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[fe ^ ttfe ffu clapet, & il en^tip#d’aukn%^^^ j j j p »
endirgits foht plus -éfoigfiés de la queue du% E fW f ~ f ’ ' 1
 p r ^ t u e l ’eau^a p ^ w ^ g d n p l u a ^ è le clapet f f l g g g i g
faffe-ëntré' l‘e clapet '& ie tü jM ) amfi il U t * rà rîg # ^ ^ ^ &
le kênkgîr de maniéré que fa\pfcis *gffende pftüVw& k OE E | M | de la
q*eûe*j&£(frè# & que fa psfte p ^ s5p f e t i ^ f ||% a ^ e f e ;
par coffiqwaot il ne'faut pas 3® r le c la fg au m iH ^ ù -tü y lff, mais legfëtM
l^ifâçàn^qué la patrie qui riëntj|4 a -queue, {bit très-proche ë£sfto^|dfe la
tqyâùy-
Des Caufesles p i« ordinaires des dérangements qui arrivent
I 'l(Lâm ' fe jWtitfHbnplTH y
Les étrahgiemeftts & les acd|ekts- Ôéquents dans lei M a ch in é sj^ g ili- I
ques , oppofent fans celle des obftacles ou à la facilité , ou à l'abondance de 1
i ’^ v ÿ b n .d c s e a f f ic .T o * q g irô u t qcCaûoiinej c e s ^ r e t à r d s - ^ c ^ ^ ^ a s ,
tient à la conftruâionupaKfculteredrch^^ î ^ p î p l l -
:^ |e l8 à J S à t e p s f f iW è r à fowk V&vjt ne p a i% ô n ^ p â i i » r i : â ^ ^ ^ i e
Sûrement Communes à - f ô tW e s Machines, e ô ^ ^ ^ q S i ' I ^ M e n c
de {engrenage'des roues >'& c . j ^ ^ f e g ^ ? P drler “ "*$*’ % ^ | cùltés
dépendîtes fepàttiSfcqui entreait. dans Pompes, comme
les tuyaux, les palfages des foupapes , les robinets , les coudes & jarrets des
conduits [ les platines d’ajuftage „
les
nantes., un frottemêtibimportant "a evitét r l e 'm ^ r n ^ d irité rid p § | « a -
iSndaite ^ftoy^àtiettre ou^ 4 ^ ÿ j f # « g & j
plus îgifi3S,tUyauk ,•& repr-endre en ^ ^ fe -'Æ ^è e rfjd 'e '
Les ouflttures des foupapes & robinets, fuJetrésaUx étranglements||â|/enC
êncorè.s’dÿitér, eiiy employant des foupapes & des- rÔbtote-d’uPfWjand |
diamètre. L - ~
M La plupart des lfompe.s foulantes qui agiffent par une manivelle à tiers-point ;
avec friais' corps dè Pompe^dont l’ün'afpire,-..pendant, -que-le* iptes
foulent & contre-foulent l’eau , font fùjettes à un très-grand defaut ; ceft le-
trânglëment des fourches, où l’eau eft fi, refferrée, que ne pouvant y-paiïer,
elle caiife un ébranlement à toute la Machine, qui la met en rifque d’être
brifée. Si, par exemple, un des corps de Pompe a 8 pouces de d iam è tre® ƒ
paifera pouces circulaires d’eau ;;-i% fi la, fourche qui reçoit l’eau | e ® ■
Corps desBompe, & qui fe raccorde au tuyau montant y-na q u e ^ p ra c e s, il
n y paflèra q^eu-id pouces d W ; or 7 ^ 4 pouces d’eau du corps de Pompe, i#
peuvent, paffer dans 16 --rif faudroit d lq f , pour parer à l'incpnvén^Àt »
E T D E S E S M I N E S . , IL P a r t . 1029’ ’■
s’agit ic i, que ch ique fourche de cet équipage , 'C ^ L !m e®ÿ,kme tre queïîës
^ S p s d^ Pompe Æbu iatBnioins qu-'elfo) l^iQ^pSr- ÇnlaSsa?] vem'aatftUrrrihiier à
E a yicasjpjuien hautt. poui fjjiaccQrdjUr •«ü.utttw au mtSit-âl^ ’, ’leqüd^àura de
piametre-celui frf
L es Pompes deftinée’ÿ'aj l’épMCement ctesffiÆinçs, (font pmes auffi par diffé-
j-’epts qui réfolt en t d,’autant" d’eigecesme Mgchipes..
■ La première puiflànce q u i, fans doute, ait été employée, eft c 11c d*rf“ ,
^b/aa ‘d’hommes ; les bhéÿaux^qot çnfqi|p, étéjappliqiJés p'ppuyoir‘ les P(ÿqp|s ,i
on jqge que ce^riècqndê'Ê^e adaptép , dt |ucn,iuJ>é-j
rieure à la première; la comparaifon qu'en ont faite, par le calcul, des Pbyficiens
attentifs & exadts, fe rapproche davantage de l’examen dans lequeqn.Qpf ,,
M BW MBmtffct fitr'les Machinds/doftinécs à élevch les cofiies btitr|inH K |
de Charbon , & les féaux remplis d’eau : nous le renvoji ons à ceaSmmaaBH
e^ces 'rdêmv,ag jWw! ]^^hr^®aets>iÿ J'esfoheyau^ ,'ob,«^ .imagiiné^de fair^
^mfeiiqr/a l’épuifein^gdë^Mtnës folÛ&L focal, le^'tiois ^mfoJKydje , '
ffis.iu',.'Sc même foKraÜm^Tdrïici qupftion q uelle l’appjicatioq :
Dans un Ouvrage latin, dont je n’ai eu connoiflânce que depuis peu , eft
raifemblée, en un petit volume format
plug^tiSucs enploséts à^cêt ufafte. M. Deluft, dansl’D'uytage Alle-
mand-que -j’ai-cico-^ rVft auïïlfort étendu fur cette matière importante, .i.
,J f Herna^ ou Machines .h vent Hydrauliques, ou Moulins a Pompes
à la Hollandoife.
D ans les endroits éloignés des rivières & ruiilèaux, tel que peut être ùra
lieu élevé fur quelque coteau très-expofé au vent, & où on n’auroit .pas
befoin. d’une Machine dont l’effet fût uniforme & continu pendant plufieurs
mois, ainfi que dans une plaine qui n ’eft pas mafquée par quelque bois qui
arrêterait l’air, les Moulins à vent conviennent parfaitement. t
Ces Moulins, très-ufités en petit dans la Hollande, reffemblent à des. Moulins
à vent ordinaires ; ils ont cependant une pins grande commodité , qui eft de fo
mettre d’eux-mêmes au vent, par le moyen d’une queue en formé de gouvernail
, compofée d’ais fort minces, portant for un pivot qui fo‘ todm%db';toqt
.^S â s...
( I ) Jo. Frid W ^ é iik ri TraBiiUs i e Machini hy- , propè ipfa Machina ujitatiz iè fc füiuniur, &■ de v iri-
draulicis in toto orbe ihaximts , Marlyenfi , Londi- bus !dmîs*
neiiftj &* alus rarionbiis, Jimihbus, m jwo menfuræ | Vitmnb'eig. in -q f. 1728.