
x j§4 , -£ X P L I
La principale raiion-poUa: laquelle le projet for-
*né iflal-à-:p^^^sjT~dan^%€apït-alè^T^ji3a
tenir , la cherté1 èxhoj'bkânte du" Charbon de
terre ) n’ayant pas iieu. pour les,Provinces , Jla^pra-
îique de ce chauffage n’a befoiia que d’être connue
dans ces eia^iKpics , & peut aifément ' s’y introduire
'üe prôéne'ei^tirojj^^^*
j?,1 -^our faciliter 8c favori’fer autant qu’il eft en- m'ous;
le fuccès d'une . tehtativiL,^^^
; dans , les Provinces; encourage
efl^.|M^ <noto^vpnsVjiigH qi^^ ^ erolt.
Pas, inutile^ de' donner l^ h ^ d e s ^ ^ e ^ l^ /^ o iy :
^ i n d i q u e r même la
' ' fa un^attelxer ; de fibrica't?ôn.-. 1 ’ |
L Claie en ofîer ou en châtaignier, fur laquelle on
. lfaff| à la^pëllè,'la -houille , afin d’en féparer
les R&ulants \ pages 1331, t >33_$>» •
, U. "JglSl voyez 'page §&:f 2,
3. Belle de-’bôis.
\ £XfRutèait’à. dents ’■ fe-Igr.
— * ' ^ Pi c. lïoy a k p o ur le q u a r tie r d es p â te S. :l ?
Maffe. Dame pour bnfer1 les gros morceaux de
*v! L
- & balais.
8. Rabot ou Bouloir pour le corroyëment.
‘ J>* ■ C«i/e.ou baquet dans lequel on tient de l’eau.I
,10. Moule fur la forme ufîtée à Valenciennes ,
: ',ÉiS?MgysBHI
il I. y: À
ï2 . Brouette pour porter au Charbonnier les Kan-
S' X°!le{:ei/S oa'Roulants, $$£•
£*3 ■ §|p{{H| ..pQur porter la pJïe-jdân,^ le quartier
ÿÿla^mêleg au **
. ÎX4. ïk ny a pas de Figure fous ce^N°. .. -
H 5 Foitm;e pour tranfpbrter, des* pelotes toutes
• |M>.- Ile -tfanlpdf£-Oui"CEaf]^^7¥mt
. a l’attelier de fabrication. .
Ï7- Pompe à cpm-
• -modément de l’eau dans les différents quar-
tiërs'ûef
lï 8*. M'ai • marquée 1 au bas de la;.Hanÿkev < Me-
. . fure en bois , quij.peut fervir de balïîn à une
rl balance y pour revendre, au poids le gros
; ^Charbon non employé en Hochets»
- x x x iv B p B B
3’>v' dont les' deux figuçes/fuiyantesj foiit^Lÿeÿ.^ntinua-"
tiqn.^ ’ T:
ô. Plan des routes ou chemins ]H9 F guider les
w" jdhâi£-i9|x tm0 poyteatj les Charbons
de.la Mine à un magafin fîtué au bas
^ ' j d’une mpQitagnev • ; * .
& P^9^l^^;^kdcnéÉ?8^ placé à chaque iPgle
| r o n p f vqui ale diamètre de
eft’ fixé à
pj^btlquiMe fait" tourner ,
-, ¥©ÿï,; page M7,
• î l a n ^ È ^ e , L .Y 's IL 'i - .N ^ a ^ iâ
Plan de diftribution pour un attelier de fabrica-
- iiori en grand, -ayant à droite & à gauche de la
^ô^d^entree une chambre. de Êojïimis. pr^bofésv
} un à. l’e^rlé-, ,& l’autre à la fetie. ^3
firoit a peu^^s de donner à un ^ttelier jiar qulfr;
C A T 1 0 N -
tiers, il fùffit de jetter les ^eux fur-cette Planêhè ÿ
on ciïaque quartier :ejt'défîgné en toutes leteres,
& de c'pnfulter la page 153 j jufqu’à 1 à 'page 13
I Dans le fond de l’actel-ier, ou a- -marqué'1 en P fem-
I placement ?p.Q ^ ^ 'gV-phltS;j;àyla portée -des quartiers
I ^ùM|^eJt>4néeeiraire,d avoir'^l^l’eay.
p f f i - c E E r lN I^ T 'ï5
J
I Poêle .de fer fondu pn\\üfà^e'parmi lesipauvres
I du LÿonnpisrÆV a î - - à
l â ^ g s - ■ Rpuçritures , ;8i, pour chauffer unè^cnaE^.
