
.. .. E X P L 1 i
• Le mur , '( on y appelle ainfî la 'lifîere des côtérs,
la Mine) eit.f e r% é , a f c g i f e
feuiilgtjéè& afTez ■ dütet^'-v''
Le Chaifem fnl vend^au ibarilv du ;p^>ids^
de ofeq.ceufcs vingt livres , eft décroîs prix diffe-T
t ents ; 'le Charbon firL2 'livres 10 fols; le rondin
‘ 5 iv re s , & le
I ;«vB a s s BjBgÉJï&f A N d[i e.
Landes de~Rochaïas 9. à'TOj^l&lesMerL^aI* «
B
«S*. Georges de Chatelaifon , à 4 lieues dé
Travaillée en 1740 dont ïe§£incipal
étpit le grand Puifard'; les eautiest éÉbi*ent.:ü'J •
; b "de puit- Hardouin.
. t* -de^a j B ■{■
de l^Byetphnière, , •, 5
' ÿdu Pohnir^iduà
■ ÿ '■ Ëigit'iJîiid
de VHirondelle 3’ . • ■ƒ
. Gowrion-,çornmuniquant àu précédent.
J la BigOieÊe |f .
S. Aubin de Laigriê, deüx'piHts; "
Chaùdefonds , un puits.
Chalonne j 3 deux p uits;
Montej ean-fur-Loire.
'M^rèuü-BeUayîlf fur la ‘rivière dër7l l i ^
'1... ^uêüesfde^^limt^^^
Doue. Doé, à quinze mille pas dè la Loire, à
:x une^lËi^' M'une* petite riviére' ;’â^peUée^e
Toné, qui, fe perd dans-la Loire, if|||#e$re.
gfol&e de plufîeurs autres, petites.
Courfon , ou Concoufçoh.' .
Puirincent. Fuir incent.\ ( frayez:, la Situation - de
cette Mine à h Tddx des Matières,) JVL Gàllo%,:
Doét’eur en Médecine, réüdant à S.'Maurice-lé-
Girard , près Fontenaÿ-le’-Gômte /; ^&^ui - s’eft
donné 1des foins infinis pour me procurer3, pair
M. Lavau, Propriétaire de la Mine , lés éclair/ciffe-
ments fuivants fur le Charbon de terre qui fe
trouve • eÉL-'-ffl endroit1 /^eftime que '.la- vèine
prend fou allure -du Sud-Eft au.Nor&^Ëflrà
peu-prés 5 il a dbfeçvé qùp-lé terrein fnpeefîcieide
la Mine eft de pierres calcaires un peu:fabld||||p
feS“5| & que le deffqus eft compofé de couches ^âf-“
gilleufes, de fchiftes, de pjei^es çafle2LidüréS ;è0ür‘
.avoir eu befoin d'être attaquées • par la poudre à
L^y^çTOi%'iût-3eeojunit‘ Id^s ûfi ^n0â^-êÿi'
1774 ’ à deux ajfieureifiërits de. près d’üïîfdèmi-
preLcLepaifteur, pliis ou moins, '’aÿant^uâïo'rzé
pouêes. de terré, enip| eux | deux ; rouviage; a
entamé dans deux endroits , d’abord obliquement,
enfuite par tourret omavoit établi des galeries
qui ont été”abandonnée^' eh^,|w^“,vîa^i'f'd'
pieds environ de profondeur ,peEp&'ndi^lâire; à
140 pieds en %pittânt; .obliquement : laTecorfdè
Mine ouverte dans un champ voi'fin à"’ rr^@té, eft
au Sud-Eft de.la-précédeîîté fur-là même veine-, à
deux ou trois cents toiles Jeadiftancé;-'rà fepfr&
'huit pieds on a trouvé,la pierre ou le roc trèst
; ë ' T l W Ê ^ ,
dufe:-accompagnante v'eiiie£|»ë^dîes- l'uîpf^'^au^
tre |ife#pbiemen t # i f | | g L ë ^ a n ' t f f f ê
IGharboniàtéfb- élargi #Ün piëd:;i^;[I^mi-' -.a 'ééuÉ
• Hfdsÿ mbMllé« j^^ail'Pulî^Vfbîft fec | &i\£ësi-
: frmbtejfous ms" doigts f vâ.ffîfe f S
fôdis^-aMuâlfe
pieds de: diamètre, eiiviroh.>1W’îî^ëfprecé !de 'petiuè
- /;|Meri#. qui: | ^ S entâmé'é etTe^po
