
I4J>a T M B L E
Puifard 5 ;,tpahage. Le. Réfervolr 'd’eau.-^^-,
Wattu dunt ; particuliers à: toutes les taillés &
Voies fouterraines , 2731 , qui' fe pratiquent le
$ong d’une Serré., V | I R i
Puifard. ( Principal ) F^^piiteafis;.: Aigrie. 614.
Le. Bougnoü. 27 3 j 296 j 2 <j 8. Voyez Bougnou.
Puifeux, Spouxheux, Bure avant-p e n d a g e . Le»
25-1,278.
■ S lj l'd f les-^ indiquer i H eff important de cô:n*:
folter foû . •
} • ’ Pmûj de c/zargeflge. Voyez Puîïj d’ea-tr^Sion.
'-5, Puits de- décharge , fervant notn-feulement pour
1 les déGombres ,- mais encore -pour l’éxtradiom dù
/ . Pu V-n-eÆ Ft Veine. G. Mac t So JM e
’tighet. 882, 884. Par cette expreflïon reçue dans
le iMîjiès’, on d©it' entendre 'largeur
& épaifféar. 772. M. Dé-liuô> fë^ f l rn’entendre*
par ce forme.. que la largeur de la Veine entre le
lever S? % couverture. {j;^,
' Puijjance. ( Méehanlque. ) Force mouvante. Force •
inottîtç. ■ à un;.’corps, &C
q u r lu t imprime - ou • qui tend à: lut imprimer du •
- mouvement : cès deux cas différents-donnent lieu
à la. diftindion dé forces motrices qui produifent
un mouvement réel & aétuel, p u . - & de Forces
de prejfion. iderri. 1075»( Voyez PneJJion. Les
p u iffà n c^ f o n | j ^ | i ' | r a ^ ^ M ^ à • ‘élever. *
^ 1 x 0 3, Voyez Rapport. Voyez Roues dentées. $26.,
Puijjance empfoyéè pour faire agir la machine
à vapeur, ioyy. GaMiêi 1663 > 1076.
TuiJJàncè de la machine à vapeur de Walker en
-A n g le te rre .^ . ' * 4 0 .7 , io éfo .
Puijjance. ( Algèbre, j Par le terme fîmple de
o n d oit èn tendrê -une quantité don tT ex -
pofant eftun * nombfofonüer p p fitif ;^ là ‘ puijjance
d’une -grandeur, eft le pro d u it de ce tte grandeur
ihultipliée p ar l’u n ité , bu p ar elle-meme u n e fois»,
. ^ bm ih é e' .alors première puijjance , où. d eux fois ,
nommée fécondé puijjance plus Ordinairement
^Quarré . ,||a u ^ r o is fois , d ite up^ême^tWfwè..,
plus communément Cubes 5 quatrième -, nommée
Quarré Juarre.-Voyez Quarré quarré.
* PuiJJantes ( Couches , Veines) V. puijjance,
Puits de Mine jfjStfèi $ Hûuiliei Lé. G.' fèwk* *
Ital. Poqço. En Ni ver nois , Croc. 2^0. Burgue} au
pays 'Montdis.î.Gbnfîdéré dans fês différentes dr-
. conffarifces .“qui y ont rapportcc^mme^faifon propre
à leur enfoncement.. 8S^.fLdir emplacement.
R83. Leur nombre, profondeur, &c. 887^7 888.
Voyez Problèmes. Comment un puits dé Mine
peut fournir plufieurs efpeces de Jlîharbon. 704'.
