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lage à Importée, .éçoifJaipspour, - njfLtJîlçW pnqèj^;^fihl&nfent$ prendre
■ &câæhk (l^fixee, l ’ÿtgnjâpn générale fut une.-pïat-ique. affûtée, .pour-» préféré
des rigueurs de ■Kki«^r|.c^te^foul.U-,d.sflt6itQVgnsJnecefftQuy qui îè^i^^e1^ dans
taHasJ.es qua>rtiersii,d:e,.Paris & .naJa^eo-dafiSj la, PrOvince^éMsit pourtiinpi, le
comble de la .fàjsisfaélion ; en jéji (filant „a*4aj%i>re connpIpE.ee, de bi^M qu’au-
toient-,pu faîip ,'plu^.qrs, Æyl^ç^os^qpipjnBle,,, tCelui ide ^^^ferver l'ê^aece
humaine* îbkn au^jlatcgur alkrépnçjit, quqj.e foin .de lu^éîâbUt lafantfés, je
jouiilbis du plaifip de l’opérer,.
-tJ e commengài'j^lgn^pai;moccuper des,Chaînons de terre qui,^;exportè‘fii
a P-ariJ-îf lps <».flàya.i dejjOHSgsles manigr.es^proprps à en.reconnoâtrerla nature f
la qualité j à fixer -Geu j^qui étoipnt le? pluSiCooyenables À ^ e ^ a ^ r êM s ^ &
à prgfenter ,un chanffage. économique-bien^.ridit-iQiin.é-- & exempt de toute
mauyaife"qualité.: mon deffein5^9.itt4%.déc|it,?c enfui telles- pro,eédés-d£ cetÉjl'
fabrication*d’une maniéré aff^Girp'on%nciée:j^iur veti donner.une£jdée ju^||
& principalement pour .lajjteridEe^ d'HP® exécution,f|cilp' d^ns tous ^pædxoits
©ù l’on-feroit dilpofé à la mettre en. ufaos .o rnais latr&dtféËlën^f e ieteiii; '
rjKjn Ouvrage, qui n’eft achevé qu’aujpurd-lyji, <Sc dans lequel.di^ent avoir
place lés.détails qç^gjont fuisse, dans t^fupjÉdfevèient- être développés 69^.
les' avantages de çette mutliod^-, n’a pas dû &$§gf -pas ,p.u^|%î|afià,ire d’çae
année ; quand même cela'auroit été^offible, qe n’éEqiç enc.ore»M.enrfake cpn»
noître aux néceffiteux que j’.envifageois feuls.
Le peuple auquel,' cette.. reffqûrce^eft particuliérement ■ deffine^aans les
villes & dans les campagnes ,. n’eft pas'ôiÿmir^gient^plus ^*jq'ême de fe
préparer céi-chauffage ; fij&pauyre n’eft j>a^l^§tr©ptà'd'étpoiti, il p : dans
le courant de 1$ journée ,olGçugéj à gagner .-pa_|Æn travailSÎ^&Jior;s-E| chez
lui j -foit- dans fon particulier là fobfiftance doà-p^jl-a befoin pp'urffüijK p'our
fa/Famille.
Dansv,ïes villes cette .fabrication :ne pourrait., guere êtr^lÿ^ftÉable au
Citoyen d’une condition aifepj il peu ÿafi vouluffent employer cjlji
eux un domeflique ou un.Komme de jpurqé&.àfune.-préparatibfi ,^jii Entraîne
de l’embarras, qui demande une.place^eqtn.ftipdé.plus G^mp'jSMt.endue, &
uniquement fàcrifiée pour fes déférentes opérations. Le defix^quefifâvoisd alléger
fiir ce point la dépenfe du Citoyen mal j traité par l&jjclfprtune , de
rendre à findigent ta milère moins onéreufe, fe trouvoit donc de toutq.part
nulle & infruéluéufo.
