
T A- B L E
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Meijîer. G. Præfes. Berg Meifter. 81 $.
C liltis 29
d’un Ecrivain François. fui cette maladie par k-
v ' l ’Auteur . explique le caraétere de la nation
Angloife. ( Mém. 30 ).
" Court mm bre. 370.
Fauxf. 2^0 , ^oS: Long. 370.
Membre de Charbon, Quartier d‘e Charbon. An.
H "l * ’jjV.; ' 4?;, - # 2 .
Membrures. Eljferes.
' Mémanai. Cartabelle. Tablettes en ardoifes. 213.
'Wêmtîd ip^io^ \fces # f c e ^ s :
lé êg'^ifes.
me^lafflai^^^^rocès-yerbkuxHeM^g^tgs* &
Min (£$&£)'. An. Vendeur de Charbon, i^-en
|r f it ).. An. Gens d’équipage de Mine. ©. Berg
mann. Voyez Mare. '
v Ménage. Economie dans, la cônfomrùation du
Charbon de terre pour le chauffage , procurée
par Ém: Affadit a la , 3 J 4- Par d’autres'petites
pratiques particulières. *26©. (Mém.f3.)
Meneche. Le* " ) é~h' JL, 23 2i
Mener , conduire le vent.
~ 7*
Le . ' 2 1 2 .
■ • G. Tage Zug.
^fodindrum,)^ Arpenteur ^de Mines. '
' ‘ Menftrues. ( Chymie. ) Tout corps fluide qui en
diflbut un autre. 1 | | | | fanalyfe , par ‘ la voie
des menÆrues '{impies & compofées , ôn doit fairé
entrer en confidération les changements légers, que
; y ^porter.
Voyez Chymie. , ~ ’J. * . ' \ Vi, ■
" Menfura fubterranea. G. D ^ ^ ^ b e t f Zu'g'. ©as
i%u, ( o lîig ll i l l l l l fM e n
Utilité de cette pratique' pdu‘r"les Procès. Ibid.
ïgDrançes'magf
rétiques. ^ 904. Pour faire un rapport exaér de
vifîte , iï. eft indifpenfable , avant d’entreprendre
iu n e Mine , de s’iriftruire 'avec-
' f ® dë la nature d a ^ S k ^ ^ ' lu e l o f a à; par-
, courir. 9 02v ;ÈMnçip'âles parties de ropé-ration de
mefurage.|j|||>3. Méthode abrégée de menfura-'
tion, applicable' ‘.dans une eirconftfjàce particu-
f e e , 904. Deux" procédés de menfuration., ©id.
Un déterminer la^dlreétion par la méthode
^Encyclopédie., 904. - Voyez Mefurer. J . f TJ
^ Menu';Cfiàrbon | feul èmpldyé' dans
E§SH|°yA21 QiarFôwfin. Menu. ( Char.kon ) Le.
Mouille foie. 518 9 gfjy. Mlimàilé petite Hm-iih
dans les font’esTde cuivre. r~
‘. Menue ( Houille ). FeSy. Voy. FeJ]y.
J>2repr£/ej fur les Charbons de terré, auxquelles
peuvent, donner lieu les faulTes dénominations dé'
Charbon minéral, de Charbon foffile , &c. jpO^'.
ques parties d’ouvragés ,vont jufques fous la mer,
- juîquà un quart de lieue, fans quil y ait aucun
danger pour les travaux ; dans la Mine dé Witteha-r
ven /o^ïtiiiie,,qpe^â^a’ffè^âé rocher, qui fert dé
3it à la mer ? & .de^ toit à la Mine ^-.alplusjie lOgJ
tqiî^s.^eMi|[èur^^ MifMfae Jvitt&avenï-
H' Memaiores, aquce, Varifiaci. Co'nfrairie. 644,
" iflércurL l^iJ-aTgenû Fluide minéral ou, métallique
très-pefant & expanfîblé. Sa hauteur dans les
Êarôméties. Vôÿez B^rômefreJ^SeîonJ^.T^'elius, il
fe tr9ùv& îi|gs :|a gràhdéi •gîiérie dq Schemhiti:,
app^lée/ i’ÊmpércMr’François 9 & 2,6 pouces & cinq
lignes, ce qui efl évalué à un pouce onze |igaes
gé jphas: n milieu
de la Méditerranée. Séparation du mercure
avec le feu de Charbon de ^erre. \ . , r 239.
