
•• - unième vcînfc deîfl cette
terre {Hqûqge) Ce trouve fouvent fous cet'te veine,
(entré-fell-e & ie' .roc.f(^vén eft la bafe^ee qui donn’e •
r la 'facilité d’y chaffer les aiguilles ou coins pour fàper
& détacher la Houille.'
Page ligne * »8 , ajoutes^approchant de eëfui qu$> pôùsÿ
' ■ fi ayons; mentionné .au Baillage d’Ammèreoâur .pays
de Liège , page 68 , les Editeurs de Neufchatel
-1 obfèrven.t, à roccafîon vde cette veine du pays de
Ijieg^e'j' què dans les*càs ^y.éle^è, .en'#
remontant auffi haut qu’elle étoit ‘délcendue , les
" Mineurs Allemands difènt Der F l o T z Mâche
e ih e M u tde. Ce cas^®’t|® ^ ^ |a l® :;.s|endage
de ReilTe. ■
. '871', ' -
>\t $ 7 f ï ligne 15: , >•.$l|u#e> ©eft fié Épie naïfs .aypns^^é|:
! - ' figné en général, page 6y f. d'er/iiere ligne -, par
■ dtendue\ ^^de 'T rajet^ -fies -Editeurs - d,e Neuichatel
trouyent q ^ c e tfô ^M e ^ 'n p‘o ur oit faire eogpfidïë '
i ê Chute. 4,
"875. & 876^ foùchanj,d,allure1,& le pëndage des veines«
Ajoute-^. Ge’détail édaircit*le c^^TOiumé^qfienous'
‘ avons donné pi 66 , ligné 3 , & auquehlesEditeurs
de Neufchatel reprochent de l’obfcurité’.
'9 13 , ligne 1 < ,. puiflànces , îiTe* ..premières puifïances.
• *916 3 ligne. '18 , langage - du métier. Cette' nômencla-
, tureimmenfo , introduite-dans la Minéralogie &
l’OryéfologieConfinédans .la - Botanique | eft un
grand obftacle aux progrès des SciéncesM. Bertrand
en fait la remarqué dans -'fôfi Didionnaire
des Foffilës« .Bientôt | comme les GbinoSyLcelui
-• -x.qui voudra; étudier l’Hiftoire Naturelle fera’ obligé
d’employer la moitié'd’un.temps précieux pour fe
Pmpiaçifèn-àyepies; mots ;; il fferoit à délirer,4en con-
3 . féquence , que ceux qui éçnvent for ces matières,
•, ièbnyin^ènt1 entre eux des déterminations ’fisés^a?
^employer uniformément y en donnant desdéfini^
/ fions exaétes des objets; E. N. À lfeecâfîOfi de ce
^que j’ai remarqué fur le Vocabulaire des Mines ,-
p . ‘iss de l’Introdudion de mon Ouvrage, on fiëpefit
j- qu’être unanimement d’accord fur--la ■jTCÏÏexidn'Âes-
•fovants Editeurs de Neufchatel, mais ce qu’ils demandent
eft-il poffible? Les Ouvriers de Mine ne font-
' ils pas néceflài rement ladof for cet-objet ? Et comment
foire pour que/letft^langàgg^foit uniforme
par-tdut^yoyezpage QK. • ;
T*ags9$o\'iiotc i± Mullieim' lif. for le Roer, près de Duifber^.
Page 9 f8 , note 1 lighë'% & 6 ‘ j porïê^Vènt'de'cùiyre, U-
, j MdëmM*: g jBH ® ’ S 1 1 1$
' _* $>70 , ligne 3 4 , qu’il ortoit, Ufe£'cÇabfortoit
-99p,_ ligne 30 , tués ,
102.0-, ligné 16 , porté attention-, ZzTe^prêté attentïony
ugne 1 t y entièrement de /-cfilinôu&e boi^^lijcî
« ; cuivre»^;.
