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~ UifhnJiUs de Houillerie au pays de Liege ; ceux
employés- dans les .ouvrages! extérieurs
s’élèvent hors des Mines par des cabeftans , 22$ ;
pour fépuiferiïent^& ^ ■ des., eaux ytàzmj]1
; po ur le tr an fpor t de la Houil le arrivée au jour ,
re la tifs^ tq ^ ^ ^ ^ a ^ u y lé s^
operations extérieures. 22p. Cas où ils doivent
•etre^ôffélts aux Armer s & Terrageurs. 5 3.¥j yaiÉflÊB
S^^iï-^harb’onnage.* ftélfc zzda
UJïenJiles & agrès de Mines j par l’Arrêt du 14
Mai 1 éÆ>4 quels ;foni^çeijx, éwént être
tranfportés -d’une Mine commencée à travailler ?
lV. Tranfyoft
UJienfdes d’un &ttdier de fabrication en grand
de Charbon de terre apprêté. Voyez Attelier. .
,l’ Ufufructuaire ( Edit ) dans la Coutume de Liege.
';jlfl§? B H H 732.
V£ Sacs qu féaux de cuir.
? Tfyai ; 74-éÿpfM xotfr^Ma.filao^mi^^ibn.
& dimenÊQn. çonfervent les -sinêmes.
Veine régulière. Vraie Mine. >r \ yo6.
. Vuidflnge , ancien droit des . .Officiers- Mefût
reurs la vuidange de, chaque ba^
teàiîae1 \ 660.
IM^îdçtngeur. Guercheux, ~ ^ :JHHHflBBBa
Ifyidetànférieurs. LiE.Paxhiffès. Vuide^ réfulfa'n'ts.
ides ouvrages faits dans une grande prqfbndeur.27 y.
S’épuifent par des-petits torrèts lorfqùe les eau^.nê
font pas en grajidyolume. IdpQ.^ôy^jZ Paxhijfes. ;
Vurjî. Dans les Mines de fel de Halle fe;%-
•ÏSalzâ , voo;^pime ainfî un traîneau de^pôis;^^
w
OuEST-OuEST} S i || J SüB^PfEST.
Waade Fojfe. Le. Garde-folTe 3 efpece de Cont-
îxiîs prépofé aux Employés autour de la Hutte ;
fes fondons, g f p n é t i o m ï 3-274
dans|4^Ifou^|^resC dpi Daleny . . 3 5p.
Waage ( W'aJJer. ) Grade Bogen. G. Vqyeï
■ Wki, i Huf ): «Si;. Veine principale. _ 8:97.
ÏVaeg. efi) Sxr. Changement d’air.
■ Woeflerjïlbei-g en Suede. Mine combuftible qui
paroît n être que du Charbon de terre. ïf*. 446^.
Wceftra HufwudJiræâanl Su. Courant capital. ■
Wagon, l CoaJ-. f A&; Chariot à Charbon. 60 8.
Waid, ( M. Del- ) ancien, Préfet du Cqlle.ge de?
Médecins de Liege ; fes, ooferyations {up .YeÏÏet
attribué à la Houille., de nuire à la; poitrine.
(Mém'. 33.)
Wàiâÿï L e. Vui&ë.
Waque, Wague, Muid de Charhondes Mines -du
-paÿ|;Montqis. Son évaluation dans les Ordoii-.
nances. . 4. ?
: Waime de Vone. L e. Fibra incumbens-fub ,dio t-e6li.
‘ W&ferot4& 'L e . Garniture pour cou-’
vrir®Vyêux' dés!chevaux .quî foiit. tourner le
ïiernaz. - ;
WaMngtoii Mûlas-Mep Lieu de, chargement du
^Mtbon dé, .^euircaftle , à unp lipue aü-déflous de
Sheals. . \ } • 432.
