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néceffaife ; pour avoir le plus grand effet pof-
*e|ativement à l’approvifionnement de Paris , en1 :=
» l’année iy 20, qui a fervi de bafe à fa t . 24 , ( ^
■titre 1 5 , de TOrdonnance de 1665). Cette Loi :
• Société qui paroîtroit
■ avoir pour objet d’envahir une partie c.ohfldéra-v »
ble-'d’uné ^forte de marchandife relative .à la
.provision de Paris^£er$it annullc, comme étant
les- ,a|tproyL
'eff
prononcée par. un Arrêt du Parlement, du;i^|
J u ^ ^ 3 3 , rendu/irr la police & reglement des
| JMajfc^ands t&p|Ms«^|d^.èh^rbon | tant^de la
-, y^lle de Cel
tous Marchands de x faire les achats., -vente' &C
| débit de' leurs marchandifes chacun féparé-
_ .ment & à part, fuivant l’ancienne forme | à
peine dë‘ confifcation defdites Marchandifes , &
d’être pmwÉ du trafic 3 & d’ainende arbitiaire ;
. & Jofu^ls^%oko^dè%|^p|:éfeM2j^^K4tes
.'Ou^^'S^^è^ei'xille de.,Paris‘jjamen^^rairr .
* ^Msoens^om'mùé' ,,; feront tetius^de .les lotie
-,.ydajK Ntroi^môis § ôt?^è,Srjo^Ji^^^S^à;e^^&;
^ ^ ^mjprÿQute^gaffociàttQ'ns^l^ùr; Lettrine des'
f j-mar^andi fes^ fous Jes mêmes ^peines Iirié|§f|fc
^^catma.X^y,ez^^caparteïnenr, l „
r^£oci£le^Mine.G.T Bérggenpjfe. - . ja •;
- . Sffÿïiés ( Maîtres ). Leurs droits & leur^-pri-c
vileges, dans la Coutume- -de , Liege, 326. IL
- ^feront-! utile'«^in|érefe un Ayocjat^jM^l^agmrgir
^entxeprifes\de!^line^^^^^^^pMi^ notifier
à tous les Âflociés IaLèmonce faite par le Ter-
. rageur aux Ouvriers, f ^ .*$ 326.
1 * AJfacies';( pan des Idem;
- Selon TArtifjjg | delà Paix de g l Jacques , - de
1:^87,
Al^cié\ÿJgoi^a^ âc^^^f.^les
Mines de Charbon,, fous 'd^^nd|?gu|fd:n&au-ÿ
devant^^B'tp.or.tée de la galerie d'écoulement ,
& des ou vrages c^omun&,'dê la ‘‘Société, & qu’il
;J^,!enS'ajt;|ait l’acquifïtion pour Ton propre compte,
ont droit dé réclame^léu^
quotepart^f &• def fliiM
. -c«mmime.J U
I fÆÿeôm pourfuite?; & $pi#fes-z£àiivrages, L E.
tAjfùla. ( Gharpent, ) ÇalèC -, '
fA^hrdr^f ij-igne £ ) Àlilade de .farrolabe»
r foupape £ ). Voyez Soupape, P-
r ’ 248.
Aftechut. Stikay. Stiket. Peta. Le«, Fourche deftir
née à empêcher le hernaz de rétrograder. -Étp||
'Afthma Twriïànum* Voyez \Dijfi$ülté de fefpi;,
mü
-Afiringente. ( Teinture Médicinale ) qui peut fe
tirer du Charbon de terre. ' , 12,24.
' Ajlrolabe. L at. AJtr
olap fus., Sufpenforium, Armïlla fufpenform, Pluni-
Jpherium. Athlantica , Alphantia. Arab. lVat?LagorÀi
Plateau de cuivre qui repréfente |g|||[n Plan les
principaux Cerclés de la Sphere, ^
^pnufage. îr , ; t. >
' • •, A$rolàfe'.jpar$culier+*j 8 8 ,:fjpwerftU-Ji \t Id.
’ "Ajironomique, (Cofm'ographie ) néceffaire aux Mi-
ipeurs. 773. Sphérique., - éléments, , ;■ 7^4.
Ajîronomiques. (jours) j 1 v.
f 4 JLrrhrefBU%, Voyez Bief.
8 Athier. ( Mahire d’ ) ou à!Amont pendage.
Aihqu?.. ( Foffés de 0 ™$% dpùbk. Le.