Alp’$à , ligne 34 , d’un elpece , /i/d1^ d’ùnë elpece.
- /Kgvzé 7 , de chef, Z//èijr de ce chef. .
108^ , 'lig tii,st? , poutres & pouftfell^, Ü jè£ pout^lles«v-
1 ^ 1 9 hféi ' ”
fl 1 ip , ligne 18 , vitriol, 2êl métallique formé par un
acide É-lphureux:, qui ' diffoût les métaux-folüblés-
^ par leur , aétion , ; tels font-dè cuiyre , :le fér Sc l e .
zinc;- E. N.
Idem, ligne a ï , vitriol martçil’.. G» ; ©îr.ù n b-s 9 Su,
S ' K o p pbr H o l l , communément 'nommé Cou-
% J.petofei, eft de couleuf-Verte ; le vitriol de Mars,
qui ïè trpuye dans les bois bitumineux allez communs
dans lés différentes provinces de la Saxe, eft
uchaigé d’alun. Voyez^■ SçMèberi ïïthogràpjiià Hal~
lenfis 3 page ao, fe. N. ’ '■
lues Charbons de pk&é'%ui donnent par la~ décompofition
un viyioî'ide Mats p u lvérifé^pït toujours mêlés de petits
Cailloux-, & ce font eux proprement qui- produifont ce
yîtrioX. ;ÈTN. .
Cette note auroh demandé de la part des Savants qui nous
la foumiileht ui&: ’éëlairCifféniënÉ for cette fobftance caillou^
teufe ,yq,ui., folon eux, foi t partie -du Çhar-bon de terre dans
quéfoues efpêces ; .ils ten ont fait mentïon dans une ndte qui
termine l’Article III de là première Partie, en.obforvant que
le ’ Charbon de pierre ri eftpas comp'ofé Æun f oufrè réel, ^ &
que Côn-biy~,trouve pas du Caillou. -Enfin il eft mention
aç cette même fobftance -, fous le même nom , dâfis fin examen
chymiqüe dü Charbon de pierre" d’Angleterre , compare;
avec celui des envirous de Züickaw & de BreËé^-foit par
M. Mehiner, & que les Editeurs de Neufchatel-ont infère à
la fin de la quatrième Seâion de ma première- Partie ; il y
eft dit qu’aucun Charbon de terre ne contient autant de petits
caillouxaîfës à appercevoïr àla vu e , que celui ^Angleterre 5
nous préfomons, fons avoir vu le flnot Allemand, que c’eft le
F b v s a. S tb j h {-voyez - page qui pouroit n’étre
ici que de petites cojcrétionlpÿrite'ufès martiales,, ou ce què'
l ’on appelle-'dans quelques ’Mines de Charbon Gaillcttfô^f%
dans ^oelîe'^du HainautE rançois Forcée* Ga l letb u s
forverai feulem.ent en pafïànt-que'dans le grand nombre de
Gnarbons^dè ’différentes Mines d’Angleterre qfii m’ont, paflé.
par les mâins depuis, dix^hfiit a n s j è :nJai:point. reconnu.ees
concrétions caillouteufes.
Page Tiio ■>'ligne 7 , connoîtrepar l’analyfo. Celle que nous
' •' XC avons donné,/jag-e 30, '(dans la première Partie,) dès
eaux des Hofiillieréi de Liege-, >paroît aux,Editeurs
- • de - Neufchatel - imparfaite, & pèfi 5p*b.pÿë .à.'faire
■. eonnoîtigseonïmefilfout la^nafore1 de-cette eau«,.
