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confifte leur folidité, on sy eft étend* fur lesforçe^de'ce Moulin, & fur b
maniere-dont. elles fontîdirigées- - ■- 1 - 1
Les perfohnes qui,voudraient en çonftruire unfemjdable , peuyentjconfuj,-
ter„cét Ouvrage, où'elles trouvetontftqutUqe que l’on peut f e u t r e r fur la{
^onteKfliow du Moulin,-de .la Machine qui y eft appliquée, & <te.&Ss®pa
dont on a faieulàge.
Ce Moulin-,fra’eft-a-dire.,. la tour , la Pompe, l’intérieur du puitsife£ute
la Machine) fans y comprendre le puits & les réfervoirs, qui ^ancienne
date -, n’a coûté que jo o o livres au plus. »
Le mêmeOuvrage a auffi expofé-, Tome V^fage , dans une.-Planche ,&ut
le-méchariifine intérieur du Mo ulinaient de la Eerperie V i i l ^ ^ f e s l e g c
de Meudon, qui fert 'a élever'de;tfeau. Ce Hernaz fait le fu]etliÛ,îro4 çme
Chapitre de l’Ouyragerié M. Weidler ( i ) .
Des Machines Hydrauliques mues par l ’eau. |<■
Lorsqu’on eft à la proximité d’un ruilfeau ou d ’un courant ‘d’eau un peu
fooe^oû de quelque rivière, on en.profite pour faire,agi^les Pompes; cela
s’exécute par le moyen de plufieurs forces, de Machines , qu’on peufc v.|&,ta-
blement nommer Hydrauliques. gj ... g ../.y '" .; ' ■ u'î~ ’
Le ruifleau a un avantage inconteftable, qui eft de;fo*urnir|our & nu^c un
moteur égal ; cependant, à moins que ce ne fût; ujae. fource.iÿî-pe.U 1^
démontré que les Pompes à chevaux foumiflent plus d’eau e n ^ q j^ e u r e ,
qu’une four.ce ordinaire n’en amené en quatre jours.
Nouvelle Grue propre aYlever d e sp o fd ^ ^ ^d a cE è n de l'eau.
Il, a été annoncé , dans les Papiers publics’, une nouvelle e fp e c e ||^ r a «
hydraulique , propre Û iré r des Mines & Carrières, avec’plus de;fâQilité qu’on
ne l’a fait jufquà préfent , les féaux , lés fac^, l’èau, le Charbon »'fë* rafte-
rii &c. Il peut être utile d’avoir conrioiflànce d ? êMë^nndfiçe"; d’afflmt
plus que les perfohnes qïu-voudraient de! étlânciflements, de
s’adrèfiér au fieur Chriftophe Gallet, Anglojs « qui en eft l’Invenféur (a ).
Elle agit par lé moyen d’urie roue deïp'pieds dè diamètre feulementi Çêtte
roue a un mouvement tbüjoûrs égal & uqiforme ; qubîque rapide:, 'o n l’arrête
dans l’inftant : elle Ce meut par le moyen de l’eau-; le moindre^èourant
d’eau füffit. Si ce moteur manque, la-perfonne chargée de vuider les féaux êc
les baquets , peut elle-même* la mettre aifément en jeu {ans avoir fién!à craindre;
oh la gouverne fans peine &Tafts-rifque. Lés Ouvriers qui fe trouvent
MVeiuabutmoletrimshydrauUcis, quarum aU I pour la icondruffionde ces Machines 4 >s l|
ytntoverfàntur, pag. $0. - £ < ïW 1 S | dé Cornouailles, me lanflock, a De-
. • (a) Privilégié du Roi delà Grande-Bretagne, I von.
g t î D M ' S m M m e s , g p X , . „ „
d * * ajMsfon daoeh,U Cattlorçj- pâment, en fe msoant ^ M b a ^ u e t , ou
R a tta c h a n te ujqfeay, fe -faire tirer.g^fiaUt fans le "
^ e t f ë '- 'M ^ i^ p e u t^ ^ lle u r s feryi*^ Ambou^fd’a ^ e . s ü ^
ple, dans les Moulins à papier & ay6r§s.: d’u i ^ n£ty&îe.J fortfiaf
P'le'S on Peut en' avoir une ;en Place » Propre 3 élever un poidsrde mille UvroS'.
pjUi ’ I
De tou«7leS-moyens de-faire fervlr l’a&ion d’un ju r a n t à m o ^ ^ u n e
Machine, & n’y ey-a pas de plus,fimpfe, .fleflUs&omnietdè &,de-|friôiIlL
jêfrgjaift^cfivéuient, qüe^de J $ | | cètte M a e h ^ d’uhe ou de plufieur* ropes, ,
courant; d’èau-, & la mhfinetîetit;auix roues qu!ellesrfot>t tourner.-,
La Machine deE^Nymphétabcwrg, exécutée par|e,gcJrxii@,-de Wath, Direc-
teur-des Bkiments.de l’Eleddurde Bayieref*) r eft d&gqgenre. jlUays £ flm,
plicirév .&,puMéleve^ea» i gQ:pieds *..eUe. eftMep; entendue^CofV'prqduit,
f r o i t plus .çonfidéréble filles fourché ^ v o te n t leadéfadtîÆommun dans prqA
q,u.e -toutes les -Pompes duTi^nquede proportionq©iitr.ë-ileJs,'qojps*d^Pompe
«ÿj^rdans cette..Machine^,tomf. io ^ojgçes de îdiametre; -& fes fourches qùi
^ ^ e m r e r o n s point len par-ticulier dans le détail d è s ^ e f e ^ S ^ âe
ces Machines ; i^^ag^toujpurèÛGÎ^éômmedans foutfes ) es a û t r e s ^ f e / V
bien connoltre-le-principe moteur ;>caHe qu’ôn Homme proprement la $ $ $ -
chiite ne fert qu’à-augmchter & à’régler,la%ce mouvaotë^ceKeftid-.la.foïcè
nïsla^folidjtérdes:matériaux qui font; le .mérite, die •l’invëritiM- leS -M^kines
mûes par-1 un courant d’eau-apporté' foit par- ûne -rivi'ere-jÆit pat, un ruifleau ,
■r H He . c e * v a qec ^nî n t ÿ fartiion poj• dj«.s.d*u -par
fensahoc fur les aubes ;-eh deflhsriü en deiTous, la partie eiTehtielle d ^ l ’Hydro-
Myùamiquë' j -Goniifté'danVl’examen d^meilleure-mamçtfedt^nployer-la force
d^L’eau-cbmmè principe inoteur;. -Lev, coAfidkations néeeifaires eyfuiè-pour
pÿter les Machines de'cette efpece à leurplus haut point de^elfeétion J
la recherche du nombre & d e la difpafitio'nMa plÛs’avlhtégeufë des.Âêmés
aubes, relativement au diamètre de la r o ue - à 4a quantité -dont, trempe
dans l’eau , & à la vîtefle du courant ; ce dernier article, & emcQiaféquenee
le nombre. des.>-aubes'tou„vannes à-oppofer ad. courant,/.font-difficil;ë^ddétei:7
miner , & il n’eft pas .-étonnant què plufieurs Savants-ife^’foient .trompa i
fur cette matière. La - nature d’un fluide perpétuellement inégal-■ dans fon
Vbiume & dans Æ: force^ndonne .évidemment à penfer .qüei.-malgré fo.Phÿk
que la plus exaéfe, & la plus fubtile Géométrie , la folution dè ces problèmes
ne peut guëres comporter:uhe certaine -précifiori;: c’eft une-’remarqué;faitepar
des ■ deux Plaachel