
i ,.E:$FïP L I &■
Fig> 3 • Plan de Ja fepecficie ||f l
. treuil ou moulinet horizontal, ■& du pas du
.7, bure, ainlf-qièe de ,f alEette de la machine. -
développement du Rouage qui compofe,
$P" -, t
P X A N ^ JB , • '
P l G, i . Bure d’airage & 'Bure à'extraction ; dif-
, Jérentes relations ou 4ommûfiicMiow. I;e;: .«.# ûmx
^ 1 tyûf^eriirel ssx,
• ( Indépendamment des travaux neceHaifes^pbÎÆj|
&ttéindr© les yëmes épmfc les,
«aux , l’air 3 'entre-iautresfÿ ô'c^âfîpnnè-fouvent dans *
Texploitation igg^ëültés prefqu’infurmontables : • '
un, reBojay^^^épt’hqntinu^^ dé' rjat^ëft^inàir^ii-
’febj^gént TiêcefTaire à entretenir la vie des Ou- ■
^mêrs§ Heux obftacles s’oppofent .à,Ja.e^ejilation
Hé l’air dans/ ||§ r% l’air renfernae^âns
les fouterrains jquèyp^
une ouverture très-étroite avec 'le relie de Ég|j
moh)k®1Le j air, renfermé eft altéré de différentes
maniérés" ou. bien par les vapeurs ou par
rh'ümitiite'a^ fatÆ âfem&i|teérique
, .11 tend ,", en conféquence , à .occuper la
pantie la plus balle 3 & à demeurer. ftagnant dans
les 'galèn^^de.Minefc: ^ 3 ^ ^ ftribjjLio% même de
ces ^routes fouterraines entretient de ' plus . en
plus cet. état qe'fiagna'tîpaj enfin la différente température
de l’air fouterrain avec l’air extérieur , fui-
vàn^TO^l^[oM^^»q^yppTi^ |ËQnttce qujypeu^ayp^
rapport à Ja ciréulatlon del’air dans• 1 es Mines &
à *XPP^at*on railbunée des moyens deftétabîir , une -
des5'.cireQnlIânçes a.frèmarqper^Pa^|
moindre - :
mée a 1-air remedied f^flïaisHahs
beaucoup de- ^ ft | f^ |^ ^ jn | i|p s ;
les grandes exploitations j il Faut recourir à des
^-Q^ens^lus cpmpofé^^^his ordmairgmeat- ott
xéüffit eh bif^aâtun,nouveau puits ou B u r ta ÿ ,
" comiriè pour Parèine , J>age 2 8 1. C’eft lainfî1 que
. danslauM^^%eJPêcÎ2^^m l il l t l l l i 0 Mit #1
11778 de pouvoir contifî^^jpaf -un nouveau
puits, les travaux um Je^rQuyoientj gênes, yoyeizr
pàge ' % |pÉ^li?art 9%v:|Ini|u^e§ir l’âlr'des Mines
,:ëÔÊp|l| a^onfl^uire exprès un ou ‘
■ prüfiëurs puits y uniquement deftinés
.tion-'d'e1' l’air, dans la Miné ; mais" fur-tout un. puits
• ^ans -ie Senre de celui imaginé par les Liégeois , fur
fur lèqîiél-bn pratique hors de j:erre une forte de
v cheminée qui 'prodhié à peu-près *1§ même effet
courant d’air que les longs tuyaux que
l’on ajoute aux fourneaux chymiqùès , au moyen
de la c^nflîü^bh qui vâ.etré'developpée dans cette,
JPlanche,
H H n
A, extérieur du .bure-
: d’airagé y/ _fur la même veine ^ que 1b
' • ' bure Épextraftion , plu§ âmont-pendage. ■
dans une paft’jfe de fa
: profondeur "àvec tiH'ë ■Voupîè,‘dréphéllesJr;at-
| fâchées. 1 I
f* c% PkfçUŸesJ T*aÛlettieîîts* pratiqips^ dans lé paroi
du Jiurtày c^iLcp^mé. au ,graiid_ bure, pour
