
14 4 8 T AW L E
, J Lump. An. Morceaux. Pelotons.Iump Lead. AR.
M ie en 1 rafle d’une efpece de plo îb ,p.ur. 12 33.
Lunettes, Formes ou Moules en -fer pour mettre
Iq Cffàj&on paîtra avec des terres graffes en pe-
lotces ou briquettes - ; leur dimenfion ordinaire à
Liege. 35^7, T3 33 » 1350. A Valenciennes.' 487.
Dimenfion de celles qui ont été.employées à Paris
.pour le-débit d'e ce chaufiâge. 1347. Altérée. 1.3^8.
L ’épaiffeu-r du.fer qui n’a point écé donnée ,• quand
,ü a été fait-meiitioii de ces lunetces, eft d'une petite
ligne; fon pourtour élit de f s6'jpouces 3 lignes ,
pied de; Roi : ceux de -moyenne,grandeur à Liege
portent 3 pouces 2 lignes de hauteur ^^||jpjiGes'
a lignes -de- largeur & a. pouces une ou deux li?-
-gngsj ' dé.:- toÿu r; ; « ;
. ütire en Franche-Comté , d’oiLon tire du Gharr
ton*de- terre ;pour être confommé aux fours à.
.chaux , près Saint - Loup , aux. énvhops dé
®ki;s' ;.ew'ÿ:o:r§M|^- &v ailleurs. Le' .Charbon de
Dure eft diftingué en Charbon de trois qualités.;
d’un,-feuillet^ &t>léger , rtraderfede.: filets, fetrijgi-
seuxj & donnant lè moins le fécond
eft dun:tiflu £errè ,*pelânty}noir , luifant & .ver-
ïon enfoncées, #
fpnffeti, eft d;r&-ad^;|xle ;'tçoiueme eft très-pyri-
teuX ; il eft réputé le mpins, propre aux fours à
chaux , parce que, le-foufre .qu’il contient diminue
la , qualité1 & la quantité de la chaux. - .
„ Lutte. De. Cloifon de. féparation en menuiferie ,
établie à l’entrée du bure; j2^<-ktVoy ez-Parri-Bure.
Lyon. r Traînée , Guide. Indice du Parois,. ;G.
JVegueïfer. 3 1 t£^oyez Waimt^ de Vont«. ,
- lyonnais; ( Charbonnières du ). ^ ;
M
M Die Conceflipn.
Mâchefer , ou t Laitier du •Charbon de terre. -
Deux efpèces , • Afac/ze/er ƒ m/?Ie , ou réfultant du
Char bo n: de. terre t rulé^^fiT^ês.prppri^és^edî-
cmalesi'i 123C Mâchefer /compofé 9 réfidtant-vdir
.Charbon. employé au-feu -de forges , ,dpit:tènir
de la vertu non - feulement du fer fondir,^ piais.
encore- des propriétés réunies , 8c. des parties ,bi-
tumineufes. du fer, & de :§ ||e | quelle,. Cfoar%pÿ4e
terre lui a tranfmifes. ïdem.. Pourroit' être ^em.7
ployé en Médecine après. ; avoir, été ^porghÿrifé.
j 124.. Voyez Eaux minérales, voyez Mortier*
Machina. Machine. G. |&aclftne. 1 -
Machina Bitraha à deux traîneaux | ou^qui tire j
qin-énleye deux charge?., ,, .
Machina Funicular es. Voyez Hafpel. Machines'
funiculaires. Scanforice. - G.-Farten. -Voyez Echelles.
Machina fpiritaleu. Machina pneumatica. Yoyez
'Machines à '
■Gi Gçreuge Sobergpad; Waffer Heben.
Machine. Le. Muraille ..declaration en brique
<pu .en maçonnerie , qui s’établit dans lè Bure.
; ât > ' 249-
1Machine. (Puits â) Sax..Kupft<.Schâchte. .^
Machine. On appelle proprement Machine tput
fcc qui fert à transmettre * à.réglér';& à.augmente*:
fuivant une certaine -lof la force fnouv^ptie à un
fardeau qu’on Vèut élever, ou, qui a .une force
fuffifante pour arrêter le .mouvement d’un c,oros.
