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»yîeffimée de la boui^QÎr.ebfoft par ,un^|h'|triih'ée?: l’eàtô p d f r t ^ aM l ï ^ i t
« r^lffÆrJfftu ^M â >Macliihfe ; .celle portèe&knsi lpsgr^^dti^fyÎE«ïgrr â -tel
» ufage*que,l’çn veut ^ ç e ft elle^ui mefureise-yrai p ro d u it'^k ^Ê eh in e .
Deftii£tj,Wtiles fiqrtjzék dii‘sRi.fionMtp0Rt£fès <âu oSteâfn ^E'tfgt^e
feh voy *®sBLiMLVII ,'5%’.* 3- <5 -4 - ;
n.LÈ‘!“fuyau .d’afgiradon A B , eft uni "au^cërps deiqBompetnCr D E*Ft
wïSÊiêÊtà f °ljfeair.p .ayant urfedoupape "l’e^drôit -de^johéHop': lé' ?tuyau
« Apntânt F G ,K L ^($"';auffi,açcqnApagri£ ftuiaë'fâupitpe iVpjpoïit»ffier
pgdsjCQxiAégfâCeL lef-
»*4p^|e;a{fez,^.ceJJ.et .quj^ft e-xprintfé^ parjla fixiçipë'ÿ^ti'tèHde'vla ’^toache
» deUxieme, LE K s jP .refile en^eftjout f différedt^lef un
» cylindre preux ^ 'p ”,cuivre, qü’on remplitde.plq^^fï j^teurëlyjfid^’dÿB^^ffeids
^.câpabletde.refpulerjj^tf^ui dott^pafler,'^)^ lcj-fejyaû mqrita’ntff & Bægpme
Ala'hautçu&ile cette" eau pourr9lfç'être'5t^ lp ^ ^ .e |lg 5|ppi^^lu'jBiftg^|^^Hroit
Fgas^ofale furcharge,avec|<fes-tables de'floïhb‘‘'iparqü'é#si^pqu?0fi!té||le
»5dbasla*yergë>rFTêhpü^grancl.n’ombre qu’rL’e l^ ^ ^ |lr e ^ ^ è ^ îp ç iu jç p ‘oi
» la tête du l ^ ^ ^ iç'cjjtrc point dans le corp '<le^J^rfpc^i>une tf p r e
>, quarrée d’une capacité fuffifante pour feryir de bafe au poids T.
» Pour éviter le frottement'du Pifton contre la furface intérieure du corps de
» Pompe, qui ferait confidérable, s’il avoit lieu fur toute fon étendue, on a donné
» au diâfeeïre du Paftqn^pux où trqis lignes de.m&ins ji^ ê e lu i; d»u-çc^|jMgom-
§%>e, afin de biffer u n 4 n t e r v a ü e e n t^ d e ^ ; c e p e r |d ^ ^ r |& n ^ ^ ^ S o m -
».municacjon -de l’air extérieur, qui fêtait ^ <P’ eil"j
» refoulant, l’eau ne forte par l’entrée C D du corps de Pompe , on a ail-
» pofé cette entrée d’une manière fort fimple & fort ingénieufe , mais qu’on
» ne peut bien entendre qu’avec le fecours de la figure fixieme , qui n eft autre
» chofe que la partie C D mife en grand.