. débpuçhër tout auprès,| otf ^ull^iefois t même
S J dans la“ »bufe pàf ■ déf ouvérftifes ’< |ue l’ion
. apperçoit, & qui- foht^nommées'RüWàUtfesï'i
"O -D- .Æ0JOH , au^i^^|âille^^^cpmmën^âut fà. la
premiere pier^ure 9 à..l’endroit où elle, vient
A - .T J O W v
, j - ;,feifâ^,rôji^dç; la^ïîiapré
,• . .perpendiculaàrepenit1 jufqu’au ^3Æ\du ‘bure
pour ÿ .cdnamumqiaer^'EÉ^S c’eft ce qu’ou
' ‘ nomme communément rujya« ^ d’airage , qui s
quelquefois, eft fimplemer^t en planches, &
conftr-uiit dans 1 è long d es - inàhires/
dü burë ; il eft -utilé d'e rapprocher de
p|v;-5ê:|^e planche 1|,
ï - . qui repréfente la coupé d’un puits dans lequel
on fuppofe-j dans trois parties d u |^& ; un
Baromètre wtin ^hermômé^^laces à cpté
,»*1 :
conftitutiorî de l’air des Mines en différentes
es :Éftl|pp|S' f éhïp.s de
fAfm de faciliter ces obfervations météorolbgi^
ques, x>n !doif iauflî 'ponfultef"’ là Èfâffiÿ^jhparee
quemoùssaVoîfsîHô’Énél, page '5 ^ /s des degrfÉiëêf'
thermomètres léstpTus ■ cWû|is^ avec le thërrnonïetre
de M,' dé .Rfaùïnùrl-
F ig. 2.
' Hure de chargeagf réyètu. de planches dans toute,
îd'partis exjwfée. en .yue c on ^y^a -repréfênté deux
êoufâdes , dont .l;ïune <rnoMe, chargée & 'Mutre
redefcend à vuide.
a 3 «. CZoi/ph ou' retranchement en’ planches 9. me-
■ ' nagé en direâfion^obligue dans une portion
de l'oeil du bure fur les graver iôu :Zo72g«er
mahires, qui dans ce cas font prolongées, afin
de ne point prendre liu* la dimenoGon cônvè->
' nàule dp ia, ^eéMëi :
, . mée, iozj de Affl7îjy 3 forme une- efpece de fè^
/T cônd bure féparé feulement dans cêtte p’ar-
tie^fupériepr^^^pevePplus?ttu^moin^prp^
long^ffelon que le pas du bure avance de Tccil
du bure.
^ A- la fipiplë vue on apperçoit le double ufage-
de ,pett^ faufle féparation , qui n’occùpè' qu’urip
très-petite portion de l’oeil du <Hmre • ï ° 3 d’écarter
les eo^es o® chaînes qui^^^A^|èSvEpuikdes
& les: feau#.aÉ^||;p’eMes ne, fe rencontrent pas ; 2° ,
de /uppT^ g ^ q ^% ÿ ^ S j;;Ji^ e h ro h c em e S fflK i
Spopxhepx 'bu ^ùje.'déflâhé' à- xhoriî^a&ec des t i ^
nés '.î^éaùx^djune'. veiné .^p«n^urë^!^^^^^rtiè
réftante a dans laquellè on voit une ri,*me ' c élevée
au jour.^goe^aiçôrde | b
ne fert pas ffeule^ent;à ceb^|ge^{lë^
ont bcfoin de defcendrejd^Hs les ouvrages, & d’eri
contre lequel on.applique des échelles; • quelque-
foisgô^iy ;éitabl:it des corps-de po'pp es ÿ. dans:cé; 'pas
il forme un bme à pompe JM^re^mefft *
conftruit en brique & de forme ovale , & ordinai-
merît 'pl^n’^lîéïé ■ lorfqu’il •; eft -quarré ^ mais il vaut
mieux jpe^js bures à pompes foient murailiés e'n_
' brique 'ou en maçonnerie , .8^^6%Vf|^àp|fôs;dé' :la
maçonnerie fohrâ;Vrr^ndis.«*^
E , E , E. Galeries de traverfe qui vont au banc do
^Ghafbbn."”