‘ M r|e t '©:.
Men'dïen. Cerclé de l'ongitud'e. 7. On’jpeut
concevoir autant dp Méridier^Xurd^erM(5s q(ûe de
points à l’équateur , d e ; , ^ ^ . qiae les_ méridiens
changent à mpfure qu’on change de longitude,
'• Mér/dien dtt Ziew. 757. PdZei du Méridien. Id. Méridien'
magnétique. Voyez Aimant. |
, Méridienne. ‘ Ligne du ÛigrÉ? dte^iSte dans
laquelle le méridien & l’horifon , ou chaque 'plan
hoiifontal s’entrecoupeat. 'Voyez Boi^ole. j^oyez
i^ lg ^ lrl^ £ $ ^p r|fq u e pas d’opération géométii-
que dans levs travaux de Mines , qui nié foi^
tive au méridien du. lieu ; il eft d’çpic indifpenfa-
une, ÿi’ a Mqpelle
Ippôr'ter ||s dÉêllilqnS; difs' ' dapérents
alignements qu’©:® ep .d b lig ^ p prendre, w|||eft
GOimmuu ■dfes. Mmeurs^fê bormepia^ptant
de fa|©® a „ prendie pour .mérïiié® céfor qojie
.XalgMIi? de la ÉfÉ^iÿdie^fdndiqiue j 'M l S lime
. là diteâion '
adue;~ d’âmeurs ^ a u tp ^pffi^^^nces
'né ^pfemie^l^g phs^^ B M ^ Ea^avoir dans^MMen-
dro'it q;u’eîconqiu'è'. une méridienne exaâp , on a
îFécours^à des\®^t^^| ‘Mrticulilres-‘J Vi ^ujB i p-
lie n t en des problèmes. Voyez' B'roHémei. Méri-
dienne du Cadran. 8oy. ( Hauteur ) méridienne.
point ^«eZconçMe donné danî itne Cnïnpngne. Voyez
'./Ligne. %e III*
tirer une 'ligne quijajfe avec cette méridienne un angle
donnée ou qui ait une diredtion donnée. Le IV*, Sw
Jî0^mmllelé à It^ ^ ^m e ^ ^ J^ ^ ^ '^Êawf'h.une.
méridienne fur un point qui n’ejl pas éclairé par le
VX^'^ac^KhljtirffîXdîeime par~\L^moyen
'?^Me rrâîh»
- petits. a^^ ^Q ^ ^ SipbuR^aire dèg:tpOTfi^^^pes
-IP%^1^I^C^UX.V 11
Mèche. ( Art méchan. ) Fer , ou partie de l’oeil
aMché'é
vdés Angloiie’3^M^^piécFXpQmme'e>-iT^^^^^^m
encore: fè^nor^Pe Mé^M- toute efpwem^na-
tiere feche & pyépar'eé^^(^^^^ ? ’&
■• ^ j ^ ^ ' ^ f e i q û e r ,
pour ' alîùmerwlâfoudre dans les. bagh^é^pMhfes
db^^^fe fert"enihàti^^ÿ’^eur^o^d^^illes
dans auelquesMfrié^méMugff le
ro £^ rSàiiffe, M,:I)eliüs parle dans TonîjSiiw^e dé]
mèches de feuilles dé.xânn^|M^u^^ plùsi9;& ne
df^bfën|^®|§i;lies étincelles "de durée." T,
Mélange de'Çhdr'koni yMMji^Ê^J^^ÏQa^ 'l 6jS,
' Mefurage & portage de Charbon de terre'fur des
ports de Wark. rfy^Wroits
aüuels. 663. Ne pour
chaque Voie de^ Charbon; de terre de ^dûin^e mfè.
nbts'; vfàçôh: ,,de ,,fpefôrér. 662. Mefurage au poids j
plus jure. jo 6 , Voyez Mefure. J ^
V’‘ jjlfe fflrAÇefcî’e fert rfe) en’Géométrie. 781.
