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m , Ligne-, eft - ce- que les Ouvriers-'-nojnmpnt • un
gp,fait, qui va d’un p || || à un autrèi En Mathématique
en ('u^Mï^nè' èmplpyé '.pour % Â r la première
& la f iiis fetïte des longueurs.
bre 1774. ) e'nfemble ou féparëinent, au, plu«
offiaueSewérnieKefi^K#iireur £.iJâ requête .des Bité-
refles dans ces Mmç|.tDtous placerons iciÿütfnouvetj.
état --de ces Mines, d’apis J ’affiche', tant epouç»^
l’eSaâit'ude des' nqipsfde^ehdiOijsWJMiMIe nous
avons pu manqueE Viquisipour préfenter ici un tableau
pli» iapprochéguîes'.Mines 4e- qetl^oÇjgiyïnçe.' , -
Bans unîQhamp4diBCftai!*ac,s dans lésM|eneùien| .
de Baratre, iEj'GaurSSpuitsffiant & bas-, ^Snurgaeaj ^
tes Rivaux- ,leEroc ,laGhalandre>,,la Praae ; dans les
appartenances &c iertitoire de-£a',B.oi?fte-B,r'eÿin, mine>
de MaHÛUe, aami,Âeila.Son^mnt^radel JHA i,1'.
Cotnielle ; dans les terres "& prés«|oignatp^^&nî
ou Canal dé1«;M3ne-de‘& W<0 ^»les^i>urs \auts,
le terroir dhérronnar ; au terroir de Satiburn)' ; au
-terrrar 3e Tfnfac ^JknJkt4&T«i0 tkï miiMfc fqr
l’Ailier & Panifie ie Baulieu; Signal haut,; fcnal
bas fdans, leiGhamp. du, Chefne. La Daille, Bajfife .
Champ ie Ghêfne j ÿe -Phamp à,ef'ïfà^S»''aU3^êrri»
toîr’es de le Megecote, dp,ii» Pleni&
à l’sutret, .PaiôiSa'Sainte’-Florme , dépêii'dSrrs de
Neuvialle y d&litSelgneurCe-ii Ÿtrgonghon, >t-
Limande. ^iKisi^PW?ons-t<^i|%l?4dn^Ie^gms
KrançdjsVfEtit -donnés epÆhaWpffi^feffli^ijBce
■ d ebW ^ ^ ^ ^ ^ ^W é tç o ite ’, & peu épaijjpl'àl
en ÆTmplole 'de. cette 'efpece; •iHân^^anWK.de
>< Tremp^Jdé:U’aeier.u.Sjb. Des limes. ®yea
, T r e m p e ; - '■ - ,
u d<r>t«!reilÿ4 pnt
une- Compagnie eft'-nufe' ènv;-po^effion .par-.pfiivi-
leg^edoiü Am biettfpéafieft^feiaAj Gepërffiion,
dfc’>ffiaffibt,e'feêÉh ffia^êre a ptoces^^^^ïemej.
i I.mea Nmr'dUS'. .V osiÀPlompi-Vo \'ur ffiïïjfà.'.f.
tVAn^îfepWer^^PP&S'ddilaa^lJrih.^
4®|aen<>'' JS;r «• 11 , 1 Ifi'c’ie 1 d^Çk ri
^ ® s id ë : f te&ê.'S P6j5ç|ffi^ÿ^wcçttetedpSattQn.
700 , 1228. Pains de liquation , ou cuivre
Ligne oblique, plûs#ql'moinsj; G. Flach.
. Ligne à plomb , G. Seiger, eft une ligné perpen- -
idieulaire j c’eft-à-dire, .uh$ligné-'^
droit avec la iîgne horiföntäle. y 8% Voyez Fil à
plomb , dont on fe ferc dans les inftruments de Mathématiques.