£4,2. 24.j*, Leur yifftç, - 1
jFojfes de ^ 24^. , jLeuc
•vihte,. ’ *■ .-,. . ■ ■ 33T4
^r?nojp/iere. L ’air de l’ajimofphere, d‘après quel-'
,qués, obfêïvati^nsf^pjeut -eiré^ç^imJiéjeoWmé.uû!:
fluide compofé de deux fluides',-dont les pefan-
teuis fpécifiques foà't, piodigieufement inégales ;
& Profeffeur en 1 Univerficé
de Médecine de Montpellier, Aggrégé à la Faculté
" de Paris , a\>prouvé que ces deux Jluides-fe' troli-
vent'Miiêlés enfenïble dans des proportions différentes
, fiiwà'Bt lé-plus ou moins giand éloignement
de la terre; c^^^M^^Vqliindlpendammént
'de 1 Kinégalité' de condenfation réfultante de ce que
^^^^^esrf^érieurès,,dér' r’attnofphete ™ t moins
..comprimées que l'e's inférieures , -la-pëfaniteùr fpé-
^cifique'-de l’air doit' varier enrfè , & fe trouver
d-autant plus grande dans les couches >ydifines de
'laPierre Z#:' ■ pius^-ppitç .qui.
en font plus éloignées.
-Cette .co'nfldération paroît avec ràifôrr- à M. le
iR.pi, 'devoir ëntrér^^h^Ëep^'chofegdans l’ef-i'
ti®:a,®ii . de la hauteur-, dé v faitfentir
toute -la difficulté de ce' problème ; & fini-
donner upe^roMion^m^^^ienhe
également à tous les -temps & à tous les .climats ;
elle d’oune auflî une explication des obfervations
»de MM. Caflîni, Bougucr, & autres.
Dans 4|u^^éi|pas:^ ;dé. peut
.êtreÿ^jiudéE^^omÉf'/éüaht-à l’air ;i|liag^an^ dans
-.là Mine §. vinrquoj fkit
' ï'
' _,Apèïiezs.>dk Mine, Lés^A-dehx.'piî^ipaux font
une forge & un chantier-, roù s’exécutent les .ou«
vpges e^g|^ss^oïsf:.S4©, 841,8 ^
Equipage d’un Attelier , où dénombrement des;
.„^pproviflonriemehts néceffaires pour l’exploita-
^^fion d’une Cairiere de Chaibon. ,'835)'.-480.
Attelier de fabrication , pour un établiffemenc
en grand du chauffage de houille apprêté , peut
, ctrejegaÈdécq^m^elufed^dheBEp^^M^HE^:'
'■ • Plan raifonné’& détaillé. 1335". Confldéracions
générales fur lavfituation de cet attelier, près d’un
endroit où les bateaux de Charbon pourront
I aborder, & à la proximité^des'Glaifieres. ou des
: Argiirèytorrès. 'i^MlliÉtantà ges à retirer de ces
voifinages. • .W Idem;
: Etat des uftenjîles d9un Attelier. 1330. Pompes
^j^^WMSàda-Hollandoife^ pi ’ ba-i
quets toujours remplis d’eâÿf-^ .p^ÂhMiafeéé:er les
Claies;
^ e/77* ou dÆ777er. Ibid. Bro«e/ra;
^f^^^,:?Rqteaux. Idem. Triwelles, coupelles de
3 Cifer.Id. Picr ôuHojyÆM,v. Id. P-elles de bois. EM if
ckes'oawoMh^fÉfld. Pæ-®
• ' JettefflEÛneitïs , on Moules'r<3u^^Mir. ÿoyez’
■ Moules1 Baffe? j* Qy^klèf^éï.- M^^Ê^mBdes flBiïïP“'
■ ; Viïfo Ur£s. ^fuf&p ùïs, en^^M
. ou Balances. 1334. Divifl'on'd’un Atteliér -pair
,*qua5r«tier. 13 3 ƒ. Quartiers-ÿdii^e^ems-, qui ' wM
\ jsven,t rcompdfer k' diïlri'bution de cet Attelier;
il■ 133C). Plén générali-:i3Jjÿ V07e? mitdftier- &
Attonitus rnorbüs ,Teu fyderatüs, ^pyé2TAfp^xiei
‘.'^^^i^jï^r.^rbitS^oüÆiriviléges
une^JûriESâidn.daconnoiffance debout-ce qui con-;
;cerne. un objet. 63 8.
;, Attroupement feditieux desOuvriers. ' 276,'
. .Aube , ÿ
Âubes ou Vannes ; leurr'nbmbite pour qfp’oieff
au coq.rai3t: de l’eau , efl difficil'é; à* détefeminer.'
, >. Voyez .B^Jroi^rfarniquèJÈ^knS^iès^to^^
mues par le courant d’une grande -riviere, ibeft
v' :,' fiblè ;
I f f i • dMittéf) lêè-> âdîïÿ|ÿ|X%à)^hsÿC;ê'flf^ à
cé^BjWî laoMémoiri.1 dë*^M^ ^ oA ieuM # a^ le
Volume 'de 4’Académie pour 1779-. Bower làaübes.