$ 1 1 , J033.Ge heft ni la force, ni la folidité.des
matériaux.qui font le mérite de l’invention. 1033.
j Ë „Machines. ( Travaux de-Mines ; qui s’exécutent
par feop. Moyens dûs la.pliipart du temps au puf
hafard, à des conjedures heureufes'& imprévues ,
à un' inftind mechanique, a la patience du travail ^
^fes^fon«pi^ ;■ PèxpérienÊê %^lfemehè'c0^ E é
la bonté dé, pelles qui font en ufage , que l’on di-
i ^ | spre%ae iqu^il de fes copier avec
• ■préefeh , &.qu’elles neccônfiftent' que dans; une
exécution^ dé? AàM^ey^Iliidt^^^à^Mechdniquê. La
vppadgûe ■ des: d ^ t: être . éclairée par la
théorie,, & ce : moyen eft même le feul qui puilfe
lui faire fâire^dss proglsès a:ajpides'jêàlGex.tâins. Vpy.
planches gravées. Dans la • conftrudion des luaehi-
- nés on. doit appliquer fes loix- de l’équilibre 8c du
. mqu^èçièn% id,4Y.oyez .& pdufecohédïU
tre leur effet., il .fautde- .c^lcdlér idans; le -cas d’é-
quilibre. pi i.
| Ma c / z i ne r , pi i-î ont différentes deftina-
tion ; elles ont chacune 'leurs propriétés, leur oh-
1 |j|||)à;r^.uliér;; a & jtQûc^-sJa^.'p'ëÿeÿipp\ ^npelles
. font fufc.eptibJés.elles, ^ne; peu-vent ( fe comparer
enfo^lèf\que: dans un fe,ns Lfojtjy’i^Pt^P^'* $Êk2 »
m u a m :
. Machines compofées, en général, p u . Machines
qurréfultent de plufieurs machines .jointes &com-
-bihées enfemblè.,-, quv. de^%^|^9ie^répétée uni certain
nombre ;de fois. paày.'i-fEtant difficile .qlu’on
pu^ffe pif j#Ee l’effet- dont . befoin. par le
fnoyen. d?unë machine; ïfînjpîé^■ d’nfàge-d ^ ^ ^ êhi -
pes/ compofées• eft indifpenfà|)iï|^; t ;
pour des charggs aufll confidérables que celles que
||g|| a;vu.qmhsJeMeygnt au -jour dans .quelques
Mines -, les machime^^ ne; peuvent être que plus, ou-
moins compofées, & mifes en,.a6tion par une force
proportion née, <? 2 3. 1105, Par des hommes pour
des petites machines, -noé. Par, des chevaux pour,
les grandes.-.o22 , ti^io ^dgjconcours de différents
agents, des grandes ppulies desfgranqèsfd^s^^.
RpùagèsJDu. ^trottpir dahs leguèfagiffentlks^ ^ ^ ii
|^Ju|rêa. n 1.4» Parmi les machines compofées,
celle PI; XXXIV , eft la plus remarquable. '
. Machines qui fe rapportent au Trçuil. y 14.
Choix de .détails curieux & utiles*, ^rapprochés
de chaque machine à. laquelle. ; ils çonvien® en t.
9^ ^ v0 n^jm^^^^i^a^ff^m£entaQnIpoufcles
Machines v ;j^ fe Peuvent f e d!esj'à^tSés>^^Em-
ylotsj s’adaptant^ .des crapaudines, comme'le ba-
ritèf à .eau-;* dps crapaudines doit
être plus tdfrvërr que leur diamètre, amf^^^Mer
les frotteînents.
.* ForGë^dji^p^îit^ü^-a douas;,’ ou>Kindas. ÆjMm.
.. Force- des petites machines 'à bras. t Iè7f/.
, Machine d’extraélion de la Mine de Fims en
Bourbonnois. y 81.
- Machines la
fuperfiçie des Houillieres pour l’enlevcment du
Dharhôn. 1 te
efpece & de différente force. 837. Grande 'Machine
à enleverf^ÇJta^ons da^s ,les.Mine$4dÿMeftM^ftie.
6ÿ6. Petite Machine à enlever les Charbons dànsdes
mêmes Mines.; An. The-Whim Gin. iïid. V-oyez
Machine $ moliiïmes* V ‘ •
Machines ■ pmp enlever hs\ eaux & Us | charbons
dans des féaux & dans des .caiffes 3 .éiÿérentes
puiffances' qu’on y ' appjiqqe.- ,1 isoy. Cohnoiffance
.des-agents animaux y reladyement ;Dîè8u.^®uiffance.
rllCy6, Cas oh l’homme, a l’avant-agc fur les animaux.
Id. Observation fur les ;bras de- levier. Ibid.
Différence des forces animales -,0felôjd ^èur
m t i I d e m .
, ■ La;Ga^©We; der-Liege.: du 2J1 ,J\ïars *75^4, .N°.
