
D U - C H A R B O N : D E T E R R B •
| j l pour deux Commis J^p/chargéJdaâfôîir^lf.<norAbre> Se, vôltu recelé
charbon-arrivant, du bateau àVl’â ^ l î e ^ l ’autre «sKàvg^'de. Æh^b|iftres‘des
Jivraifons au^ acheteurs & desrvoiturçs-^dbportent aux entrepôts de Mtéfier»
Tranfjfrtt: & s Briques «/e^fyïLX$''''par. charrois,
tEs'voiïrps.de tranfport, .quellesiqu’ellesTalent.;, même, celles appMqj|||g
X c e f,jL e fÿ iu r l ’attelier, fig. 1 5 , Blanche L V H ,sN°. If, (^'doivent, être
garnies intérieurement, d’un .paillaflbn ( ^ d ’unetfortertoile, pour retenir le
pouffier qife lls'4Soyyéments>de la;^|itute,détachent,de§ pelottes, & qui
«eut très-bien,ènfrer dans lys feux»de ménage ; une. charette. à^ d e lle pôrtoic
de l’^itelier à l’èStrepôt.de Paris trpi* 'mille pelottes , évaluées®
trois mflïé pelant,
Entrepôts & fo u s - Entrepôts - etc vente. ^
TjAwetîte & le débit de ce .chauffage, Mai conditionné, & à un -prix agifon-j
iiable nn^lft rende é c o n o m i q u e o a s l i s h dans um yille l.ty d ant un
hiver,," qu ilfe.prëlèntSîôic des periànnesÆour en tenir dej^mrepMsdans&
différents 'quartiers (^T ^ p ffi^ p ro p o s en
minière dont doiw3â,sêtre difooles. les lieux xque.l’on ^ ^d ro id ^oe in e r a
€St uïàé£ Tout endroit '^ ^ eE '^oe p ro p re ?^mrë^oe~.chdiiliage.; les caves
feules doivent enS^eEre^exceptéês ;’;le^S-de-chauflee lins contredit , Ifiatf
les^moWts où cé.-cjiaufïàga peut s ernmagaîjnJ?r>îfë^^^^^^^^émjnt ;
darii'les grandes maifons , comme Communautés de Hôgicsffils;, ilf^H to it»
^ ^ fû îr e -u n hangard "dans lequelo_tf®|)oÊrB?t dëÉlâîanches n|ft¥tagcs, dur
lefqueffés- on ran g e ra i les p8h®s^|dâïïMes entrepôts eriSchambrh pur bar,
il fufiiroït que le loi fut couvert dé planches qui n’y %iïent‘pajsr^^j}eure,
&"allez exhauflées au-deiîùs du'ferrein, pour w€iune part ' défendre cffiH’Mr
iniditélé! pelottes qui'porteraient immédiat emëntfur <te~plancher., &'duhe
autre part laiffer un yuide qui aurait d ’-abord1 écépafa-yé amîÇîun, dans
lequel s’ammafleroit, le pouffier détaché .par fes rëmüagefe-’ q ^ ^ ^ î ç r , ifdgnÆ
chaque fois qtron renouvelleroir l’enMpêt ouxettè'ferrey^ffétané’ meoeWdfl
âudmê orâüre’j ’'paffefoit pour , le compte du ^chauffage de IpËpfrÈpreneur,
%yèc[ les peloctès qdPfè trouyëroifent caflées.ou féparéeS de m an ie ra na
pouvoir être de débit & reçues, par les. acheteurs».-
(1) L’efj ace de terrein qui eftentre ie dos
de J Ltes & le Charbonnier, peut fervir d’c-
curie ; celui qui eft entre la partie des uftenliles
& le l'échoir, peut être employé à remifer lés
voitures. \
2) En connoiffant les hommes il n’j a point
de doute que d ms les endroit où le Ch rbon de
terre eft à bon marché, un-ïeuTMànirfàâurier
ou une feule Communauté, qui fe décideroit à
neJfabriquer de ce chauffage que pour leur filage,
s’àppercevroient bientôt de l’envie qui naîtro«
-dans leurs .environs , de tirer avantage de la
même reffonree ; en üfant de quelque rclerve
pour fe prêter à eh faire part, tout le monde
voudrait eu avoir , & ils feraient en peu de
temps dans le cas d’en faire en gros ® e?
détail lui négocecbhftdërabje» '
Jour
E T DE S E S MI NE S. IL P a. k e
'ÊM ém iefur h tckaüffàge aaris 'h.pouÿier $r dans les cenirei des pelùtus\
p ANS les atteüers de fabrication & dans les entrepôts ou fous-entrepôts des
^^^«oîàicettémafohandîfe^eÇ^imiéè làns^^lïè pour Ip .débit IRjl bénéffcê ■
du^oé'jîier qui s^cnt^létaçl^e, bulaj L & ramafffôlorlqle lejnagaun tire à là fin
foem^u'iprofmiquhfl|gft Jo in t médiocre^.
i 'I a H B p É É y y afirtfformé |i Paris jo u r & iîe ï,d 4 £ # a > d« f f i fut-i
,i a SiTO'difemâgcilin de l’hivcïwle Ï7 7 1 , il|fe4rEouVa fur cent miàlpLpelôftes
deu^tèmbereauX d|*psuffieî ; h , le^ bÿqupshtiu hochats •; 'dont îLétoit les
ét&ffabriqû^sb ^ 'anajjknféfft»' .on gu't.pü remettre ce pouflîet
cnlfèatnè pour e-W faire uffl|'Æ|uffage pfpgrç aqx poêles.