‘ jv oyez îRôü&î d» ài^erV^o 17. ,
'l$r‘-■ 'iferiwe.', ^r&ue. Voyez’
v 'Audi, Mefure de Ora^én. Voyez R'afiere, , ;
li' fAüfs^cha^è~irater-'-0,^^^mt&dGS éaux.v
|| .Âge; ÿ'/'-we;,1
, i 'Auger, Aug4%Augre.yffiib.ëf AN.Tarriere.3 88Ç
,.» - AVer -, âv-oiï du poids-, Voyez Poids Àngïolh
&î". P0ür donner des feebti-lÿ,à ceux qüé f e
croit noyés,-d’après la Copie imprimée au LouVrcj
^»wgerj. CifoMer d) '^éwirouès,£poWJlQmfMâoieuT. ■
«de, la-machine'pour la Mine d'e Pontpéàn en Bre-
ïagne. ,rw<.vv \.t ' ? I i ©48*
Auler les< day es. 447. Y o y^ Lay es. ïkÀ
Aulne ) ulna 3 01-gya. II. efl très-ordinaire dans
l;pl$fîêufs Paysj(dé- r^^|Wés|oùv.rages < à. c ® ^ r é *
fure-5 qji'i eft aÂ-.J'eêfîeydes Mines. Beaucoup d’Au-
;tqurs anciéns pfmo^ei'nps. jhef üônnënt à l’aufee^de;
■Paris que,143.^^^Ç^pfÉ^i'ès^5 :ic’eifl une erreur î
piers, q u p ^ ^ e '^ -^ p b u c e sl%nés^^)^[ûii,'ne;
flertM^av|?mefuiew les dfapsl; %l?auhe^depP-aiûsp eff
4 ^' Pouces- dm pied-de-Roi, & contient .aufli
quatre pieds Romains' antiques , l’aune Suédoife efl: ï
d’environ demi-aune de Paris.
Aura 'pefiilens.
f , Aurioles , Auruols fCaflagmus. Châtaignes blan~ :
c^eJ. y3y. Maniéré de les féôher au feu de Char-
tlÊon de tene , pour les conferver. A / 1
AurgaJJ'es. Sax. Dégorgeoir.
. u^«7?er Beh.S'Éx. -Tuyâu afpirant. . .1 ^
. ^Mvergne. (hauite) Il n’y a pas de Charbon ;de <
Chàrbo® de terré : un Particjllll a crh. ÿ :çnf^^i|Ç|
trouvé. 587. Il en -vient à'Paris de ..la Lifnagrte ,
tewjajfe«Auvergne : ’ les' Mtne^w|^é^fu^per)v^V‘ .
^^^ro^^harbon^qui - en^ provient eff1 inférieur ; à .
^^u^^^^^fôes^ÈeuÉ^r^5a^arls^fetfs|lés^hoit^.<;(
dJ.entrée Jgeli.de 34 -livres , à. 36' livres là Voiè.^-;
•682. Jugement que les Serruriers de Paris portent
du'Charbon d’Auvergne. . : “ c; ,
-^wverg/ze. (baffe) Mine de ^dowr/zjy, ou de Zæ
J pjp.,abandonnée en 1768. Voy. p«g. Reprife
^ 'P i êf c
 | H | . . "
(Miner de ;CÜÄrtö7z) dans la Limagne.p.p d.
A val pendage. ( Ouvrages d’ ) 2 8p. (
Veine d’aval partie
tA’aval ) , peut, fî l’on veut, fe travailler p,ar une
hgràlle , ou par ■ une v«iZee „ funjfêtquelles on prend
M m P M B B M l iW Penda§e- 24^* 30 0 ..
(Mahire à') de defcente3ou Mahire defcendante.247.
Availerejfe. Le. ^"8 5 - Bnr t ay.Baume. 28b, .
fe^M8tefeéihjéfl:fplide; onfpjêgtléfajre rond; s’il
l’étançonnement. -^yailée- ( Mahire £ ). ,247. Aval-
lement, enfoncement, 285*. AvalleTff '^Mßy^fii} eß§$
Torrets , , Bouxtays. 242. Avalleur. 2 1 o. 2 1$ . |
TAides-d'e';cet Ouvrier. 285.
