
Sgjjp T A B L E
Droiture: Droiturer ; avoir Tr ojf,ur^
) • C^e@h^oj^toTdes^™B|m|
1 teâés. _>
Drufen. G. Filons ou fentes ftériles. Donner dans
Lies Drgjem, .*
Dwer&fofam patentent. G.. ;efe faeh-Xreiben.
I 1. JDuiïarius famis. Q. SsïL
Durius lithantrax. 1 1 2, I l 4.
Dynamique: (Eléments de) Ne doivent pas être.
Lnégligés par les Ingénieurs de Mines ; Ouvrages ojjg
,<E • 1 '
a u douce, (pefanteur dun pied cube d’^iyTpp*
[1022, i|S,2i, D'un pied cylindrique d’eau. 1022,-
'• ^ aafalée, (pefanteur d’un pied cube d’ ) Idem.
Droit par gau , ou'Droit des Metteurs à Ports.
684. Voyez MçiHurs é 0 £>iïts,
' Eaux- fout errâmes^, vo'u JEaux de Mines. Les eaux ,
comme on Ta vu , forment,, tant que ’du|ê .
exploitation de Mines, léchas grand embarras des
travaux ; ôn ne -pèut ‘.même les ay|Éeèf * foit en
^détachant-;le .Charbon avec Jés pics, foit en faifant
fauter des. quartiers de roches avec la paud'Èé .à
canon , fans augmenter ces eaux ; f explofion de là
■ .poudre enJaÿ\ quelquefois venir une grande abondance
; aufïi, dans cêtce opération, il faut toujours <
etre « n | {dèificfas, ou chevilles dé'bois: Le travail v
fe „difpofe & Raffûte tpujours la veille ; c’efî: la
fonction des Foreufs^^B, 1 : 1 18r Voyez Foreurs.
La nature des eaux qui fe dgdtdpur ,d|ris;sùt||
terrein eftréputeevparqu^qpes L^iyains^pquvôir
i'eivir d’iq'ÿgê'.de la préfeace du Charboa^dëïerr^
I I
-r , Eaux du premier niveau. Du fécond niveau ou
forte tQÎfe. ,',47p.. Du èo;^|^îe iiive.au. 467.
■ Les eaux de Mines font a cQnCdérer;da'^p|ur5
Leurs points de vue diftinéls. 871. Remarque dé
M. B’randt, de f Académie de Suède, -872. Remarque
des Houilleurs Liégois. Idem. .Remarques
générales.,./#. Température de ces eaux. 873. Abon- '
dance de^çes-eaux. 872. Plus.;marquée la;;Tnu||^ÿ|
le jour ||k .ce -que l’on prétend,r .dansjes Mines' de
JPontpean fur-tout. Problème pfopofé fur ce fujet,
par M. le Chevalier de Do'lomieu. n o y . Saifons.où
les eaux donnent le plus.. 873. Voyez première
Fouille^ .Couettes ou parties de. Mines dans lef-
quelles les eaux abçndënt davantage*. 87s. Eirgé -
néral plus dn avance dans les rochers -réglés , plus ~
on rencontre d’eaux, y 48 . Ramaffes d’eau au^deS
iousidu niveau. L e. Affloxkementd’èaux. '274. Forçai
de’V’eau pour remonter à foh niveau , -dans les
approfondiffements de fofle&T 478. .Pour fe faire
Jour au travers - des cuyelages. Dans les .Mines de1
TSeyrcaftle le Charbott^ne s’exploite point, air-
jdéffous de .8]à'H lo toifeS ; les eaux ., au fieu, d’être.
Jenlevée^aujour, fo®Conduites d’une Mine/à l’autre ;
chacun les coritientâ# les garde,félon le bèfpin , lorf- ,
que plufîeurs Mines fe trouvent dans lé.cas de.faire
.ufage d’une même Àreine. Abbatijfement 9 Abbat-
ement Jgeaux. L e. Toute efpece de conduits pour
i ’Âreine. 27p. Voyez cë ,:que .l’on entend,par l|p
terme feul d’abkatement , 243 , & par l’expreffion
'^bbatement.plusjbds^j^ ' 204,
, Cheval', ou deux Chevaux S!eau. Mer d’eaux. Le.
