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•employé à cet ttfageï en» x t fm S pften'de. Voy è*
Fànàîi'îfia üatette des Banquiers, »deSNégOcïatiü^
A. de- M-^h.-nds 1 ci?ijWÇ, N^
■porte que la Chürabrè *tw<©^^c^de!®.o'iieH!i
àvoit obienu le ïq •Béeeînfâe3 ^»jHifijArïêt^dæl’
Gôfifé» èfufc 481 -permet1 a l sfyWP'Sle’&r Mbi ies<
côtes•d‘éce:tleepr;èifil3l:e quâtre-'TôurS ou ‘BhdfesJ
<jni} ohl-étë cbnflruits ,»W#S^l|fqüels‘^ v a-'dfl
totameneër it»a’ti:pîëmîe'r NSlfë'mbre»! yyÿvà’brûler
»d'û ’ClHâraorifdè .titré'. ■
Pfiarma'crfe-'^^^râtîiy^^^^^'de'C/iymiel'péu--
vent s’exécuter au feu.deGhârboti de terre , fe-
p l i M. ‘V dndï f ‘Sè^*fe’^® ^ * fe n tM s t“ffi«rèn.tî
4 e M. Spielmann, RàiSBs^d^Ëhacün de ceS Sà-
van'ts.W»* #©< ‘f-’ * --»?■— ' '
Pharmacie portative , ou Boîte eonte&bnt les1
rem®feS':j^%#ësS|fecoarir lo§ Ouvriers nô^estpit"
XuTfô^éÆdànÿtidiMines;|rôay. .MSublfe inntfpèfi»-»
Phénomènes , ( Principaux ) tant intérieurs qu’extérieurs
des montagnes du- fécond Ordre. Voyez1
Montagnes. Phénomènes particuliers , ordinaires
aux vapeurs fouterraines. Voyez Vapeurs Jouter-
rainés:1''. ■ ■
- yhhgïflicst'its : Sàhr/tus. .'.'Ckonftedt. q4"3 >"444*
Phlogijiicata (Minera ferri.) ^ 6 .
PhlogiJHquè. ‘ ( Chymies ) Principe inflammable
lé plus pur & le plus Ample , & qui paroît être
le feu élémentaire combiné, devenu un des principes
des corps combuftibles , ayant beaucoup
de difpoficion à s’unir aux matières feches , ter-
reufes, & même à y adhérer : fortement: Voyez
Vapeurs [duterrainrs. M. 'de^ Gécïlïkiie eilime- que ié-
phlogiftique ' renfermé dans le Vhàtbon" de -terre
eli poui le ilioîns aufli aitaloque1 aux métaux q'ie1
lè'r ChXf6&‘n:,''flffbtmi'^ïfo*# « ■ fù^toU’t fïès-pro-
prëràt^l’affibàgç’I'dês m attésr‘!ît i ' f" > ( •" tjy-r22y_.
Phtyfle pulmonaire- , maladie de pdiîrine. Keproche
que l’on fait ordinairement au fèu de Charbon de
terre, dé donner cette maladie. I2fiy. Difeuffion
approfondie fur ce préjugé, ou les autres mauvais
effets relatifs à la fanté attribués à ce chauffage.
( Mém. 8. ) Lettre de M. Dell-waide , -Dàoen'çre'en
Médecine dè y Faculté idè tOiivaih, ancien Préfet
du College des Médecins de Liege. ( Mém.
JÊÊÊM u | H H H - -
-• Phyfique. Rapport des * opérations qui concernent
Pairage des Mines | l’épuifement des eaux &
l’enîèyëffient -du Charbon; âU1 jour , avec la Physique.
.
’ GénétàÙïês phyfiques fur fuir g appliquées .aux
vapeurs *otf éxhalailons foutërrairies , & au choix
des moyens propres à établir ;dd|l Tes Mines un
libre courant d’air. 9487La Phyfique peut donner
des lumières pour -vaincre ou diminuer les. obfta-
cles qu’apporte "aux faccès des travaux de Mines
Pair qui lejourné dans les fouterrains. ^ p^y.
