
4 H I I P U C B A R B O N D E T E R R E
amênie vèfq 4 ’entréé & la l'ortie de cès'deux* qua rts-d o iv en t H H I
^emenren face.
L’étehdne.'-du-fé'choir doit-être'-relative à-la manière dont les pelottés^font
placées dans ee-quartier, lorfquon les y apporte pour fe ficher cbmplécrs-
^nent • on pourrait élever ffir'^lffWÿèslKpamié^/^agées à dfafrè voie
-comme dans des 'briqueteries r cette cortftruétion exigerait n r ^ , tm # f ^ &
.feroitÆommode pourfalre ficher >ùne‘grande quantité deprïqties à f a > |||
Eiyne choififlàntip'oitr -cette fabrication '-que les faifbns 'les^uffl^orables1, i l
feroit poffiblej 'ùlmefure^u on .apporterait"' fur des plàncbeSp ^ utrement
fas briques -qui fe relevent du quartier des Metteurs-en fa rte r, 1H B
•poffible de les placer tout Amplement à â|£j&gl faudrait alors les Ranger de
•maniéré quellesnefe touchaffentpoint, & que lair les frappât d e |% A c ô l |
-de qu’en même-temps le releveur eût l'aifance convenable pour f g g f porter
-par-tout, pour tâter & -retourner les pelottes; le moment ' ^ ^ M urner fe
-reconnoit lorfqu’en les tâtant lès doigts, ne s impriment ÿ o in t |éffus ;p>h
^ ô it q f alors-le fêchoir-doit avoir plus d’étendue que fi on j S ^ o i t g h t
^ e s 'étages ù claire-yoié-, & qu’on doit être pourvu d f t p ^ f l q n ^ p t |i ®
•yrir lès pelottes slil vendit -a pleuvoir.
Dans Fune & dans Fautre maniéré-dé fécher -les^pelottes de ce
»quartier-doit ll&e fcigneufeinent battu , à ©iipqr«:^ afin de pouvoir balayer d®
*emps en temps, & tirer parti dgee qui f é |d ^ 'lf é ’.dès p d ’ot'tes-'^ ^ p hant ;
-dans une grande fabrication, ces débris forment ùh” ôb'fèjÉïqui-'*4 ^ P bint 5
négliger. ' - -i_;?•
Ea plupart des mains-d’oeuvre qui^çgnfiituent'da fabrication du ©arbori
•’de terre apprêtém -çeçfadérniere far-tout, laiiTe appercevoirfa^fâmment que
-toutes les faifons de l ’année ne lui font pas propres ; les temps, depraid & de
« e l é e font-abfclument contraires à ce travail : le froid exceffif, faîfefrfeant 1eva'
-foration de l'hurnidke , *& en durciflànt trop promptement Ip ^ ^ p ttes, ne
-feroit qu’y retenir l’eau fins -qu’elles foient réellement fiches &|||?Jfes vien,-
-nen't à être faifies par le froid , lorfqu’elles-font ^ c ôrVi^H^ ^ é n t ' fa§||**
■çu qu elles ne font pas entièrement lèches-; elles fe défont -fer le^hamp lorf-
-qu on vient à les mettre au feu.: l’eau qui y a volt été Axée & gfacéte,
^pelottes qui, ne peuvent s’embraferq cette fabrication ne -peut_d<fac avçifi&i®11
«que dans les temps où il ne gele point : dans le mois de Mars ,jil
■quefois de "beaux jours code foleil accompagné d’un petit ^eqt 4 qgjjj^ËB|P
fafez favorable.
Pour obvier aux iflconvéïÉfafaâü froid & de la gelée ,-»fi on étoit oblige ,
' 'd’en travailler alors, il ferait-poffible d e Fabriqua dans des caves PB dansgto.u®
endroit -où 1-on pourroit tenir ,jour & nuit un feu de Houille ; naais ,faja 7 Î e
point pratiquâble en grand , & ie peut avoir lieu que pour une confommation
particulière.
