
t jpô'i T À B L E
à l'a claie«'1 ^ 0 . Son étendue. Idem. Sa él^iûï'fe
Déchet- provenant du serntfage“ d:d Charbon
«de terrerais »en hochets ou pelotes , ' i> 9 à con-
.ïîdérer , dans le• cas' 'où- il ■ s’a-giroit de tranfporte-r
<ces briques ou pelotes dans des charrettes-, i ÿ f ÿ t
, dont le mouvement & te- cèahotagerîe railïè/'pàs
■que d’en détacher une quantité en menu ■ pouffief,
idem,, qui; • deyïent -un bénéÉce p^uè'l^ôïagàfîns
«en enMe'p'dts. de vente* . ' 1?ƒ y»
' Renchérijfement de la marchandife par Monopole,
Règlement ■ du Brince Théodore à Liege pouË
«empêcher ce tte malverfation. 35*2. V. Monopole.
| Rèripôritrej | Jera||i ) StroCeifen.
- ..Rmiage. fTurifprudence) , fe dit- de ce que
î'on rend, quelque «bllrèfe au Seigneur, au Maître,
I FO.,! ygMii en retire ; Rendage fe prend- auffi
.ppdr ferme , le profit & revenu qu’on retire
d’un héritage ; dans ]a'$Ceiütumé de Liege les
rentes créées par rendage font- les rentes _foncières
, reverfées lors, dé ràliénation du^fonds^En
Houilleriê -on nomme rendagede1 prifes^ - l’acqui-
fition du Domaine utile" de Mines de Charbon 5
ce terrein, «en- vertu dé cefte^ acquisition, peut
être> travaiflél par autant de bures où fAc’qué»
reur«juge vnécefFair e d’approfondir dans l'étendue
des prifes Joüi%^6ies - cédées , & il ne peut pas
être dépouillé de ce droit , fans être deflhifî par
d u Ju g e dans la forme preferite. Mais
c e tte -efpççe^de d éc ret d u Ju g e , que l’on nomme
fèmônce, faifine , ne p etit avoir lieu que lorfque
l a .Société ou Compagnie des Maîtres dés folles
.Entrepreneurs , •,e f te n « d é f â u t - dé -travailler, S p
exemple , lors - d’une 'çèflion de trava il pendant
Ç x fem a in é s, à moins -qu’il | ’y ait dès; caiifês légitimes
d e fufpenfion , comme le manque d’air , -
l ’abondance d’eau ou la g ü e ïrè ï^ r
; Rendeur. Terrageur. ^ i ^ ^ r ' -Prapriétàiffe ' dm
fo n d s , qui peut ê tre èn même temps , Hunier,
te ft- à -d ire , Propriéta ire de" l a : furface. V o y é #
Hunier. Vo y e z Ténrageur.
; Renettoyeux. Rinetieux. L e. Outil qu’il fe fubfti-
cue au fer de Mine. 2 2 1.
Reniflante •( Soupape ) ou d'injeftion. Voyez
Soupape.
- Renouvellement d'air. Voyez Changement d'air.
- Renfeignement & Ordonnance des Voir s-Jurés du
'Charbonnage à L ie g e fur des points relatifs aux
Areines. 528. Voyez Enfeignement de Jujiice»
: Repaire, Ç
T erm e d’Â rrifan ) marque que-lés
Ouvrie rs fo n t fur lés pièces d’un ouyage qui fo
d ém onte qù f e raflemble , afin de les remettre
chacune à leu r place ip a n d il en-neftbefofh. C e
qui f |i f 'le iûême effet en écriture , Notre ; en cé:
fens , R ép a ire v ie n t d û m o t Latin reperire-,
p arce que ces marques fervent à re tro u v e r, à
re connoître l’endroit où chaque pièce d oit être
replacée* R ep a ire , en Àrchiteéèure, eft une marq
u e qui fe fa it -m r ü n .-m u r, p o u r d o nner un al-
lignemént & a rrê te r une mefure de certaine d if|
ta n c e , où pour- marquer les traits de niveaü fur
u n jallon ou fu r un endroit fixe ; ainfi -, dans les
tra v a u x de M in e s, to u te efpece de m a rq u e ,in ê -
in e lin é a ire , po u r re co nnoître'T oüvràge où-on en
é to it re fté lorfqu’p n J a "repris^ - eft quelquefois
tiotüsxCé Repaire Repere, !