, à trois milles &è Ne,wcaftle’? où ,eft
la machine.I vapeur la plus confidéràble, où les
eaux ramaffées a cent toifes de profondeur s’élèvent
à quati^ing|hfUKtbi^î|^qM; ùfi perçe-
iqent -deiqü^treu£p^éds de. haut, & de deux cents
'cinquante tôifes^dé fq.ng; *40^ Machine à vapeur
fur cette Mine. W 1060,
Wand, Voyez Ertze Wandt
JVangemifen. Sâx. Jumelles'dé fer.
Waque. Wague. Voyez Wague. ^ ■
v. ’ Jfâarê (NÆ/.yHbh iSÙ.,!Xr©ù de taüré.. ■ Sp.yi;:
x (JHeuri. | urifeùaèri è^^|ég^qi(e. ' > '
, Y^tÈérd^^^ *AifiiC^rg^ent>h’àir.
jïFfl/dÆge. L e ., «
- # ^ è r . G. Eau. ( ^u/jc/zage. ) Conduite
dès^ëâux. WaJJer Goepel. Kehrrade. Machines eatl.
Machiné â roue.' Puteus. qui lacunce.
loco eft. 2y 1. WaJJer Schicht. ■ G.' Eaux de
"foy^Q^WaJJkr Waage. Aqueduc. 280. WaJJer
.0 rade Bogen. 784. Wajfer Seige. G.“ Canalis. Ckni*-
xuim. Wajfer Tonne, G.
Wat&-B$i£Uf. A-N.i ^Gollëébeuç \des .droits qui
concernent la mavigadqn (de.^la.^Famife.\
W^terL Meafure. A n. Mefure d’eau, mefure db
quai. Mefures dont on fe>fé^pp'uWhielJiJ?èr,“ les
'Éii^^^^^^p^Éiàrriyenp pat eau^ '
, ■ Wateroule; Waitroule. L e. Voyez Waitroule.
Watkinsï ( Fiançât) Opticien du Brinëe'.ydè
GalTes.': modèle d’une machine à yapeua* a publié ien
gravure.. • , 10 p .
■ > Watïs ët Bauggih, Auteurs1 d’uoe^çmwM^^^
'^Ea^qmd.é‘machine à vapeurs; en AngleterreJ,-diffé^
.re.nv£^'dês|autres'en .
maisÜ^^férc^^efa^apep,E?qui^àgi^fenMblëm'ent^8£
que le vuide fe fait fans injeétion : les Inventeurs prétendent
qu’une livre de Charbon ’dans le fourneau
de• cette^m^Minésélëve q^^^livres d’eau .à i^ doo
pieds de |hâut;^pp jM & a aétuellément à' Lon-.
dres , & dans plufieur-s endroits de rAngleterrei >
M. Perrier, Méchanicien ÿ cçnnu à Paris par- fa
^pdmPé à'jfeu è-fiiüfe
d’Oj-léans & de M. l^^uç déChartres, ainfi qiiaepar
le projet approuvé de l’Académie & du Gouverne-
ment, de diftribuer de l’eau de la Seine' dans tous
les quartiers & dans toutes les maifons de Paris
avec- dés feu * fèîprâtiq|î'e
chines. -Je* vais elfayer d’après
le dellêin qu’il m’en a communiqué.
. . La machine à vapeur . pipnei-*
p.es de MM. Watts & B>outteu eft compofée d^une
chaudière , d’un double cylindre * d’un -refrig^f^|
&â?uMp|mgëi Laiyap eur cjr(^M®Wh^^tré
deux cylindres , & quand la machinéiagit4MeÏEégu--
lateur ouvre l^cqmima'nica'tion du cylindre ||||§àî
ripur. au,;refrigerent f &fçycme au>même;in liant Tot^
vertufe/de^L^hpeuf;* La même opération s’exécute
en fens contraire lorsque 4e. pillon eft . defcehcii*
au. poiqt le plus bas, &„ ;ï
Hàns'céttè'méthode la vapèur rf éprouve 'aucune
condenfation J'Q|fqü/elle-. entre dans. le .cylindre,
pàrçé q^il/, n§ft pas? refroidi par une eau d’i-nje^
tion .comme dans les méthodes ordinaires j la vapeur
eft auffi plus^ condenfée,- & la différence.eft
cômme 3 6 a 3 2 , de maniéré que plus'de force de
vapeur -.d’un ' côté,, &'-moinsfd^^ndenfation & de
déchet.fur le "volume de l’autre part 1
diere d% grandèub^pédiocre • fait un* effetV3confidé^
raole.5 M/Pefrierje trouve aifift/;-
Wattu. Su. Eau. WàttudunftfâïÉf^éfevvoiT d’eau,
poo, 8^7. Wattu àuni ^Æ^f.Su. Puits de réfer voir.
