
M - tte Ç Ü M liB .x m £>ÈI T 0 S - R .Ë
ment du mercure dansl||inftrument, félon'lès, différents diamètres,des tubes-,
:feW ,lw naéfhodes''différ.entes ;qu>ont eté,o'bfeEŸéte& paur le?. eha)-ge,r : "tes
trriic/trir,çranftanrf-<; rtifluenC .fingü-iiérement filr ,l’;^J^;6u4t .1
cgmrne.L’â.défnontréM'. le Ga.rdiiial de Luynes, dans un Mémoireffurçgfujftt (fi)-,
iqn^QUsjn^itons-à^prendre^pnhoiilànc&^fi
Il eft encore à obfer-v.er que le Baromètre indique-t.vmiqueffiept-, les-pQÎds de la
goloriÿe,dptpet- air groffier, qui-,n%fituroicpaiferià-t^aversJeSpgqrgs.du^ûbe &
du mercurér, & nuUementj^pojds3ab^Au ^ ito u te lg colonne d’ii^en^gétiéraU
pu de tel, autre fbide^quiape./dAeB^iWJ1!5 pameiTd â l!atff ofpheÆij*Lterrefife,
que fcet ai^^offigr-. gj t
A fégard:;derla hauteur à lâqueLfe rppnte le iperpure, il ejbde^ài,t qujLne
fe foilîieht -pas cottffamment à la même hauteur dans un<mê^ei^M?;.cela varie!
ïelonque la comprefffon oçcafionné&ou parle poids,,fou par letreiTyrqde ljair,
WgMèbtè"lu%lminVe:' hinfi le reflbrrdëi’air pbÙvàht_£igmWrert)U^diminuer
par la châife'Üt'ou par le frofd^cgï ne doit pas attribuer l# v a ,ri,atibh’s dif mercure
dans le B a i^ e tre , unkjud^ëhrlu^ESnpmehts^airpoids ,de
E n f i n variations du Baromètre netfpnt-fenhT|liî-gui J os.cliangements-de
d ^& ^ ^ é ^ p e re ^ ^ m é Ç ^ r des .expériences
répétées enâifferents temps àrotferyâtofre^ufjuneligne de(m^rcmè|M^ci^qji
à ia toiles i pieds & i tiers., M. Bézout. év^alue^n gros 12 toiles de différence
de hauteur, à une ligne de différence dans le Baromètre.
Il eft particuliérement effentiel de^fe^âgpf lier que les expéTign^ces TBaE0mé-»
triques fontlvoir que les mêmes di^étences^de hauteur d è ioe r ü u r e o r td f c n t
à une .même haMteur.perpendiGulairffi^ î ffiue ce foit fur une. mohta.me.lyM
que ce..fiait en ferré -
pu foupçonner que les vapeurs jg ^ e n
fffie partie de l’atmofphere plus p e l a n t e u n e partie qüi
.hors de-terre.., |É
\ D.^u|fWfi^pea apnées on a imaginé dês'|arotnetres portatifs^, dans lelque^
^>n rend la eejpnng^de mercure immobile ,q u |M q n,VfqUt .ttaplborter l ’inftru-
ment, &qui peuvent foutenir tqutes fortes de fleurions fans fe déranger. Mous
indiquons iei-les plus,connus ,(4)
0 -f^^me^dmppéaWhvemttî'iu mereuri'iaks
■Us B JW etres ,&c. Mémo res de l'Académie des Scien- \
a .. An 1768, pag. a47: -JV , ,
(2) M. CaJJini le fils, en 1703 ,gaujjt donné une
Table tris -dnté/ejfante de.la hauteur de l’air, qui-
répond à la hauteur -du inercure dans le Baromètre.
.Voyéi le volume des Mémoires’ de VAcadémie de. dette ,
année, pag. 6 r. ■ *
(3) Il fait des expériences rapportées par M.
