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G f -N ?Q Ü IE M E G u.&üô e .j ’N o. '■ÿô’fcs' } d û poiSS ' Us ^ I£g[ô>,
c Z i . : jfcmS«. TEMPS. ■ ■ S Poids partie’.'
de diaq.ejp.
Poids
gtnér:
j 1' Quart de C^nrJo^deS. Eùenne... . . . . . J 11.
^autres *. Quarts de Charion'^ii. .1 TT (JJ % gaffes de Erai/e de S. Etienne. .. ____ .6&. 7 3 3*
4 Rajffes dè'ChàtBàn. .,...
• Idem... . . . • . . .*. , ' . . . . . . . , ........ >3«- Éfep
4 .Rajffes àé Bràife.i. . . . . . . . . . . . 1. ,3 f6..
7. Mai. . f. . . . t M. jo M. du matin. . . 1
5 2 Retfor d* ÈSaïM. . . . . . . . . . g * .4 *
3 Raffès àé CHdSbh^.'ùi....
3 7? ajfes de ÉràTféi. . . . . 2 '. 1.11 i
........ 10. #
107
ÿ "pouches'dé 'Mine.'.,
- ; Rciffee 8t demie icJFIerhiie^. . » 6 x5X5 .•
Id. .
10 i d . . . . . . . ; ; m . . . . 1 .. IMHjSlkl Id. . It Id. .
_iz_ Id. ; . . 1 . . . . . i ; : . . ! . , . . . . . . . . . . w .. ., id . . 1 y id....................................... ..
14 .-U .V;. j j j m . H .7 . . id * .
Total 533 p
• Dans le Procès-verbal on porte 13 charges, au lieu de 14, dont les fix prenfieres dbnnôient un poids'général de
les % t autres de i # 7 ; Srpour total 46751 rie tout ne & rapporte point avecie-Cayer du Fondeur, W M
,En voulant éviter aù Leâeur l’embarras ^es-çalonls, ihpoufcoit ÿ’êt^e glijféiqùëlque jfa«£e;dans les rïôtres,
par :|è la çomparaifonyqüe-nous avons cherché à faire1 entre -lp. Procès- verbal-, &
du Fondeur ; niais Ja forme des tableaux que nous préfencons, aidera a reétifier, ces erreurs, & nojus n’a-
yons point néglige de les faire entrer dans la tabïp imy^Qted^ddiuojls & èorreiïions.
M. Schreber , '.dans. l'édition de la defcripcion des Arts & Métiers qui Te réimplrime ;à Neufcjiatel, •
cite an comméfioêment de la premier«® Partie dé notre defcripticai ,2une^aqnonçe qui a paru dans1 lési
Papiers publics deleipfîok ,• concernant des ufages très-intéreflànts du Charbon de terre , découverts
par un Auteur Allemand j difHnguetap. fês grandes vuesjijir îjjffipncc économiqne ■: voici l’^^Èaitîde M.
SçKtebeij., . ^
« La difette des ’bois,qui_£e lait fentir dans,'toute l’Europe , binpêcbe^ l’exploitation des Mines , &
» -renchérit les peaux que-l’on tanne avec Técôrce de certains .arbres.^Ç’efl:- ce -qui a .engagérùnamâ-
» leur de l’Hiâoire Naturelle à chercher un moyen que l’o.n pût fubftituer au - bois dans ’l’exploitation
«des Mines, &_;dàns la préparation des cuirs. I l>af trpuyé.-Ge^qyeq -dans, le Gharbpn de pierre iB§§F
« dans umè proportion5 déterminée ayno^rtains végétaux j ^-employé fuivant les réglés ,de la Ehyfique.
» i ° } jgja réufli â •ôterau dé pierre cer acide fulphureux qui'en~rend4?iiifage incommode y
» gui 'le-, iend. incapable ' dfe* fervir a la fonte -des Mines, & fur-tout des Mines de fer:|~ÿtSfÿ§nJgii’ori
»çmploié pour £ $ a ne .détruit pas le phdo^ftique, il le développé, -il J e rend plus, aâ&V il ôte au
»Charbon toute .odeur délagréable, & vle-rend propre à tous les travaux du feu, fans ;le rendre plus
à? cher ? parce que les opérations par lêfqueUes il pafie , en tirent plufîeurs produits qui•fervent.
< « 2°, A gonâéÿ & à tanner en peu de -.temps .toute forte de cuirsde même qu’ils fonV împpppfrq-
»vbles à l’humiditég plu^.q&’aueiin .autre cuir des Fabriques, les-plus renommées..
;■ =• 3°, Il en tire une .matière qui peut fervir comme là poix & lê*goudron, mieux que ce ,quon tire du
»bois. .
.»4°, Ge gui yeîfcé auprès desopérations , peutiêwir à la fabrication duJàlpêtre.’, * -,
»Les matériaux appartiennent au régné minéral j&r végétal ; 'ils*ïê trouvent 'abondamment dans la’
»plupart des] lieux,. & ife-y font à t r i t o n march,é. La maniéré de lés employer èil {impie, facile, &
»à la portéejde tout ‘lemonde».