^Ëeùr :grandeur ,fi^^par le Réglement de 1744*
613. Obfervation de M. dê^ô^pZ,‘62^. Ê^f^
tniâiord. Sun puits 'en dragant, décrite dans les
JÀracieSTXXI, XXII, XXIII, XXIV du .Réglement
de M. de Genflane. Habiller un puits. An-:
i liais à air, Puits oufbjjes d'airage proprement
dits.'5) 5 <5. Puits de refpiration. Le. Soupirdux.JEpr-
taux. G. Windfchacht._SAX. Wetter Schacht. Pu-
teus fpirïttyis. 7 5 9 . Puits qm f^defcèiident-. fur
des rameaux de Veinés' pour le "renouvellement
d e l’â irV fu r-to u t quand ces rameaûx font à une
grande pro fo n d eu r aü^deflbus des galeries pë| •
Soupiraux- obvient p o u r l’ordinairè âîTêz- bien au
défaut de circulation de l’air , quand la marche
des Vêifles en platteûres & lem|Éttuation peu en-
foncée ’ perme tten t d e , multiplifPTur leurs traje ts
des' puits d’ex tra d io n . 9 ƒ y . Différences d e s p u its
d’airage. — * 2 8 1 , ®
'ft^ititr^anciens9. de vieux'trfvdpdj^^'dè vieux en-
:fpncement’s ; la rencqntre de ces :foffes dans les
fouilles p é u t-f e rv ir utilement de' renlêignement
fur la fuite' d e l à \dffèdîbit,de.4a^Veiné,5 jté ft.d e s
attentions particulières à avoir- p o ü r tirgr.un- p a rti
a v a n ta g e u x de -eéS;- puits-j M. -DeHüs n’a pas^ né**
:fâ largeur, dans le bas eft plus- cdnlfidé-
rable que dans dé haut, & il va to'ujiows eé fe
-rétreciffant dans la partie montante’ : ce' puits fe
bouche; àjlllll pied ^avec\d||M^pits y'
.chéie en dedans-' on y
;bombrél puis on ^ ^ e b ^ cM ^ y e c 'précautions
d’un côté>‘ én^faimW,^q)iler^ des .décombres' Ijjtëtté
, charge prelfe les parois , le puits fe vuide , %;Io>u
/ ^®ftinèë[ -île ren^fe/
‘-ïc ^ iiléM ê l | ‘,y ^ u ë r entièrement. | |
1 ' Pmw Puits1, de jour. Bure à tirer.
Bure de chargeage. Grand Bure. Maître Püre. 243.
' Puit5 i 772Æc/ime. Sax. Kun€ Schacht.
•’ Puits à Potyp/i Bure à Pompe de foffe ou puits
profondéjà plomb fur une Veine pour y .établir
dés' pompes:; leur formé, leur muràillémenit-. . ^ 0.
Pùtmil .
P«irr de Pe^èrvôir. Su. Wattu dunt Schacht.
- Puits fouterrain. Dèfoncemeni. Torret. Boii^t-ays ;
dans les Minés métalliques Tourniquet. Approfon-
dijfement. EntàiMes en à e k e n à ^ y pcjjage^^^e.
Puits tordu. Lugd. y 10.
( Puits de tranfport. Sax. Forder ou Fa/zr 5c/zûc/zr.
Puirj perpe/idzcMZÆzrer : leurs différents revêtif-
^|emëiits^!i|it‘e ^
lorfque l’extradion des matières fe -fait avec des
fa c s j'ç ôm i^ à d a n s lgs
Puits défèriffittani i murââlés
' différemmé^t que -les ;pwir;r
danî%Âfti'clë XXI du Reglémejîp
Genffane lesdétailsqu’ild o n n e fu rle re v ê tif-
- f , d e . p o n ip e s ^ ^ i.
« wÈ^Jÿéïïdrc}iàUs. Le. | E■ I
. Purger, les - n7Îfÿgné^eMs^L)s^ ' -: ^ v
Encyclopédiftes d’Yyèrdunaû^riiforyHohÿZej^
^qualifié le l^& o i^ fo ifp d u ^ 'én 'ÿ b te n ir
. dës l Coaks. sVoyez^Go^®
\ + 'Put^aïïL^WfdJ HemS yHo,ufte.;.-23'4i)
jMiàlïs/: Hj
'æM g ^ m efertfc Euitsf a ilrfd o n n é k J i74*
B ut eus. G. idi c wZ Ærix. P u-
; I*
' P'uteus qui lacwnce loco eft. G. Waffer Schacht.
P«reMilzi^Kj. G. BuntfchacM. Pùitjjâ}&mpe.
Spiritalis. G. Wind ScËacht. Puits à air.
- Gi^Hündf, Seau, Tonne. Tinne: . ~
- Puteorum. ( ligna ) .poutres de reVêtiïFemenc
pour étançorrner les puits.
P uyrimont éh Poitou. Voyez rpuirincenU
Pyrijué^fJ^Expériences ) Effais , épreuves de
;Charbon au feu très-propres à faire eonnoître la
•texture, la nature, la qualité'de ^be^ra^bpfobfe.
