
*t)S§ D U : C H A R B O N D E T E R R E
Le diamètre de l’alambic varie suffi dans lâ hauteur compofle dë fi
chaudière & de fpn.çhapiteau. Dans Délàguliers & Bélidor, il ne'.fe^javà
aucun détail fu t la-manière de donner ài'la chaudière une'dimpnfion /fellej
aue tquteSjÆs parties ayent.^^ttjelleSf un rapport déterminé» M.„ Cambray
de Digny , dans fon Ouvrage fur la Machine de CaftigHone^is’^iattaché
à cet objet ,, en cherchant .lqs moyens de déduire les proportions, à','une
théorie générale, g,ui puifîe fervir danà tous les cas. o ù ;le » v'éudrok c o | |
tfeiré des grandes oui ,des péïitës Machines. ;
L’Auteur du Pro}eupatnonqüe, * fif propqfoic de donner ^ B a j|À ic de
la Maohipe qu’^vôuloit’exécuter , 9 pieds de .diamètre ; cette capacité", qtfi
eft celle que l’on donne en Angleterre, produit, félon lu i, une vapeur dùffi-
fante au corps de Pompe quil vouloir employer.'
'Grand axe . . . . , , ; • ; • • . • 18 pouces.
Dans la Machine de Freines, la plaque elliptique de
l’alambic ( Voy. Art. XVI ) a dans, fon petit axe . . 14.
... Qq0 j^ w j® r id ''d c tA lm b fc tqP'Ptfl&'&tfi Cucurbite.
R o îj,d e en plan , un peu ëvafée pSr le haut^ v,
• Dans les anciennes: Machines à feu , on feifoit le fond plat ; mais; „on a
reconnu que cette forme ri eft point propre à bien trgnfinettre à l’eau la! éha-
leur du :feu.„ •
• Aujourd’hui on le fait convexe ^comme ohfle vojH mHs. la dôUpe.djlitoutç
cette piece ; jîg . r , PL LU. _ ,
Dans toute elpece de vaillèau employé à "fâire'cbntmueltement bouiUirlde
l’eaU, les pârties terreufes qui éfoient^en difîblution dans l’eau ,Jfè^^mmblent
à la longue, & s’attachent aux parois intérieures du yaiffeau ; félon la ifaature
"décès parties terreulès , elles F p rn j^ ts^ |È tûA dans le fond du, vaiffeau auij
dépôt ffilide & pierreux qui y tient fortement ( i l Hgau chaude qui sBïacue
de la çhàùdicre de Iafoffe Saint-Gillês, à Liége^ & qui-çonferyè
fort au loin de la Machine, dépolè, dans tout le trajet’ qu’alleparcpurt, une
grândè' quandtë de limon de, marie ; ce limon. fe durcit dans tout le trajet
’qui iért de lit ou de canal à cette eau,, incrufts même les pierres, le^-raancha*
g e s, 8c tout cëM|m- fe rencontre fur fon paflàgé.
On juge par-là de, la nécefficé de nettoyer le baffiu de iac„ql^udi«r.e ; itfl®
lès-^uîn^j<^s énvifQii, de ca{fèra*,gfands C0u{®
cetr^flduit- qüi diminue la cajpacit^de
te j on fé contente d’en enlever Une partie ; j en
ajt~yu Souvent enlever à-péti-près dixa0J( un20
livre?..', v,
(1) jJerriere Ja grande marmite de la grande
«uüQne de l’Hotel Royal* des Invalides, eft une
petite nfarmite dans laquelle il y a toujours, de
•J’oau qui bout ; cette eau. fournie par le grand
puits y forme une'croûte pierreufe , qui . devient
«niènublement fi épafTe qu’on eft obligé, tous
E T D È S'£ V MI-ÎSiES. IL Parf, & ||j|
faut pas manquer à cette attention toutes les fethairaES/ ?
Les tuyaux & robinets de la chaudiere, feront rêcapitulés/àipaîtv
'x^r&nBpPtéi il 3 Estime j oii 1 C&üv&He\ -,
H XLVIîrf@# l u f e utl petj
1 lurbaiffi d a i^ e ^ a n c fe cO u ^ ^ e f* ,% ^ iria iitiMil{if cfe pfonib ( &
il foutient fort bien ,toute' la preffion de la vapeur ) , d’autres fois en pl!aqufe^
de cuivre;. '
■ j B S n j Uuiv{e,doubla e h ^ dW e ^ l 4îé ^ S '& ^M tfd rh îê ^ fM it^ l<
> .,•& 3 T 4 iîgnei',di%âii!iur ; eU^Miic\”Jtidel' enfemilé| dv'eô
de îffirees.rivur^très^üijiiigs';les ,une$ d e ^ aM ^ i*
% ?% c |^LV in .,ifr,ep fé^e :n ^e s plaques-, en fèrfcdide-
édfemble,*”&< rivées,.à la maniéré myentéripar M. garrot.
.garni* de, ipagmjpene ce OE a p 'i t ^ f r ^ ’à 'W
^ertaine jy ÿ d m É ÎR de ^ donner plus de»forçej contre l’cflëc des vapeurs ,
» -Xa % utè .! j2 , de la,Planche LI£i^jj; la f^pré^èntariQn çn ;,g.r^nd de la
furiace J u > ^ a r itcau| P y ; ^ d o ^ rémarqueriplufieùre), p iece?§g^ pQl^
palferon,s. eh revue chacune à leur|place J & , efitr.e, autre, d&rents
tuyauÿ.?jei
C > Le principal, qui porte le nom de cfcmuee efl dç paivte 8s
«a aboufehors di^bâtiment.;, il .efl .fer^é dans ;q e ti^ d rq it'Jcj:ui¥;,fcupape.
.Çj^tgée^e. plomb /& .f e pomme alors vsatouji.
Cylindre httfftrijji’ ée- PÿülÊfk ^ vapeur.
bl?.n?Æ'Mngüér ‘parîc'Ê êèi'â e^o ïp s'iêlfb à p e à-
vàp /u fïlÆ muiçrur# de .métal *& effibr
B m m m m S ^ M 'u a u ^ l f e e i iu l r
u? ^ € Æ t ni ^ | rM jv lac^ [ies m m B B i ^ |
t ans’ paS ïondre | ïnèins’ cTuff pdùce !’'àllé&iireufi & Par meuvent n? Yéc^ffeil nf fe"fefMr°iufl!-tÔt qùl
èâ^ îP^|fa're}a'dfl%ncë- d’lm'Jô\iidèu# B WÊ minutef
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échauMr <x de le "f^roldh^prïmlÿimërfc ; cèJ^qiâ^*fcêboirt-
la vateur mtririféque du cuivre!; '