
i i i 4 ' D u CHAR B O N B E TERRE
f^fquïl jtiro .dans une pordè 'du cêrcsle',tirant la,. ppuirè^hdrizontale .demeralm
y à angles2ÿgus ; ;elkVçnt ,que;dans^|Trottoir de . i 9 -p ied s|^ â iam e tre^
« i’Autèur ) un cheval'qui perdait deux cinquiernes-.de, la-.force
»■ qu’il âÿfcïdans'ùn Trottoicdë. 40 pieds de diamètre (i} .-' '
» » Dans la1 plupart des grandes Villes où j ’on.a befoin de ces Trottoirs ,
» les Charpentiers de moulins n aiment-pbint à fàire-'degiands.Trôttbirs-.imêihë'
» quand ils otif deda place-, parce, qu ordinairement’le terrein-eft^rédeux.dsp
>âV-en d ro its,M’on eft.obligé-de s&teblir, & on eft accoutumé àifaire les'
» barrer ctiourneryoMT de 'petits Trottoirs-, en imaginant qu’il fuffitÆ^bnner
»la^mêmeivkèffeîptôpbxtiphhélle ,à- la .jpuiffançe &-au'poids que boiOEnne
» danstes- plus gratis TfetcèitSïïO (àpatce ;quëffi la grande-.roue, (aÿi e^diun
»idiametre fi. petits qué- le „cheval 'tire -près, dù èentre -, la difficulté-détirer,
*-fi 'répètent îpdùrÆentortillement'du cheval, ferait ■.toujours là ffi&dp)|iët
»iajfântpas', réflexion.à l’effort q u e fo n fà it faire au cheval; ouflorfquhîs. |>nt
•« trouvé par expérience combien un chevàl peut ^tjrer aifément, &$juelS;
*'fffit%s*défavantàgès quhréfultent" d’un c^urnoyemen't fùbit ,-ils ^ v e u le n t
»pas profiter de l’avantage'-que leur'donnerait <-un plus g r à n d 'e ^ e y ^ é jb i -
»gnant cette difficulté, parce qu’ils tiennept à la méthodeàdaquèfldpPht
» hafiTiùés ; mais feTcharpentiers "de’ moulins*, càjt trÈ^aill^ aux^Mines
» clè ’Ciiarbon dé pierre , font plus, inteffiggn | ^ f f ptt~e matière ayapt rété
» .acgoutumés à de grands Trottoirs 'poiff ïès chevaux dims lës'-Mines.
(i)T3anste Carrières Carcfoife, en. Anjou ,,
*Wn donïe^ordinairemenÉl 24 pieds- de ‘diamètre?
àu man’égè. 9H S ... '•« - • * • •
ï f i ) Le Tfïtitfaeùr de l ’Oüvrage'a;ren'dû dMae-
maniéré ®g;Mtis n’avons pu adopter , quoi-
qu’elle l’ait été: par les RédaSeurs deTEnçyqlo-
pédie; oh®îtiôuVece fragment, le mot-Cog-
yn. 1 ou en Anglois figmfe, loî^u'oif £1^
de Maéhines y toute èfpècéÆé'fRoûe armée dêi
pointes ou de dents, nommées Allusions, La partie
.fupérieure des, R ou e s, dont onsfi&err^dans
lés Araôifieres ‘dJS'njooeàpCîEélever lesf'eaux Sc
les ardoifes au jour, eft garnie de ces Alluchons
perpendiculaites_ata p lïjr a e ’la roué pquïÿft, ho i
,rilahtale.'‘. ;
Nous avons auffi rendu le mat Anglais-Gehk ,
par l'expreffion barres à tourner, qui convient
davantage que celle employée dans la Tiaduc;
tioïï'Françoifé, "J,
ARTICLE TROISIEME.1
G l iO M E T B # , S O T iM 'm n a t a t ¥ . z.PartLv'Fl.Lir.