Ligiïè duM'e^elô%ne pas beaucoup de la ligne
höriföqtale. ,&ï Schwebend.- • • - ' ■
Ligne .de niveau.1: G.- Söhlig, ebeti Êoklig. Ligne
plus ou moms'obUque.Gr.'FlachéVoyez Gang. Tra-r'
cer fur lè terrein une "ligne §ti fa ß avec une autre
ligne des angles droits'. 786'. Ligne qu'il faut mefurer
à travers des plans,inclinés. Problème -pour lequel •
Kaftrolâbe .conviendiroic>
M. dé Genffapê, dans' le Chapitre VI de' "fa
Géométrie fouterràine redonne là folution du -pro-
felême (N°. d- ) Prolonger une ligne donnée jur un
terrein quelconque. .Voyez Méridienne.
Le:Problème XI de M. 'Weidler, em mener une
ligne horizontale droite fut la terre, Âàns les cas où
là fuperficie efl inégale , 6* dans ceux -ou ellé efi
coupée par des précipices- ou d’autres obftacles conß- '
dérables. Le- Problème XIII , trouver une ligne
droite par laquelle on peut approcher en moins de
temps des.fouterrains-; en qui'éclaire lorfquil .s’agit
de pénétrer de deffus la furface aux galeries , • &>•
loxfqu’on peut communiquer d’une galerie à une
autre quLen^eft vôinne.
Ligne fiducielle, ligne de /o i, ligné d'ajfurance:
Diamètre, de la Bouffole. — - - ' - ~~‘P -5?°^«
Ligne des nombres.; Voyez Echelle.
Lignes appellées S inus , Tangentes , : Sécantes.'*
Voyez Sécantes , Sihüs‘% Tangentes. ■ : '
Lignes artificielles ", lignes dès parties ^égalés, lignes
des Ugnès Z lignes • des cordes. - ^ Xbid^
Dans le langage’ de l’exploitation, les Houil-
leurs Liégeois appliquent différemment le mot
ligne y ils difént, ligne de Vouvrage y ou avant-main7
^p4.-AVoyez Levay. '7
Ligne > f Cnom oniqüévJ 7 66. Ligne Méridienne ', oi^
Ligne du Midi, eft- celle qui tend d’ un pôle à l’autre, Sc
qui repréfente le cercle; dur Méridien. Dans les
Cadrans verticaux cette ligne-'du Midi- ëftVoùjours >
perpendiculaire à Thônfoh. 7 6 8. Voyez Boujfole.
Ligne fouftillàirel Ligne fur laquelle on-élevele'
flyle d’un^CrdiM^ JdèrhJ
• Ligne d’eau dès Fontamiers -, évaluée a la cent
quarahte-quatrieme partie d’un pouce d’eau. 10B1.
Ligne'de‘UedUi^Mù parlant ' d’un Vaiffeau, c’eft
l’endroit du bordage-jüfqu’oîTl’eau monte , quand
le bâtiment a fa charge & (fu’ih Rotte.' Voyez.
Jaugeage. ■ ~'L ~ *
: Ligne du Fort. ( Maritime. ) ‘En parlant d un.
Vaiffeau , fe dit de l’ëhârott. où il eft le plus gros.
H H B Ë 3 . • Lignum Petroleo imbutum. Gagas. Pfeudo gagas.
'Mbenum fojfile. Lithoxylon, G. Sortur Brandur. Bois
mWqayèféî .V ' ' WÈÈèË Ligo. Hoyau. Bech&:G. Feilhaw. - £
• Ligule. Nom Latin donné par Agricola àf l
guille de la Bouffole. Aiguillé » -'ssi;
Limagné'éu Hafll-Auvergni. îrovince^qui fournît
du Charbon de terre â la ville de Paris , 86-oiï
il y- à, plufîènrs1 puits dé Mines ouverts à Bradée.