•- Réparations. Y veiller continuellement,»pôufc Obvier
auX- grandes dégradations f né point îèS 'dif-t
férer lorfqu ellesfont peu de içhdfê, V. Rechanges.
Réparations des dommages.' L e . Remettre Vfién^
$age enfin priftine ga^on. 3 2 2 . L es Eçhevins de
Liege fonr Juges- lorfque ‘les ' EXpèrts ' ne font
p^int 'd’aGGord^éntr’eu» fur l’éllfeimatiqrf dés d’o ^
mages faits à l’Hurcier. “ ^ ^ ■
Mépariïiim/Y. Hercifcere.Voj. Part dKASHom
nairèp Yoy^IntérêtMIMinei. 1 - 1 • | 1
_> Êep0 euv 0 Afrage. JVetxhieUx. V . Pari. ■ 2.11,
• Reperes. ( Lignes de ) Voy<. Repaire. ' r
Repos. ■ Cltargeage. * Voyez CA'rtrgeflge. Défendu;
V. Repaire.>aui& Hierche'ux derfè rép^fé^ 'tous à là
bf r:
• Repos. Fourneau. Chambray. l- ;
- RepréfeiïtOtions patibuikàtres , i GatcaUf, 'EJlrapâ-
des y-'-’pair-' q, Mai' ,
füi? fofdre- & réglèment? qùé S. 'S,- vèüt être
gardé aü wfâit- 'des -IMînes & Minières de’WM
’ Royaume ; il doit y avoir dans les 'endroits- bu
travaillent- les Ouvriers , de ces repréfentations
pourra ^nûâri,q'k-i'-au jugement du Grand-Maître
& Superintendant général des Mines , ou-< dé fes
Lieutenants ^,âu'x|iù'è'l§-^a connoiffance des 'délits
qôit-appartenir en première 11iîlbanêe. V* L/^ce.
.Reproduêtion de ha* Houille dariPies anciens foiQ*
terrMris <de- Mines. ' AlMgùâfioh;''.>de' M. Genhetef
fur- ce point,, plus que douteufe. ^25).- Ce qui a pu
^ferèn^qntilê|^dans d'e^vieusc ouvrages, & être regardé
par les Ouvriers( de^Mfùés'1
ou minerai de?«. n'oujveWe fâïmation , eft bien plus
vraifemblablement quelque poftion ahcichne^fâlfëe
oU^éùfolfôeH^ïo^^d^dâ ^ ' ^ ^ quiÈté^les - travaux 9*
ou- quelqu’éboulement de maffe de Charbon qur
occupoit^fe^eiéhLdes > galeries ,- & qui y étoit’
ignorée s’eft enfuièe rétroüVé'Tjl'orf|^oh eft
venu travailler dans des temps -ppftériëurâi; ■ | •
- Rèferyoir d'air. •1( HydrauL) '-cTamb'o'Uryeréux
ménage dans' le tuyau^^mdhfahÉ d’une -pompe
foulante. Sa-eonftru'dion , fon ufage. ' , .i.;©r|V!f-
^ ' Réfervoir ou fontaine dans les -Mines du Bour-
Bbhnois1/ 1 fèWèfit^de1 Bougndui- - ^ ^•«l ijyp;
Réfervoir^ {Puits di} £ü*& W'attu,iDürit Skakt;
T^^dçT&e^OMgutiên de toute, ;ëf|;eeèi ÿÔf4
ficiers en générât*/'dans le lieu où fe Îfait4 ’exer-
eiee de leur Office ; on l’emploie du, njoins lorf-
q.u’il| èxigéPün ■ fërvice continuel ^bi^ÿaflidu. Par
l’Ordonnance du Roi CharlesVI, du Mail413
fl." eft enjoint aitx- 'M-àrchands jv-iMaîtres' faf&n^
l^èeuyret & aux Ouvriers de Mines1' de faife leur
réfidence-fur les lieùx-^du Martinet ,Sçide's!i Mines :
Semblable injonérioâ * pa^'d?^ ï 3oitfnanlè^ldh Roi
Henri aux 'Officiêrs^'
Commis & Députés à la-re.cette dù Dixième:
• Réjîdu du Charbon de tefr'e--après -fon:;fgniripùr
à 1 8 8 différèntesV’èfpcçes.