.■ Ajvcurifesï (défenfës défaire,deé^àux Ouvriers; 27 3
Jdi/Â7î£-&outer3.fl&o«'ter.LE.2 7p .^ 7zt-77ZÆZ7z,cIefl:-
à-dire, ligné de l’ouvrage quand on commence l’ex-
.pléitation ; le niye^^^ne-voJlpourchaffe^dpicette
maniéré. Veifie en avant-m’ain^Éreu'Jeflo'àf dans la
jp'arüie d’aval? ,penidagei 20Ç;fipBhgae de laif,vb^p.u^
de PbuTirage.A 271. 275) % 25) 3. ^^7ztnme#ér.. L&
Pouter , potirfuivre conduire..'245". Avant-peii-
dage, ( Bürè d’ ySpouxhèuxlï Bpuifeux. 25*1.
I Av priée, Mârcha'ti'tjffl quPdÂîë^voÿagea éprou- -
vé un déchet quelconque, par échouement ou autre- fi*;
;,îîl'gnt.
7 4’° ' 9p ^^éflexiofis^filr les différëSvfcÿené
, : a v i s a ' à m f n | f & o , p |
pour fervir de guide aux perfonn'es qui fé*tr<Siite-
-les^Min eS f6 t i
,^p'oftéelde®Jchafger des* tentaHVes indic|illls;'dl.h'S
le Mémoire. pppi
Aweiye, 'Ü^y éin^4 '%*
Méêhàni|^ÿ ff
i i f 01K®?
en‘ àh>'
féris^ ^ ^^^di^lfà^ë- Ü|’dné^CTêrê5^\d’'un glèbë^y
'l’ax^-d^ n o tii-»-
| À&es
1 zqùi! ? p aflèn t
par des »centre^ d'e-' cescerclesl^ÿ^q,h|tféfl^
Maculaires;. >
Jîcijpztzgr«e, fî^MÆreur. L’^^g dit Cercle , s’appelle au-
■ .tï^uent fbn^Wa^etièj'-'lir} |
Axé ,'dhnsCie‘ dlam bout j '. ou1- Eflleu ’,dansle Tour*
Axis in P'eritrochio ,^e|^he7de^dpqM^c%lm
tes j ou une'deS machin es; Èmj/les, imaginées pout, j
: ^ ’ 1
dont les extrémités >fonc ' les pôles de f Ai-mant«
V^yëz Aimàtyi. ■{
5 ^»r/iwer un bure; 241. Lfi
^Æ'icuZur 3 cIævzj or&icfdoriim. Boulon, GoÜ|p^/v
G. Welechin, in Peri
Tour. Voyez Treui/l: Ejfeu dans leTambour ou demi4
le Tour : les leviers s’appellent ilÆjyonr. fl'
Axis ftatutus. G'. (Spille. ’^ zj G. 'W'iil-Ie. ■. •-
; Açellus 5 axis parvus qui Jucula nuncup atur. Baudet
, iSinge, Bouriquet. ,■ ;
. yAçimutah: ( Gadrari J..
du Soleil. 7 j 7. Voyez1 Ce^>le.s ;
* , À%imuth$Ç
cercles qui, paffant par le zénith d’un lieu, font corn-
:pènd^c^^ésiénÆ;,, '
d^azimuths que* l’horifon a \ de degrés , ainfï foü
Jéiït 96:0^ fl l’W veut-; & f
^vdn ne le veut pas , on efl: libre d’en compter 'autant'>
que i
quoique les azimuthsfoient tous égaux, en ce qu’il n’y
„en at^s^un^ùifolt^lef premi^r^plu^^^teloes* ai^ ■
très. Cependant le méridiëni^'qui efl un azimuÉ^^’.',
.’ijûifquil' efl: coupé par le^&aith' ,.lôc?,par l’ho'rifb^
f à angles qiàï'te ^vife:;èri i
^deux'f^êjn »-veut dire -le premier vertical1', font le?â
^dëuXr|)^incipau^a^^^nsW.^^^^OT.f^s(vpaftagëni^|
en^qahfee^pfeijtiesv^g'afes^ Rh
C’eft fur les azimuths qu’on mefure la hauùëuf •
des^ Aflres. La partie de ces cercles, depuis' l’h o ^
îifoii à marque |leur hauteur , & celle dâ.
l’affre, au zénith en. efîMè compleMenr. Les Aftio-
nomes font -ufage des azimuths, ,pour détermine^
la parallaxe dé^aufëur^' ainfï que la réfraélion«
On s’en fert au-flmprour1 ©bfe'rver la déclinaifon de
lÉ;%Wfelei- ; / ‘ h '• 7 yi5«
. * À ç i p i ù t Ï Ï d t d , (funé^coife V.'eft l’axe de
[Jfdf^iizo'nxompris entre le méridien d un lieu^, ’& un
vertical qmtonqù.é.- donné, dans lequel fe trouver .
‘l'e-So'lei’lou l’étoile. 757. V.p. 10 1. Méridien & Ker-r