p,o~o. Wattu Stoll. Su. Galérlè'd'eaù. %p%\.Wattu
Tïoumma» Su. Tiiyau : bakom Sig kafta.
Jetter l’eau derrière foi. ■ ‘Wï’P ■
Wdyi’fîoytiï Charge fûr-Ia riviere de Hàifne sfdn
polds.y^V qÿefyMarcharfdtfç.
,.H‘. j f axhieu. Les rRepalfeur d’airage. a 1 r.
• Wedges. An. ” * . ' ' 588.
1 r . Ident.
D E M M A T ï E R E &
Wegueifer. G. Wife, Àn. Guide, trace, indice de
paroi qui enfeigne le chem>k^ut!la route à prendre
: -JMins: l’expfèktaii#%, ' ■ 'v " ■ '/'Xr--.1;'';--. ■: ||i -i. i
'G.
■WenaWE^^^m^.x. ^liburnant»
M%/-ç. Dans la langue Allemande lignifie
^enTglrrlraii Mapte tSmSSHB^W.
tout ce quiréfulte d’une Fouille. (6’ipt/fe.) Sax.
'Filon, en maCe. séa. ( -ÏVeppe7z.'.) G. Plan-
' t cher 'des galeries drair-àge., ■
' Mefure itinéraire dont on fe fert en
Molcovie-
.ce. qui fait environ deux tiers du mille Anglois.
-'Une lieue de FrainVe^/contient", quatre werfts ; un
.;.;î||jÉe; W :8i0 yyefis., oui^SiiM'I^ngltüerrei
KJih|sf Wecet.
ÜBringen Æ«rÆ/72 /«pped/tare. Wetter ( Éoef. ) Gb
Mauvais? ;air 6ieu
• a^ec 1extérieur. /Setter 5cÂÆc/if. S.ax.’ Puks ,
d’air , puits d'é'foùpira'ûl. /^ef/er }Sf,olLen. Galerie de
foupirail, w-fê-'; ' • Air'. m^|îoliterrat>î^ n i^ ^
chargé de parties hétérogènes , & fe mêlant bien
y avec 1: aiF extérieur.
^eirz/î èn Saxe, couches de terre de la Mi n e
de ces Charbons. • **y.:;' 44 f ? 4$;
Wey. A n. La plus grande mefure de contenance
des chofes feches , contenant cinq chaldrons , à
trente-deux boiffeaux le chaldron.
®a®tç. '$78 J&è i. - •
( T’Aomar) célébré Médecin Anglois,
' déclare que la phtyfie fait peu de lavage dans les J'
P ^ 3 fe chauffe avec la Plouille. C/kf/m. ip.) |
G. Air. Vent, ^ng. Machine à air^
v^ §ffl^ ^ ^ôùs-aâif. L e.
Puits à air. Peüt-êtrè auffi., ^ef'.mo,t fe: prend quel-
. quefois pour exprimer un grand puits d’ext'raâion
ou puits de jour , parce qu’il communique au jour :
à une des Mines de'-Schémnitz , qui .eft la plus profonde
de cet endroit, & où on atteint la partis
la plus Renfoncée; par trois puits, I^E^chaqiie' eft |
,de la longueur d’une échelle de ^00 écheîo’ns ^
;«ftlfappèUée Mine d^^naschdcdt'f péuv%pre^u'ffiti
eft-ce paice qu’il ÿ >à pluheurs’ puits
?PÏ«de. G. Machine à poulie. Hæç/?. Su.