'I Phyfiques. ( Cartes) A juger de l’abondance des
Mines de Charbon de terre, dans beaucoup, de
pays, à juger die la maniéré dont ce fioffile s’y
trouve irrégulièrement: épars en monceaux;'énormes
, ou difpofé en cordons ou bandes, dont là
fuite; fe.perd dans ïa-proforidéur-üe la terre , il êft
permis de foupçonnçr que ce fofKlè diftribué dans
toute l’étendue fuperficielle du globe en compofe
une bonne partie ; fous ce point de vue cé foflîle
dont l’exifténce eft prouvée dans beaucoup d’en-
d r o i t s l ’extrait à différentes profondeurs,
eft de pâture'à fournir- féul une Carte-phyfique
appliquable à la Géographie1 na-turelle , 0 :: §§|i
m’a femblé pouvoir être préfentée à parc, & dévoie
être goûtée des Nataraliftes.S^1qu’on l’envifage
fouS le p'oibc-de vue qui forme |de ces Carres
phyfiques une véritable Géographie fouterraine ,
•& pfe^;;airafi dire ;ftanafémië die C è ité ||if ^
foit qu’on l’envi’fagé pôlkiquëm’erit du côté de futilité
à retirer, de làv 'c^iuroimÉ^: de la préfence
du Charbon de terre dans: tel| pu tels' -mëMéks
de la connoiffance de fa poEtron' en tas , de fa dif-
tribucion par bandes continuées fous lcs/,feonches
terreufes ou fous les couches pierreufes1, .qui com-
pofent les entrailles" 'de' la terre , de la caURoiflan-
ce même dès différentes profondieùrs, auxquelles'
ce^foffile fe trouve en différents pays, les Cartes-
ajoutées; dans- cet :'©uvf.àg;e 5 8c annoncées au'
Public dès l’année^ 17^1 , dans' une féance de
rentrée de l’Académie, à mon retour de Liege 5
doivent ' être regardées abfolument neuves. ..
' M. Guettard a déjà publié fur la'France &
• fur l’Egypte des: Cartes minéralogiques dreffées
par M. Buache , dont le plan conhdéré par les
fleuves , rivières & chaînes de montagnes , formant
ce qu’il - a uf^eié refpece de êhàirp.enté du
globe a^ été adopté par 1’Acadé.iïïie en 1762 ;
les foins que ce Géographe a bien voulu'dônner
à celiés-ci, achèvera de leur'donner un fuffrage
univerfel; il fera ütile d’y ajouter la Carte dumê^
me Auteur’; ou Géographie naturelle de la France ,
divifée - par terreins, de fleuves & rivières, préfentée
à l’Académie, en: 1744' 8c en 17 62 , &c
publiée en 1768 , avec l’approbâtion & fous lé
, privilege’ de l’Académie. Voÿez le Rapport des
Commijfaires' de VAcademie fer ces Cartes
à ia fin de' Vexplication des Flanches de la première
Partie.
Pic. Podium. Pogiumi Collis. Mans.. Puteus. 742.
Pic de fèrrcùffiér. 218. An. Beel. Coruish- Idem.
Pic, Pioche. 21p. Tubber. 5 8:8’.'Pic fi Hoyau. 217.
Sarijfa. hoyau, ou beche à pierre. ■ 3-42.
:' VPics
463. Pics à tête. _ 217.
Gros Pic d'Avallenr ou d’Avallereffe ; fes dd-
menfions. 219. Voyez Pioche à pré. Hoyau. Pic
de Veine- L e . 222 , nopicné 'dans les Minés de
Montrelay Marteau à Veine, ƒ42. Percer au ;pîc.
- dyo. Voyez BâifëfteVf ]
PiÊura ( retïla.) Profil, coupe d’une Mine.
gfaphitS
v Pièces, - ^Cfmbfn^ p‘età
4gf-
' Pièces de rechange pour différents outils 8c
• ’ agrès de Houillerie. Voyez Rechange. | -
Pied àroït 5 || Vèphe^difi^Wê^f^endiGuiai#;
Pied-. ( Gàkrie de ) "TFoûi]le'‘’ ‘couverte. Perce-
mént. Le. Areine. . • j* 5/C
; Pied de Veine. Laye d’en-bas. 206: Trouver la
Veine fous Je préd. ■
j Pied m S \ l ie -i Le. Efpeçe dé '.Éàmaiut
ieyièr. ■ -7 .' ^2'20\
Pied ( mefure. ) Pied de Roi de 12 pouces, chat
'due 'pôîfcè -ayant 12 lignes 5 chaque, ligne, 12
points 5 Charbon d'un pied. Fôot-'coal. Voyez NeW-
tbffle. Pivifiön du piëd par lès; Suédois..; 1 *
: 'fi Pied de Freyberg, comparé au pied de Roi, à
10 pouces 4 lignes^—.11
. ’ Pied cubé fléau. , 1022^
Pied cylindrique , ou Cylindre 'd’eau. 1110 ?
