
. D U C H A R B O N D E . T E R R E
<Lns l’état de mouvement ; & à 1W B R ia Ma^
iej^e i M — 1 réfiftançe qu q n H | » & * * B « W & fr
par conféquent la puiffance ; a^Bfc frottement qu&u^ente'prodigieqfementja
réfiftance,:&qui-,.dans fa q u an tité^ ,.d ép en d ,^ fin fin it* d e circonftancesà-
tellesrque la nSMte.desfu1face5.quf frottent, B B B R
applique ïsm e.àT katrh, leur vîteffe, lalonguefir d u ^ e v iè r^ q u e l on.peut
regarder comme appliquée la réfiftançe dont il s agièl; < |H H B ^ B
M B i loix, ces effets du mouvement,;font le fujet dûn aùtre
Ouvrage quil ferpit utile de!§ » ; afin de fe mettre convenablement au
feit de lacStatiqué & de la Dynamique,., qui fervent de fondement aux autres
branches de la Méckanique I I B R
I p S l è s |la à n n ^ om ^ p f é e i,d 5 n t on f a i f ^ p o u r les fravaux- de .Mines *
1 m S n particulier ' dont T ®
f i a n t feule une Machine.compofée,.défit l’effefiefttrèslcohfidérable , & étant,
par cette,raifan.., .ajoutée à -d’autres Machines compofées tres-fprtes ^ ceft'ce
qu’on.nomme en général R p ÿ& fâ ^ ÿM g Ê & â Ê ;
D es R ^îiM efC h u 'R o u esW ^e^^.
O n comprend fous le n o m i j o ^ , _ t p u t e efpece de Machine forcée par
plufieursroûes o u pardautre spieces.q^ dans leuraélion, tournent en maniéré
^ ^ ^ ^ ^ f i n m s ces joues püiffent agirles unes furjes^autres,
queües ces joues £ e n g re n e r* ^ «unes dansUes^fiff^, c e ^ u i f k i ^ p les
nomme RoueSlspuees, , t
Les d e u x ’roues ou pieces tournantes | ^ aJî¥rteJ ^ ^ p V f ont dlftllî&lées
qufeftgrenent l’unè dans l’autre, s’appelle^ g f e # fes dents s’appellénfrdeS
S i - , cependant on t o ce nom p lM ^ r e m e n t - u j a r o u e qui eft rpenée:
c’efliansee fenj^qu’fffau tie prendre dans
M B H B J B â S r ^ w ü t c e qui.%3 dit de la-fomifeides. dents des roues
& ^ s M lM ^ 2 ^ ^ nc^ |^ ,4 ^ ^ e n to n d re d e ces dents & de çes ailes, e stan t
que la roue mene, & <Je le pignén eft mené. -
® Quelqüéïôis',pârticiliérenîent dans les grandes Machines, le p ig à q n p p
l’on emploie’afin d’accélérer le mouvement, eft une efpece dé cylindré c^epx.ÿ
M B H I H S M ou mut Sa furface B |
n eft .p o in t garnie de dents elles W remplacées par àesfujeaux cylindriques
(1) Traité élémentaire de Méchamqrur & d f
Dynamique , par M. l’Abbé Boffut. 1763.
63) Ce nom de Lanterne % qui, en Méchatuque,
défigne une roue dans -laquelle une autre roué
‘engrène ifèlï donné atiffi dans les Machiné^,hydrauliques
, à une'piece particulière dont nous
parlerons«! ft placé.'
E T D E S E S MI N E S . Il; P a r t .,.
'pwâ|lele’s êapèux,, & difpofés,à;des diftan’ces égales, de maniéré que ees inter--
'^^ E jÆrmeA.au.dedpns xlutcojps.-même de-la lanterne, déPtrous dags lefquels
doivent.entreCilps,.dçnts4 d’une',aüÿ>e.rp4 e ,J & que ces fufeaux prodipfent alors;
ljMi.êmeweffetj qjiarlepaéjtits o^naires nje’pft en quoi la lanterne difFere-.des
pignons-j-;eilcÆj^9SKde^ts;duÊj^n^jQ)n|,'lai|l,afite5, & placées a u -d è j^ " ^
tout aûpouldelî1 circonférence.
