
Dts Pompft i,n général.
' Les Pôîîipëï do'ti'tf oÂ* fféi 'pelrYfë.pâffer- SinfOEiJb^es degranî AtHoun, pout
alleV Ærcfeer lés'ëtux'du fo n dW la Mine J/forit variées' à'- l'infini :„elles*peu'
^enc ee^enclant, éft général, fp ap p o rte r a tfo'îs,eÇçêcëp', qrâ'ldfflc ^ ^ u n e
dês^a^tlge's'partfeâfi'eff, ou thème à deüx, \& î^ p £ ^ u la n te & la Wjmpt
ajpirâiuej'. ’
La 'prerniere agit par preffion ‘où par refoulement, & porte l’e àüS u n e
Èauteur'/dafff’^ u n ê reprife, 'àjhfue fa $fffipqafpir"ante r k jreut fa i^p u e
dans là longueur d’ufit tTrîhgfê d f r e r ^ jqüï p%f!é dans fbn ti^-au/ i^ lf a n t;
cet:te derniere même égalé, dans toutes fes parties, à la1TS^®e fqyl|nt'é,
amene toujours moins d’eau qu’elle. T
"ijan s la Pompe afpirante ou commune , Peau eft efevéd'de bas en h f|r'juf-
^ij^a lCîifuteur de 3 î ' /pPê3¥ tout au plus, êc jamaii au^^^^LÜe/e-Jûpete
autant' & fois q u il eft; nocefluirê. j y
La troifieme,
aÇrîâücin, & confraifit'l eaii^^gTéfoûlement, dcnrSma.dans d^^^muics
-jfoféi yêrtïcaiemefit ,^ppl'e fofig d un p i^ jf lg p ^ On l'appelle Vom ^ fpL-
rà/itc '& n i £ùûtanta
Les parties dé ces trois elpeèes deîPompés fdnt'lés îriemes, trÿ apdnt OH&ffé-i
IceSiêqîie dàiis leur pofition : nous commencerons, par en donnér. urié d D p ï '
lance abrégée, & nous renfermerons dans d e s ^Articles, p'aMéulicrs çïes^^ails
qui concernent chacune d’elles.
Une Pompe effffôrmée 'd'un pmànji8c de'deux tuyaux fermes, pôurl’orai-
naire, dans leur jonâiôn ou dans leur oi^eïtîire''oemmuhe , 'par unéîfoùpape
(1) qufs’ôfvfo dé bas en haut ; quélquefô^^'-fetmét pius §âsv
De cês'deuic tuyaui, l'un toujours fid ib ï^ } buNdecîQi^lè1, ( 8è pâf'êço-*
no mie en b a i s ,) reçoit- le pifton, & en osnféquence eft le plus’grandi il fe
<îéfigne particuliérement par le nom épWôrpsJe Pompe, lotis lequel (^comprend
auffi. le'pifton q u i, par lô^®onvéménÉ dffîs|^Ç'fByauî' y'fait B |ite f
l’eau , auquel on donne intérieurement un grand poli ÿ pour la liberté du jeu
' âmpifton#. r!
L’autre fuyauj qui trempe dans Peau qu’on veut’élever) e^npmmêjuyau
(1) Dans les Machines hydrauliques, on appelle
valvule, foupape, clapet, > crapauiiner, un
■ couvercle ou bouchon dans une ouverturelaquelle
peut s’ouvrir pour laiffer paffec l’eau, mai s
qui bouche exaftement l’ouverture, pour que
l’eau ne s’échappe plus. Il fera traité à part de
ces foupapes, dans tous les détails qui leur
font particuliers. ■
(2) I’otin, efpecede cuivre dont il y a de
ideux fortes, l’un compofé de cuivre jaune & de
Quelque partie de Cuivré rouge, & nommé ordinairement
Potin jaune, quieil celui-ci';‘l’autre j
qui n’eft compofé que de toutes les feories for-
tant de la Fabrique du laiton,,|àu«||uelles un
mêle du plomb ou de l’étain, pour lé'1 rendre
plus doux; c’eft celui dont cil felefcpopr les
robinets. OhTap'pelle Potin gris, à-eaufe ele fa
couleur terne & grisâtre ; quelquefois il eft appelle
Arcot, qûi'ëfl; Je nom que lui donnent les
Fondeurs. XI le vend 3 à 4 fols de moins pal
JürJL V<
E T D E S E S M I N E S . IL Part. r o ij
Montant, ôü tuyàu Tajfjpkàmn ; il eft un peu éyafé , afin que Peau s-y întfôduife
plus aifément ; & afin qu’en montant elle n’apporte point avec elle aucunes là-
ietés, on place une plaque de tôle au-deffus de cet évafement..
