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- '* a.4mct;ieiji&-Wfep .dorure
au .lolrnaffltli!■' * A^jÆgqiyfJeÆB)JjiuÆ ^ T ^O à y i.iÆ ^T ir
fjle.mcnLlMm j j t ^ j S y y r 1750 ou de 1800, &c, 11c S’cft.t|oygLj-jj^de^
11275-. 1« j k \ iAmïS%v*>.I
W 5i5^g^^^ip£|iW?Æ‘ PV’djiV^fy.dans lu quâl.tu.d'a
ce p ai 1c , ce qui a caufé quelqu’embarras au 1fourneau, & a proci ré des fonte de, q alité infé
ïieure, de même que pour les Numéros 563,364 , j 65 & 366, pourroient trè -bicn.auüi p bvt
îr^a^Jl aÆüjPLtibhrr il cl lejmcft a c e couic luiN* 362.
( 2) Cette remarque ^mblé^îCT4 0nf^^^ ^ ^ ^pK^ ^ ^S|^^pÇa-Us^nprùdeaÈ^â.^&^^^^^ùxipEg|ii
mieres opérations dans un inftant ou le fourneau n’étoit pas eh état de fa marche ; fi cela eft , n’auroit-il
^eournutycpSit, du( Prÿccs^erbultar ccl c oliLlsiau qKsjraf,
échappé : il n’eft donc pas poflîble de prendre '.cette allégation défavorableme ît au fourneau-, néan-.
moins on fait exaétem'ent fur quoi compter à cet égard par le relevé du Regiftre du Commis de la
mai j 1 des fers , que nous donnerons à la lin de ce Mémoire, pour juger & de ce point, .& de la
différence des produits au feu de braifes de Charbon de terre. , .
" 13 et purnea,rp#iidain le mdioj^vrTjj
à celui qui s'obtient: avec -les ( harbons de boi dans ce même fourneau.
(4 ) Que penfer g eu égard à 1, tenue du fourneau, d innée page 1 79 1 , de 3 12 à 324, ) de cette.,
manoeuvre forcée pour les charges.. formant un volume total- dé 6 2J chacune i En faifant attention '
à . la conftrucfion des parois intérieurs de 1 ouvrage du fourneau en pierres calcaires- , & à la
maniéré dont on a bruf é air fi l’admiflion du Charbon de terre feul dans le fourneau', n’y crt-ij
Pism^ffl^p^ I^ K^E^d^fctubtTW-^uim^U^ri^Se..de ruiner b.^dcj-piu^ei^pour la fuite du,t nd-ye,*}
le préjudice le plus ré cl ? Les informations que j’ai prifes à ce fujet m’ont appris que , depuis les
opérations de M. de Stuard, le fourneau n’a marché qu’au préjudice du Maître, & que pour moins
perdre on a été obligé ( Q le poids de 1 1 1
ges à 14 , ne donne que le poids commun de I ; O y , ce qui eft un poids inférieur d’environ 22^ au
S^S^^m^HttjMSifes^qucTÉ M.iîti o dq/ourneau 'wBloitjvanfi1 ces expérience,",
de La marpite des -Fers.
||gG.f ) Æ j ' imycojênt' ob~fei,vé d’une pai t d«ns l’ufagé.jjts bmf,s dgj^ f f i liM.jd]5ci eWfRe 4 HLnifëï
employées tant à la forge qu’au fourneau de fufion du Minerai; cette réuflîte obtenue d’une autre
part avec les braifes de Charbon de terre de Montcenis, ne j rouvent ils pas la néceflité d une at-v
tendon pâi tic ul.iere a avoir, dans la qualité du Charbon de terre dont on fe-propofe de faire des
Ei ùfes? Ne fuit-il pas évidemm nt de ces deux différences, une dépendance certaine entre le choix
du Urarm’ i*? gc le.iicgré^du, cuifage ,.jc]üj',n.è.i ddl f pas, être le nieuxUjgBFtoî^^TesjrfiuàffMBEy
4 unrnonHS?
î^^oarjfaciliter la rcùjEto dc,'Ler-e fahric innn nix pt tfouriç^.^umcYOüumicnmh.jt'rcproiidre .
avons de velcfnoçj |g|r,pic^dc dans" toutes J77
êfptce de braifes de Charbon de terre ; Uui fabrication m gên ral
Au furplus, le choix attentif des ChàrS ms de bois q.n ont pu fuppléer au manque' d’àéfû ité du
Charbon de S 3 tie n n e qnolq e fourni: à un fécond cuifage, & qui doivent être regardé comme-
îes principales câùfes de ce produit de 1900 de la gueufe 3 62 , ne doit pas ici détourner du vrai
point ; c eft la qualité de la fonte qu’il faudra toujours apprécier ; ce qui va ê re
( 6) Les opérations , depuis les 7 heures 20 minutes du foir , 29 Avril jiifquau premier Mai, à
[11 heures 30 minutes du foit, paroiffent avoir été fùiyies avec la plu grande exaâitude ; dep 1 g
ce dernier iiiftahc jufqu’à la coulée du N°. 362, qui eft du poids de ipoo, il eft très-douteux que
ïon puiffe y faire tout le fonds, les obfervations font trop négligées le fondeur dans ces derniers
inflmt : s eft éloigné différentes fois de fon pofte, a été occupé à faire charger, & régir le fourneau. La
conduite tenue fur-tout pour la derniere gueufe coulée , N°. 3(12, offre des variations fufceptibles de
beaucoup de réflexions & de queftions. Dans ce moment où il eft ï propos de ne pMqt-Htii-errori pre
Procês«verbal , nous nou| contilnt'&ns'J'én£géiiéral de rré^nuTe'Let'teur.
