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^ fon enceinte, n’eft qu’une pierrée |toi-‘iÉè^Sé!iifvéd®s ;dq-.âv6ÉerÆi
terrain, four q u e lëV ë kW ^ a i^ a iiï sa ^ è 4a 'V&îwto&Wff, W ih fy
p i|M rI^ ia s plus lfoin<,' <S& faffe porter fur cette pierrée led fe tti& jl^q ffi^ .
tprç» 'ksrfgu’ilrsla5„d^I#gc; ; la diftancède 'dette entrée du' quartier dè11 rfe'fnlfgè
terrain- ckns l«quél l ï ‘»yoitwe . ptiiffe venir, .décharger, & éHloürnërI erifiîitè
eoraaàoêfeiegt pou*! rëgagfiei: la perte dé ¥ attelier.- • j
Le qùaftàër-de retrmage étantt-également deftiné-pour fait e-lubir 'cette mf®*
aà ;cbaAâti pefflf les pelettes de dhéminée* & pour les pelottes de
poêles’, i f eft à propos, affn d’éviter la confufion, d’employer^ part®un
iou.r 'Gü afl1ÉéHips,%;îëe: façonnement pour chaque efpece 'de' charbon.
- - Sîrl-’eft- pdlMe* dè'-rîÈëifir toifjbiks un temps' fhfyo'table pour |^^prication ,
ee-quâtrier & les autres péùventÆtrë à-découvert p riais ‘dans tous, le fol doit
êwire#ifeeeîîéié, ©u-battu à’cimeétyeneoeire-mfieux'GaiifdLésMMriqtiëté ; jffî-
là il eft- pies ajfé de balayer de -temps' envtg'mps4e: terréîn, & ori-perdt-ndins
de matière , que lësjOuvriers emporteraient fkns-?cëflh àŸec'.4 éuFsil pieds.
J/étendué à doiainerïàH'I quartier du remuage eft âïfée à; fïgjÊt';'4 ésppérâ-
tions qui s’-y- exéeutent ,~eohfiftent à remuer k^eb®;®mli,!la^ptlfei'oà; à ‘ le
paffer foie & l<f elaye ,-~fbit au'edMé-j-â; bâttrè* le ‘gros charbon * poiii qu’il
« ’y errait pas trop de refte , à - enlever celui quëüron Veut réferver ppUr la
"vente aVec-les pâlottes ! Pétendufe de ce#*qu^®ef^â^^pn^"iOT^pi^^pon-
n é e a u nombre-de-meules-que Fon-^veaf -yrretritietp à-'helnk des ray é e s de
clayes que-l,on'-veut y placer pour'-eette-mêïfô'o|îéràtièn -‘èn-laifïànt tojîjéuts
la: plaee peur le battage- desi'rouians'‘îr&: pour -quelles Tkdueffcëtrrs, qui 'tefi
portent au charbonnier, ou. qui enleverit lMbâû&iq£èsr3Q>iQcii£s de rébut, puiff
iënt aller & yeiih> librement leuie entrée •& lëurlortièJéft- iiSiéifà^ëe' à^droîte
S c ùgâMgke-de la pierrée, qui marque* les limites 2âe*Gette partie1 d|||qkà'rtier.
En détaillant toute rhiftoiré de la^Houillërie'fiié^éàîlèf ; nous avons fuffi-
-fèmment décrit le temuagë à la pelle ; il eft tenâutJd ^ lf ë vpLw!iîitelligihle
par k figure ï de.lâ-Blanche L V I , N®, r , b i4 ^ n v6ît'^êt!ë'’'main-d’ôèùvrè\
ainfi que les fùbfëquèntes ; ëxéetitées: fëü'leiie%;pâr'dès Ïêtelhïes
c eft fufage au pays, de Liège. .
