
g7 a D U C H A K B O N D E T E R R E
Carrières de Houille d’Anjou ;SSL la nîème châfe ; & nous avons ^à?$#remaf>
que à ce fojet ï voyez p'age $48\ùà'it î*
L’expérience des-'Houiileùrs Liégeois elt toute ‘ëorttraire ; plus on d îm è i
plus on découvre d’eaux; ‘plus on fait d'>jûuvtage,§plus?ôh ëft-gagné par les
eaux ; voilà leur dire ; &il^n'e font '’à fcét égard nulle diftinbBôri de là partie la
pïus élevée’, où de là-plus Enfoncée dans“ la Mine ;" leur exprèMon ne peùt être
priîè que dans la réalité du fait, & l’on peut affurebque la chofè 'doit ’être ‘airfï, au
f$cÉmsr en général, for-tout dans les Carrières de Houille :'l brganifation des
terreins qui renfèrmënt ce fbffile, & que nous avoirs développée avec foin partout
ôJÉÉu/avons pu le faire , établit iné'onteftablement que lépaiffèur première
ou'la plus foperfîcielle eft de nature à tehir un très-gràtid volume d’eaux;
que la partie de.’la Mine la plus profonde e r^ ^ ^ p n t|d e '‘ foêmq u'n pareilvôu
un plus grand volume, vdyezyâ^'^o & z6% : <|de^ces>e^ïfopour lefquelles
on eft obligé de recourir aux’^fc^veÜernëïits, aiix« plattes^couves, afin J e les
empêcher de tomber dans les ouvrages , yôÿéiz 27^ » |PPjftjenPent en
particulier à chacune ;de_r;e<; de,ux .parties^-différentes delà TffiHfe ; qtfe^ceilës du
haut ne peu^nt-defiÆndre en-bas, lo rfq u oM ,ï^ ^ p a s d’ouvêrturè dans-c‘éttç
p r è n § ^ epiiffeur, & que, celles de^il pâg|e Ja'-plus ^rofo'ridè de la Mine j l ÿ
elles ne font pas emprifonnées dans J e ! grotferiJa n ^ fi^ v id é s 'ïm m e n fe s ,
trouvent dans les bandes fupérieures , un obftacle Heur élévation perpendiculaireBlême
efoyâpèüjs.»
On a yu quelquefois de ces èaux profondes allez abondantes, pour n etfe
point diminuées par cinq machines à feu , qui rapportaient eo|ç^ble,un riiif-
feau d’un pied J e coupé'. '<
Un Savant Académicien de" Stqckhglmtps) , dans un’Mémoire communique
à cette Compagnie , prél end que leau qui embarrafîe les AlineS", protiîSït
principalement & proprement de la hauteur de la colôrinê,,d’eau laplus vlffitje;,
#fque fopreïïion pMpü'nidins côniîdérable fur le^y.çfoes j canaux, & fentes
fouterrain.es, ne doit pas êtrç attribuéuj la plus ou moins ^ id é 'é te n d u ë
füpgÆâelle 8c. horizontale ; quelle n’eft qu’ep proportion de la profondeur
horizontale des fbflçs fous ces maïTes d’eau.'.*" I
Pour né nous' entelir. qu’à des faits, nous ajouterons à ce que njbâs avons
rapporté dans la première Partie, fur les couches ' aqutfüfès, que l’eau ne fe
trouve jauiàisXdaps Iz^klpye lorfqu’elle eft ferme &dure; qu’il.s’y reri trouve
quelquefois, mais très-peu , lqrlqu’elle eft lâche St fablqnnpufe 5 qu’enfin les
Iit;s aqueuxfont ordinairement ceux qui font placés au-dëifous des couches nbirés
& lâchest les eaux provenant par des fentes naturelles, font encore différentes,
par rapport à ces ouvertures ;ces fentes font communes dans toutes les
(i)^Q u e lau e s R ég ies d ém o riftra tiv e s co n c er-| I D o jâ e u i en M é d e c in e > & Atchi&trç <Ju,R oyaji-
n a n t I a m a i e h e ^ ^Â ÿ i'M é 'ra u x ^ l’o u v e rtu rê ^ d e s j m e. A h. ilfà *
M in e s , & 4 e u î f^taye îiient , p a r M . B r a n d t, i
Ë f D E ^ S È r M I j f r & t t P a r *. K l
^ â tie re S cjuî * cofapofenij Mti W û r à e ^ ^ e r lf c j^ is d oM feb rn ie r u $ partie
desteo'nno'iflafe^'' 's'16ar§^pâeV travaux foutlmSiS®!