fur cette circonftance, & nous examinerons à part , en finiflànt, la quai té de ces mU.
fv^i Bans éfatef'fevucâEn^eÆ fait aucune mendon du la CTgûfe y c.r 3Î^ i djMpgrds de aa/g-j) ,
coulée après 13 charges , qui eft au moins du tiers de la charge ordinaire du fourneau dont on s’efl:
fervi. Les Maîtres de forges ont à décider fur la raifon de cette difféjtence de 42^ én moins de
celui de la gueufe N°. 3 37 , qii’à effuyé .cette gueufe N°. 338. '
On n’a pas. non .plus éprouvé le N '. 360 ; par quelle raifon ? Au, furplus les fers qu’il- a produit.'
fe font trouvés , femblables à ceijx "du N°. 3331 ; l’examén-qui en a'été fait depuis fera rapporté eu 1
(8.) Les fers provenants des fontes faites avec les braifes de Charbon de--Montcenis. étoient pleins
■de nerfs , & paroilfoient très-bons ; la qualité excellente a été'prononcée d’après la contexture de
l’étoffe ,i d’après l’apparence d’un bon fer nerveux lorfqu’ij; eft refroidi, d’après quelques effais, & ces
effais font rapportés au Procès-verbal; mais des expériences font-elles décilivès î Coïi {latent - elles bien
l’excellente qualité de ces fers ? Fojiei ce qui a été obfervé fommairement én parlant de ces expériences
Î0 g,4 I.3XX-:
Pour accréditer une-pratique qui ri’eft pas encore bien connue parmi nous ; les Rédaéfeurs du Procès-
verbal devoient-ils fe prefter , dé, porter le jugement qu’ils y ont énoncé ?
-aveç le^J$it0 h dg^ChdrM'otSf de • Terre.
fer, de-barres, Iorfqu elles font entièrement, refroidies, St-qniiaêté publiée dans un Ouvrage deM Grignon"
'Au furplus-nous foinmes en état c e fuppléer à cette omiflîon des Commiffaircs, la perfdn-ne i laquelle nous"
fommes redevables des détail hiftorxques que nous d . 1.0ns ici , a bien voulu fatisfaüe à toutes nos
demandes, & nous pouvons a-ffurer qu’elle eft digne de toute confiance, non-fe dement comme témoin
des expériences portées au Procès-verbal, mai encore comme Connoiffeur. Voici les remarques & les
expériences faites ultérieurement fortes barres de fer fabriquées avec les gueufes, * **
■ Avec celles Numéros 339 , 361, 3<Sa, il y a eu quelques barres febriquées'; r° lés fe?si-oro •
Venant d« N”. î |-9 soient 1 apparence d’une bonne qualité; mais ils étoient difficile’ à
le marteau étant chauds, lin point neceffaire d’attirer la loupe en barre , & ils ÜftSié’&'lftSI
difpofés a éclater de toute part; dailleurs ils n’ont pu foutenir leftampage à chaud , non plus que W
Numéros :3ifr;.& 3% i & ° > affure dans lexafle vé ité que ces -fers Numéro k o & 3&1 ■ ï
de la qualité de ceux, connus dams le commerce- .p’çiir Rouverâins, ■ $ - 3 - V^ UL. *
2°’ ^ eS fetS Pr°venants du N°. 3 61 avoient cependant l’apparence de la qualité la plus fupé. i, t le
etanTtrès^ervegp^fants a4g E @ f g u i l ^ f e ^ ' f a d r i ^ ^ g ^ ^ ^ g M g a M i
E l^ ^ ^ J e e ë b ^ ^ e e n f e r i fo r g ié ^ n t é t é , ^ .. - ■ * - *• * * ' i ’ ^
H H ptovenantsdu N . 3 62, dont le unéra. 0 -
<ïft£haapfde ^fe<®Vm'aï^lrifonsrwuv>-, d5 ltf.uutJL r'uL’i-tSf'uvIl
au-point que le fer. forge ne prefentoit dans fa caflure qu’un gros gra vu-lgai- t BKHHeI
■ crapaud) terne, avec 1 apparence du lajfaat du Charbon de terre. Dans le fait il fut 1 I
JB S ’g ia a i i M M l i l lW B i B M M B M a -,
parties de ces barres portées a la groffe clouterie , ce n’a été.été. quf---- qu’avec -1-------beaucoup - de -> peiné's.”&• - de .