-'Machine à-molettes ^mue par des^.qfêvàmc, iïifinds
«SfÆ/zgeTî. G. f^eiîZzr rec?fl. '*
3 cllebife Anatomifte
Sciences ; fa thefe fur Tincertitude des lignes de ’
la mort, & les recherches de M. de Réaumur fiu-
finéertitude de là mort des noyés a, doivent 'étçe
Regardées coiîirrf^-ime première. gÇ||§||j!
de l’attention que marquent'aujourd’hui plufieurs:
iMMf^s^’our rappeller à la vie des perfonnes que
l’on jugeoit'-défefpérées trop légère ment. 1 ppa.
Wife. Ali. ffâgÿfàfer. G. Guide indieg; ’ 'trace '
paroi. 5 1 1 . Le. Voyez Ivon.Voy. P e '
»q/Tmit/zw/n. 'Bifmuth. Voyez
Mefure de' Charbon"tiifi-cep à Wertin ,
.contenant. 24 boiffeaux , pefant en tout enviîon
48 à po quintaux. .
;ri«£/iflvcn, port dans le Cumberland , &. dont
le te ritoire abonde en Mines de Charbon de
terre fort profondes, 382 , travaillées en pente
beaucoup aiird!effous de la mer. 35-tj. Nature du
Charbon de ces Mines. Iflj» Pi s auquel i! fe 1
vend fur le lieu, quand il doit y erre coiifommé.
45 Lorfqu il doit ê re confomméhors du pay ~IX
M
touchés € ^ 1’ fè^: .^rkoifé 'eft Æéïâ»
m m 1
; meÂ- ndl i ^^^^^i f e : t f t e i i? ■ d,é^
* • ' * . . . • ’ ‘ 'èrmS^^gi Po‘û»;
H ,-v H | ^ S 1 j M
, ? 3. Géilm-.' Argille gralfe , qui d'é- H
► ' ” W H K Ê Ê m w
B ‘ i H ■ « . i‘4 J*‘
■6- CEIABBON DE TERRE........... .. . j q
Sk&aF-^ i.mMr/T^d^^^'rX^jl^nr 1 ?
ferr igineufe, nul de mica.. ,ft . ÿ 0»
S. Charbon de rEKRE...........
' E E 7^ ' u î ^ r n10 ly y , \ 1 !*)fn
!(5'.. . ' 1 ^ | f ®
I l ■ Aegü.£.e plus meuble , niélée‘
1 • l • •'/ ^ Æ ‘ V
A hgÙ l ii j 'rj,
1 3 . A r g i l l e ihlôgistiquêe.,
t * . 4 ^ ÿ\
■ ,14.
rites , Fieu-Afalm.... . . . . . . . g 1 1 1,'
15*. P ierre r^lohnV^^^mjUaréekr ‘ / ’ J
tS. C ü t M. 1 . 1 .......... *, , . ‘ -* ^
1*7. Pierre fablonneufe micae.ée;,. p 1 ^
iS . Pierre fablonneufe micacée'/, v
'mica’ .pBIogiftiqué................... g ^ r\
^ ® i^ k B | iB S ;1bleuati.eIsf f i ^ ® ^ ® e , ï)tù
la couche 3 & iirnr,
2 1 . Chaeboij b e t e rse formant1 .■ 1
■ ^la principale couche._ _____ __ î j : '! :
22 A rgillé grif tre, d'i crépitante ^ n
au.fen ^.]:E•Eêx.E' v’iA ..'
23. PlEBæ^fâbl|i^fôti(è ï '"i -
x ® aveeau®WtB
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2'J. .’Av o; l t-r ^
î ie ' aîiQ.t-?d'N° \ i J i f 2i
r )tai 1 7^ $>■ 93.
k IV- fi- PI lei f ju U de ( arb 1 fe txoi ^JriÉ?
dans
de'rable an-deffous des pre'cédentes qu’on expl dte. 1
TF'ôrks ( Smam. ) An. *1.
8 »“ •’ P-4 Dbtrr 1 r en Médecine & Braî'
fevir à Ko terd un . dans, en Ouvrage fur l'art de
brafler> en ! 7n , juge le Charbon de Sunder