bre ; ce^ poêle eft expliqué '
I A tous les ^ifiéjten-ts Ea©,ÿens ,q,ue nious’nôus fom-
I |^és:, attachés, ^d’i’n^qi^^^o^^^i^^Jcô^^|t;^ortiés'
I de -pard^^roiéidn^Gharbon-brut -, p l| dé fes. birai-
I fés 3 fok même de fes cendres. ,hF^ ^ Prociarep
I chauffage économique- ( Mem. 3 ) , & page rn'é'n)',
I ij;@us ajouterons; ici une maniéré particulière d’é-
I- 'pëcei y ohite
I ’n n ® § pot au Feu 5 avec du mâchefer } une très-
I petite portion de menu pouffier de. Charbon de
I terre 3 & de l’Argili^co%ibinê§ êpîe^btn^.qnil^i^
| ment alorsmue efpece de C/ut/e, de charbon rendre,
I où. de Terrowle artificielle : en voici le procédé 3
I fait i jk|eÿforte de feeret il'Mieims j, ;où il
eft' pratiquêidahs^uèlques ' grands Atteliers Mtl\o^
r^èut entretenir5 l’^ ^ ^ ^ ^ & ô ^ ’^ 4 ^ ' î'c^®tuve*<-
Relotes ou Boulets de chauffage à très^j/lpiïix* -,,
I -X -jPreneZydUf machefentaue^les^epEffMgr^&^les Ma-
I :<r£chaux. mettent- ^ ^^ute^au&Ë.o in jd&f4 eursApo rtes
.dans.les |u§|.■batte??- -1â^driù.h’, gros'
bâton comme on fait le plâtre 3 après y avoir;
I mêlé une, .partie fufRfante, de i 7rÆz^H de ^houille 3
EB n^iie l’indiquent l’ufage & l’habitude de cerrf>
manipulation ; empâtez le toun-axec (deIlâf teire à
| potier'de'layëe dans de l’eau 5 à la. ConffShnë#
d’un : là ■
Lne jglTaire pour lier toute la "mâle & la former à la
main en boulets d’une livre ; mettez-les à l’a cave
rpour, qu’ils fe maintiènnent dans l ’état de -fraîcheur
ôc~
L OE afjlggnllage de fer de forme circulaire ,
bÿénvkou un^pied de hauteur, & de 6 à 8 pouces
de diamètre ,, monté £ur trois pieds qui l’ex-
hauffent Jd’en^irqn;luh: pied ^^^emi^ÿj<lès„^rin^lês
de fer qm^o^mpof^^^l^èagiê f©n\difpofées en
hauteur ^ & <diftantes les .unes des, ancr^d’,environ
L d |^ •pb.uéë^ ^
Le fond du grillagé Te garnit,^de .boulets mis- en
[ pièces1, fur lefquels on> piace ,quelques charbons
I allumés ; on Recouvre ces\charb,dns^allumés diaur
rires boulets. ' brifés en morceaux , &; on. recharge
I le grillage ,,de nouveaux morceaux à mejTÉî^que les
I. ancrés- ;s’embrafént • ; de • fèmips;. ; eu temps ;# , Éuc
foulever toute la maflê avec un fourgonnier, pour
I redonnende,l’air au feu, &tfaire^ombep les cendres.
T ^ On^sparvient" aïnfî à ^éçhauneb -üne trèsr-grande
piece & une marmite fufpendue .au.-plancher, à un
pied au-deffus du^grillage.
J ’ai fait l’expérience de ce chauffage extraordinaire
: elle a'répôndu: à ç^ qui m’en avoit été dit :
iln’ÿ a eu aucune fqi^e, ‘&j’ai eu une chaleu^ma-r- '
quée , telle qu’on peut délirer. Geàté maniéré ne
:pourrôit être que très-avântageufe pour de grands
atteliers & autres fèmblables endroits.
Auprèsydu poêle économique marqué I , eft la
î | i^Apiap©;1
fe'ôupe intérieure ;d’tine autre poêle à trois pieds , de
•ferpofé feîun plateau pour recevoir les cendres •
e’eft le fourrteau de M. Lewis, dans, lequel la. con-
fommation des • ■pelotes -peut être rallentie à vor
lonté ; fon explication eft portée à la page 1278 ;
ff;devroié^d^s>Mfigure être marqué 2. g
^Aü-deiftmS;, eft un autre fourneau tres|eq^Qmk'
que, & qui ne donne point de fumée- s^Mpeut en
voir la defeription y a g i^ i2 lh ^ il faudroit fur la
figure,-le mafqjaérJ3.
Les rrtw. ÿgttre^ reftante's appamennent à la
'diftillation du bitume de Houille. pe{aifà^^wp8c -
à l’évaporation de fon acide qu’on y appelle Sou/re ;
ces figures ne-, repféM^hjéq^e les principales par^
ties du foinlnifh: dônt^M^ firvoit , ^^mr ce^^opé-
ration aux forges de Sultzbach , où les braifes
de Charbo# • ces fi^^-^pties
conftituan^s', ont^ë^^^^^oemps employ^^æ^la;
fonte de fer»
En- conféquence^des^cl^nâemënts que nous âp-
1 ljkyfigure s , qui
eft le fourneau vu dans fa’capacité extérieure , doit
■être marquée: 4, ' v;;
La ‘ fig. 3 , qui eft la coupe du fourneau, peut
être^m^quéei^;;^''ii
, 3^ de4'^ pi*ui^,ÿ i^ q u é è |||,
^put\vê^, mM^^^^^ô^$oj^^Bt|tômfont. expli-
nées page 1 1
i 1. *
vfKqfë Ue coriïpffmjhine pÙq'Ûè
t - de- fond »^dê^ux^pÈ'qi^^eriïcalef^ahmeplaqèe
fo '°w(obWmM tûfâü&yout 'la*ffimfâL » dr
chauf^a^epie çKârbott' '* ■
parce Wfr?tieh11
.Coupe & profil de tout le fourneau.
j^Fôurneâff détaehé> vu p|3c vderr4 ?e & en- de^fousi
F ig . 4.
jv.^ue ifnpérieure^d ^p ^caver&.du. cendrier le-;
quel porte,4é. fourneau.