'“PQÙt'qubi t Id. Voyez Arc.'Cercle. Rayons. Segments.
1 Mefure-Angle. Récipiangte. Fauffe-Equerre. Inf-
trü^étft'de/Géom^trié fouterj:aine.î® ^ V p y è ifi fa
cipiânglèt.d J
D E S M A T I E R E S . iAti
Mi fur es mathématiques. 781.
de Géométr-ie fou-terraine. 781 3 902. Le
.vifions.
'' ikfe/i<re^ dw zempj. 7^4. Inftruments propres à
ji|Ê|||||^^ I&M* ■
Mefure en fait de travail de Mines. Voyez
■ ; -v- • • ^
WÊ^M^f^M'^m^P'déiragesl^2:^^es^éM^ës^érA\\-
lurgiques de M. Jârs' rèMenfeent'une Ordonnancé '
du Roi de Suède "touchant la meforèM^Îtérrein j
pour les Mi nés & leur explication. Æhire /a me-
yrure na v -i ■ 'l'i 3. \
ikff/tfre n décowi/e^* v Vk/e72/ 0 /«W-iW/r , définie |
- par' ¥ eidler ; l’art de chercher & de défiuif fôit J
lès htuations des lignes tirées fur la fuperficie de
la t'erre, foit deu-r inclinaifon fM\l’hoLÏféï^êit
leur direétiôia aux plages du monde. 1 %
7kfe/«re dej Ter^ger. Le. Forme dans laquelle |
elle doit ë tre faite dans certains ; - 32d. :
' Mefiire des ouvrages fo'iite/rrains , par chargeage.s; j
'2S2 , 2 J4- Par hiercheages,’ ïd. Par montées. 252.
Mefure des tailles. ■ 293.
Tkfe/wre. (Commerce.) -Mé/nre de ‘qüfai , Mefure
T d’en«. An. ' .'Mëafere ; mefure .ÿ § || ,b® -fe
- feit.popr les denrées feeKes qui viennent par eau,
comme huîtres , charbon. 4^7 3 723.
Me/tirer «i'>;«j[!Æg’e 'dnnr le Commerce en grand / ou
Co?nmerce'maritime ?:td!éhommées dans les Arrêts &
Tarifs pour le Charbon. 636. Voyez Baril. Poinçon»
Touhneau^déjr,ter. * $r '. Pipe. {>,'A
vente duJÇla||I^p de> terre de France' & d’An- |
gleterre : eft une efpece de barique, qui, au
nombre de 2 ï , avec un comble de 191 .p-Queés
Fourniture I
cetce^raieÉuie".matrice ne^ différé pLefqu’en lien de I
l’ancienne Banque étalonnée fin le Boiflfeau ima- j
Me/wre-matrice dn tnrz'Z, : dépofé à l’Hotel-de-
" '5*7^ ■
' Mefure des Charbons de terre & des Tels q.ue les'
• Marchands fonëXbrtir' de Dunkerque, dhit efrî^c©^’'
Juillet 170© , être Faite en-deçà' des éclufes des I
' J^epéer par terre & de co7z'tine;zce. b jb , 537.
Toutes Variées à l’infini , foit pour la- continence y
foi-t pour la forme qu’on 'leur a 'donnée --’dans les
^ ü a ïb n s en
paieils cas .demandent des cjljÿs Xpréfentent des
difficultés '& les dimenfions d’un'Vaiffeau quelconque
une fois prifes, on n’en tire
lité,'pvOur-, établir'les dimenfions. M. Ti'llet^ a\imà- I
giné quelques machines propres à abréger le travail,
f j | plutôt .à ie _faire dilpâroîçre,. dès méfeès I
^ if é re h |e §M ® lM i^& ^ cfi'argërnihff?^i. Aux
foflW, 4n ltH4inaù'%Fran.Ç©is. 7 25. ; <A- Anzi n ’ i.i.o 2 .■ I
Ua plupart du temps infidèles; b8i; Ces variations
dans les mefures 5 fur-tout tcell^^®ii,'font*cm-,
ployées au pied des: Mines , . font’contraires au
jbon ordre,- .& demanderoïeht que les| Compagnies
de Mines fe conformàflent pour la livraifdn I
»'de ’leur.S' .Cha-rbo®s à là^^^jife^ du pays qu^eU'es
eulfent meme fur les. lieux -une ' mefure matiice du^1
Mefure dans la ville'de Lïege. ■ - -i
ipbf ts Wjp I
|yente, dans la r l ® de ?Pàri§j|
.p-^er qsue'^iéll fclilfe' Erâlonnées
par les Jurés-Mefuf'eiirS' 4fe'fel:f|M Polica'; '
I J \r . * î i 'I 's 'i - i tm AM a §
droit de Maréchal. 680.