.Ce que fîgniient eés ,expre#ons. s£0p% 27D
Faa% y Poids de.-l’eau ,,$qgmehtë ainfî que ?fon
volume,.à mefùrè.que l’on approfondit ^
, Levays. Levaux 'ordinaires-de Veau:
Machine à eau, G..Feld geûangèn. Autre, efpeçe
employée'và. Altçmherg, Margraviat de MifnSj Q»
Waller .Goep.el. Kerrhadë. Machine, à eau. Machine
# ?;û«e.-iiï0..'V. # ea«. Ouvrages deflbus
eaux, :
Ferfage d’eaux, endroits verfants. 268 3 280
. ’ Opérations de Mines , relatives >aux,,,eaux. ''BWttre
> les eaux. 466. Conduite,4« eaw^'Aüfâphage Waïfeh
Cwveler 1er eauar. 2517. Ep.uifemetit des eaux. Voyez
Epuifement. Jetter Veau derrière. Coi, '
-,. Mefurer. Le. Xa/zc/zier .les çauxi|L^6gÉqijïement
de l’eau dans les bures Te mefure avec grand foin4
. q,uan.cl le ^te^ps -eft rfec^k)n lés: fait baiCer de 6
pouces en 24rhéures ; mais on obferve afTeZ;géné-
' ralemèn.t des xruesjf^nfîDlësi .après l^ n l^ ^ p ^ i; dé-
| truit quelc^uelois', lorsqu’elle eft * abondante 9 le
travail de plufieurs jours : cela dépend, fans doute,
, de, la nature pierreufe Ou fabloneufe des couches
à travers defquellës les eaux de pluie fe,SB;mfîage.
'Paître îles.;càux. Le. 31
JEau de Bagnes , ou qui ■ a féjournée dans les
vuides fouterrains. Elle s’allume en jailliflant à la
lumière des lampes félon M. Genneté : mau-vaifa
.obfervation. 928. Voyez Vapeurs. Voyez Rapports.
Eau élevée-par une Machine.A'vaDeür.^^màeLÛQn
^^ÿu^mtM^une)hautëürid^^o%pieq^ Ma^
chine d’ingrande. ■ 1083.
da 3 permettent de fuppofer qu’une Machine dont le
< cÿJin’dre-:atygi?poucesip deilianas^re , peuisCélévgr à la
34.- pieds^Gffi^;; d’ean
.par jour*; & fi cetce .eau-n-eft éleyéëjqu’a|l^^_eds,
elle pourroit en élever dans le même temps
242474 pieds cubes ; on doit retrancher de cette
^ap^q^cÿjevqui eftmécefîaire pour^le^èr^^^e
da MapKinëj, '^^^^pi^e^pbur'.'d^Eèfrdidiifé’me
p^ojif%l§hj]^i|in^^ï dé-
• truit la yapeur..
D’après les données fur le c ylih^^j^^f la pompe
refoulantètàp^^^eft|gMachine ’■ que
cette Machine peut élever »i^&^ipiedsqubes d’eau
ce qui
,j)rou^^^te.i4eJfe^t-a^g;à ' n’emplS%pfc’une
'ppmpp - 1 eau'i ^ une
grande^ profondeur. "Voy^z Cylindrée,
Wm jifoulante» • j ^
^ Machintl&foigrahde , ou -.P
«Chevalier de Büat.' ^ôi^4.Æans vcellevdSp^ib'RnC
Tut S; félon ,1e- Réda.â:éur /deTÇnGypl’opéÿé.. Idem.
Dans-k-MaqhineMe Trônes, félon Mt^l^tteyalier
.de Bordai îd .rDanstla^Çïaclnne>T<Ahzinjqft&nM.
Xayoifîer. Id. Dans.ja Machine >de Waller 9 e.n,An-
■ glèterrè.. ' -71100.
Dépôt formé par^quelqqes^unps,defces^e^u^ dans
la chaudière, 5 où elles •. s’incruftent à la Iongue.
Effet que produit cette incruftation. < ^ p[j©88.
Eaux ;aes. Hpmllieresw ^ oUTquji^ ^quit .jpur à
travers des Mines de Houilles, ne font point fu-
jettes à donner aux ouvrier^ Houdlqurs des smaux
de jambes | comme ,elles -en donnent Mineurs
employés dans les Mines .métalliques, pgp.^S’im-
pregnent de parties Lalines & ibitumineufes 1118.
Sont la .plupart du temps' ferrugi^eufes, comme
les eaux de k Houilliere de Mariemont, en Hai-
naut. 2p. De la -Hquiliiere d’Argenteau , près
de Dalem, très-efifiçaces dans la.dyjtenterie. Ég|É?«
Celles delà Houilliere de Littry, en BafTeNorman-
die. Id. Comme celles d’une ancienae»fouil]ejdeGhar-
: bon près la Mine exploitiée «aujourd’hui |à Fims en
Bourbonnois, £ 8 0 , & qui toutes peuvent en général
d ë - s m a t i è r e s , h c ?