D E S MA TI ER ES.
• • Pi.ercure. Recoupure. ‘
Pierre. ( A .
. .ÇÈiçhe à) pierre, rry $42.
î^Hiirre de Pierre. ( ConMh^^x^mWen^.fii'EiJ ’6 ^
•1®« Maxhais ^Ve’^flla^dir^^t^kraÿérs’1 d ^ u p ^ P y .
^ ^ jPierre dtAmarit. Yojqz Magnes, D$tiÇqÏ£ePüf0Î:l
Pyrites fuLphuriùÊfiâd^i Waller. ^'Pyi^VfÆ^^'. ^
Pierre Calcaire. Parmi les 'éë^an'tillohsJdu Cabinet
M.' Dallai ^üplWprceau» j
"4,e7 terre|B^^^Fàbpëmpilà ■•‘j* p^^cdë -'Héîfiih-
I fPlefre • à ichaux à mê '
?j^ ^ P ^ o n f^ q r^ h v e c : •feS^p^rr.ès^à
YVPierre. dhtRochefi^[,fiPtûtr'f. Piertrè 'à ,chauxfM^fi
’1 ’W?s daller-v,; commune en
^.Europe. •,dans^îel. Mfnes <d^Qlp^ ^
dq-tèrmV félon! M.- -BegùmejB' ^wdé-^s'M^Schifte^:,
M^£®ttte.uê41e rOc noir^qui' fefiffouve’?daiK?quelqi^^
Mihfes. .ipiOpre» à - fàire^g
èë:. • _ (Chaux1 noire. ’V.
Chaux noire.
Pierre ies ‘çëueftès^es^Veine^;l^^j
ffi^ôptmêy jMbffe - préfehté: 'c»fdii^ferneniÿün>l^^^^
-naturé
Ijyi'ffeüteMu^Cl^mo'n^â'p^
ae* q u i fe
quelles j - âe-^ foi^n^^oipt,'
naétàMques, fe diffkgueùt aifériaent ■dw:î§J|
formant lamaffe de la montagne. Voyez Quartq, '
^pqîfi.^liîiipûni çFJuqp.: Pierre^, eofîufësyiiïQûTej Mica.
HH
Tête
vitrée.
1 Pierre BfèiiT
7'V V ■- vy, • ‘v 11. 4 84.
Pierre noire des Mines d’Irlande. Voyez Epilepfie.
, Pierres perdu'es. Portions d’étachées des monta-'
gùeO pw^tiVé^;7^^pi^ | t0rft[uëi^:; ^ |é ^
d’appui à B i H M i du fécond ordre.
Pi&rre pourrie. An. Rotten ftonè. -58:^.
Pierre de Roche. Matière pétrifiée ,, qui, fuivant-
l’opinion commune , dHi-t c&nÿ^er^-fh pierre de.
Grànité , 8c qui n’eft qu’une pierre à chaux pure
fel'ôn M. Delius. Voyez Pierre à çfmüx.
Pierre fablonneufe. Pierre de fable. An. S and Stone
dans la Mine du Roi Adolphe Frédéric, eft d’un gris-
claàr , fiiable 8c à.sfeos' grain 3 quartzeux St argil-’
leux, donit-iu'ne .portion eft dans fa partie fupé-
rieure à m©Mé tranfparenté » St de la grandeur
d’ui/petit grain de chenevis, mais à grain fin St:
folide dans fon enfoncement. Elle fe coupe aifé-
.rnent, St'he fên ^ qu’à^ un’-très-grand en fedurciffant
d’abord, fe retirant à !la chaleur, devenant
friable, 8c fe féparant lorfqù’on’ la chauffe'-
■ .& qu^Oi© reprifes : la maffe
de cette couche paroît être formée de cinq litsffeuil-
letés argi-lleux différe’nts , durs , & de couleur
cendrée ou rougeâtre ou rouge-brun , ce qui
provient du* fer dont die èft mêlée 5 l’Auteur
compare fa nature à celle dès Mines de» Fl-ots-
malm. Voyez Malm. Voyez Sable pierreux. Voyez
>p Frédéric. ;
. Pierre de taille.tFrée, S®è'.JE?âying Stonè. 38
K ^ iéM ififé fd tÆ à ^q e Vënfàweniint
f f m
à qui elles appartiennent dans la Goutumëide
Eiegëï | f o k '
Pierres propres au mmaMetnem. •: Bierres, à chaiùx
friables , pierres cornuaires , & toutes celles qui a$>
'"cllflô'uclif’ê/ ^oiii à M^^duhe
ëh ^ ê frë ;;Ç > -VI -, , j
^fiPlefre Wm ^ } ^ 4L Métdllsuhgip.^ Matte. crqe.
