
jÿ * D û t H A R B Q N T E R R E
'ïobje&ion qu’iroppofe à l’Académicien Suédois*5,^ & par«l'à;lês deux- feront
plus rapprochées. 'en* m abftéfttrrc dé-faire cëhhoître mdn à^paifjtiÉIïfcr
permets qùelqtiès pbfemtfons, -'è’eft-^Uffi^üMriënt pour -aider le Leéleut
a prononcer entré deuxrf1’'
))■']’! ' Godffàrnm'èht ïèmarqué ■ dans" toutes Ies'-^KïÿisJffi- fàbëu’occafion de
»viïîte¥j* dit M. Triewald ( ï ) , que le changement «l’air'fe fait en érit-fâkirp&r le
» puits le plui prbforîd, & qdSTaiî' reflort par le puits qui l’eft môinspf^Éând
*»xès deux folïesoritûnfBelles une communication £2) ; -cela ne Vient qùé-'de la
■s> pefanteur inêftfS^aesxoflohhes d’air contenues1 dans-les' deux-puits, ’ jéohfor-
Sf memenr.âüxRloîx'de la preffion de l’air, & aux obfervatiè'ns-Baforaélriques
b d£ êeffîüs & de Valleriüs^î)-; or cas deux eolonnes ?$étènt^©infr’ égalés- en
Wpèiameffiffi^-iSs neTa^pfetituion plus le tenir en équilibre •^5joufe^à’9@cla
^ S i|^ !l,'air jHroff flîride qui tend!tou]jpurs a l’ëw tra^u i 1 Pué
» l’on vfeHè‘'clans un îjphon recourbé';'qùëlfè que,feit la*^u§|fti#é‘flqu^oÈ^^Prlè
» par le tuyàu leplus long ^tAlc ne s’y arrêtera pas^trnais*rcfî°mnlpàple tu) au’ le
» pltft court. Il en eft dé_l’air renfermé dans uri5puits-delMifîe*,ïqùa%,d>l@‘Hian-
».gemegn^!’atr eft.naturel’f'romine de’eettefeau' dans-un*fiphôrÆ^¥
Afirfxreclaircir cette cdrnp'araifongfffibrPlb?puîts A & 4 epuits B> Ftgs r
P l^Ê P W l, Part. I I , j e l ù f f i i t i î e pour c e cp b l^ .’Ik 'fig ^ ^ ^ M. TtFeWd ;
èn-lùppolànt feulement qvie les deux p ï ï t s ^ & B , qui^ dan s~^ïté^figü t
prolongés au-delà de la veine ('Jpàrrc#fcfù’ils vurtt àt'têtù'di’C' H^uae^veines^plus
profondes ) ',“fe terminent à la vefeë devenue galerièytéondi.iité*cièpüiïilë >bas
du puits A , jufqtfaü bas'du puits-S*; en'-confêqu$icSïd puits-tlS^^b^É^«?!,
qui eft fur la partûè d’amont-pefid^P^^ft de qüelqübs^ied moins - profond
que lé bure de 45 brades' B ,*1 quï^mbêf.fur lapàrtiè a ’avalïpèndagé (4)4^
p Le Baromètre place' en ^E 'vjjgF Ç , PL JP P I I , nrïnFfè puits -domtetre
.» d’une ligne plus bas qu’aîtfdpdfSHlâHs il- s’b n ^ ^ fau e w^e^mhc
y d’air B D , julqüJju? fond , vpflr;plijs p ^ knjfe.?a u à 4 a coJ.gjJngj-d’air. A ^tejnf.
<ïu® Par ^ojfféqncnf elles Hé peuvent jamais fittia l^ c e r,
» mais que la Colonne plus ’cqup.te-jg; Ja plus légère du .puits y^,®bi|cé,der à
» celle'du puits B , qui eft plMdbngué d ^ lu s^ n àn te 'i, or , il »
» " ^ ’aüOToe^rtidae la colonne^^p ên d îd ù îâ îtè^A C yiou [ê,0 la-côîdnnâfele
’»>"commtfuication C D , pdiffe s'étayer, làns que l£©oîdkne B D rempliffe
» îbfpàce qu’elles par ce m o y e n le ^ S y ^É e g t
» ment d’air une fois commencés par la communication C D ' , -établie entrejps
* déni'puits À B, doit toujodrrcqncinifët à être le même, tant que les cirUOnf-
(OSeft. 8. de fon Mémoire. .
