
m . b u ,o h u r b ' .t e e^ e
jp^îiommefir^yi^en allant preharades|â^hs,pj3ÿ rU s u c ^ f iri^ ife tr e s
alïez fons pour, at^ep'dèr emy^rangt'anc "ë,uS^îfe@teël, pe
^ônjjfjàs^jbfÇjS d|â.4iipp{èr,' i8b^qu!ïfcs^iJpÏYsnc> a cë^ütd^pnc^j.ljSll e'n^S^rie p|jjj|eî
criminels, qui ontîpâSrimdQa’Juftieè.o‘e genre.dè Sibrt(&^ç;%éxa^.ec^Bs
JattentMaÿoiûpâ^fftej&'éolair^e des Amtomifles p’gtirip'r.ptqn^erdêursK^,
•combieq :d|î@i^^Çisj expofés daq.sdeùjft;4at.^p4^rdïe la viqfe‘afedajf f i ||3ents
\^mprév,Mÿïdu^ge|u:eJ-eontreJequeLctSiÆcrits ,prQp'o%it jdfes .féeôU|sSÿm droit
-de prétendre aux mêmes foins ,q^|i|ùxiÊqü|^it'.(}renduJdes - leur
.famille’, à la!S,gctétédR|<
- L’illi$re ^uteimfffe J a Thefe Soutenue aqx Ecoles 'vde •^'deofie^Kertit
^Æx'prefllmènt, que%daS^kss§erfoniîes;fijff0qué'ëS^^jt^p^‘-uri^^®P^^gnt a
la fefpMi|invpVl4ïeme”ot mal-faifânt par leAiél'ang&-de vap&ur^ûi^lèçqM
qui ,• par quelque, càufe descettc-naturfe^-pn & éf&rMrfte' :-
telles que dmsqê^difFérentes-Qe^ibmsdès.appa^ncestde»mor.t'néffer»6int
,,dq«toÿtdgeifives (2).".
* Quqfqu’il en foie. il ,eltqomour^.plnscqug^rafellb’l s ’que pàî*J|s||j||yens
‘ em p ilé s ppur les\I^[q^Sij*pu»papdr'a'Ùtfes pïusîapprof ries^^c?quc jfexpéâom j
feulejîeiifi connoître, iqji^ëufra .parvenu .à jBK
* morns q u e Iq u e s4 a n sd eÿ ^ ^ f|e fs& ffo q ,u é ^d ^ ]^fifa ^jp i^ à |H e ^ '® u lac
■jlêsiyapeurjyEbutérâ^iès.
Qu’il me foit permis'de plaider ici fpécialenient leur caufe. L’elpece de pré-
dileâiqn particulière que je montre en leur faveur , ne porter a ni le trouble 1 i
la jaloufie, puilque les mêmes moyens, ou d’autres mieux indiqués, peuve ît
convenir à beaucoup de cas différents ; d’ailleurs c’efl: rendre fervice à 1 humanité
entière, de procurer la réimpreffion de cette Feuille par la voie de mon <lp-
vrage.rj.^i-’donne -quelque parffpccafàpt*ddjlrappeUertà'^ldj^e^^®^V;(ier de
Mine ,ÿe?m’eftimeraiffortr.heureux de",potrvoiKpenfer '^u^iai-^p|6‘£ÎÉ|é àjee
fùccèsï r_-
^ ^ ^ ^ ^ n e éc^rra manquer d’être utile danipes c a & ^ Ç ^ O . S l e
nom qui convient à-cet état, dans lequel^iljrp^fà qÙMi^fe^plÿin^erc'ice les
.ffOTélies&yitales, &,oàfes, organes ,rtdftrbments de
‘en état dèye<mmtnericer leur jeu.* Quapd, au furplus *ƒ :cés> fèepfersldmpl^és in-
* fîuSueufementJnJ|roffnt d’autrg avantage’’qu&de^j^fr à l’appmliffiiyens
queqéindiquerai potit conftater la rrrbijt ab jb j^V ^ ’^fôe^pâs un génie |||ffifant
de confolation & de dédommagement ?
Comme il doit arriver le-plus ordinairement que lgj;p,ejfonnes| | | iir fs
Jîecle. Je m’arrête avec d’autant plus de plaitîr à ;
cette réflexion, qu’elle me donne lieu, par Pé-
yénement, de revendiq.uèrg'là première origine;
de ces établilTements à deux Corps diftingués,.
auxquels j’ai l’honneur à;djagpartenir, la Faculté-
de Médecine de Paris, & l ’ Académie Roy ale<des
SaénÔe^ES
■ (1) Corollaire II.
(2) Le ccleb're Auteur ‘dü'Synopftsjrraxeos Mt-
dicce, eft «dusmême avis, ^ il ’ ^
.nient dans l’Article:dqrit. nous pàriérons'bientôt,
ou il trait-e des fccours à apporcet aux Noyés &
aux Suffoques.. .
•trouvent
’"ET D E SE-'S <MÏ'NETs . I l P L k t . g g |
Souvent préfentes,,àlc®s^®^^Ppe*Mïïiés, & ï jgS^oî de"Te%Bkrgér dès ïüh-
pitives indiquées dans le.^éjqoire ,rn,auroient pas pqijr cela autant;|nftëélligence
f|u c de b.orinorv.albm^ , fJffaCè'raj iai.'d’e'^mda» leufozelejhèn faiSIS fuîvîje cet
-iAvis;dp; qUÙtqtibsjtéomqïS r’é'Ü'ex&rfl'Sr'-i.’