Il ne nous refte qu’à ■ éclaircir le rerhuàgeà'la’eMyë*; If Won5 jugboîtfà
propos*"de l’exécuter dé' cette maniéré-';; le charbon déchargé?!®: la piérrée
quifépare ce quartier de la-cotir d’entrée; ‘étant jët^' à’^SÉ^rëntesreptifts
par les garçons de la pelle, fiir la rangée de cltfyes exprimée dans cequartier,
il en paftè une partie de l’autre côté dés clayes ; cette manoeuvre s exécute
^ufiju’-à éë que- tous 1er morceaux qui reviennent au bas de la elaye ; foient
décidément trop gros pour paffer au travers, comme on le-voit autour de la
îpçp|gjK fig . % x PUutfhÀ L F I , N°. I : pendant; ce même temps', les Brouet-
teurs les attirent avec les rateaux de deflous le cçup de main des Ouvriers de
E T D £ S E S M I N E S . I î. P A ü n *34*
lapelfel, m empsptgnftBmfasde su ^ rb o n n ie rc j fuîdes brouèt®^, & «anf*
p^fçeiic^urre à drokeu^sèi|auàh» «kt- tepreîn ^ .-.« d fe n a ia ïte iè v ifr^ tg ^
la.' ©layÊ^ceft-porté par les - Brouettêürs dans hs
quitter du manege ouvert enjfej^s de tla;fiji*ie du quartier de remuage ,
lëîlque .le Ærépqfé de -ee quarrier. endemande. :
- 'Quartier; ©o HlAHÜâv-'
• > Jlhp a jla tim '-ylç fipuHfeiï> n'sm tiss>-:
■* S # ^ |le ? ^% i^ ïq t® « :ip r fe tédaiieht d # p^llës-:| des; brouetté*
& d^^q^jjiifts remplis d’eau.
i Le chafbpa-menu qui* aoétp trié à;hfudaye ou aüi.e^blè ; bu à la pelle ,
étant arrivé.dans le quarriër.du manege., loPrépofé fait -apporter du clos deS
^tès'r.uii^quâffjàté. d e pâtes'srelatiye^ :fbit à la -iïïefùre , foîtjà la quà-;
lité du chapon »qui y ü ttre -amalgamé avec les terres ttE U fâ p a g e* ii8z ;
. 4 vant’riiêprdifc^itnis à dà 'manBeuvJte qu’il doit lùt&t dans oe; qtïièiiet, lë*
<%iîPri PS»6 quelquefois^duppbrtefe un'mélange d’autre charbon ou* plus
pl-usJpible , -felan les différentes I vues; •
■ mélarig£f;ujùle-( dans quelques occaffons, ;doit ’.ê»e- réglé ftfr ^uèe- con-
n^ifîàgêe i;biéivpréeife des jehàrbobs ^ ie t|bp< as à ,®nph^èr ; le 'tâtonriemene
jar^pweffiisàn p ç tk , #Jtcerqu?il y a d e mieux,-. ponr:<s’aflhiier fcéiç de la
nâture dji'-bhar^ofi, gfoit de la proporciori des mélanges, fort même de là pro**
p«ftip‘n^_d^ la pâte; mjouçsç à un charbon-, feül.^
Il füfSc -*d’cbfer.ver que lorfqu’il s’agit de fabricatlon de pelottes deftinées
H ^ u % e . d a t t ies cheminées, il faut-, tant qtie faire fè p e tit, exclure?
IH k a ^ n g e ^ l i h ; charbon ayàritm» bdetif foVtë^bu pénible. '
^Daps un ^eqdrQit|ott:^^ï n’a pas'à- e|^ifÎEf.le charî)omd’uneTiMïne préférable*
^ i l ^ l u i 4 une autre mine, & où il A’èft pas pofflble d avoir féparémenfi*-
d^&^ar&0nS d?*^i^ . en^ defgrés de force;- comme cela eft néceffaire/feloiP
fS ^ ^ d tid ro it l’employeEiaiix; cheminées ; ou félon qu’on-votidroitÇmn-
pfey^t; dans les poêles , ;ow pourrait-empâter le icharbow &ftiné au* ehew
Wée.s#Veq un fixieme de pâte feulement, $ cdiui réfèrvé pour les poêles;;
àveo un .cjnquieme de terre ; l ’üuvrage qu ile fait dans ce quartier , a potfi :
objet de tneler bien intimement le menu charbon aveô les pâtes, en corroyané
dë;; nouveau lë tout, enfemble, de manière qu’ils fàiîèrVt un fèul 3c mêtrtë
corps,^ C efb cette opération qui eft repréfentée , fig . 2 , Planche L V I ,
1. & quon appelle à Liège triplage. Lès Houilles maigres peuvent fà