” i i z j , ligne 19 $®dônt5 la -nature a^éïéfifidiqiîéq page
* j 6o , - ^ V 4 Jo. ' • ,
1147 , .7ioçe 2,, il -n’eft pas .fcôp^focile , il n’eft
pas dife iîe , & ajome'i ce qui:a' été remarqué pa-
■ | ge 1088 , & à la Table des matières, au mot Chau*
diere, colonne.gauche 3' en '^6lih.éti^explication^ j
ipànsàla même nore'^c<ïmmè^M*-dè TJply^ attribue,
. Zi/è^ M. de Tilly attribue aufii. ■;
1148 , note 1 , ajoute-^ M. Blakey , dans fas obfor-v
vations for les pompes à. feu avec balàne'iër', imp^-A
rnépg-i^^lTvVyg^^^lfopportè^qUfàX ufie>)>^^[ine‘','dh
GKSr^on de Si Hélenê, près de B|ë%t en Lan-
cashire, il- i vu. une chaudière^ ëfi ie r battu de
de ‘ry'àB'Sfpoedstdé^diamëtfè ,-^qùi^yoit étérôngée
dans l’efpace de deux- ans«-- -• ;
t j f 4% • ligne- 13 ,■ un très-:grand nombre : ,4 è. çes Ana-
lyfes les Editeurs de Neü'fchatel- o^ajOfit.^dafis
une note l’examen chymique du Charbon de pierre
Anglois, ,' 'ec^paré'-aveè'Geluifttôuyélaùx environs
de^Zfiiclfofi 8e de Drefoe ; cet examen - fait par M.
'Mehhér ^Seçré^r,e;jdésf Mines -à Stenau , dans le
Cerêlé^de. 3STefiftadt-,-. poiîrro'it ri’etré pas aùflfi pro-
fitable'.p<giir-,l'’uûlîté ài.en retirer-' qu’il fombleroit
- d’abord , l ’Auf,èfirayanépmis 'ide fpécifier- de quelle
Mine d*Angleterr&^p;^*rapp‘eAÇh^^^SfalyfÇi v
Cette analyfe, ;eft ffiivîe dê tcellfi dfes'-.Charbons de
pierre de llorg , par: M. Scheuchzer.
^ , Ti57 , digne^y voyez-,; à l’explieafibjï
- / yde l ^ Planche LVÏII ÿr îisP^m^lbï^ .
- - - - charbonneufe, vitrèüfo & métallique dans^.des bou-
, . lets de terroulle a-rtificielleV pour y entretenir la
L chaleur que cette foorie a contraâée en rougilïànt
féfi: avec l’argille- d à ^ lhqfielleiaelle^ eft"em-
1 1 ‘ v Page 11704 CaBmië^-en ce nom conla-
V. cré ^ Ja matiere lêmi-métallique qui* s’atfac'hé-aux
I . .parois: des:.fouTneaux où l'on.; fait la première fonte ’
de' certains minéraux, eft quelquefois donné malà
propos , ( comme l’obfarvent les Editeurs de
Neufchatel-for'--la' note dévia première Partie dei
■ mon Ouvrage s ) à la. Calamine. •' •
12. tô^figné 3 l yjk à^endonner connâifiànce ampübliç»;
_j jdjoiite^) Vi à la Table dès matières , uné^ddition
' . à „ cet ^A^ticle au mqt StuwSd , à l’explication de
• la Planche XX-XV ; & à la pdge iÇ^jfèÿii Sup,-
. " plément tfès-détaillé fur-ces'opérations exécutées a
‘ 1 Bréteùii & à Aizy. _ < - -
. Idem y ligne. 3-S^^es^dIfFérentes.analy les voir que
‘}>h, 'Xès 'Charbons foffilés - foht^ormés 'par du naphte ou
' “ ; .du pétrole -qüi ^^ayant rencontré des-.-'cpuches de
•' pmôrf ou dé marne leyj^éfiétré ' d?une vapeur
; lùlphurèufë & pafîagere } eft y |fip s’y joindre , &
la matiere s^èft ’dufiéié; Sonvénfde i’tdûn difibut
s’eft uni. à ces'fqbftânces , &lèùr'a‘edmmuniqué de
■ nouvelles qualités. E. N. Il-reftè à expliquer la difo
férence de ce ‘l>itume pur & Iréfîneux’ a celui du
. Charbon à&ioisqùQllïï-H^ celui delaT
tourbe, ‘ qtiî'èxhaleat une - odeur fétide-.;.