fo'-i-i
p ?op et parvenu à en faire àu: feu de Charbon de bois quelqu
. ,dfdüS' dont les parties étoient, mat
9 ^ 8 IgiM® L _
<4 Lu y a i é t - h , afrrr’ îfefei pirt dé M, dctS^-d'. rbtV^Vé ’enfffi.j’'ù u r t ’éVVq ' , ï
de bois 5 ces fers ont foufFert a la clouterie plus du- quart de leur-réduction , tandis que les fers or-"
dmatres n y lupportent qu’un cinquième ; en même: temps ç e s :^ ® ^ i | emporté à la fabrication à îë
f t l l l ' « plQ-Viitiei' .un: • temps plus -donfidérable | enfin à l’emploi ils fe font trouvés fragiles : un©
fÈÈÊ, m W Êm M deUX § É n’a pu être defiine^ uu rouag© , nionrfeulement parc©-'
i^u n ° ”t pu. lupporter Ÿeftampure , mais encore à çaufe dp leur grande fragilité.
: f° . Mèmès ofifèrvations fur le Numéro 363.
Les épreuves à lai Clouterie, énoncées au Procès-verbal , comportent plulîeurs remarques ; il e-ffi
adBoçhsft^Mjpe favoib <3 ® ,S # {^re'ave^rfe^r®eiSP|®^^»,res'fÿhtSéf§s.3f^æf3^ffi
SrLes fers;.proven mt debds fnï ,lo.f mt’tro-iVi dbd.Tqf'.dit,. il.f’p'hSmtc'icîirc' >p ’uii*(lV er> pr s i
^ an ts .^ ^C T p ^ e s^ feu id o -b ra ife s . ^ ^ ^ m i d ^ i E t i l n ï i ^ '^ l à été obligé de tes mknef
avec grande perte à la Clouterie , & les Confommateurs en des reproches,
r -cie?iMs.pravenants dès.fontes--fain- brailvqdù.Oh,ub.m dl Motitcems-,
•^fpleiM-^p.nerts^na p M ^ p j ^ e fu ^ a g ff il.én WBfBKWÊmMQmM plaintes'wS^dart de*
Conlommateurs. . „ r
* S H B Wesfmokeaux 2e fohfg & dg WÊÊÊ&H S tHu à é
authentique ; mais u® bon nombre d éehantil^n^ des fers - provenante 3 69 le d 62.
donnés à .une pe.rfonne-.qm-a bien youlu^emdeflàfllg^^na^^TO^m^
qualité, ainfi que ,'cle'cëlfê '<fe§\font;e^q^n#3 ils font' provenus.' -1
, É X A M E N D E S C O m p U S l p m D U W O C È S -F E R B A E
E n ‘r ië jcH $ | la n t v o lo è ^ é m in ^ l l ^ t â c l i e que je mefilis’ iiayôtéè'daferfton O u v / àU 'ï
un meme' côüp « a n g i n e s page 1 1 1 1 .'i iM l M g H H
rap port,aux;ufeges ordihaiïèli du Charbop*de te r re , mais ^ c ^ e ’" t o û t P ® ® o ; * r o ; ê
touchant k ï ( J®E ë re n te s itentatïves faite, ‘poùi en multiplier ‘ Voirf!
è o ffié te n d r e ^ b o u r en peïfeiftioanef les avantages , j a ï 'M fom p 'a fe 'c 'u lf^ ÿ en t p o u j
£ é -demrer Æ r .® le de me tenir en garde- cdntre toucè efpeceS !tfe” prévéHtion 9û l ’enthofS*
ÆàfmeV'.'jç ’l ’^ f f ic u n e raifort de préfenter oil''d ’,adfê-fter H H 'm é fS a h V ^ l ’ê t r ®
^ e s i iE lg § # ^ '« l ux ou imparfait^, è to r e -^ tm is des procétkssüdUfeaHepx . voyez « 4 1
1 1 8 7 . lie s queftions, les'obfervations’ftjmmaire^àu^qîfelle^'^Mavons cru devoir d om M
place en e x p o ï à ^ ^ i mqutment les opération d ' M de S tu a id , "’ont du fuihu. riinrflq
feirp naître d’a u ^ f f lp e f t i o p , &j|^qur'donner l ie h - f delf’fige^'pluà approQû ü l , ] J |
part des pëï&nnes ' ® , par état » 'o c c u p e n t ' en ;g r a h d \ ^ travaux vmé4llfti©qifes,Wlè#
conclurions qui ternfflMnt le fProPès-Verbal .ndü^ynt'^Baru mériter .d’être difeutées à parïbl
On’ ne peut fe j diïïi^M er qîi'yjhs^fqnt '.tîbp généralifées ; qu’en oftMdfe ïëifebÿlîelïee n a
fdnt peint c o n lé q u e n ® aux op^rapons auxquelles,on a vo.ulu -les-rapporter t- ces opérai
tie n s ; n âpprennent r i a B a s . a $& i la queftion à laqpeUe fe r^dpiQce que l ’on
en Frange depuis I p H b n p s , & que M ld e * Stuard aAd f t j ç h e r c f e f eft .Bîént’p l le ,
IVÇj;«* page y ÿ ^ ^ U a M ^ l e s d0|ft|sîi& les conditioûs, il ne s’agit Squs de tiotiver daiii