p^Leur folon,
f-fos maticrp^mSellcs fe trouvent.
f 'OansUff fubîtàWce! tiigîllésIsé^rfaîlî^îe^
; llîè z éloignées l^ û n e s * ® ‘’lâ tïé si & plïïi'f f
* Dans lés mati’eréV callcirésf fêïïes "
^ ^ a, ^ ^ eS ^ anCS ®feS ^ e^ ei> dljliquès irteguioar^nenÊ
placées. .
• DanS qirèlqÙës»%a'âereàJompaélés , 'é ^ jn è m a ^ r é s ^ f e ^ à ' & d a #
lés premieres*fcoü8fîe|-p q g p fodt pllèllimjnfliéês^âc‘pluMarges ^louvent elles
sJ'ofcendent depuis le'fomfoer'des maifes 'j% u % I ^ ^ e ^ 'à u t r e s ^ b i i tËeâ
* pénétrent j^ fe ^ ^ !|^ sjl% iit^n fé jd eü rs.
Les unes V O TV ^® h n ^ a^^ e1 al^ u r ''j 'd autres d e d a n s ’toÿt^î^tàèéÿâûà^
les mêmes dimenfions.
^qntre''embar1'aflantë æ^eaux^il eft d^bfërv’afiqn qh’^lfèVi Mil en
; âbufj3àïu:es éVhive^fuîvant fefpece de température , & jfutvfnt/lêsWu^ri'eff4"
^ordinairement en Mars qu^èËS*donnent davantage à <^[ùfe des Fontes dé nei-
gés1''; on- lqs'^Vu. ?quelqü^>^^rès-baffosfàf3Nobf?Çes remarques tie pas
- mâfférentés», par "rapport au temps favorable pour la premiere^OTfflfe,1 & quei'
ifo ^ ^ i^u e îH iîlïô rfq iîb nous entrerons en matière fur re|^foiîesJü puits de
Mines^^^’ *
•Lorfqu’onpeut former' 'au pied d’une Mine une Areine , 1 exploitation/a
UIi ^dhble avantage, par la fkcllité-d’exti'aire unqparke du çi}àrbon,
& d,ë)fe déharraïTe^d^ainr-parxitt^gallerie, quî-devient ep mênjie-temps
aqueduc. G’effbê qu dh nomme dansquelques endroits de Ÿi^nc^irLcmenr^\
M1??1*, , x4£M
^ ° UVÏ? Ü pIUS dan^Wgeqre-^n Frahce^ eft
’Celui des fofles^eFrenes, qui a onze centsweizê^ues^dq longueur’,, HonPl
une grande partie* eft Congruité fobpièatis, & revêtuéWbois â a n s lW j^ tir ,
àseaufo’de" l’inftabiftté dU'tè'fiiejri,
Celui-du Çüït^du Roc, Paroiflède èhalonne en Anjou, eft enç0re.remar-
qu§Blè ; ’mais l’une & l’autre' ne feryéWquç: de canal pour
Les o%agesJu Bure PelfcThier, v |# v V le V^-Benoît J L iég ïïq u i? ‘
» b i t abandonné depuis 40 ans ,- viennent tput nouvelfôïyent d’être attaqués/dq '
cette manierll, dans ,’1’intqntion de tirer par cette gàlïerie I» Houille, &^les
eaux s’il eft befafrupjl|
( ■1 ) P ans tous les j Jppfiofondiflémentà, lés eairk
:sOht ifciiiiïèiirelf^:^’â-peu-fr^^
gimeme degré qle température iafénedre autër-
WP d e dix >
Æ|vBrl èUë&^%tî!mdH3S froides §u|en été; -v
..(2) On peut voir dans Agricola , _ beaucoup
^ cé Canal, Livrés j |f & V,