrf. Torf. An.' Taurbè^,;';* '
xhVpmlt ; 'Cb ràÉ élé '.^jtb fei-mp ç^^ ^ g ® : Itruffions, parmi les différentes tonchifes1 données
par l'Article IV de.‘l'Êdit de Réglement géilé-i
ral du mois de Juin’' ■li&jéjo-l.examprion dé
ces-cha'rgés*eft fpécâfiée<eU^®à^SiibàA,,G®® I diffihnH.éanmoirîs .que ceux -.qui, prétetfdtg^^i
avant, & quttâi.ifélontsdéchus de cesta^^tos
| s’ils venoieni , après1 avoir éliidéfceS' Cbnimiuîon)i
à fe retirer dukravaîf'des .Mines ; Jqrl’en mêm*>
(temps ils'V feront alors tenus^en.'toils .dépensé
dommages été
élu ou ^Kbîfîià fleur place. I Twekilling. G.’ Fourneau à deux vents.. 'XSWfJ.1
Tuyaux d’airage à l’extérieur d’uw-puits de Mine.
L e! Chefteure. Voyez Chetteurêl N&yez Airage. I Prolongés ’du -dehors en dedans, pouffcrvlt d;é- I cçiîlemebt'à l’âir. Arri A if '.pipsi... iPJT^l'ôurr.mii.
\ TermmésrqÏÏelquefpis‘ en_ entonnou^^^^Sfdrr'
mant quelquefo^&l^pffiicliér ,*
Treppen mrk^ÿ;6-.~Tuyan d'airage'pVçortefvenp
de cuii 11’ Q-s 8:^Mlot>:elc^> alix -a -atthcii ..dih---
rents pemps. dLh4’'âTince: ’^f - ^
~ ïPo'flj'‘jfordlnairè ■ lesTtuyaux-d’a’ra^eyfontidç’fer
quarré & en1. ïfoîs forés, cbni'rti^cGuiydbpü^bn -fâit'
| 1 ufegefo^Shles pompes hydraûhques*^^pbien fait»
avec quatre planches!|^^MJÈ^&'î^S!^étàbfis; una’
r M i n é s a ■ On* le» fid pou c-
| ment aëWe lang®ar”â5mîël*tplariGhe, St une 'de
I leurs ■ extrémités * tou jo'orst pliîs p'eiifôoééann^qn on
| piiilfe • les emboîter l’une, dans Paatwi|"nf:faut
p'-dSjitlfé fdlent bien -unies *ëZtétieuremept ; afin
que l’air riéLtrbuvé'point. d’au(te'.inue'& d’autre
entrée qu’aux extrémités, les points Cont'-garnis
eu glaife* l’entrée dé l’air par la
forme d’èntonqpir que Toéf. donne à* l’extrémité exté*’
rieure. Il efteheore néceffâirequè ces tuyaux- féijfntf
plus étroits , & qu’ils continuent * toujours d’une
égale largeur : l’expérience'a-fait «Snuoître que
les conduits larges nfe’.fSn&’pas aufti 'avantageu t
que les conduits étroit?] parce qbé”’P®?pMft'
comprimé St denté dans CM1-derniers, a unte cii-
culatron bien plus vive & bien plüsi ftâîche ; tandis
que dans lés, premiers îl eft toujours trop
expanfé , & refté conféquemment foiblê-S TawlAtÿt
geur la plus -ayantageufe éft dé" fix poücesl Remarque
de M. Jars :fur cette capacité dès tuyaux
d’airage, ÿ6o. Les &ÿaux d’aiyagéolltTavantage
de pouvoir' s’enleVér qüân'd’-'ilï; de fervent plu»
dans un endroit ,''pour..être employés alIiéurs.;'V.
Vêntoujts i ou tuyaux à vent pour U fourneau ' i feit.
‘ Différentes coùftruftions des tuyaux- d’aira'gé et»
;Bols; ç 'fÿ , p6à. Gônftrhéfion propofée' & exécutée
par M. Trievrald, dans un cas particulier-
V., ‘S ’etfid,
' Tuyaux de pompe , toujours -de' pcstxti ou de
cuivre, ,& par économie eh 'bois, jfolsa. Le (plu fié
grand qui reçoit le pifton, & qui forme le Pfesv
mier corps dé pompe, eft appelle tantôt Corps
D R yS A
XÊpompeÿ :tantôcr,fi^ah.
\ 1 * / f 3 «U J , r r L t
piration , ou tuyau montant. Sax. Aufter kiel. 10 12 .