'Amontons, dans fon Mémoire, 1 “. que le poids
du mercure eft à celui del’efprit-de-vin, en maJe
égale, environ comme ié~ à 2 , quand on p épioùve
ni uû grand ftofd nr lin graffd chaffd ;
a°. qu’en France ; dans lés. grands froids.,.le poids
;:du merctfre éir a celui dê fefprit -dê-y iù ,'coiôme
-16 à
(4-fCeIui de l’invention deM. Briflbn, de l’Académie
des Séièncês. Voyez: le. volume des Mémoires
, pour .l’année 17-33. Hiftoire , pag. 140.
Celui ;'perîeâiôriiré1,;pac M. Boisciflàndeau ,
de L’ÀbaMmie.ri®,,Sciences,,F07.
l é ‘ volume’ des Mémoires.' An. i'yf«.iîîiffÔire,
page ro j. '
Celui du fleur André Bourbon ; il a foutenu
j W t)lS
’ET & Ë S S S M I H B St U. Pàrï,
IDes TtetifuittieireSt
t topR.çe qui eft‘des Thefrtlômetrei ,,eéüx dont on eflfdafts le èas de tè férvi'f j
fe trouvân^^vent conlfr.uit's ffêlàfi differentes'méfêodés , qu^fffaût alors ré-»
duire t ^ ^ f é s ïd e s autres Th’ermômetres dont oh \%fif!èbKhoîtré les oblèrvaV
t» ^® p .ir é e s ii bous donnerons iCila^TlbfelfuiWt^,ldùfàl foïtïnile : pn f ,
trouvera dlffii epup *d'oeili|ôus cesdiffétênts, rapports. L’Xûteur.,délit nouff’em-
pfùntons ( l ) , proportiôn. ’des degrés de tous fes^her-hiometreà
dannps®véc cëlùi''^; feu M. de Réaurfiut, qui eft|’ësplu's adopté feri^Frànce»
Cette'Table in4 ^ ë 4 '|H e degré, de’ chafeu^l^es, Thermomètres, qui répond
iîi Epmîe de la çpng'élatidh fixé par cet Académicien* ‘
l 'TaSSL '^ f^ ^ ^ ^ Ê ^ ^ ^ < T h e é i l ^ n e ù ! i s ii^ g liijf.,connus*
■' '«vié k %W ie^$M ïfe 'àe M . de. Rcàunwn ' ‘
! Rapport •a\çc c.lia ''de' Ter mÿKt&ft/àWÉ
i Noms des Thermomètres. , M . de Réaifmur. cJâWf.i»ûsii& j.
ÎJkqrés. R. , \ 'DroitV. > '
S 1l ~ ■. 7
I I Fahrenheit. . . a . . . . . . . . . . . * 1 J* ■ B H : 1 H
Hauksbée.......... .K . i À'? t ’ ■ 1
. Celfius & Çhriftin;. . . . a . ( ' 1
07:
8
20 : ■ ï ‘ 'jr f
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1 A m o n t o n s . . . . . . . . . . . . . . . . mm ^ B
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i 1070
!ï9™raj&'1i MWSp . d i / . . . . ' . , ' f l'y''-' ’ '
Fowler. . .................................. WÊI
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^^®riip6urji*'. . . . . . . . . . . V ;*,. ..
1 J'ean 'Patrice. .•. *^HÜ4/.' 4^--. ■.. T *
là comparaifon1 qû^on en a:-, frète' à- un- Bard-
ÉaëTOK^ïtatif-; AMfOE, : de de,
Siïibn , ’& il y à tOütë' âpplhënce què-î%rnéclla-:
lû^ie en H B i lnëlï6«.V^r«5to ra ra to '|^ ji|é t -
moites de' l'Académie Royale dfej Sçienoés, An.
I77r, > P^SÎÈ
k.££> Jtuité dpÿétéorologie, ffat le P. Coté^r
Prêtre" de I Or'îtcfto. .'Cu'.v. de Vroritrm cnJa®
Correfpopdant dèMûadéinie Rojrale fles Sciait'
ces-. 1,770.-
,s^ « 1
CgÂR.èdà jSé T ê r&è '. ÏI. Parés