» L’entrée L L , du corps de Pompe, eft accompagnée d’un rebord K L,
» qui régné tout autour, Sc coulé avec elle, comme font les brides ; fur if
» rebord font appliquées deux ou trois rondelles de cuir E F G , repliées
» autour de là furface intérieure du corps de Pompe ; enfuite efl un anneau
» de cuivre , dont le diamètre du petit cercle tient un milieu entre celui du
» Pifton , & celui du corps de Pompe ; là-deiïùs font. pofées d’autres rondelles
» de cuir A , B , Z , repliées comme les précédentes, mais d’un fensjioppofé,
» le tout recouvert d’un fécond anneau de cuivre H H , dégèle petit dia-
» métré I I , eft égal à celui du corps de Pompe ; cet anneau eft lié avec 1%
» rebord K L , par des vis C D , ajuftées dans leurs écrous ; ainfi l’anneau
» du milieu fert de guide au Pifton, qui ne touche qu’au cuir Z G , avec
(1) Architeâure Hydraulique, Tome I I , Chap. I I I , Liv. I I I , page9 B -
lequel
n W Jl i l il ii S P ' R T" XOP
»lequel iLeft jntimcmj^t. u 1 \ i f f i f f i g f è J l u y »a toujoMSa r ÜglR. la
n a v e t t e c u i r , fe^nldifflient rrij^b jCM të ^^ ^ ^^o u v an t M&opler,
qua 1 ur extérieur ne puiffe rompe*
jgSç cela rd^lajuapierev qumiqnde la glus c^m<ylq^^mfqu’b'n il
en 'to n ''f® ]r
jylàp être rjjaügé d'e .déihonter t aucune, dmeepinarties. ^
oléine.,
» on a ajouté jgà a^o'mnmmct*tjorf ’ ■& cc
a^PQmo.êl,,&.qm^ i kfernié p u une
îile^rgpinet ; & ,qu<.ncl .onj.vqut ntLMÜbÆ.jtendy .danv la^^^^^^Mbn
>1 que tourner la clef S ; .-Sjéot^^^a^fôlemê j ^ ^ l o ^ e i r e Tdle< bivpouîîeà
» par J ’sfiro&^u Pÿoir , la féroit^imiür^JÆec. impé'tudfitë , on lui jopooîe "fine
»xpliqueipç. cuivre '^Z , poitée par-qïïaere b ra n c n e s , 1 f e nf,i n b fc niinî; la
i9> figuré» le -fVi t enegre au.comn^^Ji^iitfclc l’afplra'tlon',
^BQUlî.cliairer Ipromotemcnl. quq «til etfflÇonii^é de
» lortîr par le feul tuyau montant : on ouvre & ferme la clef S / alternative^
»«ment quand le Pifton monte '.^ d è fc em ^ ^M i^ a laA lh c liih ë 'd'iT'vuidcJ?^
Defaiption dt la Pompe a feu , établie fur, ii/it Mirie ouverte dans tannée 17&J ,
d 6 -milles de New^cafllé. S
’ M. Jirs., de^qur nous* empruntons cette deflripticAiw*j)._& celle qùi va
ijrl'Twi nrétend quon n’àvdit point '.epdqre.vu de'Machirie a ^ e u , execùtée
avec, autan^tlptécifion q ^ x o lle -c i, & dpm’le ’fetK folt aùlïl ailé."
, " té diaïnett,e du.cylindrè”.eft detfoîjouces f ‘on y atrlis amlT frais Tuyaux
d’injeçmK’T
L’axe du balancier n eft pas fait comme les autres ; c’eft une piecë de fëc
^ ^ d t f , d’envirqné pieds en quarré, & de !■ pouces d’épame^rjqious & rîiiKu
detkquellev eft l’axe” en forme) de c l(^-c e rcK ^ ^n tl^ ay o irp eu t''av o ir1 trois
■pqyGüS ;4 e tout ne fait qu’une feule pteqe.‘La pai tic ploap1 <Sl quirreé 'à quatre
trous à chaque extrémité de l’axe , pour la fixer au-delfous du milieu du.balan-
cier, avec des lames de fer qui l’embraffent entièrement, Sc. qui font alfu-
jéties avec dès écrous ; cet axe. eft placé au milieu dans une boîte de hromK
Müi lfe çenfepme dans toute là; longueur , & qùi ëft toujours pleine d huire
ou de grailfe : on préféré cette méthode à celle dès tourillons. On la^uroit
aufti la meilleure , 'ëti égard'au, pôldsiprodigieux qui fait’rafltïnuellefnent' eSo'rt
.fùrf.aXé,.....
1 Cette Pompe à feu a deux chaudières ; elles font féparées du cylindre , St
communiquent leurs vapeurs par un tuyau, qui répond à un autre petit cylindre
JHË.1 ) Page 15)8.
Charbon job Te r r e . II. Part. ' N 12