Jïç/î(rcr en Gcomef/re , c’efti-â-dire fechafchec
& définir la grandeur d’uné chofe félon une mdi
liire établie qui répond aux propi‘i , ] fïqfé
si>c
pâ«iculiérenieni: » ' •' O "w ® 'jtÊidr.
t ’ w ~-i — H
i i l H I i S H I t& Whi1#
I H | 11 , 3 ® ^ . , . ’ j * * ,-J
, - i .-f ! WÊM
0 h' - / ‘^ ' ^ w r a?ei i<rer B M H B W a B B i , ; 3ll xd.
A?c/iircr, ou .ï i . f ir ' ' *" *,n>" ’
i i i , . H cH |
Voyez Ma.}u lire. •. •
W Ê Ë B Ê Ê È Ë m 1 :>'M~
« AhÆ
en Bàinaut , nommés Toameiirjaînfi qt e H f f lH
i f f i H
I l’exaSitude de là jauge des Navires. A A i ra s. il eft ~r:
dû aux & foreu p d Iffi i e & pour la H
Lm eupplr , n11» l1l e,^?n v »«lo'if or dî nMr d fne n ! (
I ** Wt il;
Vifiteurs , Contrôleurs, ainfi que les Porteurs.'
ment deux Co »munaHtés fé jarét ,
E'^jl Âmgg3l?1!Sid' -ni fu
Font leur rapp
I 1 ? ’,r“' m '>
I SES H-J 1 i I
obligations. 662., 663, 66.\.. Leurs Droits ancien^
l / “4 n'^ 1°*- Droit de Soi ;c Id. Dra ‘r principaux.
66 6. Sol j nr iivre. 667. Perceprwn des di its
a«t ibués aux Officiers Mefereùrs & Porteurs.
Iîqux néceffaire pour cette ..pèreepriori
f 1 f ^ ’ * W f f l& W Ë L r " :m ¥ ¥ !ïdï'i
Aide en 1650. Vc>yez V « .u Splr'jjfift-
I; spoi X'j M ; A i , , , b e
pour parcodrir des galeries en pente; fâ f6}niê,;&
conftruâion dans les Houillieres de Liege. 22p.
Dan ^ 1 J 'Ü ias aui e pi Z vifités par M. de Gen-"
faune’, ce coftre tiré par une-manivel'le à bras,
mue par deux hommes , a la f
P p l ’ n ijajraw
: MetnZ crud. Voyez Marre criicj |
Me’rai de rimi,« bu de çJockr.c’eft-à-diüe, qui eh'ûrk-.
dans la compofirion des Timbres, & qui eft le mêm<f
■ que ( elui eraployt■ pour fondre les canons ; il (l
employés fervir de' doublure'intérieure à laùra-i
f paudln I ur 11 f lelle' joue le pivoc de 1 arbre toui-
nant de 11 • pe te maehiriê i 'é e ter 1< Cl ,1 boa
d'une■ Mine de NeVcaftlei^cecte.-maniere efl plus
économique que d'eoeploy :r des pivots ,. de^
crapaudihes ,'MfïH
nous avons n di jué la compofition générale. 657;
M. Bélidor, dans fon ArcMteâure !’ pdraulique, la
donne, exaâement 'telle que la voici, -fd de cuivre ‘
rouge ,ou rofette de Suede , & d’un" douzième
dJéilî®flnsd^Me^rrVï’f e f l ^ ® ® | ^ ^ ^ < g i
uni ''ÏTra'it'aftiH ov?7 Macfa'ner. ’
- Merai/i/odinVe. 'Fod'inoe mErafficÆ. Sax--Nein-
Y i 6