^ G . y.
Entrée de la; flamme & de la Ghalèur. dans l’étuve 3
lé détail de ;ce‘s 'figures eft]mla, pàge^i2®E$S*Wvî
1 E L ' i ^ I L Ifu
1Poêle ingénieux du. ï)oMeur Franklin > dont- il: nhjl
point fait mention dans VOuvrage.
, Cette invention, ktere|fante n’eft pas ehtpjrn .
publiée, quoique la Planche en foit gravée ; mais
le célébré Auteur qui me l’a fait voit, ‘a bien youlu
me , permettre de. laoepier 3'& de lui donner place
jdans un Ouvrage auquenLIâ^lonbl'lpué^par l’envoi •
uil m’a fait des de (lins dont j’ai formé les'trois '
jhnehes qui regardent les Mines de ôbârbon de
N”é^caftle?‘t|?'-
W?. niche, 9 1
f derrière l^BêJ^eft) le,
]M. j^ ’H^uteür àJaqqejî^mlplac'éidafts.îg
■ ■ f # ^ H sAeqcaftceji^dahsf jinej p,ew®hçn|niU41
fe? er
un S^^^^^^quh fî'gure^une^ gerbet?d&„fl qjrg-
/jMme 31 & qui. ,yvueft adapté en manière- dé'
^|feuill% ^^^u^^dqçé^éft’
fcBa%glfeà
f| :j i/f .courant. le|.-
H -Ti 9-.^ s*dreh^p^mèttEe%descMèMfe
/ a fam@|ew|J|
'tildes pieces $u, poJl^i \t Hates’ de ;
- fpjite}, iepicepjié lértfaoir, ■
A. Ê Î t b f t e ! 1 münié; w ,:famufes','daps' delfr
'- ^' qjiêllës' s’élèvent; '^pEpaMnen^les’ ‘plaqu^
Tes
j* Jrainures âJarqûées^par l&mêmës ’l^ ® s j|q ^ -
' lfef^bndflm^i9 H S P p 9%%,'de? la?pîâgûV
. fupérieure B lÿKémé^'Ies^lfdxcâ'nâüx echà^-, ■
^ pàfoures1' ,v qtrpn 'n figure-Mans
cettef'meçè^B^r?^ ^
K. K. Extrémité; 'dès^deuxMana^Spar lelqüèls ils
^^mmtfniqneny a v èA - lé ^ é h ê 'th ih e ç L
"A* 2$WaiIure ^rfânaqt^P^gmTèh^Jé^d^x5 jlÿh
ques verticales Y Y.
X . Bord âuitéciëu^ de4#pia^ue ^ ■
Ev î. -Face in'ffl’éSl^Sé^la pm^u^ÿliffé* pQféffSi
Il "la
iW' ff i' naffer 'W w
W x ques verticales marquées jyjy. Comme5 elles y
peuvent gliffer de droite & dé;g#uché ., elles
m ^ r o r f ’^pâffagë-'âtffiFoi^ qui fe
place L^Pfl^pfmëfpëlîf réc les cendrés.
B. n^^âéé^füjlermw^l^râ precë’B'. - i'i' f ;
|C.' ' ;?iecè' <|hi a^le^.^i
‘. ' tfoisMÏaciüès^dè'^fëm^^^^'^^
3ÿ ^.yRli^TO, anferMré 'qùf •'fêçôir làv partie- itifé-
' fieürè 'dèda plaque E qubglifteld^pnWï, d*1
d’une plà<|âe ql^^^uft^fuè h
T^plècê^recédéhîè^, .,
^^^smmffltfp^^îléfS^lë^bïîï'df.fîipérieurî de- la
L^rKp'laq^<'B^p^
' B». -Ohyerî3hré pouf le paffagë dé- la 'dëri'dfë & de
rh*!*''là6fumée | ; ;É?,.imê;me d'e c
' i. h'* Petits- tîsbus ;p;:êu.r Recevoir deu-xvvtqgpMr©;nsÿ;dé
P,v,i H bafe^du' vâfe'i, "& qui fervent? à le teniif
IviiSISWiM ÿ i
î Ibimenfions. elfes jPieèëh
/_.a. pô^cës. Âfi^
Devant de la lo lte ,djeft bas . * ». * , a 3
Sauteu£4jÇ®^!^^™^fepmafion|M^
î u v "■