i'iîzg | ligne ifi,‘^lofid ^’ïXeàd.;-.Ç?eft fons u doute la
Mine de plomb'spXthiqW qui é#^blanchâtre,
frisâtre ou jaunâtre-, fomblable i fifi Spath. Henc-
el l’appéHe quélquëfois Marmb'"CE plomb ; en
Allemand Bl^o Spath | quëlqüefdis«élleTeft foftile,
- ’ on ,Innomme Ardoise DterP’io ü B • ■‘Mineraplumbi
. fpaihaceajojjilis. E«
12,37 , note 4 , ^Mirià^etf |
" , 313 8 , Zfcgÿiè :i2^; Ântimbîhèi G. SpiefgldJJi. Minéral
' ftrié -, fragilevolatili;au feu^Sf qui entre en fix-
ndk;après avoir roiigi ; fo-couleut eft^'d’fiutant .plus
blanehë cpi^elle a - moins -'dfe fouïre ; l’antimoine fofo
foe eft en pîerres de -différentes grolfeuts, qui ap-
profefient affez du plomb- minéral, à la réftrve que
lé? glèbes d’antiinô^e font plfis léger» & plus durs
que ceux du plomb/; 'celui-qu’on Vend a été fondu«
1139 y ligne 17. Calamine« Pierre ou terre naturelle
qui, mêlée avec le cuivre, change la Mine rouge
en foiton ; cette pierre varie par la couleur ; elle
«ft fauné-, br'ühèVout%.J
reftemjfêp la cadmie;;;
qu’el'le .eontienc
Etre : la ‘èalaiùirié. foftile
14 fournèàux*^'i?4^fparfie
l6 y- - - - - - » Parce qu'elle rend
■ | ,-aune ie' cuivre.‘-de rofette ; 3 . ^ parce* qu elle a
pour bafè ùnè .terre.'fiHsaline. 4°l/parce |qu elle
fait efl-ervefcence avec les acides. Bertrand, D lcI .
-'Page M Suér - g dois ; efi m ^m ® |d u r, niais-
• friable & d’une nature prefque terreufo. La couleur
,J eneftpâlê’>;51<^^^^aCTgreil,refle|^le^à unimétal ;
poiiiÉ»
, âo- fumée |P^iil|nliV ii entre en. fufion4
^lyg. N. Ces Sayans remarquent à l’occafîon de la
•,c.l/a pote 1, ? qùe le nom'Allomaiid.' ,
que j’avois ajouté à cette fubftance , m’appartient .
jP ^ a b fo l^ eW q u ’aii?f o ^ f i üi^f^tire.,'d'u;icpbalt.
8év 1 jyfa } noie z. Depuis'.ce temps , ■.'Mv'''Baumé , dans
‘ ' '' un''MémOire^qui- a- remporté le prix" piTopofo parla
; v • Société lïbre' d,'émiflaDion , for la meMefire maniéré ..
«>, ^ res à
1 â diftillation^ervins-1 .pour en tirer les eaux-de-
vie , a-fait connaître dans le ’ plus Vgrandi détail
- ■_ ' quelle doit être la coupe d’ùn-fourneau que l’on feroic |
chauffer avec 'du Charbon de terre’J ainfi que de |
’ ' f i P a l S r i i b i c ' ■ aCcÔmpâgnéé: dWe
| • Planche qui reprëfonte un fourneau propre à brCilct
d f i f ’(qk5, dé^terre. ' ■
CÎe1 le JifirfiÆr de.M. l?Abbé‘
Rofîeri p ô i® ^ o is .M S !iîe t- J778 , a' éïfedèpüiSîimprimé ,'-
lX^WfiS '^ ’^ ^ ^ ^ ^ ^ e ,ieune ; nous en avons emprufité/Xli I
figures qui ^ • .