(2) Voÿêzj>age54^.1a reflriétion obfervée à ce
mouvement de l’air dans les puits fuivant les fai-
- (3) D’on il.réfulte non-feulement que l’air a
une certaine pefanteur, mais que fa preffion augmente
en raifon de la profondeur, & ces propriétés
correspondantes, jointes à l ’élaflicicé ou
î’expanfibilité de l’air, font la bafe de tous les
G&'angemjé'm'ts d’air dans les Mines.
; (4) La figure, t>; PL XLII, pourrait suffi ferrir
à cette démonübration , en fuppofant au lieu d»
la yeine tjblique .4,£,; pn.feapnd puitt,perper.di-
,,çtdairé.d , ioiBt lé-piedieroit en J ,
É T S E S M ï . j V E ± n - p A * f > h f?
»tances en feront les mêmes, & lecourant d’air- doittoujours continuer de B en
1 D' & I B Par D C p f q u e n ^ : i l s ’en fuit également que plus la différence eft
» confidérable entre les profondeurs des deux puits, plus le courant d’air doit métré fort ; de même que dans un fiphon recourbé , plus fun des tubes ferpaffe
»lautre en longueur, plus l’eau fortira avec violence par le tube le plus court * 1, lor%bn la vecfe fàr fe&f fe'piull^/^ceia'dany la proportion qubÜ
» deux tuyaux auront entr’eux. s\ ifc«4 ■ <\>
I/exaébtude de cette obfcrvaticn eft révoquée en doute par M j W t ) eft ne pouvant fe perfuader que M. Triexvald ait obferyé par lui-même ce qui l’a
fio n d n w M m sm f^ n iè n C -m ïh ^ k à m t ^iferinëfe jairiérâlogifte Wab|oiS
^ & d M M P iæ l i i , du p l tà p p o f i
» en. A C & du puits B D , que je fuppofe au même niveau, je dis que les
» colonnes dair de l’açmofpl.cre qui répondent au puits A & au puits B , font
en équilibré, pmfqu elles font de la même hauteur, à quelles ont le même ■
» degre de chaleur ; m l’une ni l’autre ne peuvent donc déterminer l’air con-
» tenu dans le fouterrain B D C A I à en fortir, puifquil eft- W ême en » équilibré ».
'; ^ e t Académicien remarque que dans la Mine où l’Auteur Suédois a fait fonI Jfervatioa.ffcyiavfâiipeàt-êc'reb^bâtifeeii^feMb^cttfé d’unddipuits' 8c
quéM. T r ie ^ d -n ’âura fas
deye Men'éffët,H de faire W"
j g n 1 f W W W -fâb parlé «'détail M M H !
’ m H P iH S S font m S H * faire H
^^ïamatiere-d'esliGries^àbituéà .
m H B B B B Ê Fh* P P Ü ^ M w B K M l ■ « « s ^ ^ p j r 'A g a c ô I . , * o b f e ^ é p à r ^ n e iW n è u f e tf e it H d i f f é ^
^ ja a â oe ir S r
B B H H m lescéiohfiés M M i ^ ies dL '
avant U^«eux par le canal’ ou par lapine travaillée ; qqe^ëÿe-bmüvèr^tuàfe afai téet,a lbel ién jeoàutvree--
Tdo*it 'c ontinuer de même, £0’feppofa'dn-èt Wmêm«et «l’Héqu»irli-bfr ■eà .dqed l'a^irf eexitsé%rieu?ar.b«:ï ï« ,| il
, ^ f8-’?e fcs 0u” agM Métallurgiques, aVéc Uqéfigqre. '