Sâmte-Florine j Auzat, & autres ParoiiîeS , Elee-
tion d’Iffoire. y84. Ces Mines ont été affichées à
vendre ( envdftuo’tin Arrêt du CdnfBttdu 3 Déceait
Jsi
■ ^rLi^in^Sçlnn>M. de Genflanne , on donne ;ce
«M^ja pafe» quelques' endroïïf» a fijMMBfafefeura
d’ife ^ ^ n e de ( 1 -bin* \ îKzl'Hu “ i,
- -'-Liqiieur de fMp: Moyén. d’en obtenir de l’alkaü
■ volàtil3ffideJJ^Q^^^p^iïiirrçl?ttMo£'hfâlp^bb-
- Lijitrc dsîjrsrne.^«^lban'de^Si%^^je\lÿiorf-
qu’une Veine n’ell pas liée intimement à fes
côtés, av#c4e rocher de
& chevet, & qu’elle fe fépare facilement , cette
fente de réparation e J ce qu’on nomme Salbande: ou
Lifter s- dz Veine*; çette'fente., qiiû fefop Ja;1','t&tq^rque
de M. Delius ^^cbmpagnei^offliuwlaw ei e »
■ eft quelquefois remplie d’une pierre de laj^^hie
fia&re due'càhe dé la Veine j-iq^is îfoUvênt jêjlfe n'y
- reflemble en rienîyimii;à celle d'e- la.'G&t^prture ldi
acefie dn chevet ; c’eft ce q,u’on nomme aflèz bs,en
iïftèttérpèc en plufieurs .endroits, tracé f -Beftefi* Voy.
Befteg. Vf
■ j Lüharge.( Refonte déla f fraîche en plomb dans
desfourheaux de fenfondu.- .■.HûStanqé.
■ Liteau. Lintean. Tringle de bois couchée fer
■ une autre qui-lui- -fert -deilitf^^nfeii’âppelîée a
caufe de fa difpdGtiâd' otf- de fort ufage, où/ parce
que d’autres tringles repofent fur ■ I
, Lithantrax metailifatum - feu . M;ncralifatum.
Charbon de terre ndnéïaHfé.- *-
Liis. -Gouchés'dù Mines, de terres ? 4e pierres-,
de rocs ; un Ingénieur de Mines doit fe les rendre
D E S M A T I E R E S.
familiers.
Izry de fiubfiancp->tehîè^^l Leurs -marches
eMîÿSerites-^areilM.17 céfcs. -iej lits dl' GHl^bori
‘!3éVtéîré.^5^ £ ® k 0s â ^ ^ d?où
ÿ r i: :
erli'rèt4MK7f e j M4,,JLé|my|W3 ■ _
■ te-s: le Mémoire, fiar les eaux de Freyenwalée,
ùue terre « f e - ’traver.fée ^ ëU quèlques
par des v e i n ^ i ^ ^ b ù^^d’éphillTeür,
.la .cb,ii^èni^f^îi^fement è&m:orfr‘ .er^^flV’
Sloite ; mais éés veMês férmëpf des
i%labl^s?, 'à ’> des'voùvfràges'i desWn^faGi^n':^ cettè
de - tçrré ^^ès-srerçkrqjaable.
^^^cf0B(dëi^rp.'qhtagnes a couches ?■.
vënt^oïdihmrèmp’nWuâè/f^^ de (-^eglè 7da|.sÀ ;lëür
pofition-; néanmoins cette régularité eft quelquefois
' entièrement^ r'env'erfée j^lë Dach Stein, appel-lé aù-
Srêmint^|cfe;|Siei^^g^épe^U;^oir.,' le
terre’’ frah.6hë.fvVàyèz MqÜtagnes àÿmuglfés^ ' v
/;'Mànièfe *doâ%%'
■qUes fe
Mfarïd.rè',} prèshla fourcèld'è M^|Me|é‘Mè Xau^iqjïi;^
BMs r i^fplupirt dë&^jS^t^s^gébgfaÆqüÉ^&Sÿl
\ eft appiellé Livry. ■ ^èï^éhdrqit^ëft^nlçm^liâ
une^rMine fde^He>2ille'.f^ ’(pB^^^dè^ferrë^décodd,
■•vèrte enCf^'ÿ^^MCqùéllé 'Mî lëfMafqùis"d^®mr
leroy a exèrëé^u®r%ilëge^CGordé’ en i 1 7 ^ ^ ^ ® ;
une G o i f l p â g p e ' Mi n e
^bçGqpe; s " ‘p W \ q à
’•,deUx^pui|s^^^P^^^^^^f^j|ifqu%tquStr^ cents
pieds dé^mMpdlW*?
