
J I02 P U C H A R E O N . P E g T E R R E
■pauvres, qui l1’achètent à bas prix ; les Maîtres de foffe qui font curieux d’un,
to n feu , n’y /o n t point même rejetteqles -bradons , ni les fragments „de Houille
qui s’échappent ent|é-les barres dont eft forme le gril du fourneau. Il vauc
mieux les abandonner pour partie de falaire aux .Ouvriers qui entretiennent
le Xqyivî
La Mine de Walker confomme en 24 heures, pour les trois chaudières,
200 bushels ou deux( chaldrons & demiÿdq'Newcaftle.
Dans la: Machine .de Griff, les frais pour réparations, entretien de charbon
^j^Utms^çir^'pâances., ne coûtent pasplus.de i jo livres par an.
La Machine de Chelfea, félon.M. de la Lande, confommeparjTemaine neuf
chaldrons de. charbon, cjiacyn de boiflèaux,’ de la contenance d environ un
pied l 'rqéÇure comble-,; ce-qui, à ^ lhC d e 64 livres le pied cube 104
livres pour le poids ,, du boifeau , 3744 poUr.'letpoidsî du çhaldron, $C 'enfin
"pour la conforrïmation’de la Machine en 24 heures, 4814 livres, EnfefMnt
r-rttp qnanriré par le nombre de pouces^-jon;aura.68 (livras pctùfM i^w fam.
mation de chaque .pouce d’eaii. .
% Cette'cotifommatiqn ,qui, eft, à-geu.-près du double.de celles de Bois^Boffu,
d’Anzin & de Montrelay , cgmparées"par M. Làvoifier , fait conjeéturér J ljc
A cadémicien, qù’il y a erreur, doit: dans la quantité d’e'au 'élevée^it. ^itÆns
î ’ûbjet’de, confohïmation.
' La Machine à feu S ‘Ÿorfk-.EuiUj^gsA]^h<^àtÉS;,. cpnfdmme pour » 0
louis de charbon par ,an, en travaillant 8 hmres^par ,jqur„ t
La quantité de charJbon-;pour entr.etenird’eaurbquillant&dânsdaM^chine ds
VFatkins, eft évaluée de 30 baiffeauxV toutes£fesdouze ShëursK£
: Des.rfgleÿés de la confommationi-dq la Machine d e ^ b pttd ay V tÿ&MÇ
comptes rendus par le Direâeur aux Entrepreneurs, il qjièj là Machine
de Montrelay j * confomme en~Ærois£èents trois heures (^travail, 11321
portoirs’de charbon ^ 1 ); djpù J.qb peut conclurej jjlon M.-L^voiîiek,'(M’ert
24 heures elle confomme 12124 livres dè charbon ;'ce:qui, kraifon^de-3 ro
pouces d’eau , donne pour chaque ,upp_, confrmation- de^pGiyres^-en 24
heuresf . ;
La Machine de Bois-ÇolTu, félon l’Encyclopédie , confomme. l®n|üiüs
de‘Charbon dé terre èn 24 heùres,,. chaque muid.de Ï3 pieds , cubes, <wb,
à-dire, 78 pieds cubes en 24 heures ;-la quantité',totalé eft dohc’^4836 livres
de charbon ; ce .qui, en.divifapt.’cette quantité par le produit de la Machine en
pouce, c’ eft-à-dire, par,180 , donnera 27 livres pour la cortfomifration nécef-
. - foire en 24 heures, pour élever chaque pouce à- lahauteur de ,irjsf:piêds./
Suivant les relevés desjcomptes rendus aux Entrepreneurs, la Machine d ;An-
zin confomme', en 24 heures de travail confécutif, vingt mefores deiCharbon
du poids de 230 livres chacune, ce qui fait au total 4600 livres poids de marc:
f 1) Le portoir de I jjVHfres»
d’ou
£ T D E S E S■ M 11%È S, 11. Part», i §§|
d’où l’qri^vqit qu’en1 partMt d^m'pdpit de la Machine, à 140 poupeS des Fon-
tainiers, la confommation du charbon pour eft de près de
3,3, liwcsqgqurde-j ^qjhguLÏ.es., «
. M. LayQifler^dp.ntÿle Mcinpic^m ms f o u i h»ti J b . ce'luLj dé-Montre-
lay, ^ V d c o u p s pas
minute ,'^h-ii c inbre ion£ , a , V . qnin'lli1
c n y i r ^ ï j i | l i v r é e d^mle e» y^u^r- jU^ rt hj.me$I i quih?