1 1 . P.*’' 1 , cl .
k Tuyautés (principaux ) Idell^ynachme X tfffljeuri.
. l'olgiL'u au , .ut,c mdjïtiai 1 u , t r r X ’ , 4‘12.
Tuyaux de traverfedü Cylindre & de l’Alambic.
I -- , 1. lieriVP.à on. Gyzl rb.vlîr# fc ic j -,
^Treuil. \ A rvéj^ui/.' 'D rtztus. 'ü. Â;i,’mMKg$r1j
I T rrlt.çumiitG.. iupvrtun..f ,'irémfe®iS^ro^S
piurr.ua,, , t 1 -'uTÉovU
V * r -
U b e r Schujf. G. Reftant ou furplus du profil,
^ôit' de/la' jÇyIin.é;,j , - f^tÿâit
terrains. ( Signifie auifi: i^^^roaritaigne
au-defflis d’une autre.
ployée à une occupation : outre les. gages ordinaires
des
■ ^inesj ^Ada||i‘ ’fixés|-:|f|t^|m4^ •'
IpierV^ipeur el^ffi^?|ç^fttèin8me Article'
^aWlio^f v j de"^®î^/& autres
tions, un écu & demi. Vacations des Jurés du
^harbànnàgeik‘^^Æ0È^i^iè^M^sr-ipour lèsÿfyi6,
' f 'ïA-iiàdeMMine§^MY
p'^ag^epMague.jMÊ^èe ''îpoütte jGhfrB.c(ri danâ
vie > é-valüé^f^®vâ ;
ivres de
■ Val* T raÿers1 'Meüfchâtel
’de pierre * ® ^
ide
d^néesl^tdans ^’Ouvragé > dë‘
]Genflane^^^mef/de.' véHtables Char^ns-deÆ^r-^'
tre* pèho^e'^âue 4 ès pierres ’.d^fppahe., ^ o y e z r ,
'dans l’explication des Cartes phyfiques, la partie
du Languedoc;
r ®^r'Alface;j^t:feml3il e J a , du
lÈfianbopS de, tèrre dans cet ?endrûit r,' à' -en juger
■Par i 7’4 <^pd |f
’Màkau
d’Herkems, pour faire’ éxpl|>ïÉ^f||p^ridànt • ^g>; ans
unè' ' Miné, ÿd’e ^Ghârbon? ;
• Grand - Maître des.,Mines en
France- ^ajlant » ' ,patr,\l|Art. l'X^
-’^églemerife'ijéliéràl duvimois fd^püih‘^ ^ '1 ^ lë
pouvôîr^d(e||fiiire gaffer tous^ontrats* & mar-
chés d’acquifition de fonds de .terres maifons,
moulinsmartinets |,;v'bois , &c. -de faire conftrùSà?
tpus édifices & maifons, acheter ;outils & uften-
liles nécèflaires„,’ ôi?4ânner des paiements K ||I|a;
vriers, Char tiers, Voituriers , Méflagers/,& autres
perfonnes -qullj^mvient employer aux. tra-r’1
vaux de Mines} pouryu que ^lu ron^fen' fqjK^ris1
‘fur ce 4.quij reyientia^^oi jvîfArt. XVt’^audeiôf
autorife tous ces marchés', baux & ordonnances,
'ain^que les ■ qùittÉqcMf& paiements, .1 la charge
que lë^ioui: foitxbieri Sc^dàement dôntraéfé, &
, que* le Rècèveur géh^rabait 'fait vérifier fon- état?
par lie Grand-Maître.
' ^-^g^^ferage foütërtàin; •
Houilliere*, quj^vfe prend ^ au-|pr incipal ^ëhargeàge
on angle droit, a la direftion- de la veine,' &
"e^fcivaht)|^ pente.
gnè .ou borgne Fafiée , ligne oblique lorfque la
direction dé ^af 'hpücKewëftv tfôÆ4 nc 3o'o5|
'260. Co,ijlrefi de Vallée. 2.^6, a.60. Demi-Vallée.
a 2££. droite. IÇallée.. ^oi.: Grande Vaàét*
■ 1139 .
.^cheval.- j2'8r. Airage de Vallée. 267.
Qmâre de Àdallée, Cowette.\, ^'O^MH^tiajrgeages de
lO'Mî/iragp i VfÊM 3 oy. Baxhiffes de [
Wallée 204. Fmmzx de VoMez. |mfyfffloÿei Vay.
Ghyot, dont on doit avoir de rechange au principal
chargeage. Faire hoirgpir la . Vallée'. 2.$ 6.
■ Chaffer la Vallée. 2.$q. TTr/^düfl^'f’^ ù \ Va llée.