x ï y é . fH-ïfdiqùe- trois efpëeéâ^5geh^âles! dev-Hotiilîe.
Les Charbons d’ardoifes donnent -bèaucdüp
de mâchefer, i i ÿ y . Voyez iMâchefer: .Réifîdu. !ûe
Çighiriori' i - de-' q u il^ ë s^ fab o n sf*rde terre dé
E tie n n e , oa^fcarbillèslcmbïsblhs^âans quelqueSrùns
à une vraie ponce ; dans d’autres j.au trip o li. y%6,
Réjîdu cendreux! 12( ^ ‘«Paitri âveedeFeaü-, d!onne
u n chau’^ g 'e i t 262. V. Centres. S a ^duantité évaluée
fur une quantité donnée d é.'Çharbon. 1 i y y y,
n e contient p o in t'd e jfubftance fa’lipe.
• Rèjine, Poix. Matière vifqqéùfe qui. coule fpon-
taiiément ou par incifiqn ‘-'de plufieurs -efpëces
d ’arbres appellés par cette ra\ioA réfifâüx:ffîteléi
que les pins \ thércbinthes 8c autres , dont la
réfine liquidé^ qui eft le pflfièleofcr, eftv.fduvfert^;
appellée du mêmç n om Jherébenthitié i p a r rap p o rt
à fa rèfTemblance , & l’au tre - plus ' grofliere f
fééhée" &- épaiftie au feu o u au f o l e i l fouvenc
mélangée 8c diftinguée alors p a r les noms de poix-*.
D E S M A T Î E 8 P
tljint, tùlop%pMti ' pi>\x mire, poix- de-Bourgogne
ïïne des parties ' conftîtu$ites)., » inftammables- des
M .Charbons de terre|eft- une fo^te.de réfîne. Vôy.
Wépoix. ‘ mwièwcâe*, \
, R'éjineux. Arbres qui fourniffent"de la refîne-,
ïf‘ UppeÏMs en Allemand Rpim
. J^ra^é(.Efpeée ^detirégénérarion cqnt^uell^de
cette réfine dans l'es cendres du feu «de Charbon de
- t e r r e , qui Ven engraiflent fans-ceffev f \Mèm.- 3 .)
RéJUnifiée( Suk-j d^bi^mine^fe:.1' ( M4nh -2.)
V o y e z ; .^ ;: _
- É0fiü/peeï Pdid^: ©uy'ô'lD'ftacle. à vainofe. - p i i .
Se dit en général d’une force ou d’une puiffance
qui^a'git contre une autre, de forte q^eib dé- ■
truit ou diminue» fom effet. Voyez Puijfmce. Il y
a deux fortes de réfi'ftances ,-lefquelles dépendent
des différentes»propriétés des corps fluides d'ùl$f©)r
lides réfiftants j 8c ces réfiftances font réglées par
‘ Rapport
: ’c<>rde^f®0$#4ùenbe» qui- fé; dé-*
lu ife n t d e la -réfiftanGe dés cordes. p 2 0 . Ré’ft^
tance d’une corde- d ’un 'p o u ce de diamètre, 1 p'ep*.