Le . même Jsurnal fnoïs foivant, renferme uii !
Mémoire- i i t l l ^ l f i n f ■ èè.ti'^l)^■, par M. l’Abbé - •.Mouliné
, où Fon' trouve , Seft. 'I ,j Chap. IV , une aptrexonftruc-
^&rlwde'ïdhrnéîad5*.*;•;',''■' ? v 'y 7. ' ,
Page ï ï | ^t^r^^^Sul^Jiujèo-âàide^ J4joutè\ |t e , félon
M. Baumé , dans le Mémoire qui vient d’êfej p c4 »/h
le foufre contenu en plus 1 grande, our-eri-Nplus pe- J
' î1 ^ tite quantité dans le Charbon de terre , pefit , !
» pendant la cpmbufti'onde'cefoflile, attaquerle^cuil-
vre & le mmeraîifer à la longue : il avoit ' tenté
"àlambicsr^ rrîiais U >éb
» ^ fe ^U |^ t% n u ^ l’Üfi,^ ,o^^jtcë^q'Û’il-,',b^à'in6it qu’il' ne
, âétruifît les vaiffeaux ; & il’^ft'ime 'q u il foroit 1
!l3 ^ ^peutTêtre4.pruÆën^dë!4i’émDl6vër quelle11 Charbon de
■ ; fi‘ térre: réduit e^firâ^è« ; _. ■
%9Ô^lignéj^i^ ' au feti^de '4Houille^brute , aioutn d'e
' '■ mémo que certainement elles modèrent tout au
moins la/' Gliaÿflvttbp viv^ dè: que'lqfiés Houilles
arfientèsv. 1 ;î.. 'V ,J : . ? -/T:-- r * • v-• >■ - ■
■ *3-07 , 'i 3^rl>OTgiUê^iîé'fo'’difïoÜt pas. 'vifiblempnt I
• ' -J par les acides , avec une ébullition c>u un bruit fèn-- ^
comme cela arrivé à la craie, ou à la terre
fi* ^ 'calcaire' qui eft prefque toujours mêlée de marne,
i \ f i ^ ^ ^ n 3ant-''; lêp'. aGidésî.'ÿen léparent^d^' certaine
x* quantité qurLfaiŸ environ<un-',ffôififeraéfidu tout, &
Lit’,“ qui eft là' p a ^ ë;É ^^ ||è|fi' de- l|flfirn^Commef 1,’ofiW
^Vifibntf^lé§-\ê^^rli^^ ^ ld e Margraff-; le refte eft
fine terre pÿritéufe ; par eonfequent 'l’argi'lle fo j
•t acides , elle- fe 'déeompofe même
•entiéreïnefit, é: e’eft prçGifémëntÆfi.que M. Mô.rand
-nie' en termes exprès. E. N.
Les Editeurs de Neufchatel1 font fohdés ën partie dans leur
remarque ' c’ëft ün^ foit cèrtàüv.;q ü '^ "n’<eft- iprefqù’aucune
pierre qui ne cedô Mhe longue digeftiofi dans les acides. Les
terres argilleufes mêmes , abftraétion faite, des-panies terreo- ;
métalliques, bimnuneufos , câlûaiVës >* ‘fod^niêlées
. prefque toujours ;; Cës tërîfèÿ argiU^fes'font en effet atfaquables'J
^ pW cétie: aifgêlHdnnongue. • -<* • " ^ ■
Letprlifiier^apperçu , tel que çeifii lfii téfoltè- dés efiàis
fimples , les fouis auxquels a d’abord recours le Naturalift’e
pour diftingûè^ uflé ?jfdbftance-, 'pioritrè,f cbmn>e:pètfonne ne
l ’ignore , une forte ë^rveJlpèncé^gqfic. lèsttetïe^cW^i^ésfi,, I
une dureté'capable dé faire feu avec l’e lîçiqüetf pour|es. terres.J
vitéifîablês’X & fimvuraumfautre effet pqfir;'les .terres & piètres
^fgi^efifes.; il ne s’agit içfi què-ide ■ ces .^preuves , employées •
par les Naturaliftes",' & quwne p elivén^ coinporier mradé%e%]
loppement, ni digeftions|-longues, réforvées aux -rëcherches
chymiques : 'ç’eft/.uite remaraue que j’ai pb
Catalogue raifonné (qui fo'@Spubliê*MBM
tiofi de fobftances appartenantes
terre de plufieurs pays.