Le Charbon de. 5. Georges]^: gonfle
‘médiocrement au feu en fe graiffant médiocre-
ment à la fupèrfieie U y formant, des champignons
; ]$■ flamme, p^oît claire &- Jb eÜ ^V '^ ? ^
ïiâfp^gne
jpagnle- dPutié. îumce. qui^j]i^^^),c^ntvdéfagréable ;
il s’eft converti partie en cendre , partie en
' fporie , affez rélfemblante à la pierre-ponce.
PV Pyrite foïide. Pierre ’'iq ^m Uë^Made. Pyrites fui-
phureus nudus. W^aller. 1323. ïndiGe ordinaire de
foufre. ' de
machy, dans fes procédés chymiques, démontre
v'qifeite. le foufré: nexiîë • p;as: dans l.ës.ÿym^sppiais
qu’il \ -
ionner les matières à phlogifliqiner ? .& de • les
_ gojmbmié^; .àvéç- f açide v^riolfqfiiiie; ; tandis: ;qiué^p|LiÊ
donnent pas ' un atome de foufre. Quelques Char» ■
bons paroiffent devoir à la pyrite prefque feule
ÿeurv / ihfl|mmbilit©âi|i ^3, Voyez
;riteM.r. M. Parmentier &: M. Defyeux onf '‘éher- ,
ché à reconnoître la nature de petites lames :
^ M ^ ^ ^ ,r^Xpyritëù^@^ir^afquâbIe,s»||l^^^
Charbon de terre de S. Georges ; ces lames détachées
& raffemblées ont été mifes dans le i
creux d’un charbon embrafé , & ont préfenté à
'^pibfçiÆriité une;pëthe.‘_fl,a^^^^®^(J:ôi^pignée
•d’une .-légère odeur jugée appartenante au vfoufre,
‘ Voyez VÂnafy$é:à feu nud du Charbon de S^QtpJg^f
mi mot Analyfe.
Pyrite de comc^ , ordinairement martiales ; en
quoi elles différent des pyrites propres aux filons.
■ B R ! l l i | | . ' l i i l l i i
co_«c'/iw, renfermée dans une
terre- molle ’bleue, compare. 3 84. VoyWfïe/ÊoTi.
tombant à l’a ir. en eiHorefcence atramenteufe
cendrée, vitriojique , qui 5 .par différents procédés,
.fèMiruiitr :du vitriol verd , comparable au vitriol de
Hongrie , & .^âp^fe^en -7
Suilfe ; ^ayaMt mmrm^m ^ uné yfav^uW-donr.p.Srrft 3 .
d’après Texamen de M: Sclleuzer dans CohV'Voyage
«des Âj|fs.: ;
Pyriiej dans les Houillieres de Liege, nommées
OEàuxtmjefi^ "en maffes irrégulières , la plupart du
temps Mzrrmle^. Voyez Bouxteures. Par l’examen “•
‘que j?én ai fait ^vérifié
depuis ™ j’ai reconnu' que ïcètfo pyrite a- donné à
la cornue un peu de phlegnie de l’alhali volatil, •
^^fé^et.\quêlqùes, goutjtes rd’huilé ^,du foufre,, donc
'une partie s’étant combinée avec l’alkali volatil-, '
p i | | i ’hé|w: ^ ë% iè s :’expérienccs
aüxquellés!'fe;réfidu a été fourni s , IImÉI 1
préfenté que des * pheûomen'es qui caraâérifent
la, préfence* d’u n ^ te î^ ^ n partie martiale.
; PyrnéJd^ ^ajfieres. Fer, à Mine. Plaquettes.
^Opinion de M., Bomare fur ces pyrites, >
1 ' Pyrïieufe {MineWilatée. y oyez Miné.
r Tyriteux (Charbon)' tombe en. eiHorefcence à la '
‘ longue étarit' même|teermé , ce S,qui fait que les
Charbons de ce genre | tels que .celui de Mon-
thieu, de Litt^^ÿj*7ây'.& autres, quoique :bon$
d’ailleurs, ne font point propres à emmagëfinèr.
Voyez Charbon pyriteux.
\ S v ^ ® ^ -21. Bordure , Kou chaffis pour l’ordinaire
de forme quarrée. Qimdre dui pijioê: d\une
pompe refoulante', auquel aboutit une chaîne dans
H machiné1 % ^ ^ 0 Ö ® h a d r e du pifton du
cylindre. 1090.