R^ô/wfion. (Jurifprudence. ) Signifie quelquefois»
'décifîon d’une* queftion , quelquefois la délibéra^
tion prife par une C ompagnie. Réfoludons de la
Wour^düj,ChmBomj0^^fk'ge} fur difËfents« pointd
d e Houillerie. V. Re'c'ords.
^ Réfoiuuons, & 1 P/acardr. f Commérce. ) On appelle
ainfi en Hollande les Qrdqnnianees: des- Etats'
. généraux des Provinces^inies, foie pour la police,,
foit pour - la -pb;]i|iquéi, ^
commerce. Quelques-uns mettent une différence
entre réfolution & placards , rëgardâriti ■
îution comme l’Ordonnance 'Klême'^- & le placard’ ■
comme l’affiche expo fée en public p.p'mr- promùl«-
guer des Réglements. Voyez Placards.
fe-Rdfilution), -jplus^cpmniùuément ^Splution. ( Ma^
thématiques; 01 Enumération des • chofes, qu’il faut
faire pour obtenir ce que l’on demandé dans’ mêf
problème. Voyez Pro/^me. Réfolution algébrique de
deux efpeces 'une qui: s’exéréè^fur- lêa P-rvblé^
mes numépifâeSty nn'tfpfor lëâ Problèmes géométriques.
Rèfolutipn des nonfbres- trouvés- dans--la-' &cfürh‘
des fouterpaîiïs1 l>art de chercher par lé
moyen' des hypothénufes &> des angles donnés
fes"perpéndrei4aires- êi les .b^fes«, & de les expofér
avec leurs angles für «lëurs t'ablés. - Voyez Hypo-
thénufes. Voyez' Tablés. Réfolution- d’un triangle 3
iréfoudre un tridrigh ÿ- c’eft chercher la valêùr dès
partiçs-^on^'l^ briahgië; eft compofé, c’eft-à-dire,' .
de - feS -anglëV &fede fes- ,côtés;
Refponfabler Ouvrier faifant\fétoyer les f©j^e;s>j
fans l'aifôn’- * valable ^eft« refpônfâbîe du dommage^
)|ùi enaréfülèé.Uvl A b.' ■ . •-!■» 547.J 3 4 8 ! ,
Rejfiignens Saigner une Aréine. Le. ",v . 3-81;
Rejfamr -QVi- dépofféder les-M a îtres déns leurs
IK M 11 I ■; B ‘ ■fz®?'%0 r
r - Rÿmiper Lç. -
- Reffort. ( Phyfique.) Effort que;«font certains ^
corps pour f e rétablir dans l e u r é ta t naturel,
après qu’on' les en a' tp:é avec violence -, foîtlen
les comprimant', foit ,en -les > ! te n d a d ^ ^ f t ;- aufli
-ce quon -nomm’e force élaftique ou élafticité. Voy.
mlaftïcWï: 'Métis q u a lit^ dans--l’a ir , aiùfiîyque B
k e fa n te u r | influent confidérablement fur
des machines hydrauliques. 1020. Rejjbrt ,fe d^-
quelquefois. &ùaft;e'z fouvent du corps même doué-
d%»cette él,aflàcité 5 de là ihskmp lo ie pM c o rdi-
nair'èment dans; les Arts p o u r -fignifier toute piecè
^élaftique employée dans ;ùu;.;,g.rànâ n om b re ; db
differentes machines, pour réagir fur une piçce ,
4 - • ' v . mm . *>^5
8t la faire mouvoir - par Feffet qu'il fait pour fe
détendre*; pour celà1 une des extrémités au reL
fort s’appuie ordinàirëméâ la', piece à faire
«îouvbin ,' &1 l’bùtèe^ëft fixement attachée | quél-
que partie de la màchin’e. Ces ré » ^ ff^ q ü e l*
quetois de- laiçoiv trës-éeroüî’!, mais communément
#s; font de fer* forgé; ©ft d’acié^ & un
peu revenu ou recuit, afin qu’ils ne caftent poiîfô
Dans la tnVchîne a vapeurs, dni*vbît plufieûrs bië%
ees «k- ce ^genre, ^ ^omWe^lç^Vê!ft||t 'dy^ihé5' à
prefTer lb çé’gulëtëu^bon'tîk^brfl^
W m M m B B B M ! fégnlâreüt
suppute- en- allant- en avant, lorfqu’il fe fermé- ' '•
j p .“™ MW. * s» & M
-i3 de {*>« JWc»W*b#*tonatùra
dans-quelques -opérations de Mines. Voyez Ma*
chines à-vapeurt «■ L < f .