Page 1337 y-ligne^*, certaines Ho u illes^fon^' dïfoqfées - à
s’échauffer lorfqu’on les'garde en tas. Les Editeurs
de Neufchatel ont fo^ ^ la fait ufàge d’une note de
M. Véncli^- que:voioi|^ p tte pcop^t^<î|ji^sh’gagéc
ceux qui gardent .des H-ô^illes en magafin.à examiner
fi elles s^échauffentfjÿll^; p révënifi^es'linconvé1-
'qui'lio^ifrroienl^fôfoltet d'élâü 'Ges accidents
font ttès^rafés/à la vérife^meut-ctre l’embrafemerit
'd’ufi.fias1 flfjljmOpille n’èft--mjagiais arrivé^, cependant
il convient d’y faire attention. On voit que
M« Venél ■’ï ^ ^ q i t ; trop^quoi -s^gtënir for cela
malgré ce 'qfié^ -nfifis- àyèn^'rappOiT^ll -croit la
chofe po^bfê^ên même temps il la-'%.|pit rare S
•il- Ib u c e ..-'® u ^ e ll'e l foife:ijama^ arrivées.: MM-.
oc i d'é^Né'h'fchafél Ceiï citent un exemple
’•Srbiÿé 'Së'lW’ëttïn '& près de -Pïâvitz dank le
yo’ir-les'idétails dans une
îldiffort'ati^'AH^^Ëè' Mübliée exprès en 17^8*
-par M. QliMian-’Frédéric Koch-, in-40. Leipfiè1
^^yickauC S
. Féim de -Hpuill'e.
- f '- P-à^^i'6] $céftè^m^]^Së'âiqn ’Vi üfe\ ces mê*
mes Mémoires fous 'l'è' N°. r 1HQH
*■ '' lâêrn , -noté djpuié^ / V
p P te.
- lêetti -,; 7iote t ;, F F G. 8. !
:iî;- C IJ ^ 5 ^rt> &a-«
■ ? i4 ), 7io« 2. de'l'a puëlriiêre Partie &yage l i a i j.
. ï t - ' n o t é ', N ° M m Ê ^ W ^ ^
f , m e ^ 3 démim ii^ne, v'oyez page, lifîfr
page 3 î 'décès Mémoires1,
■ ‘ { zi ) , //^hc 4î , brûl'ë' >d,ë la Houille -, Cé
• qui éft. .foie dès
^ofiemiriées o.fi l’on ne^ IfiéWqfi'jffi du Charbon
IR.' I;- .*.
j, g | | note ' *-1;, eéii^r0ïèiejd ùroitqùfe* & à r'etrafr*
^mh.ermérém0ày
) , Z%né 43 -. .pieêe E F , Z/j£çr G. g>
M ;( 3.1 „ ligne • 3'fHiftOir'e1 ^^^ JHïftoriém, : .
3<J ', les.; ces. n
X^^-Uid. ligne fi|fefiici> ■ .
f f i . .{ 3 y )-. f ligné ' 3a'v.int-ço'diiit., û/ouce^ à Halle. ?