ADDITIONS ET CORRECTIONS
p o u r c e t t e S e c o n d e p a r t i e (* )/''
T i% x E ^ w ® ;T . i . i j ; j s :EBS.'.
P * .«•<èjv,/$SS$” $ 1 <lpâfini»Sl«M|Ma^||feifoi^ I
Page x iij'^Eifme ? , Ayertiffement fur les Planches.,
fe\ i^uîvi'd^une explication,poge-\^^\,
.<• ?* E r r a t a P-our eette tègon^e .Partie,
' ^ | }. A4;ditxons & cor-rèâions, 0.1603.
? • 'N’a i^ êtjje remplieA;par le §upplé-
ment intitulé : Histoire & A na-
lyse des opérations faites fous la
• t direction de M. le Comte de Stuard,
en . Noj’majÿtie, en jfrçurtgç>gne -,
dans les années wp;£.;<£• 1776 , polit
| ' fondrie%j0ncrleferavec lesbraifes
- de CharÆjji 'dè kefn^ , page 1587. '-jp
PRE 4,
'Page 1 decette;fe^on^ft^M‘de' marquée 167 ,
i °7 3 3 r » troifîeme Sp^ion , \lift\ quatrième » 'W â p lK
■ 2'11 ligne 14 >’j' conjointement , ajoute-^ , avec le '’
Màître^ouvfiefy?f'
a 19 , ligne 18 , ftalire, life^ eftablire. . ' ,
• \ * > 3 > »f i’p , trous des Brouettes , Roues.
*34 » ligne 2.4, en B B , efface^ ces lettres.
ligne 31, Hernaz ^ A A A .
' , *43 » ligne hancs de
Houille. '
, 'Ces lits de'.divertes matières placées autour (dèsf Charbons
'de pierre Appelles par. les Mineurs Allemands Seeiri
KoMeiîgehirge ^ E N . ;
.*'^3■> t&Sfc Ï 8 quatrième SeÀi 1
.* 7 7 pi. x x v , « V L S ................v
:-,f 178 , ligm 9 | a/owré? Pi. LXVI z.
11, PI. XXV, Zgjfej,X X y r ..
■ 3oo,%/zez6, m
. 3 j v^^»ip»y.
3*1', lignè - $O y fiais des Maîtres , ajoute^ Houilleurs.
' 314 * .'Note' :i ? première colonne^,, z j , 5 •> ans ,
* U., t ., ■ Idem, deuxième x olorineu.^,ligne .4 !Vidimé , ajou-
voyez, fur,
eette. npte^ dès: maueres , aU' mq£.r«fl«-j
nal des^mMSiux^;
‘ 317 , ligné 3 1 , uri Àïag.e^àlMi^ ajoute^ qui en pa-
lois fè dit m Ala ge a Tou. -
kkc ? ligne’ ■ 4,’ du 'Palais , ajoute^ & des Places publiques.
■ ^t’gne 3 . défèèùdrè' fa ,phaînè-;j \lijê%
;■ ' pour placer;la e^neMfcniv^LU^ .,
53 3 , ligne 4 , ïlfaudroit' interpotèr , life% il faudroit
' f, interpofèr alternativeincnt. 1 .
g 3 4 ., lignei 3 6 , de douze lign es , iÿotue^x quar rées.. ^
ucè.^uarré dppzè lignés
. :.|quaÿÿées.
g 43 p demiere ligne de la rw t e nn Pdùv.érn,eyE%, /ÿèj ,
' .1 deux Gouyerneurs.
. lytd, Zigfig yi.tiÆ&ès Ouvriers y lifè r les femmes où
, B’otterèffesf^
ligne x i , moitié ou deux tiers. d'Ar^ée, /i/e^ un *
. lèptiémé i' ou tout dügus-mn dixième tpc
une charrée. Voyei^pagf éÿT' ' ■ ^
ligne 3 3 , les Ouvriers, life\ les BotterelTes.
ligne 38 , unmàrteau à pointe, Ufe\ une bêche.
> % rte *3* d’un côté que d’uri autre , polie,
les fourneaux , fur-tout quan'd ‘t-ohi emploie de là
Houille maigre, dfi fait les hochets dans des formes
de là (gr.ébjdeur'de ceux s’eft fèrvi à Paris en
1770 & les hochétsîjfint de différente grandeur
^ lq ^q u ^ k j font deftinés pour lés' appartements,
pour lès cuifînes,, mS | ■'
3 5 7» tigne 33, Liégeois yMfe\ femmes,LiégeôUès .ou
BotterelTes, '
&uûe intorpriution d’un paffkge de fibayit
ligne] $ 1 , Metteups èn; ^ôuîe ;j feykjr les femme* J
î qui mettent, en moü'le.,
. . pgne 3p., aUjibp^^^iîqùèlques' heures, lift\ le
le lendemain!;;.<& quand il v a un beau, tbleüÆj
m i,,v \ h ne 'fautqiûé- deux fois ns^ heures.