XXXIX, annonce une -invention af|èz. narticuliere
pour enleyer lesr-hokftlesj d’un bure j. c’eft ;une, Machine
d^ns laquelle^on fé- paffe entièrement de chcvaux,
dé; chaîne?, de cprdés;:;r . pas (même;
hefoin,, forfq-u’on fe fert de cette;machine , de_p.ro-
> fppâe^untçS^^d^uré^ îXfqffit ad^O'iwM^^iat-
t-erndre le,, pied • de l’enfoncement., pour 'eni. êtré'.ïfe-
monté's.de moment en moment, fans jamais être
exppfes au moindre retard ni-a_u.moindre danger. |
L ’Auteur prétend en même ■ temps ^’queVfçèite-,
machine , dont la conftruétion epukeroit environ
| Juit miUe‘rflorirfsî5’(^^aucôûp plusvMîde\quë'les
machines ordinaires , & moins fujette à fe détraquer
; que d’un bure de cent toifes & plus de profondeur
, elle enlevera .dans une, journée la même
quantité de Denrée que l’on en tire.par les m â lllll
ines^.cpnnues, vmpy©n®ani Iprins
, par |ljé|, .ce: qui ne qü;àrl
de, la dépenfe-.qu’entraîneTjbiMrnellement la méthode
aujourd’hui eu ufage J -
journaliers , il1 eft poffible avec cette machine, fans .
y rien changer , | de tirer, fe' .Rouble de derî-'1
rées, de même que d’enlever lés eauxi'r'qu’ekkri1 ^
^âuJ''cas?AdWnéêë£S&^^mM^\énie,^màV^
les eaux* ,av_eCâ cjiaqji^^panier^>de4Lft)ûÛlè
y-u .q,ue leur-.pefanteur n’exçede p'as Jar pefan^
'k'eur des paniers remplis de Houille , ce qui -
^fowM^^^^Æ^^É^natlfle'r’ les frais à;feize ilo-
rins de Brabant. Cette invention, annoncée aufli
^dans . une petite Brochure- de huit pages zrc-i 6”,
, intitulée : Defcription abrégée d’une nouvelle Machine
9 & autres pièces dïHorlogerie , ayant. fait
;naîtr-e . affez .même, dans le..?pays:
où elle feroit d'un ufage très-avantageux , des
doutes tant fur fa p.oÆbrlité que fur fesi avan-
l'iagés? j.jl’fhveâitèür|M, Hubert. SatfoU
à Liege , Méchanicien de S. A. E; îè lrinc|X
Çhaflés dé Lèwaiée ,. % . if. $v. A, C..- le ..Prince
Evêque. de Liege , a-.propofé de.la faire exécuter ;
à fes frais §£, dépens,,,, aux rifques de fés^. dépkëfe^'.'
fi l’expérience ne réuffit'point--,. & moyennant.une
rétribution proportionnée, ou des affurances convenables
, en cas de réulfite, de; la part de !feuxl
qui voudr.oi.ent. y aflïfter. Je ne fâche point qu^
achin,è$ [à air. Machina- PneumaticaMachina
^zri^'Zej. G. Gezeige,.. Svowetter Bringen. VWind
Genge.v,'J^ûü^^Pëce^*de machines, qui - s’établif-
fent fur la bouche des puits , pour renouveller l’air
dans les Mines y comme Herziû^ ou MotiZinj à vent,
SouffletsFourneaux à. feu , &c en général toutes
les machines comprifes fous de nom de FentiZ^--
îe«n--. 9i(5i . Différentes efpeces; les .yines font mues
..parMàMt feial 3 les ? autres pat l’âr {e^fér
rieur, aidé de quelque puiffance. 962. Affîetée^de
.V . \ s Idem.-
4-;r » MiaGfittZ\ à air décrite dafe , Agriepla ' qui',
attire ,8c ramene l’air du fond du puits. Ibid. Autre
SpIntrpiinife ï’air idians lè;.puits par uiï tuyau-’ou
^n.'.iç.Qpdui,b.a :air. Autre qué l’on^^Mrroit nom-
mer-sJIécipie'àt de «en? manière de
.f^&nîi^uCîv*. fa cpnftr-aftion. 963. Rapport- de ces
machines ayec plufieurs inventions modernes1. Voy.
Baraque à air. Yoyez So«jÿZew. Dans les temps dé
.chaleur c ou ffe -calme où précifément l’?irs d&^
- Mines eft.ftagnant. ,& mal-fain;,- la plupart -des -ma|
chines à air, qui ©nt.b.efoin du vent, font fans, effet
iéjles nè font plus gueres d’ufage que pour faire agir
. . . 5)^3.
