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dLe ces formes, tÿ ^ u é c g ^ ÿ *%®f> au point
que la plupart des pelottes qui en réfiiltoient , ne pefoient. plusuétant frai*
Âhz&fèSç fuppq j|es^mMe.v§dtçs $jMyqf$bleme»t,, a f c y i e ^ s ; j&Jde-
mie ., & lorfqu’elles étoient bien féches , onze -onces deux gros & demi
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Utilité des Ejjais de fabrication f i t de petites quantités de Charbon de terre $
S i avant -de procéder à de grandes fabrications.’
La difficulté, on peut dire, rimpoffibilité de connoître, avec la dernière
préçifion, quand on n’a point l’ufage de cét apprêt, la qualité- du Charbon
■ de terre dont on voudrait fe faire un-.chauffage plus; économique, la difEculté
par le manque d’habitude, de juger à la Gmple vue de la proportion de pâté
quLlui convient, avertiffent, comme nous avons eu-foin de l.e remarquer, que.
pour plus grande fûreté , il étoit à propos de faire des eifais en petit : cette pré»
caution réunit deux avantages ; le ■ premier eft que fi on n’eft point parvenu
dès la première fois à faire de la bonne befogne, cette -pétite quantité n e ll point
perdue, & qu’on eft certain de réuffir en rëcommençant un fécond-, même
un troifieme e ü ai, s’il eft néceflàire, jüfqu’à ce qu’on ait reconnu par l’expérience
au fe u , que la quantité & la -quâîltéçd? laxterre ajoutée,ftj fb®G,ce qui
conViéntpàk nature d u ;çhæfeq&> on eft {ur de.ne. point manquer uné^grande
fourniture.
Le fécond avantage, pour ceux qui voudraient régler leur chauffage, el
de favoir préçifement le nombre de hochets que donnera,"relativement aux
moules dans lelquels on les formera , une mefiire quelconque , quelque
répétée qu’elle puiffe être.
- LorlqU’une fois l’article des pâtes & de leur proportion eft fixé , une
fabrication bien ordonnée , foignée dans le corroyemen-t des pâtes, fùrveillée
dans la proportion de ce mélange avec le Charbon de te rre , dans le façonnement
avec les moules, une. telle fabrication eft conftamment régulière dans
fon produit ; je veux dire qu’elle donne ou doit donner, conftamment au
minçÆ, par exemple, qu^à.la v o ie n t tant qu’on en fabriqueraitrfégarérrient un
minot ou une v o ie , ) le même nombre de pelottes qu’on aurait eu du premier
minot ou de la première voie, fabriquée ( 2 ) , de maniéré que ces premiers
eflàis reconnus à ^épreuve dans le chauffage, devoir fervir par la fuite de
modèles à toutes les fabrications, quanta la proportion des pâtes, fixent préci-
fement combien ces fabrications fubféquentes , exécutées féparément avec le 1
(1) Epreuve'faite d’après un de-ees,- moules que;
jj’ai été à même de ■âeprqc^tr dàli's!lyktteXïer9 ldrf-
que l’entreprif© à été abfolument abandonnée..: éd
moule ne fe trouvoit ayorr, que 4. pouces & demie
2. lignes de longueur, & • 3 pouGes " de largeur,
fur i p |ÿ || 5 lignes de profondeur.
fa) DiSerent feulement, mais également dift
inéfc. en in c g a li té : de^,:n e f|h b re , dans.. une i for
brication de charbon gras pour les cheminées,
& d à p s ie llfe d h ^ c h a îb o n maigre p o u r l^ p o e le s ^
; à raifon d é l a . d ifférence
de p â fe ,/d o h iiç ;((pOUr lé p rem îe i^ p tfjm | g ^ E ^
ques pelottes de moins r ,8c pour le; charbon
maigre , quelques pelottes de* plus*
- m m - M v n . ^
pême moule , fur une même quantité de charbôn, donneront de pelottes;
comme feulement la mife en forme ne peut être d’une parfaite égâfeé dans
tWçe une fabrication , .il arrive que ce nombre eft quelquefois différent à
trois ou quatres pelottes : près , :fur un dèmi-minot, par exemple , tantôt en
plus 5 tantôt enmoins 5 ce qui vient toujours en compenfition réciproque. ’
Cette égalité de produit des pelottes par mefure eft fi confiante, que les
fabrications qui en donneraient plus que moins, pourraient être ■ regardées:
comme une preuve certaine.dune opération inférieure de la part du Metteuc
en forme ; celles qui en donnent plus, font un renlèignement infaillible à
cet égard. Au moyen d’une fourniture ou ' d’une provifion d;e cette elpece pat
morceaux ou maffés de volumes femblables, dont un nombre eft capable
d’entretenir pendant douze heures de fuite un bon feu, ‘il eft facile aux
particuliers qui peuvent être dans le cas de le defirer, de régler leur chauffige
PQ»r à. très ffclbrr qâi
cfecun veut ou peut fe chauffer à grand feu toute la journée, où
'b o ù fg lô S ^ p ; & un -
ÉïfeieuirJ - v
WAucurie occéftpfkfK’éfioitiplus favorable pdlVr^oif^es Véftktî^pie^ 'fu$ï'
ces différents îj„p
#voit avcàrcpoùr,bntvdffreft^e»fervicVâ%tây d ^ e |W 4 e ^ f e fa f e ! e n
luif^oçik|nt^^çèiaupàgë économique & ,É M | K '
cet, étab>l‘ïflhr«mit',i fur-'lequel -la ^ f f t a ï é ƒ fle ' M i n i f tM ^ ^ l e s ^ ^ ^ f â ® è r | "
ont em lesi-yffùx touÿerfeF, - au- lieu davoië^éé't^ rputes
ïences donnent lieu de le préfumer ) par des vues perfonnelles & peu hono-
& ? s ,' avoir eu pour principes des vues honnêtes , &. eût.'.été conduit en
conféquence , il auroit offert dans tous les temps , même malgré un mauvais
fuccès, un tableau auffi utile que curieux, pour les pays où l’ufige de ce feu
neft point connu. Le défordre inoui, répandu non-feulement dans la geftion
de l’affaire, mais encore dans toute l’exécution du projet, par celui même
qui s’en étoit chargé, & dont il nous a fuffi de rendre le compte le plus
fuccinét (1 ), a. porté dans cette partie des opérations une telle confuOon
qu\il a. été de toute impoffibilité de tabler fur aucun des réfultats de fabrication;
en même-temps qu’ils s’étoient fort éloignés de ce que j’avois toujours !
reconnu dans mes effais (2) , ils ne fe rapportoient point
«ux ; J« minot (3 ), diaprés la déclaratif)n‘ tl’Oqÿrléf^hfur lèfquefs oii pouvqftjlf
compter , produifoit de 420 à 440 pelottes , réduites au petit volume
remarqué pag. 1332 , note 2e, ce qui-ferait pour le terme moyen la quantité
cinquante \de moks^ia^ce que le moule auroig
il -
1 (3) doit fe relfouvenk'-q-re cette 'mefure qfëtibw^as'. exa&e.
. (2)Des lfe ifto isn e W ovemfr» que je'm’ap perçus
des dirfqnütiôns fa ite s fo r la ii a |a ^ k ë d e s m o u le s ,
c^ ï ê fraù'dê étoit déjà à un point ÿ que fur un
Iftülieï d e 'p e lo tte s «. il ae.âoit y en avoir cent