?{Î!orqâ \ ouvert/ dânS^
lé cjâfee;à. Za Jlee d'îfiïe1 grande ^Vdllée,^'
Valle. Su. Allée, fuite, Jile , pile. Stein VaÎ$ .^
V¥^ée^^m^GKA?mEikYiîëvk. | En^oncépieM
qui efl: entre deux rangs de chaînes de m!âhtpgqw^|
lîphpp.j I J
^ ^fppur' feryiç
'.dec^^ue|aux eaü^^‘4f |g ë S ^ p | |^ bure / :à
l’endroit ou arrive l’eau , & étroit dans ià ' partieI
va rendre^ dah&fîle^
1 tranches, ^Le i V^|||||plac e àu tejur^&ànd ’onf >
pm^ipas dQ^xh^û^’Enwfà dé^Viifjip\ oij ' fahiaflees
dans !4eî ' fS erres, dvlVànixMya.t
de pahages. Serres ^euagéésfdphsIles ; niveaux du
bure , ; pohrfM eaux ' dis > f&hagesf £ 5 $.
V y) ï V a p ç u r & Ç E t u i / è ^ $ tuVÇs‘ J
- Vapéur0 ^Machine » rnâla
propos pompe'à. feu. ^■ ■ oy^W^açhinëm'
'i|fmcipe>4dtf^ipbûvëm -pompe;’. 240 V
ie^^uôi cof^^^^dh am^pé. ' Iaem\ ^Vâprakv
de l,'ëâü*qu'^îpouëMa'n'^”0^ de la machine.
Sar^pree/, expùflivî^^^^^SSufi’bH^àÿWSl^^m'J
^K^aÉmô'fpËeFe^ êt au pèids uun^^p’^ ^fÇ o ali f
I <• -pieds 'de^haû’fèub
prëflion de l’atmofphere étant équivalente'‘au poids
m^K^pl-dnne,o.ïWü^de 32 pieds; de«baùtedh, pul
s’enfuît que la ifdrcë' de la -vapeui? • e$t' M^pfq^ori,
'eh^r50nj|
^|^^ortude la vàp^jM de • l’eau^ouillanteî.J40
412# JBrppbfîfions* 'gehéràlés^ftiiMI^^Im
Phénomènes - de . la va;pjuÿ de . Feau "bouilTante,
. fi^ ^ ^ ’-^îlje^urè^ur^lâ vînàn^ere don&|£béf^ihfe la
vapeur. ^Conjeâture'Vp^fiçdlje^
pour - au’g & é â t é p ^ ^ p ^ t i^ ^ e ^ a ^ ^ s ^ ®^
^ Réferyoir a Vapeur, bu.petit bÿlindKrèdàâsi,la
machine ^yëpeur. *' ‘ ‘
y\ k,Vapeur'l.fiuterKainès
: malins. À^^oli'L
, àir. Common Vamp. ANewcaftIé^f^%t&.^^
A Liège '’'Çro^J^^fip^a. cAg^i'c^lt^^Srgi^’-'i&e,;
Schwaden. 146. Gravis*htàlfms. frfér immébitist\ÿ^y
Su. Waedret. effets
,fur les; Mnëdrj^ô'nt'
Vfefëntes/cjrcoriffançes , promptsIqM
fâcheux. 5128 j 925). Immifcible à l’eau. 5)28. Leuf
,-éau-fe peu connue. <?4(5. Les faits ‘Seules dires f S
cet ;§||ij|t,,; étàiblEiefit : des différences ^ dans ces
vapeurs > du môihs a en juger par les effets très-;
diverfifiés qu’elles . pebduifent. 5)71. Vp^ez Eauxj)
■ Voyez Rapport. Lés unes/| éteignent les lumièresïs;:
fùffoquent îes'Ppyrier'sv^^^^m'($:* Y oyez Foumcm
pM^GRaa^m^tout' dans les', lylinës çoùlMefl ouyri-
ges'^®raété interromp^^^^p^^quelquefois dans
des parties de veines, feulement comme danMla
Mine près 3és1mô^tagnes'iâe^ t au vbifâ
nage de ^Sro'by Eafton , voù.ül y a une très-gfando/
veine, dont la .partie thibyenne.
tfès-fqèttMài^^^WLés autres ,( dangereufés/ eti
m^qahtvfà^S;®auffêrMS|’iffl
k,tion fi oçfa^rbphdmu^feu.' 2.6a^ ^ p aD ’aiitres
Occupent toujours lë'fôl dles galeries. 972. Vo