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peuvent dfément fe trier afin de ne point les pgîdsfsjv- pu de menusj'&niilaÿi. ^
ppuffiere ; .fo preuve en eft, qulen jeçtâpt '&r le fennecs cendres., même cellàsidu
Çh^rbon de terre apprêté & mis en pelotte.s, on -.en' - v.oir une partie s enûam-
jner, <8c une atlt-r#; p#rjig parvenir à: HH degré d inoiaSefceiJCe màrqù^e i\p
-, On'.^fèft point étonné après eglades djfféreiReSvÇéâtijs;?économies j|he tés
cendres de Houille grafie, chargées fens celle de Krahays ejâ peuffieréijmper-
cepqble, peuvent fournir aux pauvres ou à ceux qui font-dans le càSîde
chercher à ménager, * Il ne paraîtra en conféquence riendmxtraQrdinaire dans
: ce qu’ayaqce J&- K,u?ella, qu’avec des cendres feules pétries avec de.l’eau, il
ait réuffi à faire des gâteaux qui ont ferêlé au feu auffi bien que.des pelotas
neuves, 'en donnant une chaleur d’une aufli longue durée. A^tiffiricht , | ^
pauvres font par ce procédé des gâteaux quartés > longs & plats jpg toute la
grandeur du feu , pour recouvrir leur feu le matin & le fait.
On peut donc dire ;f.en faifont grâce à la maniéré finguliere dont nous
croynns pnuyeir nous |.xprimer ) , (2) qn-il eft poffibie dé «Ver parti é 'I’infini de
: ces cendres, <5 quelles /o n t propres à redonner fatis-ccjfe uà/pm qiAm ^a& di
fin J fi au furplus cette, expreffion préfente quelque paradoxe »‘.comme e lfe
paru à M. Venel (3 ) , nous devons l’éclaireir ic i, & cela eft’facile. N^s
convenons avec cç Savant, que cette propriété «appartient qu’aux braMès
î-^ u Krahays, comme-à la braife de4 q%ÿf & point précifément àtfe&éndre, rjuî
pourrait némmôinSj chaque fo isq u ’on la repaffe au feu , s’ünpfrégner jpe
nouveau d’»ne fufilfante quantité, de vapeur grade dnfiamjmïble.
■ M, Venel paroît dans oe moment avoir oublié k: maniéré peut il
qualifie lui-même eçs cendres de feu de H o u itte ^ c eft‘parce c i l l é s fyst
iiAparfaites , .& quelles!le.font presque toujours, que nous lqs regardons
fufoeptibles de cette propriété, qui ne devient plus.finguliere., autant|q;u’|Ha
a paru l’être à M. Venel. \ je ne étais poîntda to u t, comme luÈjïqùê des csm
dres, quand eliesfont encore nvêlsgsde quelques morceaux vraiment |0|n6ufi
tibles » agiflent Amplement dans les. nouveaux feux en les contenant, & non
pas.en epnirihuànt Mes. entretenir f 4 ^ En admettant une fois domine le Bit
M. Venel',-des Krahays encore
quence m.anifeftede prétendre qu’elles iie font dans les feux djï,Houille que
çe que font dans, les feux-de bois lés cendres engendrées &ns lejfofff d^ib
on' couvre quelquefois ces feux ordinaires (y ).
; Sans que M. Venel. s en d o u te la remarque par laquelle & finit , infirme,
fon propre dire, & vient à l’appui du mien.
( t ) Il eft eflbntiel, de ne pojçt .p^tstre1 çle Vfie
l’efpece •jraàrticOKere d8 'Houille, bonne à employer
en" chauffage à. ‘l'air, librc'j 'mii eft celle
nonimée par les Liégeois Houille grajiè.
(^JDgns 'les SFémoij^fur le^figu de Houille
ou de Charbon de terre , en traitant-des avantages
d e ces feux- pour le cbauffege & pour M
befoins domeftiques.
. (3) Page io i , note a. '_jnsef . T ' n ■
; tyjScétjot) f , Chapitre IV, Partie I ,
Des- cendres imparfaites.