îï\£$j& L 'A p jg f i X V I I L .
L es Figures de- cette Planche tiennent à laf
;partie .pratique de l’exploitation relative à c(e _ qüè.
1 on fait que 1 air 'a une, certaine pcfanteur, mais
■ que fa preffion augmente en raifon de la profon- ■
déur des puitd.- Les' propriétés; correspondantes d©
:4^ a ^ c iâ\ profondeur des pùltS', ' l’élâfti^ite ou,
lkx^|üfîpmt^,Je^ce ;îluide , fbat la haie <fe'~tou^
les changements .4*aif Hans les Mines.- V, pàgé*$f 2*
& trùr à æ z â P ' t l îJ n à 11 je-. '
ï ’i G?. 1. efBêntei, de plmtmfe , qu^iï
faut? allei^Mch^mr.
fur une différente partie de pendage ; la partie
eife:^ nommé^i4i^^rpend<zge , ou ipy^e
, ' 7720/2r-pendÆge, ou Feme de ^/e^owr k /n^i/z : la’
,■ 'partie c éÉ iappiéllie
.4, e ez? | pour
• iao: pas: •faire une faulïè application de ces
‘ 1 l^niOmiliaëons ,. il éft nécefTaire de rem-ar-
quer que ramomt & faval-pendage ne fe ja-
' -&en£ le îa ftîirfaee, 1 a
pente? de la veine en terre fe trouvant quelque-
* ‘ fois td^è15tém^^ffiqfép, au penicfeant; de la
' . fupéricië;.. ¥bÿéz page 2@;i£. ^
M.t ^ c’ellrà-direJ5 â^S^rfur la
B. Fa/7,è ^aZ-pe/zfkge 3 c’eft-à-dire, qui vient tom-
‘ ;i;. bér fkr le pied de la veine. 1
WËS^KÈm
;|^^®nter genre
s’y renconcren t. Voyez page1 4.8.
c , d. Veine de Charbon en même pendage, mais plus
é 1$ ou^l^ ^ ^ m ü l’air Muhe;;
*' pefaniEêur çoy|îérlMb; én rarfon de
gueur de la bufe.
plus courte & plus légère, ce qui confticue
• une différence dans la force du courant d’air;
communiquant de l’une à l’autre foffe par
T ‘li l’efpace travaillé de la veine entre Ces dbùx
foffes ; on peut-voir fur cela la page 30©’&*
5)53 , dont il. faut rapprocher la fig. ^ de k
des matières , au irÎQ^âir.-f^changemeht ÏÏaii;
naturel-dans les^ç^neW^é^
P
iïEuvélage. ' CüyMeifàenu ' Cowellenîenf, J où tevêtijfe-
ment du Bure en charpente s formant une forte
de cu^p oAK ^^Æf^f le pajfage des eaux.