Î W & (Fflraniier) Enguel Treqüè. 374.
v,.j pondérale des corps £gravès'
qu’bu pefe , Sc qui eft différente felon les lieux.
Livre de.Languedoc. 722. De Lyon, Marfeille, Paris1
3 Rouèrih, Toül'oufe. Id. La livre de Loiïdres q|f’
^jîvet^di^^ÿfs^^^^M^priîrë uh ^
È^xÉè^èî ^ dè^ ’Parisi ; 8 64..
'{ iÀVefdîi )
M^Ê^fiéÆ)^ôUvjdd^s’'^à. ' doiŸent;'êèêë’,.bç>'nft1fe d*^
ï n g é n i e u r ^ d ç 5)23. ^ffipffllngénieiiï,y - '
Lo.cailis. {Palus) Pieux. '
Xo'c'^ -Sërge. G.‘ Montagnes • où la matière miné-
rale, fituée àv'p'eix dédiîtïfhéel d^{fâ fuperfîcie^’’ fdûve
Loc/ien. G. Creufer dans la Mine, à peu de dif-
tance- d’e 'liaTarf^cë ^ âia lieu de pouffer le trâVail en
profondeur.
.. Loc/i-Siem. Couche d’ardoife (impie, fans mé-
S : ’
Lacdldmentum o'rbiculonim. Capfa. Capfida. Chape.-
| iEchâ'rpe.>’'r' \*
1 ftï Lociw. G.^Orts' Locks terminants. Gû'pqé-fâcï’ G.
Gauz Ort.
Lo/f; S.u. Air. Stalègiga'. StJ.- Air m^ùvàis. Mtz-
. r:0 driè 'eid’Ldft-.'SW. dVEtéhinè à vape’ür. ■ ' -
" Logflrif/îmej. Nombres artificiels qu’on fubfticue
1 ^ ^ nombres ordinaires;, afifi1,dè changer toutes les
e'fpeces de muki'plicàtiens -en- 'additions& -tbatès
■les efpeces d:e divifîons ëh MpBmOéioPS. 'Lq
inique. ( Regie ) de Gu-riter. Voyez -Eôlielle. Table!.
Voyez Tables. ^ £ 7I
• Loing. ('Riviere j Canâl dé') ' Sa Jurifdiâion' au
p'P^éVôt des Marcfénls" &' EchéVins dè^’IiOTéP*^'
. Vilé:dé Paris ÿ policé 'dé ëét.lé iîavfgàtion fi-xéé p#
■ .^ne Ordonnahcë du Bureaü £brïçiéfnant la fûrecé
z447
des bateaux de -Charbon , Si autres droits fur ce
Canal. ^43. Dans les’Gares & Raclés de-Sâint-
Mammèt & de Moret 5 du y Juillet 1 | g j l :
Loire. Riviere. Sorïï,G6u4'S-., ypq-. G'ompagnie des
Mareliâhis f|éq%èhïânts la riviere. dé Loife. 71a.