-de trQÎs>fdtri'qpatre>pieds ,'pà'roe- que fe.puits s’afi
faiîrqiti,^ ce qui l'.détefmîna ^ ll,';#ênîrlrfdèn? '
puits , afin de .‘chalfer nne ’ galerie" fur iinc ipierre
aeGolé^Hau mur # mais différen^y|^^qiM^pouVdît
étayer ' en partie le puits : la'préifiière attaque'ùr^è
fois Laite , la pierre fe prêtait à |dÛfeÿ^%aîP®le
-S;eft perdue 'à environ“ vingt :|pie'd's1 eni^avaiT^^^
au-delfous. * -s’eft Itrouvé une |têïre} néir^eî Cprt
gralfe , plus forte qu’u^B-r)§^pl|^- la<-p'l’ùsî:;tëndee ,
des pierres noires de' la grd'lfeur 'dû pdmgi^i8ci'cia|
v^ntage^'^^o^ues & très-pefantes. pour leur volume,
&; que les Ouvriers ônt ' 'iaômfn^es *
dans^defpuils il y âÿOiit ^desipelottës’ 'de 'GfeÈarboji
épars & très^fec }- iiau^dfe^u^''d^hQ)a'nc‘ ‘dë^prïè
de, 1 y ou 20 pieds d’épaiffeur 's’eft rencontré line
Keine de quatre » pouces aftez bien réglée ; une
autre de deux po'uces, féparée de la première'pair
une Couche 'tenreufe de * fîx po'ûeés> d^pailfeur , &
encore d'autres petites •ve/n«/e5 mêlées de terre ; en
xdngaif&'.en'Goreî 20$$%$ pieds | la ^:é£ne-s’eÉ||lppi
gie imperceptiblement V ; & ;è:É-' ;veHUe: Wl
. po uce^dhm'e. rpart' à/y
terEe ■ #B'fôei;deux.::
à foncer , les veines paroilfent amincies ;-,'©nî<fe
décide à? #ï|rl drî^gaferie ;^ü^Ct)h ch'anfe l^ yeinè^
. .^&t^plui5?f6rê^ip^âu^Léyant^la^ÉTO^^tmli^*;'
r dans
celle du Levant el*l€s 'au’guaëntent, dè forte qu’on
tiouve par fois trois pieds de Gharbon f-
vient ,\>^^ft>:;.qâeîquèfè1l ^ lv ÿ îÉ i|e ; db', têrèe
.jefeMe ;Ms dëu^r^ ^^^^Mwrpil^e^^^ ^ S inuer
dans la galerie du Levant , on forme ;
pdur fdrreer: "1â¥tré '.puits ,;'de: ■ ÿo- à
f e pieds. “ La veine varie encore également ~
quelques-pouces; ou a été en galerie, même va-^
riation} on en a fait deux l’une fur l’autre
on~a gagné cent cinquante pieds en traînant, avee
la^veine qui p en choit toujours, lé mur toujours
aflez uni & bon, mais étranglé par fois , à même
iâeçdïé .a uhe!autre'plerr®^ép^ifte
-le rétreci€ëme;n:t: de la veine & de fes couvertures ,
augmenté«: a -méluïe ,^u^ ^ â^^fondifFoit | plus
près du jour , & aprèsie:-:bâhs: de cette terre noire-*
cétfepmrre accolée^ aù m g , mdis^rEM^qu^,
s'eft -détâchée u?éll^'mêmé^8^É^^âfionpé.;desi^é^-
parations a -la bôifürei Geftê^pierrë' étôït; crayê|fée
de fînuofîtés-dolrjè^^hm^raês'^Ëiîüfês" vqûi èn-
't'reçôupoienr • beaucoup r .d’â'utre^ -pierfes 'pmr^s ,
molles , pourries fé.:.- d|fù,uM^>^|J^
toufà M l Peii d?.eau ^Mÿà^k,^^hd!eur -Æ
quatre-vingt' & ||||^^|; pilfs "Saiaiâ''‘l6nr â/ren-^
contré une four ce très ^fo'rté 'dans la 'jgâïëtie' du
Couchant ou le- ©harboft^s’èfft^ëldü ; dans celle
du Levant il n’y eu àypit’pîus que fix pouces ,
fur lefq u'elV■ b n fonça quelques 'pieds : on trouva '
lès deux couvertures quraliloient fé jréjlhir.
’ ■ - M. Gallot qui a defeendu dans cette Mine en
qônnii-dans quelques'endroftsV, déÉtus .