, I^pbuiîicr- téîulunt .de^yingt-^ept mille,' pe^éttes , tellêS^u elléï fe débi-
& •"fë$i^M®26|ç,jGçie. fiiëllpe
(l^pon , 'doniv'-fepc cents JelotteSqMtés -dans-fe Inouïe de grand vjfflmie
^™bi3gloiîêiJ''A.e' quV^etpiÉjlors quatoj^eljfipns ipelathe^^ félônÿff qualité
f/ on rêtrouvcroit un> bénohee
d^mgfuahté 'ptdbtt'e4r|^fflMH
y 1» I t-1 Lk.'T J » 1 - 'i 1 1^ 11 > 1 1 ■ 1 lp 1 1 1 l 11 1
n^ Sm û s femme. autant qu’il nousj'i piru néccflarrçq no'iA'^lons
donfter un Tableau raccourci dont les aftielés feront aifés à teMpfir , ; ^ flous
(1) Comme dans tout ceci nous envifageons
toutes les utilités q.ue peut réunir ce chauffage,
rjiïtu h, e r u t rn il. tua^jhjc'ravrn^mdaile
qn^la neceffite force <iç Çeaeadca attentif fui
j^ttes-écOôhWè^ ,’fhldcrit 'fëihafqu'ér
A qurr^aid^^iqBeihéht'i' j
fe trouve dans prefque toute la Picardie. Voye% ■
page y 96. Quoique l’Auteui ait eu foin d’obfér-
ver que ces terre Houille ne font pas un vrai
Gharbou'sde terre, il des confond Æépendaflt
■pal ton; dais fouC3t f\’Leïè ÇJ JrllofJ'p^
terre de Se»eracs qu’il met mal ù-propos du s ,
la clalfe des faux Charbons de terré, pag 9 -, ôü
des efpeces de fehiftes de Charbon de terre ,
page qui parce que ÿraifem'blablement il n’en a
point vu ; aucun dés inco'nvé iê ts fui itt 1-
'jbuè aux cendfés de;ces j ou. terra-,,
fourbes pour fengi is de ne fe rapporte'
'en aucune; façon lux cendres d'e Charbon dê;
terre, q 1 il prétend , fans 1 avoir | r uiL , êt e :
èn général de naturè fuiphtirenfe * biiinnb’iéiifév;’.
[ itriolique, fernq 1 reufe, cuivretî è , irftnicde,;
j incipe qui ne fe trouv , ni dan les tei :es-
- Tourbes, ni dans les Houilles proprement dit is'.'i
ffigSf^^Wquiblc 'Olait contbc-.Ç-^'.tlb.'-és ptloc-
1 s, foit ceux qui en feraient de grandes provi
fions,
IzmÊl H | MH B H
Ce refidu, pour n’êtie d’aucun i fage dans les
lelfivesî, n’en ’ eft pas moins de défaite ; i l ,eft.
aifé de fe rappeller Ifa pro.firiétt pôù les terres I
où l’onicultive des légumes & pour i’engrais. des
prairies. M. de la Tourette, Correspondant de
l’Académie, dit que! ces cendres font fingu'lié- ■
xcmeiit propres -à défruire la anoullc des prés, |
folique fur-rout avant de répandre ces cendres,
on a eu la précaution de feier la praitie avec I
la chàrriie tleftince à cet ufagé ; il ferait très fa-
âif.àhxl débitants de ce chauffage , foit aux i
entrepôts, fous-entrepôts Si' ailleurs, de s’accom-
11 ttlcc de ces cendres avec les particuliers quja
Ies-;làüt-l^ pofte'roient, ôt-^dé les véuQfhiaux J
Marachars, aux Jardiniers & à ceux qui ont dès I
.prairies;.
J.’Auteiir îd’une.Brochure publiée en 17 7 f >
fousleiticre: Èxairien'de la Houille .cptifidérée.comme-
engrais d u ’terres i 4.0 pages m-t 2 , efl: tombé
dans la méptife de nom contre laquelle nons.’|
avons effayé d’eprémunir nos Leffeurs; la Houif
le, q,ui fatflamatiere de ce ,travaih,'jE^™ ; autre
.chofe que cc que j’ai appelié tèm-Tcfurbe, & qui
C h a r b o n d e T e r r e . I L P a r t .
Autant qu’il a été poflible d’évaluer ce [ ro-
•Adnit particulier- du cbanfi’age ,|s| harb’on de
j terre- apprêté , j’ai cru- pouvoir avancer , que
ccr t pelortésfqoi n’ont point fôuffert de déchet
par aucun remuage , ni tranfport, donnent un
boillèau & un quart de cenérui ; il Vert fuivroie
qu’un demi-minot' d'e cirarbon fabrique , don-
nant ceut jbixantp T ai pelottes , prôdui 1
. au particulier deux boiffeàux'de cendres i fiénù.,.
fuite on veut é duer la \;qie de cendres fur
le même pied que celle de cbarbon,,,'c’èft-à-
dire, à quinze ou' feizs minois,, il devient aifé !
( envfuppofant la voiérde. ces cendres vendue
'8 livres ) d’évaluer le taux réel atiqueï le chauffage.
reviendra aü Conibr-Kuatcur. occupé d’écd,-
i'ho’ndë.
■ i l l