L a Vignette repréfente un lointain (en hauteur
de l’Abbaye du Val S-. Lambert ) -3 pris fur
vG^é ; n’ê# ;p#i|iïe; dé,travaux ;fè,u|
terrains qui foient plus contfarplpif lès eaux que
les,.travaux 41® Minés de Ghatbonf,cJe ! terre’ ^ces
Æaîux* ivîénhehtvfoÆÿsyban^hipéneurs^iSg. pfîn-
( cipalement de ceux qui '.font peu ëloignés.ldëda
fupeÿficie, 01a mcmè des veines de Charbon 5 &;
qiuelqpefois des endroits les plus reculés de là
'Houilliere'i ; Ces différent^ cas exigent ^différentes
ïpanieres ■ de fe: pourvoir contre les inconvénients
•qui' en réfulteroient. Pour arrêter le courant d’eàu
Ha0sjÊM|#|W les Houilleurs r fui vent’ une pratique,
jaflez ingéniéüfe" St;^ù&ëft®r,e, loffqubîfèlH bancs
font à peu-près horizontaux : elle coriÆ&,| qùadd
P fe rencontre un niveau d’eaiiv, à difpofer' ÆohÈ
^autour de*lâ||ufe intérieure du- bore dès planches
©ièn ferrées les unes ‘contre les autres fedafaées
Mel manièrene laiffer aucué^ilTue aux èau^.qüi
arriyenc : de cette fàçéh lès 'Ouvriers traverfent
)in nivÇdu (Cedu»
'chaif^^ttÉlongâ
I WÊrnm
W U i l iM l m m sm m m à —
C-, C. Déchargé dés;‘ëaiùx. ; [ ■ '
B 11, 1 B hr B Ô M
E , E. Veine fupéneure exploitée da ! le L jr ii
"4t3 T ï- m m w m m ^ B B È Ë Êm S Ê Ê K Ë W l B
K * pI.iyiK'WSWj1
Cl u j ;e pour c is \ H B H
I ^ B ^ ^ m Ê Ê B Ê B B H P n C
Les coudies teirei é ; qui pr o ‘" i c \ ‘ [ î '
H i W M Z *i *W uni*a- d h in H H f
1 . 1' ’ ’'S^'ÿfiXiiL’ ,'' ,e
iom pas toujours d ' i ' lÆîdîîVj
1 P fe'h X.1--• ^
PnAM ^S i^^ fp 3S»fn? .^MraShchfe'-^
\ 1 v i ^ ® - fr- (?'fiÆ ^ i’S sÿJ c^tfc!
ifiutiiii'
Val-Benoît , pi ès de L é ;e Pal i
P ® è d ® d e laMwe',<%lÆrÿï^^t#îMila?d[e^
I * t A-aux.'. ,^ B | 1.
^ f Ë . 111'de n fti ’J.i'Jfc.Ljr^îï:-
ment dans les cas où en :ipprofoijdilTanc un bure s
( ' \ h
i ü nid ¥/5>ÎW(ttri^tl ’*,/j -4^
fupérk are £ , une ih/e7 u, - {) ,B , JK
. 1 /H/eWeare que l'on a abandonné, & les em-,
'pi.' her de remonter par la bufe du bure en .FS
jt 1 c e ’qui eibpêi heroit d’approi Tf a
p Jur'
d'I l>lOn\ O' QZ lu , 1 _
iTufe * ui -iMn. , iji enrfr ■ t q « re •) < i à la r^ft.
’ J 1 ’ 1 l ’ i'nufiv î'rilrif-iVH l -, ï V*.'.1
**„ Da '.-II] 01 tio t t'.J'cu ivèrt re pierreUfe, fori îanÈ
le plancher de la premiere1 galerie où fe voit l'é
.t 1 1 ÿ^SX'jf.r I B ‘3 ? b ‘ lfii!>''i 1 *Slvi
jCffiGontéen^ e ^ g p lM ’a exprimé
auüî daiis^.jè^MÇ^^nni.irl^^a'lirher 'des1 dei:x vejne^l
^^i^^ÎÎIiIkki dt laxTlsncRefliXI »la premiers
Parties .
irtH p p ^ vSÏW jâ li'ift. 1 tttj|
« cobro^E
des chambres ,. en même' temps qamêfwMMÊè
tcn’n - a q f jlr , d dij^-rniPptl’e> rtc.loj-.flé.
nom de Cowee On entend les Koùurei rfe‘ Kniîr’e &
la fuite les unes des autres.
2. Couflade ayant à fon fond la Coirette Ou chaîna
t lïcîe Pau »êlçfH
(A 1 A, B j B. Chat j moufflé attaché à U 'Muhin