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fié aux âet l’indigence : quand bje,ajnêmeson fiappaferott que„ces malheureux
ne recourraient à ce ehau%gtque paffagéremerjt k in p fk a plus
rigoureux, cette propriété de^pmgfr k peu defrak-W mauvais,air (j^iju ih , '
^M amniere qù’c® l’eptende>v:'eft un .avantage, trèsdigne < g j^ id * ê * io n i
il entre dans lackffe^e oe?|mé;die|mens ,î.<^tfl;art de guérir prefojjitd^va^
pegr ou la fumigation peut les aflfeÉfionsdç poitrine ; ce moyen paraîtrait
même de nature à l’emporter fur l%abitation dans des étables, % it on avoit
voulu faire une méthode fpécifique. , , •
ï f y deux auaes çir6Qù&«»s appartenantes au-feu de^Ot»§? * Of font pas
auffi effentielles^ puifqu’elle? ne concernent pas k fam^eHestn^font, pour
ainfi dire, que d’opinion, c’efH-djre fQndées.uniquement fûE 'd ^ p a ren c e s.
Pour aller au noeud de k queftion, concernant l’odeur qüe donne Jp^a'rbon
de ter-rg»brûle, & trancher toute difficulté fur ce point, ils ’agit',d|.bienou fè
convenir que les défagrémens .& les incommodités qiêonmeipourrafaip diff
paraître dans l’ufagede ce foffile, tant de la part de l’odeur quibexhak que
de la poufliere qu’il répand, feinjàîeni&nfîbl^i.; Il s agit d examiner e ç quoi
ife font mal Mitendi^ pu exagérés. Ceci ne comporte ■dp£dw$1ît Pj,
vifion de faits vérifiés forgneufemept, & difcutes avecimpaftialite. -
De la vapeur, de. fodeur & de la fumée du chapon de terre.
La maniéré dont on eft prévenu contre le fendu charbon da terre relative-
nient a ces incommodités, ne peut'avoir, fa première fogj|çe,,que dans le
récit de ceux qui ont été dans les- pays où$on,enJfit > nk-g^L
partie des voyageurs âent effeâivement un langage
vantage dé ce chauffage. Sans youloirôci leiÿleprimer^iaduy.èùr^dqgpro-
che^ue bon fait à ceux qui viennent de loin,naturellement p o ^ ^ ^ & arter
de la y ë d té ;:je demande férieufement fi tous ceux qui<4ntf®rtis',d|jclfèz eux
font dans le cas de mériterunè confiance avéugledur;Gejqu’ik'.rïcoptent ? ||s
uns, & ce nombre eft grand, n’ont porté dans les-pays étrangers qu’dis ont
. vus, que des yetnt ft&inés par des préjugé?, .& ne.rapportent à leurs compatriotes
queles faufles idées qu’ils avoient avant leur dépara. . ,Û *>»r
D’autres., toufràdait ignorant fur les modes, fur les pratiques, e@mme fut
ie ipw icu la rité s des pays où ils ont é té , uniquement infatué?: d’ito „voyage
qu’ils ontfait en courant,, s’arrogent impérieufement des droits fur la.c’rédw*
fité d é leurs auditeurs,-dont peu foBfe;m état de les contredire ; ^prennent
d’ordinaire un ton affirmatif, même déeifif, .qui- ordonne aux autres de ne
pas douter. ’
, - ,. Combien dans tous ces différen» voyageurs, dont oh écoute, les, récits, y|
en a-t-il, je ne dis pas feulement qui fâchent obferver, mais qui aient voulu
fe donner la peine de voir & d’examiner? Le point auquel j’en fuis, me
fournira ici la preuve de ce manque d’attention & de difcernement des voya*
gêur| y d'après lefquefcon croit conqoître exaâement les effets du feu de
houille. D a n s
yfifc’reiîdïnt»’hioplupa:t \1 entie cM, •dfcÿkurj; fenfatirns
miJêèt^é1prd, iiîwWn^^lt'm'puWnid’i f e HngBnhfik&i^-galembh^curupa-
ftrkg uVs^AîifUiq rTlj?|i'htd!?quo/^' autijcs^plieî\omenos
, du chauffage, dont ils relevent fi fort les incommodités ; c’eft précifément
h 3rs des tems qu’il n’y a pas de feu allumé dans un appartement, en confé-
^fïïu?*f(iift|U«®S^ne peut^p.fkr rosêu-n î ^ j ^ a t t j n . e i u g 1. qpè:
la circonftance d rki 1 heu1 J ç^aMfq.uiàiniitjtap iSfr;,-
page 17 delapremiere partie. Voicicedo r t il s’agit : La graijje ou l’huile
du^^Mj?iHde tcrr , fclp^rcftî^uiptlirfttlf^iiî'çl i®ui%ck^ ip^ut'h.lk, tin fn
IferafGhèmuKe’ joi 1 nonéelfedJts'*v, clbn efroudrêjakl'idlireiî tù-if'^uten 1
& avec différentes circonftances : elle s’eft co « 11 tie un lu?«.^plqs ou moipÿ
^fm^è'Oui^lifrrf’u/Lé. La p.utiSqui n’oftpi-ïnWwiîÆlidtdéey.^.'À 'Lr lniejfifea
tiefltf mu.wj'tPhccUcoup ck fou- liumi lidtyqu1
Vfeiice du feû"d'eths’l.i td'lf^i^^BidGf^TOiùtkfvdiêp/di^rali mtl.'jèv quo.lo tem?