tilé.de m M fif fluiu.fpoùi1 'Jov^a, ch, niLpomAfÿ. .... àA‘une
Imt'eqmdè, rrosp^as; w
En 174I,■) Ihffqne W.y.ifitQis,, unmucnilnt en^l.pyigLur , de
Fre fne|fi| me,füt,difeq.ue pour, éwùffeK la. chauciïi^^j^ajclanJ 2 j -.heures, il
fadpit cihqt|jmlle livres pefan,t d^cha^qn;,q ^ ^^ s& ^ ig tik p a s^ à% d )“ume.qs.
de h .o ^ ^ S n à io n indiquée-par Mî^élldorfe de..deux- iguidsj;d^(G|acëIn
de terre;,. c^açùn^cQnteWntj çq^iron r ^ t]ued cube qùjfAlon AI.-La-
àmili^r, ‘^aifoiijdc^^'j, l i ^ ^ 4 e y , ne'Àlonnerqit.poihv dlîàqiii, poucæ
que 8 livres dc^onlfommmop,,qc’cft-1 due ,t'tp|liro Michmes
de ËSMîdqflU; & dfaAnzin»,^&ji;,la, c 1 nqiûem a .de qs'Ho, dèj AlQiatri.iay.r M. Laeto
në w ivu dd t û i n n n - H ^
du inuit. , jquejKL^Belidpr laSMTefen-
M dùfoovS?cfino 11/0 .à' unp mçfnj^^lnbl^fi,;
- l^Comtc ^Hérouy,îllqfp‘iert JS>MqLr < j,prqs QunÙr- i
q ue, & dont^TOpVayqnsip^^/,)»;jai063/,
rafieres de ^lia'fbWquiipefent cnfemble^un peu moins dte< ^osip^tvres ,qupi-
l^^fc^l^^po^esqÆgnqs.de^ramétrelWl,
D’ipres les m a fo u es înTpnmés pourM.’ le Marquis}d^»Gerhay. ^dan,f!,4 n' !
? f e i ^ a ^M ^ ’l e . ^ ^ | ^ ^ ^ ^ | i ^ ro,uins ^ ’^ ^ g ^ i ^ U ^ n e ÿ e u t , porters-
tb'tali'té^de I^cq0 ;fommation|ahrfuM|^l^^ ^ rfrri4 &,
?H ïïc ™dcIi=ihc*Ueiv? W Ë m S ^ S H l f e ^ dep.nfe ^ i c e .Machine , aveàll 'changement q u ^M l) Dauxnonî
propofés pour donner d é ta il fins înterrupubqâlh Ville de Paris',îne^on^i ^el?n h^ B So r L ■ ■ H 1
, Le îflo^i^p^gofémac Blojee, 'g y ^ a ^ ta e û te c ^quàqtité,
dirnfnùej. lût^nfoipmatio^di^ cirhbuftibl^t'rbpvye ic^f.fo! vraie
place'} nous.croyohV uâ^e de Ç^faire connbîcre pou r[« o n püilîè e r S g e r . ^
f 1 ec0lwW$/tr 4&}s\%:$ urneaU> eti
” Contenter de meitre du^u^foÿs ,1’alamb^GK & deffbâtir
» une ^S&iinée à cotép.mirjque l’a ^ q u i, éntré-. p^mnqi-oiw^^^^^^rrÀ«
” ^euxê^ed|deçôté^, pratiquée for fè,devant, ^e*^poteje>,^ ^P^ ^ e 'id e f-
. Ch arson de Ter re, II. Part. k