‘’'Depuis ’quel‘c$t/Bs'armées' on- garnit ler’tqyau montant de la Pompe foulante»!
djuh&jefpecé de'étambôuréreux, fermé au dehors 'dessous eêcés ,)matsqcucm-n$
mûniquepÈvec le, tuyau; interrompu dans la;.p«Etfe qùîîÉfyifehihdéboueHer’dans Ca
,tfmb'4uË'^€ë'ïambour eft 'appeilé qu’il? contient*'de‘l’ait
qui' a mê,me> denfitéique'Celïti.du dbhqrs, jirlqBfqu’om éleve lie pifton>., Peaii’'quj
yi'mq^té fè;répand en parti# dans le réfervoiràfaât :)elle-,ègndanfe l’air qnj’.y efr
contenu', elle lv réduit à n’océupef que’J^ e ^ ^ e^n ^r^ r.v ’qijr/'LQrfqu’enfuite
em abaille le pifton.,’l’air ainfi condçnfé fe dilate par Ion reiïbré, force l’eau à
defeendre du haut dn réferfoii*àl 2air, jà-foq milieu , & à siéle^er par cdnll'quent
dans laforarrché qui tjràverfebe tambour ; en continuait i#^Tfnârnetjen.,^n voit
qu’il•nuïtteér'fëns. ceflè'de l’eau dans cette branche, Se. que le jet*, à l ’endroit du
j dégqrgtfblk’ililcJft’ être -continu , du moiiis'*ferifibJëment; Des :Faifours de ’Pomv
pes prétendent que ce réfervoir augmente.de moitié l’effet de la Machine.
mais il ne fait fejuV. rendre le jé t continu ; k'fbrce motrice demeurant là
niemeq le produit duvje t eft Bonjours -, le même. Ce rqferifoic tdonq
inutile danàffesjPQmpesïquiï-oiiUiifimpleftient’.pour nhjet d’élever l’eau,-; iln te ft
avantageux que. pour les-Pompes à incendies.'’,
> Le pifton, nommé quelquefois appareil de Pompe, & dans une iPampelà'’
hias,‘ qùim’a pas de corps dejPompe, Jbta.nlh t * eft ufné efpece de cône tronqué
ïenverfé,' donrla'grande’hafa ( pour qu’il entré avec foase dans ,fe;çqrps d?
Pompe,)^ entourée dfonebànde de cuir'qui eft mùpèu évafée.en dntannàir vers
■le côté de lpuyerture fupérieure du corps de Pompe. Cette èfpece de bylindré
’de'bois, qÛeïquè&is-^.ixxéBav-étaqtqevé & baiffé; par les tringles d’utisi m -
n i v e l f o ^ P oe ^ ^ 'du ÔÔEp^de^ompe, afpiré’oipouffefféàu ô u l’afo, &
fouvent la comprime &.larefoulé: il eft ouvert’dans le m U le y ,^ ja rn i d’une\
fou|âpo & cuir* fotfquê cette foupape eft abattue, eUedébordé dairou d’y»
demi-pouce ; & pour quelle ferme plus exaéfement, on la charge d’une plaque
de plombé' éniSm'leqjifton a une OTtaa»feita‘dnimfei»»'tfaêftp^lriite-
il efticéfnpoféq attachsfoià upeâg e de ferj- S
Des "différentes J/pem'1 de Pifibnç. jf i
,1 ’ES dônt o’h^fo fèrt communém^t, peùyèn't ‘ fe réduire à dëus
elpeces, qûx'font ïes P-iftc&sperces, & les Eiffons'pÊins.■ lies uns & Ies autres,
fi font ordinairement de bois ; mais ils ne font pas auffi commodes en bois
qu on fe 1 etoic imaginé, parce qu’on ne peut les percer par un' trou d’une
grandeur raifotmable, fans rifquer de les rendre trop foibles , & fujets à de
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