Ibidem. ■ -
■ Cet
oe I wm B 9 M ***$- m l
Cet E|fivain d rt^ ^ ^ e d e |% ^ ‘&,flduille. biÉfardtpç^ bieWfpibrafé % -
porter mieux , q u ^ ' l ^ u x ^ f ^ . l ^ J . ^ do c e n d ^ qt^'ùi toet
delEas , & q^idè^pjsfa-ier ^ |^ o ||e n u l pa? b e S S n j î u S
f e a ^ ê g e qil,e4 ^ ^ ? n i e r : ne dilferc .de, l j ,
quelle e ^ um /^lê â ap ^rg u .d u ^ v ra iig om lS fa it ; ilffê < fe ^ |fé fem é JdS J
clairement 1 M. Venel, s’il ïyoÎE été.à portée d’avoir quelque bonne Houille
grade, dont les Krahays font toujours plus chauds que les Krahays de Houille
inâigre,.'. |
Il cfit vù autrement la chofe, s’il eût porté attention au parti que lè sp a iiy i^ ' I
à âidegel^r(|HE^des> cejidiesl^g igrè,i^fe-Ui|t.en.le ^ f ai&nt^tBer ld4n?la|com-'
ipofitioniicÇ ^ ^ p ^ é c ^ o ^ q ^ s i , ,à la ^u^ntléé. *% a ^ ) f i jx 'àtf|aii^de
(terje. ^rafiê.i.,j.||;eé «d Su®
M.i^'en^L paroît cet^jDfâtiquQ i I
cendres, on^iauAsudaTifc lm -.n7g y |
.f8 ^W lu^ ^ ^ ^ >M e } a ^ u û p t> ) p runjHortu.d%v..iiun teelfo?ipouy
Jc ih ,é h ltur.|^L. nV lan ^ ^ a jc ftm en t^ ^ jv e " , d q jin a ^ s^ lo tse ^ qm jy n r
un .p u&W { unaÇ^iÿ;! L d A
q i t o n . j f e ^ ' r ^ ^ djgx halcr^urie fqdeur^l^de^l^,zr.1 -, m|^J[im^*diflfpe
n.avoiÉ Ças^pn|gàrde non .plus .dansimdniOia vrage > l A
.E ’Jïltrhîw demee »ama%^éb^â\|ec|uj^pôj,d’AEzée., j o and,uhe..cÊai^1
-t^ ^ P 'F ^ P rl|^ a . fulage-^^ÿ^es- fermes fonq des^d^ffigstes,.,]^a.jÿq1S u rji,-|
^eçqmmande, ^ e o , tq^®’de ftj|bftitue|îi|n morceau de for qIi dè.forique^chàuf-1
^ ^ ‘ ‘ ■* ■ " .
Les^ P S ^ f e C 4 ^ A ^ f e è l l d d dnt~M.,Vétlel a- été.e£ ro-él '1 kaA^ ÎI.]
i^ gK S ^p ^S 'd o n n é J ii^ aux-,|^émesi-iè^^^ie||s^|i|nMçmés I
‘Qb^rbôn jW Ê »
e’mtîre','Eoÿ'pag&âitCés ^cpérienemj
â|j^^m|)iffan.ces ^ ^ ^ p ty e & iMes^de^a^d^nfav êtçe> foitès?, prMes
fui^ês par. cpmpjraifîm t^^ét^ej& t fqr les charbodsédê diverfos qoff^ ^M
,^<e|Jx'dans lesipays m|mea^om^hau'ïfee^|ftrjra n q u 4 g
an'grand &ihâfmueüement d ^ s <%t\ foyer I
des-, a u ^ lés pratiques dt des^articidârités, d ç ^ S ^ à u if a g e J
y ^ m v r m / y lé4 circdnftances deAtr%vâiller,'(|,Ia^Kâte fof mrfenauerel
•••^ f e a M ^ lnment n e u ^ p o u r fuiVan'moment^qu|l|a»en^p^s d\mVairejun
° '^ ^ ^ ^% vail> n’a pê ife‘foffnër’ fuï,:certdns1‘û^je^fesÿfijê^â';fixes--&
raon'noîtrei' ex^élement tous'les^ d'étâiH. de riMgàcfesffeu-J de
S 14
( ) Seflio n . V , Cliapitre V , Partie I , /vj/jc î j .S , Mant île feu pour les chaujfrettes.
C h a r b o n d e T e r r e . I I. Part.