P$g£ î S&, ligne ,% > 'tàlaire très-modique^^i/eâr pour xo à
•ligne 4 >,.on ,a alp^da-ipxécapiiiqn|?«i^oay^ fî la '
fabrication rieYeft pas; faite:: à Pair , mais
dans un caveau , bu fi on; lès, y terre avant
Terroule , ajoute*' <
. ' dàns;,d;e Marqnitàt lé^canf|itoQnt.:
'/ . 'digne 7 , La Terroule,, ajoute^ u}ânt>i| fe* fait
une grande contômmation dans ce quar-
1 î & ^^d,e,la chemihée.jVüy‘dz^^ïa7i, ;
' 7 , page.7% ,.ajoute^8c 1274. .
36i,/^7te . 6 -deux, fois par jour ÿlife^ deux à trois
| fois, en to^xt temps.
- . ligne, ip ,, Garnitures, Æ/ë^r'Garnitures deffeu. /
■ , ' Hgpe z?emporte lés cendres, «Voyez g . ï 1 7 1.
>4vf 3/1 ji'CeuX'pi | ajoute^ ufités dans le Lim-
'àîx'i! ROUÇg*«;
| l&gTze 3 4 , lès feux^.de (TJâfco,ulejj ‘'tjoutetfûlqiï.la.
. pratique du 'Limbaürg & du> ;Marqqitât de
; Ffanehimont»,
„ '%6*fUgQ6i fa-.-,■ i^px>vCAnttt• -ou deux icenéi,cinquante
• melûres 5! 'douze- à quinze 1charréës.
; digne 17 , feux de .poêlés ÿ la pratiq&/
jdh’/flîà^ih6tvdeFranchimont!'&'de Limbourg.
., A , Llege oii, tè} tèft;; rarement dë/fîquÿle '.pojir'le^S poêles ,
e’efl: toujours du b o is le s 'pèrionnes qui: pourroients’eii ;tervk
pour cet utage ’rfemploient. due: é.e .daVHou'étlejimaigre de
. Herftal. ,;'r _
$6z,:.ligne t8\, üh'Uard'là'^piëée \ \ajouie^ yoye2iutiiéT,<
ia-n-i ^tpaniere .de çpmpé^rÿdè- ces ^érrôüles ^artificielles,
f pour les chauffrettes, page 1584. Explication de la
| ’ J%. 1, de la PI. LV III.. ,
^ ligne 2j , comme,ils l’appeUenü,?©i/«n'et 'à pet'
—«£P^6 ^i»^-dahcJ«ftiàuji:KoMjigatA»J«Jaanlieue..de.
j;v’. Liege.,. on ne^onridît abïôlument pour !’liège
qu$ Ta Houille gralle & là Houille maigre.
ligne 10 , de TitouLe ; obferyen que dans le Mar-
quitâB'dé^rànchtyôntlhn^yia-ipùiht de Houille’ ’
ni de Terroulè-î on leS ih«vdiF:Linibourg &
des envijrons -de: Herve ^ iq^fFei^oùlè n’eff
connue /à Liege que pour les chauffrettes.
. 363 , ligne 7 , 4 àh;s la dernière S é ^ b n - j ; ^ d a n s '
t, l’Article î^ ':id e . la 'quatrième?&•' deçnie.re Sèd&i,
P , <pàge
Ï';V: I 3;.# , ligne 31, relàdyé;au ,tèsrvipe de;çe feu, ajogté^x
’Jt. vo^H, page W ^ o n stijKles .poêles, ,’Ôi^
yffii ;^avP^inÈhe!L^VlH ^j^ » J%v^i\co^vetfe un poêle de
^^^nguyelje cpnftrH^ioni} imaginé, par M^Franklin. . » < ■
ip ||i ligne 8 ô yunj. rèlafives à la contômmation de
- chau^tg* > : yoyex-gage 694. f'"i '
ligne 28, ou du mortier , life\ en façon :;dè::m0r^
ligne 32, te mettent les unes lûr les: autres, life\
fur le plat ou'tùr ie haut îftèlonj l’épailleur
; donner au Muraÿ ; voyez page
| ligne 31, çffacer cette.ligne en, étitief^ . 1
I, ligne . 3, chez lés: iiiËMcÊàh’ds iiehèz _ les
Bourgeois.
' ligne r i , s’alluEpent avec dès Krahàys , Ufe\
\ ' \ |tirent la chaleur du feu de Pâtre ', & quand ort ,
Veut la rendre plus activ eo n ÿ met quelques ,
Krahdis,.\ |p .
ligne ^3[|&bh; - eMpioiè quelquefois la .Teit.oule ou
‘ Houille foible i, life% de là Hbuille grafle ou
fy ' ^ de: la Houille maigre.’
366, ligne 27 , caille pu baquet., ajéüté^yoy.p. 1 27 J*
P*ge 1533 , de cette fécondé Partie. A la page Iss , ligne 3,1 , feps
douxiemes, lifc{ fept deuxiemes. Le Catalogue alphabétique porté à 14
fige i 8i , cft augmenté d’ua Supplément placé à la gage i ; 9>