deux ' pieds & dM^hH^fcrriq^ a l|
veine de Chatfbô’n', fan9( parlef de ce quon laif-
foit encore au riîur ,• ^qûLétoit bon, '
;Ge£té-
- 'rén'^
H » ae if
feqQ .1 appelle ’f^eid^^mégulkv\
y a de p te i à y remarquer 1
-— ^ e .qu’il
ilfe'
x H ^
donne : ce qui m’en i eL> ’ ■
depi s >• notice.que j en i inférée à la Table des
1 matières, annonce une Mine en Bokjæj telle 4&ejie
eft . Oui fé lénaie en maflfa t 1 J ___* j
e? > qui fe lépare en màfîes- écailleufes., de gra ■ 1 M
&depa?irçurd.ffe? nte;dUnno1 p e ,fon ^ 4 'm’ de SM S g B ....... .. _ . . _ p - ,HouaJ.ed^ b Wd sM , _i_l_B__ _C__h_ar_bHon folHide ,
t wmbiwxik. , U. mit noir p
^.gtifâtre, très douces m t ucher : il ne laiffiS
, que djëosXemt d^-Lmes ft^e-.ilÆ-.&vàïSltf j.i
i i dfvpetiMjnj.ajixaptntei sM W t l i l l i B M
• „/.mauva.s , t .ÿ ^ n
mérite pas la moindre de'penfe B 1 1 l’exploiter • il
' V '-- ute is^To ns lÆ içA iù tfÇ ro 'm n /c
lans flamber. fs - r 9
LC H W ° P‘erreufes 3ui a cotnpagnoient
r- l “ ™ 1» Un? ma >vaife ,efpecede Z S & une
i terre d u i grain fin , de couleur , etidicée mê-
le de paiflettes nncace'es argentines j & lenfin la
pierre de toit ou la coque du bouyaz eft une
argdle tapef. de couleur d’ardoife cendrée ,
H h h m h ü
c f l , ve. Ç- ee de
raefe ca/caire,-unerosfc. dure, mêle'e de gros mor-
) jceaux de .quartz. .. , ■ . -
auflittre.du C 1 1 bon d erre près le i ’ snt-CAer-
y j ’ ,a ™ de™-3 >art de lieue dè.Chantonnay,
i “f, H S 6™6 Provlnce. la route de la lo -
qui n a pu qüe fe promener fur le lieu a re5
connu à la fuperficie du terroir labourable des
pierres calcaires, & des terres de même nature
q i cdl s q m lè^trouvent à Puirinëênt, & ful_
U S des:
Iraun mAde C h i b >n /ci b -ibV.a ccl.1 3?TJÏ?'I
rinrenf-. rlnnt- il _r. •' ■ -
Hou île dn H m ^ ^ ÆÊÊBBÊÊMms&iiiÆSL
en ïencon | è
11- ■ ^OTl^'TOïfes au-cfèfc
10US, d autres couches plus minces , fe'parées car
pierr:UnXdir:.nCSard0iféS’ & '6 f°' par trois > - J [
F ra'ït'ë h e -C o:j^TÉ.
Près Salins; fouille en I7d2 , par feu M. Jars,
Champagne.
Lure,
. Meillonaz.
'Æe'e s Sïi
LïONN Ol
rincent ,uuul u |
d» Poiit^Çlurfiu.cftj
5 endroits reconnus, cv
r wiIT'-l t A* iRE
Non.
Vieille-Vigne.
Monirelay ou Chapellè^Montrelay ■ W Ê
^ ^Jngfaijdè; 'l(p u j^H ro vt3.-i’: r. ç M
E H H? A T W Vj.. u!(p.
$ drgâfmfc>
' . prèsïltiGyX^
.PÀxs-Me s s u j . isib
Ma\> des glacis ^ | É
AUcrùahds^'l :.
' r
[g p tey à y al de
Les ; endroiâ de cetté Province, connus oour
m m m Mmas d= Charbon de terre Pfo t
princpalEH. it . le lo ig de la ris e e de Gitr
I B I l i P ^ f H H H i i p W au fllont Pila, v^ntPejetter dans le Rhône,
J , irleezz > V“ '.U“ 1/ “vixTdle ™ou p et‘i ter Vlaa nflz<d lnii '-e r o,> d1û1
c ' i L T q 6 r î conGdé‘ ^ le s ; elles'^enlient à
font IexDloir^c • j v. ^ téé 9 ffiïl
i.rs: ae. ^naro.on lemblable à celui « I *
^ d ,n t I paroitroit alors que la veii e f i . plus ■ exploitées ce lt, H H
,Charrau;fft une continuation. MouiUon i ^ l e s du B o trt 1 b, & d?
porte des
B m i M H M M I
i l df B H Le C É ^ © e
| T ràcl ,>une J
Moumon ,c&.,es du B o u lS de,
cinq, lieues de Lyon ,.!i fu ;i V
è S C ihaumont & à S I tien ri' ■ ri e . ceÇte ville
tagne. 1' ’ fls’ dans une mon-
Ce territoire de Gravenand & dû Mnliill
en y comprenant une deiui-iieueï'ia'rnl n , ’
pins riche de la province du Lvonnois f 16
. contigus l’irn à l’autre « J pis = feipni;
concfe végétale, q dV a tit eu' t B B H
fuivis de quelques couches de fch'i&ë:i. aprèi t r
queUes vient une première m i l î è 't ^ G S ^ F j '-
b i m w b h m i
I m m m <*U1 j *SÎ! ïï6-w,ntJ # cmbrô¥c ( 1, r l l
M — I
’ ^ ff^ ls s v ie p fté is c sd u i ne fonfen, „ "È b a y s foe îH fƧ° — I #4 iMMiLm
W W I
S H ,1«* - d‘ l hé pi fie t Mrnes —
. ' ^ PP^éëntàlne,ge puits àrhisxrXo v*«