M.- Delius décrit & repréfente ■ une ^e'fpece, .de
«ces machip.es? inventée .en 175*3 «Pa;t M. Hoél y 8c
dont-la • defcription a,^écé. publiée à part elle .eft
,-mife en jnQuv^menfvpsrc l’effçt; ;aiterpatif de l’eaü
jt|maffée de la fuperfiçie extérieure de la Mine
,C fki en . 2«^ < Heures*, eiéb^®®nX'pipuve,rnpnt,•
feàûxid’eau y i ® de 1’eâ&\ft^igté^ûr^da,
^nr- f||
yealeuî dé pélîùs.,: ft fé: fâ4foie vdansKfâMi^ipÿer
eas 22 levées Ôc demie de la* ^mafMn'e^ (eia une,
heure de temp's,;;. & dans lé ’ fécond cas , 20
?|ky|es^et^unè a u â | e n l e v a n t
*■9 à 2.0 féaux d’eau , ce qui produit en 24. heu-
res<30^ ans,,l,e premier ^ cas
fécond1,
décharge , 'dite de /a &
I a/VenCq^i@
par; ^ MacSine
^ \ ijÆâçfimes} foujmni&x. L a - Bo^ÊÎ;
d&jienfy éÆ ®'
Boffier-.,
Machine afpirante. Pompe afpirante. G. Wetter
Sangende Machine. Qui exténue l’air de maniéré
Cuivre avec preflion. L’opération eft ; la mêmé;
que celle des machines foufïlantes , à l’aide de
tuyaux ou de conduits de planches «^dî£;y font
, adaptés«, &- dans lèfquélles le mauvais: air ..él|
porté j ces machines pioduifent un* meilleur effet-,'.
I^ ^ l. jdifivrer du mauvais.,, air' ^que . les / machilefquelles
, qu^l l’eau^f^^^^^a^Q^L'hsy le^^^^^^myd^aUli-l
v M. Delius, dans Lè Chapitre VIII de fon ouvrage.
M^céi/ie à: Cftet'aiu". Voyez
Baritel.
I VMachine foujflante. G. Wetter. blafende-Machine.
. Qui comprime l’air & le poulie ëu avant. Le but dès.
machines foufflantes eft de.'forcer l’air extérieur à ■-
eùt^ëkdan^l’ëh'drolt^èû«5^ ^ ^m ^^^jii^^onveut
fe/dëbarrafler , par,■ ce .moyen , de mettre en
aiftioii' ^ft air ftagnant chargé d’exhalaifons,, afin
de le , chaffer dü^UmtS’^ ou de Ja ga|erie où il fe
’ trouve. Voyez J?e>*zZareKr.r. |
. ï Mâchirïe | à-
Machine : inventée parM. HoMl ^premier Machi-
nifte de l’Impératrice les principales’ parties de
celle établie au puits Sigifmond , fonudesl.tuyaux
de chûte bnfés en angles, pai.ee qu’ils fuiyentocoirf-
mui\érfient.la pente »oblique ;d^une montagne ; un
autre tuyaui ,gptpe^diculaire .qui- fs, ra^îif^^pr^-
mier par un tuyau de communication horifpntale ,,
& un cylindre dans lëquèl l’eau doir remonter, &ç.
■ Toutes les dimenfions & conftru&ions de ces.dif- '
férente pieces font détaillées, ainlfque le jeu de
ces machines , ,d'ans la Seétion V.,f du Chapitre
IX , de Delius. Toutes les fois qu’on:>n’S
-.p^int, ? dans les, étangs r 'edik^om tpute | Lai|^|
née.-, ,pu qu’on-,eft obligé dè la diyi^rj; dej l’éco'-^
^riomifetî’Ou, enfîp^q^ ori|/n^-‘ ppm^gené, yp opcla ‘
perte jdesL cbûtiK.\C^tt^ m\ch.jn4^^n^le '^ v!pmts
J,eW^fola; ;, il;y en. a trois, l’une fur l’autre ; a
Sçhéçhnitz- on en; a.;:|tâl^^^^;&ût. ^
Machine à eau. Feld ^eftgn^% 'Voyez Machine
JiydraiMqiit.
y Machine ou Baritel à e<zif. G. Treip Kunft..Mlz-
chine à ïîomc.' G. Waffer, .Qo.epel., Kehrvrade : in-
c^mi^èn 'France
Gettsmacjiine.a varié dans faponftruétion, parrap-
portaux.frottements qui! fauf éviter le,?.p%s«m’jl eft
;||pm^è||fQk''que l’on,.ne peut^^bt^ir qpç'Wune
copftrqétion limple. M, Delius .donne de cette