; • L ^ iAgiS 3^ T f lÆ B ^ .® 5ciaUt i<r»«rSMfi
toéccffvire-.pour uaffum» mit, pu ^ fe. periff, é n t S
dansmn pli^% ^ffiffi^i|lîquirKiié'^^^^r(M Pr uit qoïéfn^prdpôfÆlqi.^ de
préfenter des idées générales, j renfermerai d ns des borne. tr^ é q .3 jtc ^ k 4
- ^ ^ p^rf e ^ 04ilffmqktaiâ.eff*quQ^t tir le ijÆ jA.4/impwmô ; mais
j’cfp^icîq.uiH'lfi ne feLonLi,pqintt.iblolumentiinikifes^i»)ifclles,yfJ,iàn1iifappkt.i i
^lés^^tnanieréldè'fe^mifflésiQuVrier^ffilffolaà^^l^jéli^^fejfeiïâ'pâM
en ifmïlànt.'';
imprimée au Louvre eu 174.0. .
1 ‘ A1 ke’s avoir ptê les habits au malheureux qu’on vient de retirer de l'eau, au lieu de i*
*111 n îeulr
1‘|? i i i Ÿ i r m^ l e à labj 1
froid,. & pour cômriaencer à’ le réchauffer. >
Four le réchauffer plus efficacement 1 ou le mettra eufuite dans un lit dont les draps feront
bien chauds, & pendant qu’il y fera, on appliquera fouvenc fur fon corps, des nappes À.*d«s
' 0 1 a re<emple de Noyés fiir qui le folt il cliam! &' brûlant, auquel ils ont été expofés , 'J.
.produit l’effét que les linges chauds ont 1 lit fur d’autres. Il y en a qui ont été réchauffés dans
des bains d’eau qhaude : mais on n’a pas. loujours la commodité de tenter ce dernier moyen.
2. Il s’agit ici de remettre en jeu lés parties foi ides dé la machine, af'ii>'qnlelles puiili-nt
redonner du.mouvement aux liqueurs. Pour r rrijj'f- cette vue, on 11e laïffera 1 1 "je Noyé
tranquille dans fon f e : On l’y agitera de cent façons différentès . on l'y tournera & retournera
on le foulevera & on le Iaidera retomber, & on le fecouera en le tenant entre fes bras. ' »
pane-a 1 împreliion, lu| p'Iee, on' nè^péut pt
plusMjputeufement ' à la néceffité .où j’ai d
me trouver, d’éviter route efpecé de détail. ]
faut éfpérer qu’on viendra au point de prendr
quelques idées précifes fur cette matière , de
venue le fujet dt s recherches, dés Anatomirtes
on peut confulcer l’(3bfervàtion de M. Gruir
met S E 9 Submcrforum. refufeuatione , Éxpénaic,
& Oi ~zr valions fur la caufede'la'n ort des Noyés ^
l 'i l pMmmausqcelle préfente, Ë'jou, 176S. L’Ôi
vrage de M. de Villiers, Dofteur en Médecin
de la Faculté de Paris , ( Mïtlàde de rappeler h
Noyés à la vie, Au Louvre 177.1 • , rappr,c
One» d’une ;man t(jus ],
.objets, relatifs à la maniéré de fecouiit.les Noyé
s’iJ étoit f jffible q.ué quel jiu’u'n eut befoi
u’ptre ■ encouragé à’ prêter fes mains' .ou fés'üli
mieres dans les occafions, il luiXuffirok.de prêt
'd fe ^^oîfllini'cé' de lalSfeMiMI (jim-â-ebrameE
ce a,paraître en 17.73 - & qhi I .cpUtinue tôt
^ :Vllle'deBŸ m î^ ^ iF f e n Sés%f^^^
r£ iU R B O N d e T e r r e , I I„P a r s .
France, .doivent i nmorl il fer ce.Corps \{ inicî-
pal. On ddit.en.particulier ta rudoniioi/iance la
plus étendue au
1 fit»
. * vU *^îi, 7^
!UJ^®Ægtw(^t |cr«fervr p^S^atKug.ré,,.^Sirt
^ U l l r ît1 f ~ j e h> re»,
jtr^teU fit > ÿ 1 hui il lliflt- ra r ijlitl il jaStf
b u., d M i j^ q J 1 ) n 1 on i tfcyl j "1 J L
•l’nutïk'hité
naliftes -nombreux de toute efpece , la première
place , & aucun n’ofera la lui difputer. Ces
Ephémérides viennent d’être.augmentées' delà
defeription de la Boîte de Pharmacie . nommée
Boîte entrepôt , dans laquelle font renfermés les .
feconrs qu’on eft dans rufage.d’adminiftfêr aux
Noyés1 conformément à rÈtablilTemeht que la
\ ille de Paris a f a t en leur faveur. La chofe m kl!
paru- feez inrëreffante pour ne’ pas balancer
d’en enrichir cet article de mon Ouvrage ; c’eft
V r i