Ë 'F D E $ S 'B f f i M I N E S . I L P aut. yqyj
J | troP ë raQd k ^ p & l%;|E0f,i''I®ndeifhalppr èijjgrfant pas non plus autans
■favorables qu’on pourroit d’abord l’imaginer"; les briques,.en fe defféchanc
trop promptement, pejjyeqf ^ &f gr, ^ q i t i i e s em p ê c tw ir
ufe d e y a lfo n b rl’év p ^ 9 d i
l ’humidité , en faupoudrant les pelottes d e fe u n e d e b o is, d c f c o r lm i e ù î
d’argille-fable. j
Lorîque lé temps èft chaud & fe c , douze ou quinze heures fuffifem pouc
èflliyer les p e lo tte s, au, point de pouvoir les tranfporter dans l’endroit oa
on veut les emmagafiner, où elles achèvent-de fe fécher en les y arrangeant
convenablement ( r ) .
L’efpace de temps qu’il faut le plus ordinairement, hors des chaleurs, eft
de trois jours ; dans les temps humides & pluvieux, il en faut davantage ( a ) .
Si 1 onpouyoit pour le travail choifir un temps bien favorable, on n’auroit,
p o i^ ; a i |f îd i r c p |K ^ f o în ^ i é c h o i r ■ ce
dcîanagalm ■ d e\ jfafuWcsà H
r Q uaâ q ^ jlM l o aMacquis
fai 1 J rn F , ^ . ji ,W j .i >*• ^ il * q J i ’ 1 ;
^ b e r cbmpMfomimt^'hiais iJ ne,ffauc ^ &in& î^ a r^ n rrfj^V ju r'l l f e ^ feièn»
b lL im eÆ tV ^ fifa^m r laSpwrg^d^ 1 empiLmuit en
b^ucoup. .
, On réferve pour ce dépôt toute la partie du mur qui fait l’enceinte extérieure
du fechoir, & qui doit être plus élevée que dans toutes les autres parties de
l’enclos ; cette muraille ainfi exbauffée, ferc d’appui aux pelottes entierèinenç
B | » ^ f f eVFeiîi&flt, q'npjjmÉfra’j i i piles les^uné^fur les autre*,, fapmiqe
B T v ï \ , j%. 3 , & e lèo re ^ * ii^ x ep difaqfint lcs
^ otteS*; d e manière q’uL|^ a t e - l ' q1 '■ '
, & d o n n e n t''aoe ÿ ^ J ’air.jvt-tout r.^etEe- *éJévappade,la
^ f o l l e , a u r a S ^ L f a is a ç f f i^ e u ’éter5aùx Ô u v n e i s ’des
^ § q ’es.> l^ ^ ^ K f a u r ,u% e l ; f j^ f p o u | k ^ a ^ e l ^ j r l e ^ i s t t a n t B B d e ,
P q r c d e s - É ^ ^ 0 esisjîè fdhrh&aû'oni-.
C omme il^ fa^ é ç ^ fià ire d’avoir .toujours <>s^sqaftaîiflQS.,eqi /-éferve,-,f^fiq
fa fu|pléer à ceux qui fe ,trouy^rqiph,ç{ d’ut?, infaintfa ,l’,aytrêçiMrs fd’jétat de
fervir, on a réfervé fur le plan -un endroit defliné*,à\q&l;; >plsS'et;,.& à ferraSi
les uflenfiles de llattelier pendant le ehaumage des travaux ; cet'éntlroitf^
doit' j|tfe fermé par-tout èoujvert.' ‘ <
:= Enfin,-àdroite & à gauche de la porte de; i’at|èli€r/'qnfaqtt ménager un'à
, nB_ faut pas davantage, lorfqu’il fait I guedoc, huit jours de foleil ,&.cle veqtdu Nord,-
peai.1 & :ô!bil, por.i rciTuye:- Jes briques à bâtir. ] même ea hiver, fuffifent. -J
W ''en” sfas® füè <faoe' le Sas Lan'^ 1