Reftaper dam la ta,i/ie ; ce que l’on entend par cette
exgteffion ’dank les 'Houitlieres d’Anjou, eÿ j.
Rejiaplcr. L e . Etayer one ftappe’avec une autre»
251. Voyez Afiiraj),. V.'Stàÿf e. «Rj/S /zfer ' -,
Reftitution dès- denrées à Liege , infligée aveè
une amende, par Eéglement do Prince Théodore;
aux Ouv -iers de foffes qui en portant des Htourf-
ies aux paires ,-en détournent quelque partie.n 3^2*
- ii'tij‘ni£üqujsyj‘-8f\ -i * g jj 1
RnÆiJjtment de Qfikis fur' lc Pàn en d i ^
r en ts temps, ^nbranîmérati1 par Edits1 'de^Jdnvîer ••Si
JaihJ i ’jz y 's t
Supprejjion.
par l’Arrêt- du ‘i'4 Mai loé^'y toute peïfonne
qui a contrafté & pris réglemens du ' Grànd-Maî-
tre > eft tenue , un mois après le contrat de [e
à'irfdïr&t rpie de®ts-^Erepreneü^#lyêm 'üné éx^-
eufe raifonnable
pofledés , ainfi que tous Employés en faiite dans
le cas d’interruption de travail par négligence | ou
autrè: tno!ÜF dopt*^ - ne'pùiiïêht'' donner exçufe lé- .
■ Retenue des - eaux - par lÉpcarihoü'/r-^Sj; Par le
Cuvellement. z j ^ S ^ J 47p. Obfèrration fur cette
force. *- , - - ^ | • np'y»
•Retour- de la vapeur inflammable où de *rju!l'
VbyètVapeûr.- ?
'* Retourner le. Vent. ' a
iîctruiilej. Déchet. Rognures.' ilé r ]'
Retrait. (Droit de)V. Droit, --à -K ,
-v^biSfc(eiglée
par quelque lcrouffé ou ko'ùmàillé.
^ Rétributions des Officiers de Hb'îîtiürle a Lîègèif
342! Del Metteurs-â-Ports dans Paris. Voyez
Mettems*â*P'orts.- ■ \ u i . -rWÿlk»
RetroJl'eux. (Houillieres de Dalem J Ouvriers
des outrer. A&ÿtW y
- Retrouver la Veiné étranglée où èôh‘|séé^'p'af^
filô'p 'croîféroù> dïvifé ;daris la 'éouyéftafë; oif dany i
le chevet. De ces différents cas, % :plüs\ki'ffiëilé 1
ëfo celui où la veine fe rrouve étranglée au ipoiné
qu’elle' me "Vappè'rçdit^lus ' du tout. M. Dplius/’;.
confeille nlofs’de fuivre la fecherche' dans1 Pheui^)
dë la-diredion, la veine fe retrouve le ||||§
fouvent da'n's- la • premîerë^pqiMhbe ,'- après avoir -
Eraverfé - là. përtie fà 'vëoùp'oit f mais
qüand cela n’arrive fe^as| dans la^dlftanee de ^ e l f t
queS^bifes ; il faut chercher la veine par 'def gàp
leries^ de traverfe. *M. ■ Defife.empFôie^r'îa fin d'd
qiMrièfne •'^hàpitftf ^à difeuter :éoü‘fé^ les ^difté*
^fentes màniëfes dont les veines peuvent fé perdre
8c fe retrouver..