éifê îéputees toniques, àpèritives , diurétiques St
ïéfolutives , quelquefois purgatives lorfqu’elles font
l’on peut en juger par l’effet des eaux des Areines
de Liege. 2 3. Les eaux de ia- Motte en Dauphiné,
pourroient être de la claffe de ^ ^ ^ ^ ^ Jm e au x
minérales. y 28.
Eaux imprégnées naturellement oui artificielle-
snent de Charbon de terre ; ce qu’on y apperçoit„
2 3 , 5 0 , 1 1 1 ^ , 1 1 2 1 . Voyez Bitumefavoneux.
Eau «de pluie qui a féjourné dans des bateaux
de Charbon de terre , devenue minérale. 1 1 ip.
, Eaux .minéralês^-ârtifib^llgsi^ ,'par, timpMgha^pc j
'du 'C.hàrb.on de j Ce^re; ,éteiift,Vdans\dë! l’eau comv
mune, femblables aux eaux de Schinznach. .ivi2y, :
Examen de ces eaux faites dans.le laboratoire1 de
InyalMes. . . 1126.
. ; Eau-fqrt.e. Quantité d’ai-r qui fe.dégage du Char-
hon de terre de Newcaftle, J par. fa }Æimbm|ttdn|'
Eau-mere. ( Chymie ). 1 1 ip,
| E'èawZe77îe7Zf. Ecrow/emenr. Ejfofi^enim^^x^çident'
qui arrive fréquemment dans les Mines en maffes :
ces- fè-Etes/^de. Minés-;ohh plus. >befoin,.'qiiie' Æb.ùtès
K les autres d’être étançonnées foigheufement. Voyez'
Etançonnage Epaulemejït. \ ‘
Ecailles. G« Schaleertz, croûte fuperficielle détachée
(dans les M^^ihetaHiqûqSfâe ia maffe du
ffi^p^e|:'t|^^^éqdël®m|a^faitV|àgip. le Teu^p^urMà' |
facilité du dégagement du filon. Cette écaille s’ap-
pelle /Fan#. Dans .quelqiues Mines de ’Char=b&n 5 :
félon M. Monnet, on appelle Ecai/k -une couche
placée entre le Charbon & le Salbande du toî-t,
le plus fouvent de 3 ou 4 pouces d’épais. 171. On
; .appelle aufli mach efer 3 écailles de fe r } des |
feuillets de fer -bri^qph^fôntlm^l^s. |f<
K Ecailleux. ( Charbon ) Ce que |M |I peut ent.en- i
dre par cette expreflion. . • 1168.
s s Echaîne. Chaîne, Arripendium. 2 14 , -782. Voyez{
. Eehàlas. Fieu. Palus localis.
j, . ]Ec^^pe»;Çht^fi. theca feu loeulamentum
i ^kp£à^fou Gap/ûla^ '.loculamentum orbi- 1
Echaüffemmt)fpontanê du- Charbon de terre. 13 37.
(V oÿ.éz -
\ Éc^e/Zer. '( Mécanique ) An. Laders..:3r8^8. Dans
'defcendre .fe garnit. d’echeles , dont chacune,, fui- -
^anty^p^^des Mines d’Allemagne,,' a^.^u.z;^|au-«
nés ou 24 pieds, de -Longueur & -.eft- cpmpofée
dp ^gpMM.Us ^^Tëint>:a;' un pied-de ,diüance|les
sans“idps .autres , & affujett'is. dansées, -deux 'longi.
-morceaux-■ de bois qui en >^r-ment -.les 'montants.
L e s^ ^ ^p i^ isl^ ^ én t ûu. -du putts.par-idfes
®:^èhets! » & tiennent tguayrë.qùf've.ft à
l’ceil' du bure , dans- lequel on .enfonce-un-crampon,.
auquel les Ouvriers qui commencent X.'defcendCe1.
.dans la Mine peuvent fe tenir.
A une -centaine, profondeur 3 dans^ le rpc
ioù on ne peut plus .commodément accrocher 'lqs-
Æchétps jpaf des'cr^mpQns^bh^accrQobe' plufieurs ^
^(échelles les .unes aux .autres par des crochets en >;|pl|
felapés^. ,leurs extrémités., Toutes
^doivent être «bien fohdes & foigneufçment vifitées
sçomtne les - .