Mmtefirqei.i'fd
wPifiux'. malfiÆ^ipe^^fipeaux^ÈiqdeWssÆh
• Pignon*, noni donne»tàrro^ut^ petites: roubsi^ 2‘4’jf^
qui s’engrenent dans de grandes roues.: ces roues», '
dont la lanterne eft une efpece de pignon, ï 112, fer- ''
venubeaücoup à accélérer le'mdjmi^ëni|9 24. Diffâ* f
rence du pignonvà la ^antérne.-'9'2®^^âp^)rtrd^'^
dents < d ë ' s p i g n o n f , ri’eft pàs- le^Sh objei||
à calculer pour eônuoîtxe :1e yéËitâble effet d’un?;
machine. ' PdemM
~ï!Bilp hopdeJ Pile ' dwJp.uiÉSg' Dans les »Mines)' du v
de
foutien aux mahires dù bure. y 1 o.
b * i S g l S l maflifs ; en Charbons mafîifs ; en Anjou
tE])àulemcm enufMt0 fçp^^
Barbelé
îfLVf K^ ^WÎ& 8®fon RégIement'ï^gMtvJ a
^rahîefe^^OTffeWp^rti'-
iMîn'ér
:bahi®iihër: i ; y 'd it-il‘fdaiisj la '»vei^P
fupérieure qu’il faut commencer cette befogne^-,
arriéré à mefure .qi^uMesî ^batuslj -t'en’ portant
attentionné' cé .queues*’mlieis^v
qfté'^r<în;'vaf'r|iïcpn|pfeû dj^sfe^^ftmaheh^ke^, fié-?
ic^flpnt3$ . Ê a8'5,
wdlèn ^AaiffëH qhg^iies^ùrîs^
1^^%'fqdtènir ,:ceux ^ qpiofqiblmenp^à: “ pj|oEtè^'
dés- autres. Après „■ avpirn iainfi^ rnoiffoyipéi i.lao^^^^
fupérieure, on vient à la veine qui e É ^ A |q |^
principalement lorfque le rocher qui formé lq^
Êfifinfie ^pftêfqlideif gprcajne, MPÆ^M^éÈà
nalta^raçQW^mm^aahs lies ' Min^|f;4,^#ybn^
Te'.’Hamente W a l?
l^^^ceSfàfeüU Pincettes leur ufagé fort reftraint
dans le chauffage avec le Charbpn de terre. 1257. :
Pinnej. ( Géométrie pratique. ) Petits bâtons
de la longü'ëûr "environ d’un pied, dont on fe
fért dans l’arpentage pour marquer le nombre des ■
changemens dé -p|iaîn;è>: | -:v
I Pinnules Petites pièces de cuivre , au »nombre
dé deux ; mkees., upéu-près quapées , élevées per|y »
©n d’un
dans fon milieu percée d’une fèh-te qui régné de:
haut en bas.;- ‘
Pioche. 217 , -5*42. Pioche platte des Jardiniers.
Ha%. 2ip , 46^3. Pioche Parvienne. •ƒ42.
Pipe. Mefure ' particuliere pour la vente de
Gharbon de terre , e»ft unq^j|^!^>é défaut environ
i|:oô livres. 5*43 , ƒ44. Cenf viùgt-
font la pipe. La pipe:( mefure de Bretagne ) eon-
tien-t dix charges. Chaque charge .cohérent quatre ;
béiffeaux chaque boiffeau différent de celui de
Paris i ÂiÈciMihés;4e^Ohar-b^debJ*
rgplf, là'^îper^f4 Pipe , ç fierre ff )l F^o^üSiU^ê dBëi^îcliwu^d0e:fil'u^scrôec.S; a*u-deffdus'de
'RouëhV'’^ ^ ' '-‘iyfe fiàÆm^SmSȰÆ
m
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