1 (pladridcitem G é ó tó f e ^ g u r e terminée par
quac|è lignes droites, ^différents noms
felon le parallélifme de fes côtes | ou de queiq-des»
T I Ë $ £ $. , i 45?
u^s (,($>./ cötê ie quadrilateïê - dónt eüaqua
cöté e£è parallele au cöi:é c>ppoféj .'èfl:: appêllé jPa.
rai/c/ogramiKE, en obfervant que rjut parallélo-
gramme eft bien quadrilatere, maïs que tout qua-
■drilatere n’efl: poinc parallélogramrae.
» V ',refl-e) o«-, inëfur d^du^ l'3f. ^oy.
d/^rcniei ( n /cr. 845. Qualités ielL
H H W m Ê m I I7 o. -
, <iut. . Je ’ h.s’Uu V'Ö.njfc'nl p/jc
étte bien jugée a la vue que dans les maga-
®'Ë®SïSk>; Cu^oiHian.fi
1 m B Êm m m m ém -3 t ‘J< '* MWr' U l I11-ÏPI 5 I-lTfl’ l/j-
H S ’clïÈi? 1ISW d eau,, dm^laut' ras '
lité du Charbon de cerre ;
fa fubftance inSammable. Voyez Pluies.
mmBmB 1 Hl t»
de^fl ai'; '.'dp
1'odeur quelle répand , & du re;fidu de (j . Jm-
buftion. II^2. Vo 'e/- Fumce, odeiir ,, exha aij ?.
Expérienc s pyriq n Q t ( re-
I ni r<:) 57° 5 de foconde qualité. Iden. Qka .\i
de CAarèo/u d’^ngZererre. 4 1 2 , 4 1 J , 4 1 4 , * .
Ciege. __ v , „yy.
Des Charbons d A t erg , n lés 'ta ca
f “te 1 jO.Ls C'lSarb 3iis de Kr r a
Bourbonnois. 581. De ,.N r ran. ƒ85. Du j'aiï-
niirroij. , \ . r ƒ46'.
Quantité. C’oft 1’objet de toutes les Mathéma-
tiques ; o 1 3 co np’eïdtYd'ijr ce qui peut êcré
augmenté & diminué. Les quancités peuyent êcre
11 " - on la 1 1 1
felon le poid5 ; elles ne font cependant.'qqe des
.nombres' indéterm nés, dans - le fqnels. on n-établit:
pas encoie d’unité fixe avec laquelle elles aient i s
ïelacion. En Algebra on calc le avec dps qi aiitités
connues , de mttoi- 5 avec des qu antités incon-
nues ; celles-la fe repréfentent pat les premieres
lettres de 1’AIphabet a 4' c ; i. & céUes-ci pat
les rlerniefës'. Voye/ Equad n. Les quantftés n*é-
tant point des nombres mdéEermïÉiés, il eft évident
que tout ce qu'on démontre- des. nombres era
g nt t il le 11 doi ■ é aleme ït t nvenir. Vo\ r
ATomire. Ainfi une Qaantité «/géirijae ed: une oul
plufieurs grandeurs défignées par une óu plufieurs!
lettres de 1’Alphabet prifes ordinairèmeflt dans les
Quantité de moiivrm ne dans les\ méchaniques
elt de deux fottes mouvement momcn-t
■Mne, qui eft le produit de la e ti‘'ïe' p r la maflè
toujours proportionnelle a 1’impulfion qui feit
m mvoit le corps, vo ez hr itlfi n • & ceHe
mouvement impitljif. 423. Voyez Mouvement.
t Quantité d t karbon qtti J tire n un jout n q;
fept Ouvriers d ns les Mines d’Anjou. J y^g.'
Qu«n £ i charBon 1 de In t pour 1’e treden
du fourneau . d’une machine a 'v. peiu- , „ 0 1 ,
quafitité; pendant 24heures. "rL'lS' , „ o a .
Qunnznficme denier du pour tout droit fonciec
aux Seigneurs Hauts-Jufticiers. Par l’Arrêt du 1^,
g lat 1604 , ce droit leur eft pay.é après que
celui du Roi eft fadsfait; il düit être pris fur la
'part qui refte aux 1 1 icprefi^m, ;^;elt le F1 - ur
generai. qui le perpóit. Mai ce droit ne parofe-
appartenir aux Seigneurs qua Ia charge.d’affifter s
1 . entcePr‘fes <1® Mines , conformémejifc., a ca
qui ed: porcé pat 1’Edit d'Oéèobre. iy y a.‘ Vovez
Feélcur. 1