
& , P D E T i E R W ^ ,
e_ f t ^ ç e ê f t^ f e ^ d e/c.ouleux d^rjs ; dans,d'autres
■ H ^ H | d lk o istjéfinÆux, il çft p.âle,, tirant B | ^ H §
Dan%,queljues!lÇh^jbogsi4e terre^'bïu^es^/mais fur-tout larfqu ilg, °ujppaîî|.
au feu , &'<§u ils ont ét^.^tei^t§',ia vue^^lerfgjjj remarquer une> texture abfo-,
lqment pareille à celle" qui ÿ ^ ç y p , dans quelquesjÇforbqns djjtois ( ^ J e
par la ^atgr^de leur f ^ f e rapprochent de la^ lité ,d e s Gobons de bois
blanc & ^d^^fefen^^-'jbqis^dur.
M^Rdiotj, Directeur de la Verrerie de Seve, a fait pette reinarque, J
ïnonrÿs',^rèsfudiçiçufe; ( a ) ; & je crois quon,R|dQit p a sk p e r d r e K f c
dans auxquellesg n pourroit fe livrer^, fur Jiejnpipi c^^ffirbon
de dans les travaux métallurgiques.ÆiÇdans fon pplicatjon | x
Arts qui qn iJb e jp in ^d u ,^ . A ceüte p b ^ v a fiiiq ^ ll «faut/ajouter |u e le
Charbon d e ^ o isrne donne pas, à beaucoup près, autant dç chaleurfaue k
Charbpn terre. ;
M. de Genffane, malgré l’qpinion où il eft fur iejpharbon de t e ^ J p y e z
pag. i l 54, eftime que-le pblpgiffi^ue ren%méRans,ce foffilçf.eft pour l^moins
aulfi analogue aux tnétuqx que le Charbon d e j |î s . Les Ephémeride? d m
lemagne ayapcent que le Charbon de terre f à raifon de %-pâr^^Mleufe,
r e n d ie% p îu s doux , & plus traitable^us.le pour
peu qifon augmente -la chaleur , le fer fe fond, & n e f t ^ s ^cilgi k | n-
| § j j ( i £ g g
D:aprèï cette obfervatioft, les .défauts que le fer coptraétcau feu ^Mouille
oe\yâeniqiept-ils pas en partie de %,çhaleur. tr.Pp;prmg.tie,#,tmp y j p lue
dqnné"ce foffile ? En s’attachant, comme; o .n-lXfekqB ^^çé^nt_,^&rche r
dans l ' A du Charbon de terre, la caufe unique quhfé rendtdmprppre à
la-fonte des mines, & fur-tout,des mines de fpT(j n ^ t - p d ^ q i^ lW £IQP
dclaye de cette première idje au moins eft-il sûr ^qp’Ü^aquelq^e^ialogie
entre le feu de quelquesCharbons de terre & c e fu î^ fftp a rticu lie r à Raque
efpece^de- bois. On fait que .ce dernier T ,Çebn.ïà quglitté moypnneHBljft
û pefanteur, & d’autres circonftances ^Ipnt,quelques-unes d%ep4çpt,roèm.a
du- local,.dopqe un Charbpn différent par.un.feu jplqs ou moins v i f ,p f
plus ou- moins ’de phlogiftique;
je dois mebornerïquant-à, préfent jt ces léMtats.fbmmaireS} fur lS G |iarbons
de .bois employés dans les travaux métallurgiques,, & fur les-,iqpports quy
Tf] *Ste3Ien -rapporte qu’on en a trouÿé-ren
FragconieV'près de Gmnsbotixg:9.:une efpece,
dans lequel cette refferöblance étoit frappante,
6c quel’endroit'de la Jfradure étöit luifantcomme
,de lappix.. ,Ce-n’eft pas de ceux-là,.quejecroi£
jpôuvoir àppèller Charbon dt bois tourbz , dont- je
jpaftgJigp’*
wm Voyez le Mémoire, de M« Lavoiiier, cité
m * io
7 j§) ^^{1: :vraifemblableraent c^Su’eritçtt^110
quelques Ouvriers, en difan-t d’u^-jboja- Gbarbofl
de terre, qu’il manie Ùm lie fer. Le langage des
étrangers que nous avons entendus fe fervir de
Cette, expreffion , nous l’a fait interpréter autrement
pageÿrfj f en parlant ’d $ 'Gbarbbns de
Dëeize y mais il paroît qu’ell e
mangerÛe fe r , de qu’elle oéügnc au contraire U*1®
bonne qualité*
^ ^ ^ ^ A R T** •£I7 /
l’on pourroit appcrccym j|n tr e ^ ^® |u ftlb ïè% d ii^ ir e% ' le Charbon d'e”
terre: à'mefûtV^uejMlîquetrai les/çpéràtions c ll^ î^ d e ^ f o '^ ^ q u ite e ié - '
curept avgç^ÆfpM^ y p ft'Ji.fQin de f i^ ^ ^ d rfn g e rdÿèîit^rÆu^L'e'Èieur
fOTces diftérerfs rjpp’Srts^dotftl’idee m’a fembfê 'nférité^d etré a p p ro ^ S e ,
8c, qui P^oû^o^ÇçùjyK’b dj'^qiiyelks vues fur Jc ^en tim c ï
le'étionnerjfccfl^ dé|i* faites, p f e pi iyer le, éharbdn| d^'té’rie ; dp ’c ù ^ ^ l s n:
rend contraire-^à la fonte aesfmîhè^.'