‘■ ^Par'.lÛ.jep d,etegs Machines, onîjugq.çme Iro fqnt autfàj
qjiolè que des treuils, dans lefqueis la l’aide,
de lès propresIdentsJ; ,ce ,quktiênt]alors du cylindjq^éft u^e rjoge’dent'ée
beauGftup.pIi?s petife^-^daptée.fur.l’^xe- qu'jtîge, de^l^jgàri’dé roue/,
qu’elleafeffou t’-tourner que la grande rouè-n’ê. tourne aulfi.
- ;Le^dent.s.des roues font ordinairement taillée^-dahs leur plan, c’e'ft-à-dîre ;
en allant de lajjjMconférgnçeiyers le centre ; mais il n^eft pas-rafe-Ld’en voir qui
font tailléesjp^rpendiculairement au plan des rouês^ -alors la roue s’appelle Roue
ieÆ R c h à i^ cW ^ i^ ^ ^
Dans l’cxeçuïion deoes'Machincs, on doit faire attention à‘ plùfieuis choies j
la figuré »iluj^qtép^^^^emgaj^i^Mg.çgj^g^j^.îâidotipe'tif dp (mo^véméd^^
. On pgu^j) etc.parfaitement calculé le rapport^dè^feues aux ptguohÿ, &. eiî‘
.qgnféqqence lfcftdkquc*doik faire-steüçîlou' tcllorpuilîàtiuc^dansfiiné^Machiiie ;
ipais fi la figure des dents des roues & des,.ailes des pigH4q^-^Kilefquelles ëllej
agiflène, n-qft ^sjeJjl^qp/U en^néfulte un mpuvemen^^ntforme de ces pignons ,
ceft^à-^rejjjqup^yefïôttjque^jfpnt les roues, pourries faire tourner^ ne fcât pas,
qonftamment le^même., un pareil calcul n’apprendra rien du véritable; effet de
la^Æachineijjpar l’effort.des njues.étant tantôt plus grand, tarrtôt plus petit, on
ne pourra 'tablerque fur l’efreE 3 é la Machine ,3 ans le; cas le plus défàvantageux,
^;tg]^fefa^^^&tej^^^ffid4e>à,qc^rtqîtr,ef:4e7là on Voit lænéceffi"té,dqht
il eft qüë-tcps ^«u^^ent^u^'figureJc^vinablëT Quoique lesJMaçhines qq l’orr
®ËL°^slfeSÆliues dentqqs datent dç plufieurs,fi|sl^»j ces confidérajrions avoienc
éfé endérement négligées ; les Ouvriers, chargés de cette partie de l’exécutiarr,
des Machines, majfqi^pjLgpt d’autre;jcegle queq^fëire tesf^ptsj.dÊPr^uès 8c les}
aîles.des pignçns.,-^e, façon q ^ 4 ê ? i§ 9 g ^ à g ^ f è 'fiffentiiveç^liberté, & d e .
maniereànèjÇgufeiiaueu
Plufi^ur-s Savants, de rAca-démie^Royale des Sciences.de Paris , M. ;ffoemer.,
premierjnvegfgpi;,, M. Camus, s’epfolïtoccupés.
I.Unq aiJtre^çhg^çl^ grande'jmportancec’eft la perfeâiqn des engrenage^
ç.eft-ai'difq.,; la' mameij|^dqçi|,,-les dpnts’ d^ne roue ^üreMt ;dâns les aîles.dn^
pignon, & l?i smanterg,4qm: elles.agil^^t.^r ^ s ,^§s: pour le faire tourner ; il
.ceskfltuBjrenages fié fpnt pas faits avec précifion, il en réfiilte de grandsfrpste?,
ments > beaucoup d’ufùre,, & quelquefois même des arrêts ; deux grands dé-;
fauts qu’on doitoherchèïu éditer.
L effefltiel eft rüniformité'del aélion de Iadent de la rûue furie fufeau ou fur