Ënt^ée'èn 'Loire.-Bee 1Vâfâz Bo'èie,
iÊÊifàw*^|l||WÊttt dé Leire,
- Lôdx ^ procédures fur b& fcâc Mes &i2'ÿ>
eapkal' de l’âdMniiratièn dès MinëSw Idem. Là
fcience de ces lo'ix ne confiée pas uniquement ;v
dans la connoiffance des termes de la 'lb-i^r mai’s
“8^^|hdi^e|^Bj^^fI^f^pilair^6Ônubilfàn^cè£dea
l'oix d’un pays eft intimement liée avec THiflioire ‘ •
de ce même pays ; il eft indifpenfable 'd’èh être ’
inftruits ^pqur^ '’avolj^l’ imelllgetibe > dê^ quelquês
|poelqcal^&l^^QÎfe^^^uf^.pmbDf<^îresi 83b.1
; v L0idPies;, Gapkale de l’Angleterre , èh#èàéè^ |
ment approvifionnée jp'o.ur le chauffage, en ' bois
fohv^ v o i^ ù à g^ \^ ^ '' ^2qi.
edfôitè^avéb 'du^Ghargô'ff déterre. ^ '3 ’.
Ordônnârice'du^ RoiÆdbüard|,L, pour? defehdrè
JÉge€^^^r6wfÊplë., Wiôd ftJCommerqè
du'Charbbn de terre ë'ri4Angleterre, 422.A Lôhdi-ésj
4.37. Confommàtion & exportation de CffaFbob'tëtoèi
terre dans f^^Câ^itâlëv ^24..' M; de Frevillë'dariâ
BrétaghéN,iÿâ|^qW^®^ènM«ÿP
gées fê pé. èoÉibuiible.
Long ferai de ieyier. Voyez Levzer. ^
Longs ïnemèrej'. L e . Lèng's côtés du bure. 370^ ;
^^hngi^aëp ',Q^â^fiQu^Qé^rrninêl,
,prife ëritrë’ .
Degrés de Longitude. 7yp , 760. Longitude méridionale.
J^em. Septentrionale. ' ^ ''H » "Ibidi
Longue: MàMrè. ÈEîf;^^dë-,Mah1fe7'*2-ÿj^^#i
'^èÿ'éz-Mâ^e. ' M
è ;ijjori^qés^pèrtgesî ^Iïè. :Pmcd* ' l’Âr
m'oîcèu»;^2ll VfrgésÇ W
Làngüeür dans expïîm©
là maffe' dé Veiné conSdereè’ iaans/fmi éjtênd^ëvëa'
largeur. / - '{’y8p'0 |
’■ LouphetiS a fe . Bêche des Houilleurs Liégeois.
§ 1 1 1 1 '* ; ?c(V,n , : .
^ ^ .,A p p arëriëë>:'dë - Houille d’une’ -épaiffeur
imperceptible placée èn^rèfle|,,,bà!ries^dë\|îi^r£;,
& qùè.’fon prendroit pour layèihë: Voy, Waiïme
Loup É ilif ;| ’ mÉ^iùWa
enlever lël-^lir
•empêcher 'le.vént..de Touffler dans'le tüyâ'ci d’a-ira
§e* " "V"' V Ur T\ Nÿ 5^SÎ !
\ dé )' près Aix4 |l Chàpeîïef 7
;^®nra^^5^’liraâ^e^fôyée ■& laiffée p'ah Jë^-eaux^l
■dé'MjÉÊfer j ‘ adeuri%*traitëVf’, £VTî\'L''èi-Li -^^7^2
V- ^Loiwrex j ( ^ . :We) Ecuyer, Seigneur cîe Ram- ^
lot, Go^feillèr auJG^^ÉpriV'ëdè'JS!iA^M.‘'lefPrinç^^
Evêque de Liege, Echevin de la fouverainëJdftice de
la Cité & du pays de Liege : ce qu?il fe 'trouve '
;dàds cTotï ouvragé" f e : l’àft & les coutumes-de
Hoüillerie à Liege.1 V. ;Ly;f , ■ - ip8„
I Loyéi5 ( C/zÆrioTï j & marchand-.-
II ' 'Làfte. (Ver'giftè )aurâ peftilens. Voyez ^mauvàts
'Aïfi*
' Lumière. 'Air^idïràgd, èFaiïp^fuivre la
lumière. 2 J2» 'Faute ' dè lümïètê^) Êiïrfg - hMimé.
W w k -
1 H l » 1