: - ( -41. ), 32 ; nous ’attribuons , /(/et n°us
T'ÿ - ' tribüofiS''gras<cè'pMàanti,,; ^ ;;'.V-‘
rti'i Ibid:. ëgne y
. .. . ( 44 } , Zi^/ze 18, fe-dônn&t, / ^ ï s’adonner. ,
fi A la foïtë de GkesîM^niqibes3 \ 3 \ 7. >
le Supplément aü Catalogue alphabétique'.da^ lequeL ^ 0 -
dybdena , m ^ jfefipoür^ la'1’page 44<> * : dbit ;etre ,! 1
ven.ieftifdevmême'fiour>l^fononyme . . . . .
. Au mot WÎm%(pierreddc ) de ce Catalogue alphabétique ,
Aeftfion d’obferver que l’on'Connoîeluné éfp'ece; d^piérre têtidè
^i^^n’eft^poirit .un fohifte eft unorpierre. de roc d un
1 .grain très-compafte & très-dür. 1
Trahie, des ,Matières,
. dl\làtài. Cette Table n’ayant pu de toute néeeflSte avoïc
‘ b’ëfii' qu’àprès ^im p ^m o fib tota lé ï'H^J^ u ^g^^^m s; âvénis
.foppléé di’ayance, dans up a^.^ole^ p?Tt ,p .a g e s^ ^ .& 1587*
■ .aux- ^ffî^fi^^\addi£ionst & correftions relatives a la pre-
.miere ^ féconde & troifienie ■Seéfeipn de cette derniere Partie«
Afin d’en affurer''l’ utilité; nous le s 'a ÿ n s .rapportées ici dfi
^ipiiÿîeau.à'.leur vraie place, nous avons trouvé moyen d’aug-
menter cette Table des remarques inférées for la première
Partie , dans Kéâ&io'fi -des Àrtst&jMMejrs., j 9Trn§mn-A°\
Weufthâtel, Tonte F I , page 34? ; ce font celles qui font indï-
.qfiées à leur termihaifen^âfr le è ^ S S ^ ^ T « ’^ « « « fié.lapera
feécion d’un LQuyrage'ique nons n’avons' entrepris que <paj
.des vues-de grande .u tilité "d an s lequè|/|ïp|i avons
-touîevl’âttention poffible; fô,MS l'a vérité' d^pssl’expbntfon dps
faits, pour Texaditude dans les idées.-quë^'ou.s; ayons pré-'
fentées , nous aurions fort défiré être à même de profiter de s, •
iaâuëllèniënt des notes & obferyatioris fidnt les favants Auteurs
de cette édition enrichiront nbtre'fèeondfi; Partie ; mais nous
prévenons que nous lefir temps , de ,
maniéré à pouvoir \être ajoutées commodément dans les exemplaires;
de- l’édition! de FÉcalënaie;, .quand' mêtisè; ils ferorënÊ;
reliés ; par ce moyen cette édition fe trouvera comme celle de
Neufchatel prevue- jà corrigée &.RUgmehïéë» j f f lW
Page ii79 ligne 17, Colôiine^d gauche , foçyfes? braites
$ dé Charbon de Charbon) de terre , ajoutez & font
employées-avec fucGèsi\à Nantes , par M. de la
. Mouilliere , aux fontes.de canons, de bombes^ &
ât- boulets , avec: de viëuxV.: Ga®||s, . des vieux
■ • ’ ^ mortiers & leurs; affûts , âinfî qüe tous -vieux fers
• eôulé's , qui. peuvent au. feu, de ces. .braifes êtrës
refondus & re ^ s à neuf , _ objet de grande jng-'
ceflité p'Our le fer vice-du Roi-. ..
13 84 , ' au mot Charbons d’ardoife ou _Charbon§ du
proprement un
:..'CKarbon ide. pierre, c’eft un fo/file bitumineux,
que M. Bertrand délîgne fou^Ie^homSép^MwP.