'pluS^üaS-ânpn.he et v»0aT<Leiii r , 'ou, de!C3Klâffl^^.iÿbgfte^iâuiy<qllj r:ftuù
™'^^cjbtoMv'c?cp'i l lq h o( ( iT'SclTu raie - ic 1 ÏSlfnAife K uiffàc^p u d„î'p^Vs‘. A>iai^
tfb]ilc>Bp'du‘ j-TSikl*ufëwyllid-dTiiiftu^aU:,V)&cl'i^]hj‘drrjâS)iÿqj;jpn|.,ïict^fçnfitraii'.ii
de lui donner, ou de llexpofition de fon nlue , lar ktp ello or eft également
Jgciu.. l(^m"’£<k>s''(i<-n\ oient,«.n'ifcnis do pleins^^rÉqu‘<jliim> ^alliime jjo'uni^éo
feu, une odeur de fuie alfez forte ^c&ti'éi’.fpmar.qup^^^^ËÉ^Lk^aêtll-v
5 '' '^ ^ ^ ^ ^ ^B ^É ^m ie u x id é fig n c r cetre odeur au Commun do me'- lû£leur4
miftehdl’q't Diftintqu «.IL ti lit doscclle t es «.harbons de tu r^ & dsii.^]ê;dc>,cha^}
II eft plus facile.«! «.nÜonqc^i&n^idcc.aLcu jÉÉ||ÿnt ai| idf8ùe’é jsdsÿ
^oijnui'cî:s“de drymiê^ISSft^fôIument 1 odKur.p^Sjirc aü co!rfmlnu.n)i.m de
^eCt^mpofinbnf dcsMTtJ/Tü s q^»^>bfîSjiq
dos^ptsïîclincux'bio,|kx leur diftdktfen i'I^koinue. L’oietfr qui s’^xlialera
^mS^ét^ld'pëfaficlISpaf -là trouîdu^bfllon', c®mpandof5a .oello,do kfiuiaâan’st
&cv,^*ms|h0!^id'ês-ÿ dêïtlo'htréi>aïmç|nÿi(Ke ; & fi les chi^bnÿde torre'doijne'nD
mnbrûknt dke^odêur mixte-,kdah^®qûèlle on diftingiiï cU&dontfiJt eft quc(^
ftion, c’feft unepréfè'nîptiOTikie plüs>pc|ir p'.r(cn.\iïar\ ec"beafifroup'„de* Bhidi-
'%i'ferîs>j que ïl'es'îthârborls de terre o'nkun:4tprïgpiè yégptalhJ,1 ,s‘j
f'^TïaS difficulté qu’il y auToit^.komme’ààn^toupqéq^i'eft'dtlrlffoTtSllfÆ)
■kïtrouver tout le monde d’accord, .ne me perrnot pasidavaiilagc.deÿbeeitieS
l’impreffion que cette odeur pourrait produire furdelph^® fur4ê’^a|itres.5 Je
'donnerai feulement mon-idée à cet égard; &-|e- la crjiis?raifonnablc ; ello, èit
une fuite de l’opinion de quelques auteurs ■qu^j’jabciÿés', fur-kj^opriéto du
charbon de terre’ dê|dôtlhqr ad' fëufurré exhalaifonbohnelpour, la ‘f a n té& qui
eft étayéêtaéB’avisdes-médecms
pofé à'penfer que cette odeur,« renvoyée de terris e'n tem^dèSehemi^î^^dSis
léslapplrtemens-,' en agiffant fur rorgéhe'dqkbrèfjnration., eomm^ elIe^æîFeâe
J ’odorat, ner contribue pas peu à ratifier l’air des’ villes & des.maifôês où l’on
brûlé aê la houille.
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