; . Ec/zeUer. (Mathématique & Géométrie.) Certaine^
piorigueur établie, arbitMr.emerih>a^ec ,les divifions
*- “ufuëWes , pour mefurer les grandeurs qui fe .présentent.
On -en con-ftruit de pha&eurs façons. 2,95).
S Ec/ieffe. 'Lignes des ^Nombres.± Echelle Angloife.
Echelle Logarithmique. Réglé , lôgârithftiifyM , dt
| -G«/z/er. 75)2. Son ufage. 815);, 8 ï î. Inftmment de
Mathématique très - commode. v ‘ 80 ï*
|é Ec/zeion 772072^«^-. Ouvrage en montant» Voyez
; .g: è.y!. à
340. Confirmation de cette Cour\ par un
| Privilège de l’Empereur Maximilien IL 3 16*
11 Echevins de 'dkfouveraine Juflice de' ‘i^^mMett&
.dans’ ^ ^ l ;
les affaires criminelles , & on ne peut appellef
|v4|îfv(es' Arrêts civils qu'au .Confeil' ordinaire du'
j | i§ § g
1 inttâ-nèe, 4l & en dernier reCort a<ux- -Confaux de
l’Empire ; cette Cour communément appellée
haute & fouyeraine Ju'âice’, .eft compofée d’uu
giand Mayeur , nommé communément /ouvervim ’
.Fri«çe Doc*
de ÿe deux
Cha ^fâS|Mc;de '©nzp
.un.Glerc-Juré.
Toutes^ les Caufes ou Procès qui s'élèvent fur le
fait des Mines dë Ghai.t)'on , fe traitentJPè^àni'^ce
expérimentés , qu’011 nomme Révifeufs pour'faire la.,
permis1 qlpls'i ajicune caufe agitée en matière ?d‘é\
Ip jlu'ges' dë'ÿlBmjfîre*1 1
I Suivant le Privilège accoidé par l’Empereur Maxi-
,eh\ï 57--I f|
dans aucun cas,prendre.conn%iffaËce) de ces matières,. 1 '
3i 6 , 3 18 .
1' " Eco,no7nier | particulières du chauffage ■ avec le
I Charbon de terre, De mêmé fur^f.èhaüffa-‘'i7^
ge, ' dansj^^^^^S|^dad^|ès^^Mr^^^ i
quettes ou pelottes ' de Charbon de terr-e apprêtée
B p jB jH M M
f, ;n ' Ecoulement y ( Fourneau d’) ou #e* 'C’owkge«, Voy*;
Fourneau.
Écrèàijfe. (Patte d’) Voyez Patte.
g ^EcroMtm^éii^a c m f 0 m 0 ô ^ àtit^ieu*
fements de ma'niere quil puiffe s’infinuer^peu-a-peiï
dpns le co|Joji|fou filet d’une vis, en ïampam poiiC
k /lpjn^iqes foires.
moule de Impartie de la vis qui s’y t-rouve- engagée» ‘
pî^ÿi Voyez Fw.
frappée.
ÉcroK/eme/2f. EèdM/emenf. E ^ 7z#re7ne72fB Voyez '
Edifices,, ,( ConfîruBion d' ) magajïn-s'^ chemins j
f e rekn/r æm zravÆÜ #er Mïrcej. Les premiers é’ta-
bliffempntsi d'e^Mines en France ont reçu du Gou- «
I verhemeqè-Touces .Jes 'faciliies méceffaires. pour ce*
.eri^m^oel^p^^^nqesî/di^ëi^es^^m#.
fieu-r Jullien de Grippon & fes Àlfociés *, les pre-* ,,
r-mférs -qui on.t .fait ;d©s ent-reprifes de Mines pa.iî
*5 6° > étoient autorifés en vertu d e^ l
Lettres-patentes/'du Roiydu io ;Sèpreiînbre''iy48;) à
^prendre;, dans l'es endroits qu’ils itrouveroient conve—-
nàblésf, terrés, héritages & ruiffeaux pour conf*
IW^^.-b 'edifaeif^^®s *Mmess, ( Mommf1 ÿ
Fourneaux, Fonderies3 Affineries & maifonnage ,
néceffaires . tarit. ':po,ur.: enx^.i-iquè .pour mettre en ■
Geüyr|||- affurer>,, re^f^êf^^âcèpnim&de^ les çfopfe* .
b'r^yëpa'ntes des Mines ' ■
dre terre ppua* faire chemins a\’:c,p^Mrë^uj:s Mi-*
I vküaiÛ^:; 'chofeâ '
I commodes & utiles,pour cet effet, ,en payant toute -
ifois -préalablement la foperficiâ des terres raifôn