Ce n eft pas non plus en voyant une choie , même habituellement dans
qn foui endroit, que l’on i è .perfuade efficacement de fe$|:avan$g?s i ';k
que l’on fe décidé-à en. eflâyer ; l’exemple qu’avoit voulu donner M- Fâgon,
J^oye[ page 1257, n’avqit eu,aucun pouvoir, je ne defois pas me.promettre
par les éclairciflêments, les inftruétfons les-plus détaillées, de jyoir aucune
fuite heureufe à la Bonne envie que j’ayois d’alléger dans ce point lajépenfe
^ T' H Ê o JY E <5*. IL P à r t . xxpy
du Citoyen mal-traité par la fortune ; on ar-béau parler fur tout au: vulgaire,
il ne change rien à fes maniérés : ce qü-on lui confeiLle , fût-il de la plus
férieufe importance, il né fe détermine a èü; profiter, que lorfquelestchofes lui
fontpréfentées toutes faites ; il faut le mettre, pour ainfx dire, en jouiffance ;
cette indolence paffive ne fe dément fur rien. Bien avant letabliffement fait en
faveur des Noyés , on réitéroit de temps en temps avec là plus grande publicité
les avertiffements les mïëuix détaillés , fur les fecours à apporter dans cette
malheureufe fituation ; ces avis n’ont été efficaces1 qué>d:e; finfant qué-le Suicau1
delà Ville a imaginé de tenir tout prêt pour le befoin,: ce qui étoit néceffairé-
à employer dans ces fortes de cas. Ce qui s’eft vu8, touchai* la inetliode du
nouveau chairffage, fe rapporte bien plus direélement à ce donc j’étois inquiet
lors de mes premières idées: dans le même temps de l’entreprife, dont nous
donnons ici l’hiftoire, la Capitale, les Provinces ont été inftruites, par la voie
des Journaux, du procédé qu’a décrit M. Carrey ; perionne ne s’eft-déterminé ,
ni à faire foi-même , - ni à faire fabriquer des pelottes pour fon uiage ; la faef
lité d en voir exécuter à l’Ecole Vétérinaire , tandis- qu’à l’accelier ouvert-. :à
la :Rapée , chaque méteur en forme faifoic près d’un millier ' de pelottes [daq»'
ur^jourbee’l pas ércm^n^ efficace. ->■
Je 11e voyois d’autre parti à prendre, que de faire, foit ëfe'z’des'm'éfifonnes'
connues, foit dans des endroits publics & à pluiîeurs reprifes, même continues
& renouveliées chaque hiver, une montre de ce chauffage. ~>v
Dans une ville comme Paris, tout ce qu’on n’y a point encore vu ,■ devient
, en peu de temps le fujet des conyerfacions : après éêtÈe montré'; i r ' f .deffein
étoit de faire fabriquer publiquement dans une foifon‘favorable , une grande
quantité de ce chauffage. Telle étoit la marche que j’àyois projettée, pour
faire dans le Public eè qu’o n ? appelle Jenfation : ce- ' plan ' n’étoit point
d’une difficile exécution ; pour la partie des-frais, il n’étoit même p'oinc à ma
| chargeje nétois nullement embarraffé de trouver des perfonnes qui 'euffent
concouru volontiers à une forte d’expérience publique ; le produit e n . eût
toujpufs tourné a l’avantage du pauvre, qui n’auroit pas mieux demandé qtie d’en
éHlyeP^' îles Hôpitaux , quelques pauvres'Communautés, quelque^ Guinguettes
àss fauxbourgs de Paris, quelques Etrangers habitués à ce chàuffagè.'j
s en feraient fervi tant qu’ils en auroient trouvé : ce n eft pas ■uàe:-,' j(irnple
• cph pèkr® ;" ■
Je me doute très-fort que ce plan 11e fefa pas jugé bien bon, il peut même
avoir quelque* chofe de fingulier ; mais e’étoit le feul qui fixât, mon idée, c’écqic
ainfi que je yoypisia chofe ; il manquoit encore à mon travail, à mes fabrications
nne. dernière perfection. J’étois déjà àftèz inftruit de la manière dont ■ le--com-
merce de Charbon de terre fefait dans -Paris, pour fentir, attendues mélanges
auxquels il eft fujéc, malgré les défenfes-; iprécifos , que je ne ...ppüvb'is
pas compter entièrement fur mes expériences ; -le charbon qui m’avoit été
Ch a r b o n d e T e r r e . I I . Pan. C i y