Pour,Jrépandre fur ^Cpàé^mâticre'T'tout M o u r r o n t elle cil fnfccptibl^j
haus\^mmbbc.erons pat l^B^érentesjmamferes^de-prépâ'ter lei'@itrb?mvde:
Differentes'efycces^ de brjujtè$d‘c'\Chirhoii de terre'', It&'Jabricatibn erCgrûn'd: ^
/Ipfi‘dj;ffçrentis températhenrs,., . imaginés pour Jburifîer le fer^ùnife’i*
Réparant "461^18116^ étrlnglrfs' a &:pouX rètènifi eféaion vmi-f'
nerai toÿ.ae7juftl|peruttfpÿfB§*,^ on dffirTejjarÜer- comme-''princi§3le h’efpecaï
que fo ^ r faitÆ(lùyér au bois pouf' lte>Trèduirè en-charbon
quifcdok è r r ^ luÆ n t a u ' ^ . ~ Quan'd/dn â - fongé-à |mpi^é#fdu "mêm'e ufagd
lSfGharbon de terre qui éxigcçitt vJiib'lêî^ciit^uiie forte do piirifieatiôn , il 5'
é t| a f f e ^ n S |M ^ |;h é r th e r à rapprocher .ce fpffile d e l’état da'hs-' lêtÿel le
CharborP/végétal efl;’reconnu propre’ à Iplte ' opération.-1' -,
I Dans la ^ r i c à t iqn^nMpÆfe^pour priver les GHarbohS de leur ‘acide ful-
a B B j^ k » » 1 le-qualifier t;e l,-d ry ’y pr-eçdî dèTdquxl manier^ / j
® ric fômmairêment, pag. 4 1 5 , celle'quifans dopte a çjcéla première ufitéfe
& d ailfeqrs' â, la* commodité de pouvoir être exécutée fiWn inflant à
Launre. ÇHâ|[^efabi;ication fe réduilànt à un appareil, dont la façop-tîê coûrèr
W> aux Ouvriers / il ne fera'pas inutile de faire cohnoître jcî'ce procédé
J llik ^ r -,Prari(ï u^ » nommément dans, deux endroits de l’Angleterre.
L’Autéur des Rayages Métallurgique^, de qui nqus-,emprùntons 'ces.- defcrip-',
fS » f iB ® d o h n e r a lâ ‘fSci’lirel 4 ’y joindre la manière de ‘faire 'cettfe prépa-
raciqîfedans des’ fours, dont nous.n’avons rien. dit.
Les Charbons fournis à l’aélion du ^su j de l’une oq'de Vautre manier^ , don-
nentùrie'braife connue, pour |tre de deux fortes, ou du moins diftinguée vague-'
ment par les noms dé coaks & de cînders. Les différences de l'ùne a1 f autre braifè
lg|-pâs,trop bien ét;é fpéGifiée par les Ecrivains qui .en ont paçlé;fi-leur fù-i
brkationlpeut un jour devenir de la plus grande importance dans beaucoup
de^pays je me flatte ,d^ rendre fa jjéuflîte plus afîurée jpîir la maniéré don*;
g p j i la déveloper dans toutes fes circonftances.
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